Tranquilité perdu ( Libre )

Marian Lavigne était dans sa salle commune. Elle était assise sur un sofa très confortabe jaune. Elle avait enlevé ses souliers, les mit sur le bord de la sortit de la porte de la salle commune et mit ses pieds sur le divans. Elle regardait avec joie le feu. Celui-ci était rouge orangée. Il était magnifique pour la plupart des yeux. Elle le regardait et par accident, s'endormit. Elle fit un sieste d'environ une demi-heure avant de se réveiller. Elle se réveilla et il était environ... minuit et demi. Elle se releva en vitesse sur ses fesses et regarda le feu. Son regard était plongée dans le feu. La jeune fille se leva et prit ses souliers en toute vitesse. Ellesortit de sa salle communeet mit un de ses pieds sur le plancher de l,école. Elle fit quelques pas dans l'école avec ses chaussette et mit ses souliers devant sa salle. Marian marcha avec ses souliers. Elle voulait aller se promener un peu. Comme la plupart du monde qui pensait que le soir il serait seul... Qui sait, Marie ferait peut-être une nouvelle rencontre... Tout ce qu'il lui restait à penser, c'était où aller. Peut-être au parc? Mais non! Personne n'allait au parc à cette heure-là! Ils préfèraient se faire peur vu qu'il était tard. Les gens que la pouffy pourrait rencontrer serait soit au Lac Noir ou à La Forêt Interdite. La jeune fille n'avait pas le goût d'avoir trop peur. Alors, elle pouvait déjà éliminer la Forêt Interdite. Donc, elle allait aller au Lac Noir. Assez célèbre envers les élèves qui voulait aller plongée dans le Lac ou se reposer. La jeune de première année marcha pendant environ quelques minutes pour enfin arriver au célèbre Lac Noir. Oups! Il était désert! la petite fille ne pourrait donc pas faire de rencontre! Mais ce n'était pas grave pour la nouvelle poufsouffle. Elle pourrait se reposer un peu sans être dérangé par la voix de son ou sa nouvelle rencontre. Elle pourrait s'accoter sur une roche assez haute pour admirer les étoiles ou bien regarder le Lac Noir. Juste à penser à toutes les choses qu'elle pourrait faire, ça la rendait de bonne humeur. Elle souria et leva sa tête vers le ciel. Elle admira les étoiles et se laissa tomber sur la roche. Elle eu une légèrte douleur sur sa tête après avoir tombé dessus, mais ça allait passé. Tout allait bien... C'était silence. Mais au moment où Marian allait être satisfaite d'être venu ici, elle vu une tête. Tout son plaisir était gâchée par la personne. En plus, la personne était proche de Marian.Il ne fallait pas qu'il la remarque! Sinon tout le plasir d'être seule à Marian serait gâchée. Elle glissa un peu sur sa roche pour ne pas être aperçut. Fiou! Il ou elle ne l'avait pas vu. La jeune fille soupira. Elle fit un petit rire qu'on n'entendait pas et regarda le ciel. Les oiseaux passèrent juste au dessu d'elle. La petite Lavigne avait peur qu'il s'échappe sur elle. Elle plaça ses mains au dessus de sa tête. Une chance que pendant que les petis oiseaux passaient, ils n'avaient pas fait un petit cadeau pour elle. Elle les baissa et les mit au longs de son corps. En regardant les étoiles, Marian se rappela de... NON! Elle avait lever ses bras! La perosnne l'avait sûrement remarqué! Tout ses bons moments étaient tous fichus! Il fallait encore que la poufsouffle gaffe! Mais, peut-être ne l'avait-il pas vu... Non! La personne l'avait vu. Elle fit donc sa jeune polie. Elle alla vers le ou la gâcheur ou gâcheuse de sa tranquilité. Elle n'avait pas le goût de lui parler, mais il le fallait bien. Elle dit avec une toute minuscule petite voix:

- Salut!

Tout ce que Marian avait le goût de faire, c'était retourné dans son dortoir et retourné sur son sofa jaune à admirer les flames du feu orangée. Elle attendit que la personne lui dise salut et après elle retournerait immédiatement sur sa roche à regarder les étoiles. C'étai déjà sûr qu'elle ne l'aimait pas parce qu'il avait gâchée toute sa tranquilité! Mais peut-être qu'elle allait le ou la trouver sympathique... Peut-être!

Mary n’avait pas envie de filer immédiatement pour la salle commune… Après tout, elle n’avait pas vraiment eu la moindre occasion de se ressourcer depuis qu’elle était à Poudlard. Elle avait le chic pour croiser du monde, elle qui aimait tant la solitude… Ou plutôt, la compagnie sélectionnée…
Elle avait vadrouillé un moment dans le château, mais les couloirs restaient bruyants. Son choix se porta donc sur l’extérieur…

Elle quitta rapidement le hall, en direction du Parc. Mais des gens traînaient encore dans les environs… Elle choisit d’aller plus loin encore.
Elle distingua le Lac. Elle en avait entendu parler à table : quelques rumeurs circulaient au sujet de cette grande étendue d’eau… Elle ignorait la part de vrai dans tout ce qui se racontait, et à vrai dire, elle s’en moquait. Mary marcha en direction du Lac et choisit de s’asseoir non loin de la rive.
Il commençait à faire sombre, et elle avait cru entendre un bruissement de feuilles. Elle songea que son imagination lui jouait des tours. Elle se croyait menacée en toutes circonstances… La confiance en elle, aussi développée que la confiance qu’elle portait aux autres, il était particulièrement normal qu’elle soit sur ses gardes constamment. Elle serait sans doute incapable de faire face, dans un moment pareil, à une quelconque mésaventure…

Elle posa la tête sur ses genoux, qu’elle tenait de ses bras croisés. Pensive, elle observait les reflets du Lac. Ses pensées allaient à tort et à travers… Elle aurait voulu les noyer dans cette immensité aqueuse. Tout ce qu’elle pensait, c’était ce qu’elle venait de faire endurer à son père. Ce qu’elle se forçait à vivre, alors qu’elle n’avait pas tant cette envie d’être une sorcière. Ces inconnus qui devenaient une deuxième famille. Ce monde sans visage et pourtant si ressemblant. Ces nouveautés, cette extravagance. Elle avait connu le monde sorcier dans sa plus tendre enfance. Mais il y a bien longtemps qu’elle l’avait renié.

Perdue dans ses tortures cérébrales, elle perçut tout de même un bras. Sursaut fulgurant. Elle croyait être seule ! Heureusement qu’elle n’avait pas libéré ses pensées à haute voix ! Qui était là ?
Mary n’avait pas analysé ce qu’elle avait vu. Un bras d’enfant ? D’adulte ? Fille ou garçon ? Aucune idée… Elle allait se lever pour en savoir plus quand la jeune fille lui lança un « Salut ! » pas réellement enthousiaste. Mary distingua alors l’écusson de Poufsouffle. Tiens… Cette jeune fille ne semblait pas plus âgée. Elle aurait même juré l’avoir vue se faire répartir après elle.

Son envie de solitude était troublée, mais elle ne voyait pas d’autre alternative.

« Euh… Salut… Je… »

Elle plongea son regard bleu profond dans celui de la jeune fille.

« Désolée si je te dérange… Je comptais m’en aller… »

Elle n’avait jamais prévu de partir si tôt, mais sa difficulté à faire face au monde de la sorcellerie amplifiait sa hantise du contact. Seuls ses amis, les plus précieux êtres au monde à ses yeux, parvenaient à la maintenir dans une foule. Parfois même, à la faire sourire !

» recherche fraîcheur et tranquilité....[LIBRE]
» Petit moment de tranquilité [libre à tous ceux qui veulent]
» Le livre perdu (libre)
» Rusard a perdu son chat [LIBRE]
» Un peu de tranquilité