~ Bal de Nowel ~ Bienvenue à tous !!!

Le bal de Noël presque chaque année il y avait un bal de Noël, Alehandra se demanda quand elle avait été seule pour la dernière fois à un bal à Poudlard. En fait, à part en deuxième année, elle n’avait jamais été seule à un bal que l’école avait organisé. En rentrant dans la Grande elle se sentit immédiatement mal à l’aise comme si elle n’avait pas sa place ici. La décoration de la Salle était comme chaque année c’est-à-dire sublime.

La jeune fille s’était préparée pour une fois toute seule, elle y était parvenue, un véritable petit miracle pour elle. D’ailleurs on pouvait voir que ses amies n’y étaient pour rien vue qu’elle ne portait pas de robe au décolleté plongeant. Sa robe n’était pas noir ou bleu avec des touches de mauve, non sa robe était ordinaire descendant légèrement sur ses épaules et rouge comme la couleur de sa maison. Elle ne portait pas de bijoux juste un petit tour de cou également rouge.

Quand elle fut dans la Grande Salle son regard se perdit un moment dans la foule déjà présente, elle faillit faire demi tour alors que son regard ne rencontra personne qu’elle connaissait même de vue. Quand soudain, elle reconnu Lavande, soulagée de connaître enfin une personne elle s’avança dans la foule après quelque « pardon » et « excusez-moi » la jeune Gryffondor arriva près de son amie Lavande qui était déjà installée sur une banquette et faisait quelques commentaires.

Alehandra s’installa près d’elle alors que la jeune fille regardait autour d’elle, Alehandra fit alors comme elle quand son regard sembla s’arrêter sur la personne que Lavande était entrain d’examiner. C’est-à-dire Myrielle Symphonie qui avait une robe rose/ mauve, Lavande s’embla alors penser à voix haute en disant que si cela pouvait empêcher la jeune Serpentard de danser ça ne serait pas du luxe. Ce qui fit sourire Alehandra s’en vraiment qu’elle s’en rende compte, Lavande poursuivit en disant qu’au moins cette fois sa robe était longue et qu’on ne voyait pas son… Mais, Alehandra n’écouta pas la fin de la phrase, même si elle trouvait que Lavande avait parfaitement raison.

- Que veux-tu on est exhibitionniste ou on ne l’est pas, s’entendit-elle répondre sans avoir pu s’en empêcher.

Alehandra paru un peu surprise mais, elle se reprit instinctivement, elle commençait à comprendre que ce n’était pas vraiment elle qui parlait mais, tout bonnement sa jalousie. Elle entendit alors Lavande émettre un autre critère mais, cette fois il était plutôt bon sur la robe de Roze Maiden. Alehandra ne pu s’empêcher de sourire quand Lavande dit qu’elle était capable de faire un attentat pour échanger sa robe avec elle.

- C’est vrai que Roze a toujours eut bon goût en matière de vêtement, ce n’est pas comme Symphonie…

Une fois, de plus sa bouche avait formé les mots tout seul sans qu’elle ne puisse rien y faire, elle plaqua une main sur sa bouche. La jeune Gryffondor se leva ensuite pour rejoindre le buffet et prendre de quoi boire.

*Peut-être qu’avec la bouche occupée, je dirais moins de bêtises*, pensa-t-elle en se servant un grand verre de jus de citrouille elle prit une paille, du moins ce qui ressemblait à une paille et alla se rassoire près de Lavande.

C’est alors qu’elle vit une tête rousse un peu moins foncée que la sienne essayant de s’extirper de la foule c’était Ginny Weasley. Elle lui fit alors un signe pour qu’elle vienne s’asseoir près d’elles, Alehandra se retourna vers Lavande et lui demanda :

- Tu connais Ginny Weasley n’est-ce pas ?

La jeune fille but une seconde gorgée de son jus de citrouille et sentit qu’il n’avait pas le même goût que d’habitude, c’était un peu plus âcre. Elle sourit quand Ginny arriva près d’elle et qu’elle vint prendre place, Alehandra aimait bien Ginny mais, elle sentait parfois que la jeune fille ne la portait pas dans son cœur.

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Les dortoirs des filles de 5ème année possédait une salle de bain avec des douches mais aussi une baignoire bien sûr celle-ci n’avait strictement rien avoir avec celle des préfets. Elle était petite mais bon, on savait quand même si relaxer un peu, Aelita avait d’ailleurs eut envie de faire trempette juste avant que les autres filles ne commencent à se préparer. Elle se fit donc couler un bain bien chaud et se détendit pendant une bonne dizaine de minutes, elle s’extirpa ensuite de l’eau et mit une serviette autour d’elle avant de s’essuyer avec celle-ci. Une fois, cela fait elle remit la serviette autour de sa taille et sorti pour aller chercher sa robe (*).

Une fois, ses bas en soie fine qu’elle mit délicatement le long de ses jambes magnifiquement galbées, elle enfila sa robe de soirée. Cette robe vert émeraude qu’elle avait portée lors du mariage de Lily-Rose Silverstone et de September Quint. Elle prit ensuite sa baguette pour faire de ses cheveux un chignon avec quelque mèche tombante sur son visage pâle. Elle mit des escarpins blancs qui ne se virent pas vu que la robe était très longue, elle aurait pu même mettre des baskets que personne ne s’en serait aperçu. Aelita mit la parure d’argent de sa mère ainsi que le bracelets et les boucles d’oreilles assorties.

- Mon cinquième bals ma chère mère…, je me demande ce que tu m’aurais dit en me voyant ainsi… Je doute que ce soit un compliment mais, j’aurais été néanmoins heureuse d’entendre ta voix, se dit-elle à haute voix en se penchant vers son miroir. Michael dit que je te ressemble de plus en plus, que je m’embellis au fur et à mesure des années qui passent. Bizarrement, je n’arrive pas à le croire… enfin… Je me demande aussi ce qu’aurait pensé père de tout cela, il m’aurait s’en doute regardé des pieds à la tête – ce qu’elle fit devant le miroir – et m’aurait d’une voix forte – elle s’éclaircit la gorge avant de faire une imitation de la voix de son père – « Qu’est ce que c’est que cette tenue !? Tu n’as pas honte de t’affubler ainsi !» - elle soupira baissant les yeux – Il n’avait aucun goût, tu t’en souviens maman quand vous étiez invité à une soirée tu te préparais toujours pendant des heures et lui ne voyait jamais tes efforts. Il ne voyait qu’une robe bien trop décolletée ou trop échancrée sur le côté… Je comprends pourquoi tu es partie…, je pense que j’en aurais fait de même avec le temps…, un homme aussi jaloux et possessif, il ne fait qu’étouffer celle qui l’aime, dit-elle en posant ses mains sur le lavabo et en se regardant droit dans les yeux. Dire que j’ai aimé, un homme qui avait le même caractère que lui, comment…, comment ais-je pu ?, se demanda-t-elle en serrant la porcelaine jusqu’à ce que les jointures de ses mains en devienne aussi blanche.

Elle releva ensuite les yeux, ses joues avaient une légère teinte rose alors, que ses yeux ne demandaient plus qu’un battement de cils pour verser une larme.

- Je suis tellement stupide, parler à voix haute à mon reflet, songea-t-elle alors qu’un sourire triste naquis sur ses lèvres. Mais, j’ai tellement l’impression de te voir en moi, mère !

La jeune fille essuya ses joues car, les larmes avaient commencé à perler puis, elle se maquilla en essayant de ne plus penser à ce qu’elle venait de se dire. Une fois prête, elle descendit dans la salle commune afin de lire un peu, elle était beaucoup trop en avance et puis comme disait son frère Samuel, il fallait savoir ses faire désirer. Après une heure de lecture qu’elle n’avait pas vue passer elle décida de descendre à la Grande Salle.

Une fois, les portes passées, la jeune fille examina la salle les décorations étaient vraiment splendides, ce qui ne changeait pas des bals précédent. Aelita était un peu surprise de voir autant de monde dans cette salle, qui c’était d’ailleurs retourné quand elle fit son entrée. Elle se dirigea ensuite vers le buffet et prit un verre de jus punch, elle regardait autour d’elle en espérant voir son cavalier arriver.

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Blaise avait passé quoi même pas dix minutes à se préparer… Bon d’accord je plaisante, le jeune homme avait mit une heure… Mais, il avait bien calculé son coup pour ne pas être dans le dortoir en même temps que Drago sinon il serait encore entrain de poireauter devant la porte de la salle de bain. Quoi pire que des filles ? Je vous ais entendue mesdemoiselles !!! Ne vous cachez pas ! C’est pour vous qu’on se fait beau ! Qu’on se met de l’eau de toilette si il n’en tenait qu’à nous… Bon d’accord, on ferait pareil que maintenant… Mais, parce qu’on a de l’hygiène nous !

Soit, le jeune homme après s’être mis sur son trente et un (*) – Serpentard oblige hihihi – le jeune homme décida d’aller taquiner un peu Crabbe et Goyle qui eux se trouvaient dans la salle commune. Les deux jeunes hommes jouaient à une partie d’échec, bien sûr il ne connaissait rien au jeu et inventé à peu près toutes les règles, d’ailleurs ni Drago, ni Blaise n’avaient prit la patiente de leur expliquer. D’ailleurs la patiente n’était pas vraiment le fort de Blaise mais, plus celle de Drago dû moins c’est ce que pensait le jeune Serpentard.

- Alors toujours à jouer aux échecs ? demanda Blaise en avançant vers les deux imbéciles.
- Oui et Crabbe est entrain de me battre, dit Goyle en se retournant vers Blaise.

En effet Goyle n’avait plus un seul pion sur le plateau de jeu alors que Crabbe avait tous les siens mais avait perdu ses deux cavaliers. Blaise ne comprenait vraiment rien aux règles qu’ils avaient établies et avant d’attraper un mal de tête, il alla prendre place dans un des fauteuils près de la cheminée.

- Au fait, l’un d’entre vous à une cavalière ? demanda-t-il en regardant les deux nigauds qui se regardèrent avant de répondre d’une même voix que non ils n’en avaient pas. J’y vais avec Pansy si ça vous dit de nous accompagner à moins que vous préféreriez accompagner Drago, leur dit-il en les regardant.

En fait, Blaise savait qu’ils allaient très certainement se rendre avec Drago au bal mais, ils voulaient voir leur réaction sur le fait qu’il se rendra au bal avec Pansy. D’ailleurs, elle ne se fit pas attendre les deux jeunes hommes se retournèrent vers lui les yeux écarquillés par la stupéfaction.

*Ils ont l’air encore plus bête comme ça*, songea Blaise en soupirant.

Les deux jeunes hommes lui demandèrent pourquoi il se rendrait au bal avec Parkinson car, elle était avant tout la propriété de Malefoy. Blaise essaya de garder son calme pour ne pas amocher plus qu’il n’était possible Crabbe pour la réflexion qu’il venait de faire.

- Je pense que Pansy est libre de faire un choix ainsi que de penser par elle-même et pas d’écouter tout le temps ce que dit Drago, dit-il en se levant. Ce qui apparemment n’est pas votre cas !

Il n’était pas en colère contre son meilleur ami mais, plutôt envers les deux autres qui pensaient que tous le monde leur ressemblait dans la maison des Serpentards. Certes tout le monde craignait plus ou moins Drago parce qu’il était le fils de Lucius mais, aussi pour lui-même, le jeune homme savait dégager une certaine aura qui inspirait le respect. Blaise respectait Drago mais, il était prêt à se battre contre lui si jamais il y était obligé. Blaise avait encore un peu de temps devant lui il prit sa cape d’hiver et sorti de la salle commune.

*De toute façon Pansy me retrouvera bien dans la Grande Salle, je n’ai pas besoin de l’attendre indéfiniment*, pensa-t-il en passant la grande porte du Hall.

Une fois dehors, il y avait de vent beaucoup de vent le sol était recouvert d’une dizaine de centimètre de neige. Blaise n’alla pas plus loin que la troisième marche, il sortit sa baguette faisant place nette pour pouvoir s’asseoir. Il ferma un instant les yeux pour écouter le calme qu’il régnait dans le parc.

*Pas de chevaux, pas de carrosses…, pas d’élève courrant dans tous les sens…, le calme la belle vie si tout pouvait être toujours comme ça. Je pense que je serais au paradis*, se dit-il en se levant puis il entra de nouveau dans le Hall.

Des élèves étaient entrain d’hurler car Peeves leur lançait des boules de neiges, Blaise soupira son instant de calme et de paix venait de s’évaporer en fumée. Il rentra dans la Grande Salle, enleva sa cape d’hiver qu’il posa sur son bras et se rendit au buffet, son regard fut alors attiré par une jeune fille dans une robe couleur vert émeraude.

*Pas mal*, pensa-t-il en la détailla des pieds à la tête, la jeune fille lui tournait le dos et quand elle se retourna et qu’il vit son profil son visage laissa apparaître une image de dégoût. *Aelita Stones…, non mais comment j’ai pu penser ça ?*, se demanda-t-il en se retournant pour prendre quelque chose à boire. *Oui, boire avant de trouver Luna Lovegood mignonne*, pensa-t-il en cherchant le jus de citrouille.

[Hj:Zack's tenue , pardonnez la qualité mais photos prises avec mon portable sur la télé xD]

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Zack était dans la salle commune de sa maison , située dans la tour des Gryffondor . Il essuya la buée qui recouvrait la fenêtre , fenêtre qui donnait au dehors sur le parc enneigé . Des flocons blancs s’étaient déversés sur le sol pendant toute la journée et ce n’était plus qu’un épais tapis de neige . Le jeune Gryffondor s’arracha à la contemplation du paysage et s’écarta de la fenêtre .

C’était le mois de Décembre , et si avec Noël qui approchait à grand pas , Zack est d’humeur joyeuse , il l’était encore plus depuis qu’avait été placardé en gros sur le tableau d’affichage l’annonce d’un bal de Noël . C’était chouette un bal . Zack était enthousiaste à l’idée d’un tel événement . Il avait commencé par se demander qui il pourrait bien inviter .

Et ce soir là , après s’être couché , il avait tout de suite pensé à Ombrage . C’est vrai , elle était tellement sympathique , et surtout tellement belle avec ses airs de crapaud rose bonbon . Bien sur , c’est un horrible cauchemar digne d’un film d’horreur que je vous raconte là . Qui voudrait d’Ombrage pour cavalière ?

Franchement , faut être lucide , c’était la pire prof de tout Poudlard , pire même que le Professeur Rogue . Ce matin là , quand le petit Zack se réveilla , en sueur , empêtré dans ses draps et ses couvertures , il n’avait plus aucune hésitation à demander à Elizabeth Harris d’être sa cavalière pour le bal . A choisir entre rêve et cauchemar , qu’est ce que vous choisiriez vous ? Puis , comme on dit : Qui ne tente rien n’a rien .

Car , oui , c’est à Elizabeth que Zack avait pensé en tout premier . Ombrage n’était qu’un vilain cauchemar . Eli , elle était belle , intelligente (bien que pour Zack ce soit plus un défaut qu’un qualité mais bon) et en plus c’était une super joueuse de Quidditch (pas meilleure que lui bien sur , et pas à Gryffondor malheureusement) . Puis Zack , bon , il était pas si moche que ça non plus , quoi . Bref , le jeune batteur lui demanda et sa camarade Poufsouffle accepta (C’est évident , voyons !) .

C’était maintenant le soir du bal , le soir de son premier bal et Zack était bien décidé à se mettre sur son trente et un . Le gamin commença par aller se doucher (C’était déjà un bon début !) . Ensuite , il s’habilla . Il s’était rendu à la volière la semaine dernière et avait envoyé une lettre à sa mère pour lui demander quelque chose pour le bal , et il avait reçu un colis quelque jours plus tard .

A présent , le blondinet était vêtu de chaussures noires , d’un pantalon , noir lui aussi , d’une chemise blanche , par-dessus laquelle il portait la veste de son costume , et enfin un nœud papillon , noir également . Le Gryffondor se brossa les dents pendant pas moins de vingt minutes , puis se peigna les cheveux , et quitta la salle de bain .

Il sortit de la salle commune , et prit la direction de la grande salle , transformée pour l’occasion en salle de bal . Sur le chemin , il aperçut plusieurs autres personnes mais ne vit pas son frère jumeau . Ce dernier lui ayant dit qu’il n’avait pas de cavalière , Zack se demanda s’il viendrait , à moins qu’il n’ait trouvé une cavalière à la dernière minute . En bon gentleman , le jeune anglais se posta devant la salle de bal pour attendre Elizabeth .

Ernie avait un beau costume, une jolie cavalière, mais pas de challenge à relever au cours de la soirée. Certes, il était très content d'aller au bal avec Megan, mais n'éprouvant rien d'autre pour elle que des sentiments purement amicaux, il n'allait pas passer sa soirée à attendre anxieusement le moment propice pour l'embrasser dans quelques recoins obscurs, de préférence à l'abri des yeux de Rogue. Honni soit qui mal y pense ! Les chevaliers de l'ordre de la jarretière ne savaient pas ce qu'ils manquaient, en ne recrutant pas Ernie.

Convaincu d'avance qu'il allait passer un très bon moment, le jeune garçon avait attendu sa cavalière en réajustant ses bourons de manchettes dorés et en s'autorisant, de temps à autre, quand personne ne regardait trop de son côté ce qui était difficile : il était tout de même le futur ministre de la magie ! un léger coup de "pschiiiit-pschiiiit" à la menthe poivrée : un bal sans challenge autre que d'apporter à boire à sa cavalière sans tout renverser : un défi plutôt facile à relever pour quiconque ne se nommait pas Londubat d'accord, mais ce n'était pas une raison pour avoir une haleine d'ornithorynque gavé.

Il venait justement de s'humecter la luette quand Megan apparut. Faisant disparaître bien vite son petit appareil dans la poche de son smoking, Ernie gratifia la Poufsouffle d'un sourire décontracté avant de s'approcher d'elle d'un pas digne et de lui tendre le bras avec galanterie. Il lança un coup d'oeil approbateur à la tenue de Megan - certes peu conventionnelle mais qui restait très décente (bon, on lui voyait les jambes, d'accord. Et aussi les épaules. Mais au moins, elle n'avait pas un décolleté de prostituée sur le retour de petite dévergondée) - avant de la complimenter chaleureusement :

- Ma chère Megan, permets-moi de te dire que tu as une classe folle. J'ai énormément de chance de t'avoir à mon bras.

En bon stratège, il avait soigneusement éviter de sortir une bêtise telle que "tu as une classe folle, ce soir". Car il savait de source sûr que cette petite précision, quoique bien innocente, pouvait déclencher les foudres des demoiselles : "Ce soir ? Parce que le reste de l'année ce n'est pas le cas, je suppose !". Il fallait alors ensuite ramer pendant des heures pour que la fille cesse de bouder. Des créatures très compliquées, les filles.

S'étant emparé du bras de Megan, il la guida fièrement jusqu'à la Grande Salle, non sans gratifier les quelques couples qu'ils croisaient d'un signe de tête poli, très souvent agrémenté d'un léger regard satisfait : aha ! Personne n'était plus glamour qu'eux. Oui, Ernie aimait énormément le mot "glamour" alors pour une fois qu'il avait le moyen de l'utiliser à bon escient, il n'allait pas s'en priver.

Une fois dans la Grande Salle, le blondinet resta un moment, à l'instar de sa cavalière, bouche bée devant la splendeur de la pièce. Mais pas au moins d'oublier ses devoirs envers sa cavalière. Il hocha pensivement la tête avant de répondre :

- Oui, c'est vraiment splendide... Tu veux peut-être boire quelque chose, pour voir si le buffet est aussi bon que la salle est belle ? rajouta-t-elle avec humour.

the dress!

Lisa n'avait pas de cavalier, mais elle s'en fichait, les garçons, elle n'en avait pas grand chose à faire et puis ses modèles de romantisque tel Fitzwilliam Darcy ou Julien Sorel n'éxistaient pas ou plus et même si c'était bien dommage la jeune Serdaigle avait du accepter la dure réalité de la vie réelle du XX éme siècle, elle avait un verre de jus de citrouille gzaeux (une nouveauté) dans la main et le sirotait tranquilement en regardant les gens arriver, elle trouvait que certaines personnes en faisait peut être un peu trop au niveau des robes, c'était un bal de noël à Poudlard pas le bal de cendrillon, quoique au niveau mauvais goût on se raprochait plutôt de Javotte et Anastasie, mais Lisa était sûr et certaine que Myrielle Symphonie n'avait jamais entendu parler de Walt Disney. Elle soupira dans la paille faisant apparaître de grosses bulles dans sa boison.
Soudain et alors que tout espoir de discuter semblait perdu, son regard se posa sur cette tignasse blonde péroxydée qu'elle avait fini par prendre en affection, car il vrai qu'au départ, lisa n'avait pas une très haute opinion de Lavande Brown, mais la jeune fille au fur et à mesure des années était remonté dans son estime tant et si bien que c'est vers elle que se dirigeait Lisa, et on ne pouvait pas dire qu'elle avançait rapidement.
Habituée à être à plat, la Serdaigle avait un peu de mal dans ses chaussures toutes neuves (qu'elle n'avait pas eu la présence d'esprit d'essayer avant de les acheter), horriblement haute (au moins quatre centimètres en talons!!!!) et dans lesquels ses orteils criaient de douleurs.
Heureusement qu'elle se sentait à l'aise dans sa robe, en fait il s'agissait d'une robe en laine et angora noire qui avait un dos quasi nu et une encolure en pas très profonde devant, elle était très douce et Lisa l'aimais beaucoup et puis une petite robe est indémodable n'est ce pas?

Enfin après au moins dix mètres d'intense douleurs elle arriva au niveau de Lavande:
"bonsoir! Alors seule ou accompagnée?"
C'était une façon comme une autre d'amorcer la conversation, mais c'est vrai que ça faisait un peu dragueur de seconde zone, lisa s'en rendit compte et éclata de rire.

« Meg, ma jumelle chérie, t’es prête ? » Avaiat-elle demandé, d’une voix chantante.
La jumelle blonde qui était encore dans la chambre, finissait d’arranger ses bijoux à ses oreilles, pendant que la seconde mettait une touche de perfection supplémentaire à sa coiffure.
Les deux, comme chaque année, jouaient leur carte de la gémellité comme jamais lors des fêtes. Elles n’étaient peut-être pas les clous de la fête, mais comptaient bien faire assez d’effet pour se faire remarquer.
Cette année, elles avaient décidé de se mettre en avant dans une robe couleur chair, qui tendait vers le doré, l’une des couleurs symbolisant leur maison. Bien entendu, les querelles entre tous les animaux étaient mises au placard pour cette cérémonie, l’occasion n’était qu’à la fête, mais quand même. Et puis, elles leur allaient si bien, ces robes ! Heureusement que la boutique en avait deux à vendre !

Une fois les préparatifs terminés, les deux filles Montgomery White étaient partie vers la grande salle, ensemble, chacune se tenant la mains de l’autre ou presque. Pas qu’elles comptaient vraiment se coller l’une à l’autre toute la soirée, mais le stress du bal faisait que Maera avait besoin de savoir sa jumelle avec elle. Un dernier regard confiant échangé, et elles firent leur entrée en parfaite synchronisation.

Le temps ne fut pas long avant que les filles ne soient abordées. Elles étaient venues sans cavalier, et c’était presque le but, de pouvoir accorder une danse à tous les prétendants qui désiraient s’attirer leurs faveurs pour quelques pas.

Une main avait saisi celle de Maera avant même qu’aucun homme n’ait pu faire un mouvement. Elle se retourna vers la personne qui lui demandait déjà une danse, et fut heureuse de rencontrer l’un des préfets de la maison de son petit frère. Son fond de teint empêcha tout le monde de la voir rosir, mais après un dernier regard vers sa sœur, qu’elle abandonnait pour une première danse (même si Alexander lui avait déjà promis la prochaine), dans les bras du joueur de Quidditch (oui bon, on se refait pas, hein ?)

La danse fut belle, mais brève. En même temps, c’est juste une danse d’ouverture, mais elle avait l’avantage que peu de monde était sur la piste, alors la jumelle s’appliqua pour en mettre plein la vue à un maximum de monde. Alexander, quant à lui, avait déjà fait ses preuves l’année dernière, alors que les Montgomery de la branche annexe étaient plus restés en retrait.

Une fois la danse avec Mae’ terminée, le préfet tint sa promesse, et proposa sa seconde danse à Meg’. Avec un large sourire, Maera les regardait danser. Comme elle les trouvait beaux. Elle lâcha un petit soupir d’admiration pour sa sœur, une main sur la joue, un sourire doux aux lèvres, les yeux mi-clos, comme quand on rêve au prince charmant. Elle stoppa sa rêverie assez vite, car déjà le couple revenait et l’orchestre enchaînait les tempos de musique.
Les amenant près du buffet, le préfet des jaunes et noirs proposa un rafraîchissement à ses premières danseuses. Maera accepta volontiers le verre qu’on lui tendait, et trempa ses lèvres dans le liquide. Elle aura bien avalé cul sec le verre entier, mais ça n’était pas de mise ce soir. Il fallait un minimum de tenue, si on voulait se rendre plus ou moins inaccessible, tout en étant à la portée des gens.

Elle n’oublia pas de remercier le préfet des blaireaux pour l’avoir faite danser dès la valse d’ouverture. C’était une occasion rare, que peu pouvaient se vanter d’avoir danser. Les places étaient chères, et parfois même pas à portée, lorsqu’on voyait par exemple les préfets de Serpentard danser ensemble. Enfin bref, Mae’, donc, avait remercié Alexander chaleureusement pour cette magnifique danse qu’il lui avait accordé, en le complimentant au passage pour ses pas absolument parfaits et le fait qu’il soit facile à suivre. Elle avait le rythme dans la peau, la blonde, mais la danse n’était pas son premier point fort, même si elle savait danser. Elle faisait des concours de violon, elle, pas de danse de salon !

D’ailleurs, le gentil Poufsouffle qu’elle avait en face d’elle, Maera se demanda pourquoi il prenait tant de pincettes pour paraître aussi charmant. Il n’avait pas besoin de se forcer à sourire comme il le faisait d’habitude, juste relever un coin de bouche aurait suffit. Enfin bref, c’était bien le dernier souci de Maera, ce à quoi il pouvait bien ressembler. Par contre, il semblait préoccupé.

Elle chercha plus ou moins discrètement des yeux, tournant autour du bel homme, de sa sœur et du buffet par à coups, au rythme des musiques, doucement mais sûrement, pour chercher ce qui l’attirait désespérément. Il était discret, bien entendu, mais les jumelles avaient un œil aiguisé. Mais à le voir chercher désespérément, en fait, elle finit par se demander s’il avait vraiment trouvé, sa perle dans la foule.

« Votre cavalière n’est pas présente, Monsieur Shinku ? » avait osé demander, en se cachant derrière son verre, dès qu’elle eut lancé les dernières lettres de sa question.

[hs > La robe, on peut la voir mieux, en cliquant sur la bannière C'est la même pour Meg et Mae ]

Serena avait préparer depuis la rentrée le bal de Noël, c'était un évenement qu'on ne pouvait decement raté *c'est trop important pour ça* pensa t'elle tout en enfilant sa robe blanche avec des noeuds noir à la taille, magnifique, elle lui allait à merveille, pour aller elle avait mis des papillons noires dans ses cheveux, ce qui réhaussait l'effet de sa robe, elle se maquilla juste ce qu'il fallait pour être encore plus belle *je le suis déjà tellement* dit elle en finissant de se mettre un leger coup de blush, elle se regarda dans le mirroir, se recula et parut satisfaite *sûr je suis la plus joliiiiiiiiie* Elle descendit dans sa salle commune, plein de jeunes filles étaient en train de terminer leur préparatifs *évidemment aucunes ne m'égal, ce serait trop facile* Satisfaite de tout ça elle entrepris de se dirigea vers l'escalier qui menna à la grande salle, tout étaient décorer pour l'occasion, aah ce qu'elle aimait cette période de l'année, les cadeaux, les jolies robes... Mais elle n'avait pas trouvé de cavalier, tant pis ^^ elle ne s'interessait pas encore vraiment aux gars encore que...
Elle sourit tout grandement tout en pensant à Roze *aaah j'espère aussi qu'elle sera la plus belle du bal, pour son Edward* Elle sourit grandement tout en les imaginant dansant au milieu d'une foule les applaudissant. Elle arrivant devant la grande salle.
Son coeur ne fit qu'un bond quand elle vit Zack !! le capitaine de l'équipe de quidditch, elle ne comprit pas pourquoi, son coeur s'affola, elle marcha comme si rien n'était vers lui afin de le saluer, ce costume lui allait à ravir, ça lui changeait du costume de capitaine de quidditch. Elle s'approcha donc discretement de lui :

- coucouuuuuuuuuuuuuuuuuu

Dit elle d'une façon tout aussi discrete si ! si ! des élèves se retournèrent alors vers elle *ma voix porte donc tant?* se demanda t'elle, peu possible :

- t'attends quelqu'un?

dit elle pro dans les questions qui ne servent à rien sinon à parler ^^

- dit tu n'aurait pas vu ma couziiine?

Dit elle en regardant autour d'eux à la recherche de Roze, *nan faut pas que je sois trop avec elle je vais les laisser en n'amoureux* Elle resta près de Zack ne sachant trop que faire, regardant de temps à autre le jeune garçon de ses grands yeux bleux