Seul, marchant près du lac- libre à tous et à toutes-

Cela faisait déjà dix minutes que Bobby avait quitter la Grande salle. Il vagabondait dans les couloirs, jusqu'à ce qu'il se rende compte que dans l'Histoire de Poudlard, il avait lut un passage indiquant la position du lac. Il y avait également lu que le lac était habité par plusieurs créatures, comme le calamar géant, ou encore des petits animaux que l'on nomait les strongulos. Pourquoi Bobby n'avait pas penser à y aller plus tôt? Il décida de tuer le temps et de le rattraper en allant marcher près du lac. Bobby commença à courir, jusqu'à atteindre la lisière du bois, entra dans celui- ci, et marcha jusqu'à un rocher blanc, de calcaire. Il s'assit dessus et observa le magnifique tableau qui était dressé devant lui. Des hiboux, des corbeaux, et une multitude d'autres oiseaux volaient au- dessus du gigantesque et sombre lac. Bobby entendit derrière lui le craquement des arbres. Il leva son regard : un curieux écureuil se balançait de branches en branches et d'arbres en arbres. Alors, Bobby regretta soudain de ne pas être venu avant pour admirer ce somptueux spectacle qui se dressait devant ses yeux ébahis. La très légère brise qui soufflait sur le lac ridait celui- ci, ce qui ne faisait qu'embellir le spectacle. Il ne manquait plus qu'une personne pour le partager avec lui, et ce serait parfait. Bobby repensa à Lucie. Cette fille s'était avérer une excellente amie, et Bobby aurait été heureux qu'elle soit là, avec lui, partageant son rocher. Un frissons parcourut le dos du jeune Griffondor. Il faisait frais sans faire froid, et Bobby adorait cette sensation. Ni chaud. Ni froid. C'était le bonheur avec un "b" majuscule. Bobby eu une petite pensée pour ses parents moldus. Il était soudain fier d'être leur fils, fier d'être un Royan. Une vague de joie se diffusa dans le corps du jeune homme. Il se sentait fort. Le lac le ravivait. Il avait envie de plonger pour vérifier s'il y avait des sirènes, idée complètement absurde et saugrenue. On était en octobre. Bobby pensa en plissant les yeux :

*C'est bon d'être enfin chez soi!*

Pourquoi était-il si vivant ce jours là? C'était la question qu'il se posait. Il aimait les beaux paysages, et ici, il était servi. Aucune usines, aucun hangar, aucune cheminée n'était là pour gâcher le spectacle. Son spectacle. Un poisson sauta400 au loin. Bobby décida alors de changer de point de vu : il se leva, recommença à marcher, mais cette fois, en gardant bien en vue le grand lac. A vrai dire, il avait peur qu'il parte sans crier gare. Bobby continua à avancer, tout en regardant fixement le point d'eau, comme s'il cherchait à le dévisager. Il fit quelques pas de plus, puis s'adossa à un très grand arbre, pouvant mesurer jusqu'à quinze mètres de hauteur, et un mètre et demi de diamètre. Bobby continua à fixer l'horizon, comme pour y trouver refuge, ou quelque chose dans le genre.

(505 mots xD pas mal non? pour ma première année?)

Désolée, je n'en compte que 496 - non compatbilisé.

Lucie se promenait tranquilement au bord du lac. Amoureuse des choses de la nature, elle aimait beaucoup cet endroit réprésant de la beauté des choses. La jeune élève marchait tranquilement, un regard mélancolique sur l'eau du lac. En cet rentrée, où l'automne approchait à grands pas, Lucie ne voyait que des choses merveilleuses.. et c'est ça la définition de magie, le merveilleux, le rêve.. l'esperé.. Sous ses pieds, les branches craquelaient, ainsi que les feuilles tombées. Elle s'assied sous un arbre, appuyant sa tête contre celui ci. Le vent soufflait tout doucement, tel un petit voile de soie, dans les cheveux or de Lucie. L'eau était d'un calme époustoufflant, qui donc avait il la patience de l'eau d'un lac. Diable que les forces de la natures était une chose extraordinaire. Les oiseaux se posaient tantot sur des branches, tantot sur des rochers. Pour regarder d'un meilleur oeil ce si merveilleux paysage, Lucie monta dans l'arbre, pas trop haut tout de même, car à une certaine hauteur, lucie avait le vertige, mais là, à peu être 2 mètres, c'était parfait, elle voyait grand, elle voyait haut, elle voyait le lac.. Elle entendit soudain un craquelement de branches, puis plus rien.. Elle baissa la tête et vit entre ses deux pieds, plus bas, la tête, enfin les courts cheveux d'un jeune garçon, ainsi qu'un petit bout de l'insigne de sa maison.. "gryf" c'était évidement gryfondor. Lucie resta perchée sur son arbre un instant, il ne l'avait pas vu. Elle ne pouvait pas descendre dans un sens, car elle tomberais sur lui. Au bout d'un moment elle dit à voix haute.
"-Quel beau paysage, n'est ce pas ?
Elle allait pouvoir découvrir enfin l'inconnu, peu être autant amoureux de cet nature que Lucie.

Cela faisait à peine deux petites minutes que Bobby était assis qu'une voix s'éleva en disant :

"-Quel magnifique paysage n'est- ce pas?"

Bobby se leva subitement, chancela et trébucha. Il s'étala à terre de tout son long, la tête la première dans la terre. La situation devait avoir un coté comique.Bobby avait le nez en compote et le bras très douloureux. Il agrippa celui- ci de sa main libre et regarda dans l'arbre qui était maintenant devant lui. Il y aperçut les jambes gracieuses d'une fille. Il avança, manqua encore une fois de tomber, et vit le reste du corps de la fille, mis à part la tête. Il répondit, posé :

"-Oui, vraiment très joli spectacle, mais je peux savoir ce que tu fais perchée dans l'arbre?"

Bobby sourit, puis fit trois pas en direction de la jeune femme, regarda en l'air : c'était Lucie, qui, appuyée sur une branche, qui regardait d'un air presque nostalgique le lac et on fabuleux spectacle. Il lui adressa un sourire. Impossible de dire si elle l'avait remarqué ou pas. Il sortit de sa poche deux chocogrenouilles, lui en tendit un et dit :

"-Ce sont des chocogrenouilles. Il faut les assommer pour pouvoir les manger. Je vais le montrer."

Bobby sortit sa baguette d'une poche arrière de son pantalon, ouvrit un chocogrenouille, et recula d'un pas. Une grenouille noire, en chocolat, sauta de la petite boite, et atterrit sur le sol. Bobby pointa sa baguette sur elle et prononça quelques mots :

"-Flipendo!"

Une agréable lumière bleu ciel sortit de sa baguette et se dirigea vers la grenouille avant de l'atteindre. La grenouille gémi en se renversant sur le dos. Bobby s'approche de celle- ci, la prit dans sa main gauche et la mangea en six ou sept bouchées. Délicieux. Un vrai régal. Il tendit l'autre chocogrenouille à Lucie et lui dit sur un ton de défit :

"A ton tour!"

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