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 [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25)

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Ξ Sujet: [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25)   [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25) EmptyMar 26 Fév - 19:49

Titre : L’incube
Couple : Siegfried/ Ginny
Personnages concernés : Juste Siegfried Et Ginny. Et quelques figurants
Rating (G, PG, PG-13, R, NC-17) : g
Thème (numéro et nom) : 10. #10
Tomes concernés (au delà de l'année en cours ?) :5eme volume.
Cadre (époque et lieu si besoin) : Apres la création de l’AD.

_________________________________________

L'incube


La relation qui lia Siegfried Léthé à Ginny Weasley dura 10 jours. C’était au cours d’une année sombre pour beaucoup de jeunes sorciers. La grande inquisitrice ombrage dirigeait d’une main de fer l’établissement de Poudlard, écrasant et réprimant tout débordement. Mais la répression attise des réactions encore plus violentes.


Le premier jour, celui de leur rencontre, Ginny était en grand péril. Elle avait décidé de mener seule une action contre la grande inquisitrice. Elle était parvenu à atteindre secrètement le bureau de la despote, et lui avait dérobé un dossier rédigé par sa brigade privée, un dossier dans lequel était consigné les noms des élèves à surveiller, ainsi que certaines informations qu’ils étaient parvenus à apprendre secrètement. Ginny craignait que le nom de L’AD soit arrivé jusqu’aux oreilles de ces traites, elle s’était emparée de ce dossier, pour en avoir le cœur net.
Malheureusement, la chance l’abandonna alors qu’elle quittait le bureau. Deux serpentards de la brigade la surprirent en sortant du lieu où elle n’aurait jamais du se trouver. Prise de panique, elle s’enfuit à travers les couloirs en espérant rejoindre la salle secrète de l’AD pour y trouver refuge. Plus agile, plus rapide, elle parvint à prendre plusieurs couloirs d’avance sur eux. Dès qu’elle arriva en face du mur magique, elle en activa l’ouverture pensant enfin être en sécurité. C’est alors qu’elle entendit une voix derrière elle. Elle frémit en réalisant qu’elle s’était montrée imprudente, elle venait de révéler l’entrée de leur repaire à un étranger.


Siegfried : « À ta place, je ne ferais pas ça. Ils t’ont vu, ils t’on reconnu… Si tu disparaît d’un coup comme ça, ils se douteront que tu avais une planque dans ce genre la. »
Ginny : « Saleté de Serpentard, ne te moque pas de moi, je… »
Siegfried : « Tutu tut, pas de familiarité s’il te plait. C’est la brigade ton problème immédiat, pas serpentard. C’est pour cette chose la que tu t’en fuis ? »

Tout en se rapprochant d’elle, Siegfried avait remarqué le dossier qu’elle portait. Il se plaça à l’intérieur du passage secret menant au QG de L’Ad, et il tendit la main vers Ginny.

Siegfried : « Donne le moi. Donne le moi et laisse toi prendre. Moi je serais caché ici, et ils ne mettront pas la main sur ces… Documents. Toi tu seras arrêtée, interrogée, peut être même torturée, mais il ne t’arrivera rien. Si tu n’as rien à cacher, c’est que tu n’as rien volé. Et si tu n’as rien volé, tu n’as rien fait. Tu passais juste au mauvais endroit au mauvais moment. Donne le moi à présent, tu n’as pas vraiment le choix. »

Ginny hésita quelques secondes. Elle entendait les voix de la brigade qui se rapprochait rapidement, dans quelques instants, ils la trouveraient, ainsi que l’entrée secrète. Que devait elle faire… Ce que Siegfried lui proposait, c’était de le laisser seul avec le dossier dérobé, à l’intérieur du QG de leur organisation de résistance. Un serpentard dans leur antre !!! Ginny ne pouvait se résoudre à faire un tel choix, alors Siegfried décida pour elle. Il lui arracha le dossier des mains juste avant que le mur magique se referme sur lui, juste avant que la brigade n’arrive, et juste avant que Ginny ne soit arrêtée, et emmenée pour comparaître devant la grande inquisitrice.
Pendant des heures, Ombrage la pressa pour qu’elle lui révèle la raison pour laquelle elle avait été surprise entrain de sortir de son bureau. Et surtout, la femme démoniaque voulait savoir ce qu’il était advenu du dossier perdu. Ginny prétendit qu’elle avait justement vu quelqu’un d’autre sortir avec des documents sous le bras. Comme personne ne parvint à retrouver le dossier, comme personne ne pouvait prouver que Ginny était la voleuse, elle fut relâchée à une heure tardive de la nuit. A peine avait elle recouvré sa liberté, elle se rendit à nouveau au lieu de rencontre de L’AD. La salle était occupée par les membres de leur groupe qui s’entraînaient comme à leur habitude, mais Siegfried n’était plus là, et personne ne l’avait vu. Ginny eu tellement peur de la réaction que pourraient avoir ses amis qu’elle n’osa pas leur parler de sa rencontre avec lui. Elle ne leur dit pas non plus qu’elle lui avait confié un dossier important, ni même que, Siegfried, un serpentard, connaissait l’emplacement, et la méthode d’ouverture de leur cachette.



Le deuxième jour, Ginny chercha partout Siegfried, et ce, toute la journée. Elle essaya de trouver les 2eme année sans relâche, mais chaque fois qu’elle se retrouvait dans une salle de classe remplie de ces élèves, ont lui répondait « non, Siegfried est déjà parti ». Il cherchait manifestement à l’éviter. Elle n’eu ainsi aucune nouvelle de lui jusqu'à la nuit tombante. Là, une chouette lui apporta une lettre, une lettre qui lui intimait de se rendre au saule cogneur le soir même à minuit, une lettre signée Siegfried Léthé.
Le soir même donc, Ginny déjoua la surveillance des préfets afin de retrouver Siegfried en face de l’arbre maudit. Le jeune serpentard était la, assit sur une vieille souche, s’amusant a lancer des pierres sur les branches mouvante du vieux saule.


Siegfried : « J’ai bien cru qu’ils ne t’avaient pas relâché finalement tu sais. »
Ginny : « Ce n’est pas drôle. Tu n’imagines même pas ce que j’ai subis comme interrogatoire. Ton idée était complètement dingue ! »
Siegfried : « Ah non, pardon, tu as tout faux. Je sais très bien ce que tu as vécu puisque ceux qui t’on poursuivit hier se sont vanté de leurs actions en rentrant en salle commune hier. La brigade n’est vraiment pas avare en vantardise tu sais. Et puis, quand à mon idée, elle n’était pas dingue, puisque ça a marché. Il ne t’est rien arrivé, puisque c’était moi qui avais le dossier. Tiens, je te le rends d’ailleurs. »
Ginny : « … Pourquoi… Pourquoi tu fais ça ? Je veux dire… Tu es un serpentard ! »
Siegfried : « J’aime ma maison Ginny. Mais je n’aime pas du tout Ombrage. J’ai un peu visité la salle secrète où tu m’as enfermé, tu n’es pas seule à la connaître n’est ce pas. Il y avait plusieurs chaises… »
Ginny : « … Quelqu’un t’y a vu ? »
Siegfried : « Non, ne t’en fait pas. Quand j’ai compris que vous étiez plusieurs à utiliser cette planque, je me suis dit que tu aurais des ennuis avec tes amis si ils me trouvaient là. Je suis vite sorti, et je suis rentré chez les serpentard. Soit sans crainte, je ne dirais rien à personne, je n’aime pas vraiment me créer des ennemis. Et puis… Vous êtes les ennemis de mon ennemi non ? »
Ginny : « … Pourquoi… Pourquoi je devrais te croire quand tu dis que tu n’apprécies pas Ombrage ? »
Siegfried : « En fait… Tu n’as pas vraiment le choix… Tu peux seulement me croire. Bon, il fait frais ce soir, je rentre dans ma salle commune. Je viens ici tous les soirs tu sais, j'aime bien déjouer la surveillance organisé par Ombrage, juste pour le plaisir de savoir qu’elle n’est pas infaillible. »
Ce soir là, chacun rentra parmi les siens, sans faire d’histoire, mais…


Le 3eme jours, ou plutôt, le soir du 3eme jour, Ginny s’en alla retrouver Siegfried, toujours en face du saule cogneur. Ce soir là, ils parlèrent longtemps. Ginny parla longuement de sa famille, de ses frères, elle lui dit combien ils étaient indélicats avec elle. Siegfried parla peu, il parla très peu du fait qu’il était orphelin, et qu’il n’avait aucune famille lui. Ils échangèrent aussi leur ressentiment sur ombrage et sa façon insupportable de diriger l’école. Enfin, ils se promenèrent au clair de lune avant de rejoindre encore une fois leurs maisons respectives. Ginny trouvait étrange qu’un Serpentard puisse lui paraître si sympathique, si… En accord avec ses propres opinions.


Le 4eme jour, ils se retrouvèrent pour déjeuner ensemble. Très vite, Siegfried prononça des paroles qui troublèrent la jeune Griffondor.

Siegfried : « Tes amis risquent de trouver ça louche, que tu les plaques pour manger avec un serpentard. »
Ginny : « J’pourrais dire la même chose pour les teints. »
Siegfried : « La différence, c’est que moi, je me moque de ce qu’ils peuvent penser, parce que je n’ai rien à leur cacher. »
Ginny : « Qu’est ce que j’aurais à cacher à mes amis moi ? »
Siegfried : « Tu leur as dit que tu avais enfermé un Serpentard dans leur cachette ? Tu leur as dit que c’est moi qui t’ais rendu le dossier avant-hier soir ? »
Ginny : « Euh… Nan… Mais… Je n’ai pas envie de t’éviter… J’aime bien être avec toi. »
Siegfried : « Oui, moi aussi. J’apprécie beaucoup ta présence, ta sincérité, ta gaieté… Je trouve que tu es une fille formidable. Je serais chagriné que tu t’éloignes déjà de moi. »

La griffondor rougit sans retenue en entendant compliments de Siegfried. Les battements de son cœur s’accélérèrent, et elle baissa la tête en souriant.

Ginny : « Siegfried… On se connaît depuis 3 jours, comment peut tu dire des choses pareilles. »
Siegfried : « Ca fait 4 jours en fait, et… Je suis sincère… Tu me reproches d’être sincère ? »

Ils rirent ensemble, et, ils passèrent le reste de la journée ensemble.


Le cinquième jour, Ginny souhaita manger à nouveau avec Siegfried. Elle n’avait toujours pas parlé de lui aux autres membres de L’AD, et pourtant, elle se mit à lui parler de choses… Qu’elle aurait du tenir secrètes.

Siegfried : « Ah bon ! Tout un groupe d’élève ligué contre l’inquisitrice ! Alors… Non non, laisse moi deviner… Le leader c’est… Potter c’est ça ? »
Ginny : « Chuuuuut, pas si fort… C’est un secret. »
Siegfried : « Un secret que tu révèles à un serpentard, tu n’as pas peur de le regretter plus tard ? »
Ginny : « Non, toi tu es gentil, si tu tiens à moi, tu ne nous vendras pas.
Siegfried : « Bien entendu. Du coup, je pense que cela te servira encore plus. »

Siegfried tendit un parchemin à Ginny, mais il lui fit signe de ne pas l’ouvrir.

Ginny : « Qu’est ce que c’est ? »
Siegfried : « Comme je te l’ai dit, la brigade n’est pas avare en parole. Ils parlent tous jusqu'à très tard le soir dans la salle commune. Je me suis douté que tu étais du genre à te balader dans les couloirs la nuit alors… Je les ai bien écouté et… J’ai consigné dans ce parchemin les lieux et les heures de leurs patrouilles. »
Ginny : « Toutes ?! »
Siegfried : « Toutes. »
Ginny : « … Siegfried, pourquoi tu fais ça ? »
Siegfried : « Parce que je serais fâché qu’il t’arrive quelque chose. »


Du coup, le 6eme jour, lorsque l’AD chercha à se déplacer dans les couloirs de Poudlard, il n’y avait pas que Harry avec sa carte des maraudeurs qui savait ou mener ses pas. Ginny aussi, grâce au parchemin de Siegfried, savait exactement où se trouvait la brigade, et où elle ne se trouvait pas.


C’est ce qui motiva les paroles de Ginny le 7eme jour, alors qu’elle avait rejoint Siegfried devant le saule cogneur pour la 3eme fois. Elle prenait beaucoup de plaisir à retrouver Siegfried à une heure avancée de la nuit. Il était Si gentil, si mystérieux, et ce, sans lui avoir jamais rien demandé.

Siegfried : « Quoi ?! Tu veux que je rejoigne ton groupe ? »
Ginny : « Oui, nous nous sommes baptisé l’Ad, ça veut dire l’armée de Dumbledor. Avoir un allier Serpentard serai une force importante pour nous. Je suis sure que mes amis seraient d’accord. »
Siegfried : « Donc, tu ne leur a pas encore parlé de moi. »
Ginny : « … Demain nous nous réunissons. Retrouve moi devant le mur de l’autre jour. Je te présenterais. Je… J’aimerais vraiment beaucoup que tu nous rejoignes, j’aimerais… »

Leurs visages s’étaient retrouvés si proches tout à coup… Ginny s’arrêta de parler, pensant qu’il allait l’embrasser. Il était plus jeune qu’elle, mais il était si mystérieux, si sur de lui, si gentil… Mais il ne fit rien. Il se releva en lui souriant.

Siegfried : « Aller, nous devrions rentrer maintenant. Sinon, demain soir nous serons épuisés, et je ne vois pas comment on pourrait se retrouver où que ce soit. »

Il la prit par la main pour retourner au château, et, Ginny s’endormit, excitée à l’idée de présenter un nouveau membre à L’AD.


Mais le 8eme jour, Siegfried ne se présenta pas comme elle le lui avait demandé. Il ne fut pas présent au rendez vous. Elle pensa qu’il avait pu avoir peur. Elle n’en parla pas à ses amis.


Et finalement, le 9eme jour, elle le retrouva à l’heure du déjeuner.

Ginny : « Bonjours Siegfried… Euh… Tout va bien… »
Siegfried : « Bien sure, pourquoi cette question ?! Assieds toi. »
Ginny : « Mais… Hier soir, tu devais… Tu sais bien… »
Siegfried : « Ah, c’est ça qui te tracasse. »
Ginny : « Ben, oui, je dois dire, ça joue un peu oui. J’avais espéré te voir avec nous. Ca m’aurait fait tellement plaisir de t’accueillir parmi nous. Tu n’as pas envie de me voir tous les soirs toi aussi ? »
Siegfried : « Non, plus maintenant. »
Ginny : « … Quoi… »
Siegfried : « Tu m’as très bien entendu. »
Ginny : « … Mais… Mais enfin qu’est ce que tu m’chantes la… »
Siegfried : « Tu sais Ginny, une fois l’âme dévorée, l’incube se désintéresse de la jeune fille pure. Tu m’as divertit, cela a duré un temps. Mais désormais… »
Ginny : « Mais… et tout ce que tu me disais ! Que nous étions amis, que tu tenais à moi ! »
Siegfried : « Ginny, Ginny, tu as entendu ce que tu as bien voulu entendre. J’ai juste dit que vous étiez l’ennemi de mon ennemi, de là à être amis, il y a un pas. Et… lorsque je te disais que je tenais à toi, je ne mentais pas. Tu me divertissais. Je t’ai donné de quoi déjouer la brigade, et maintenant, je n’ai plus qu’à vous regarder vous entredéchirer. Ca s’arrête ici pour nous deux. »

Ginny voulu lui répondre, mais d’un mouvement vif, il l’embrassa avant de se reculer tout aussi vite. Il se leva, et lui tourna le dos pour s’en aller.

Ginny : « Pourquoi… Pourquoi… Tu as fait ça ? Pourquoi maintenant ? »
Siegfried : « C’était ton souhait Ginny, pas le miens. C’est à toi que tu devrais poser cette question. »

[i]Siegfried et Ginny ne s’adressèrent plus jamais la parole a partir du 10eme jour. Siegfried ne trahit cependant jamais les secrets que Ginny lui avait confiés, il ne trahit jamais la confiance qu’elle lui avait confiée non plus. C’est bien ce qui rendit cette histoire plus douloureuse pour elle. Elle ne pu jamais remplacer l’amour éphémère qu’elle avait eu pour lui par de la haine ou de la colère. Siegfried leur avait fait un cadeau inestimable en la sauvant, en l’aidant à obtenir des informations capitales pour L’ad… Siegfried n’était pas un traître, il n’était pas un ennemi, il était juste… Indifférent...
Comme l’indifférence pouvait être douloureuse…


Les membres de l’AD ne surent jamais rien de toute cette histoire. [/i


Dernière édition par Siegfried Léthé le Sam 27 Fév - 10:34, édité 16 fois
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Ξ Sujet: Re: [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25)   [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25) EmptyMer 27 Fév - 16:47

Titre : Le baiser du vampire
Couple : Siegfried Léthé/ Rita Skeeter.
Personnages concernés : Uniquement Siegfried et Rita
Rating (G, PG, PG-13, R, NC-17) : G
Thème (numéro et nom) : 24. Bonne nuit
Tomes concernés (au delà de l'année en cours ?) : Entre le 4 et le 5
Cadre (époque et lieu si besoin) : Les grandes vacances

__________________________________

Le baiser du vampire


Rita Skeeter était maîtresse dans l’art de la désinformation, des subterfuges, et des ruses. Et surtout, son talent le plus apprécié, c’était qu’elle savait exactement ce que voulaient lire les gens. Elle prenait un malin plaisir à collecter les informations, puis à les déformer. Elle les déformait, juste un peu, le strict nécessaire pour que ce qu’elle racontait soit en accord avec ce que le peuple voulait lire.
C’est ce talent naturel à déformer la réalité qui avait valu à Rita Skeeter d’être l’une des meilleures journalistes de la gazette du sorcier. C’est aussi ce qui lui valu d’être piégée par de simples élèves à l’issus de la coupe des 3 sorciers. Elle avait été piégée par cette petite pimbêche d’Hermione !! Cette maudite griffondor !! Cette saleté, cette pourriture de… Non, inutile de s’énerver. Elle avait juste promis de ne plus rien écrire pendant 1 an. Ne rien écrire, sinon… Son secret d’annimagus serait révélé.
C’était donc avec une certaine rancœur que l’été avait commencé pour la journaliste, mais toute sa colère et toute sa haine avaient été apaisées par une bien étrange consolation. Une consolation qui s’appelait Siegfried Léthé.
Le jeune gardon était venu la trouver dans la chambre qui lui avait été prêtée à Poudlard alors qu’elle rangeait précipitamment ses affaires pour quitter ce château maudit après la fourberie d’Hermione. Siegfried avait manifesté son admiration pour elle, son esprit vivace, sa plume délicate, et son talent… Il s’était présenté à elle avec une tasse de thé. Un thé… Délicieux… Délictueux même… Elle lui avait proposé de passer l’été chez elle, comme assistant. Siegfried avait accepté.
Evidement, Rita cherchait plus un larbin qu’un assistant.

Tous les jours, Siegfried tenait en ordre la maison de Rita, et lui servait son thé succulent, pour lequel il gardait tous ses secrets... Il lui servait une tasse de ce thé le matin au réveil, pour 16h, et pour l’heure du coucher. Et chaque fois, avant qu’elle se retire, il la prenait par la main, y déposait un baiser en mettant un genou au sol, et il lui disait. « C’est un grand bonheur pour moi de dormir sous le même toit que la plus grande de toutes les journalistes. Que mon thé vous apporte réconfort et énergie pour reprendre vos écrits. Bonne nuit Madame. »
Rita se grisait à l’idée de posséder un petit esclave personnel, un esclave volontaire, et qui avait la langue si bien pendue. Peut être le reprendrait elle à son service l’été prochain ? Voir même pour les prochaines vacances scolaires… Lui au moins il avait su reconnaître sa valeur !!! Mais comme Cette satanée Hermione granger.


Cela faisait 2 semaines que Siegfried vivait chez Rita. Ce matin là, Rita Skeeter se réveilla fatiguée, épuisée, comme vidée de ses forces. Elle avait écrit avec sa plume magique jusqu'à une heure avancée de la nuit. Oui, elle écrivait. Oh, rien qui ne pourrait paraître dans l’immédiat, elle ne voulait pas que miss granger révèle son secret aux autorités, mais dès que le délais d’un ans serait passé, elle pourrait vendre tout ce qu’elle aurait écrit pendant 365 jours. Cependant, ses écrits nocturnes n’étaient pas la seule raison de sa fatigue. Elle avait fait des cauchemars toute la nuit. Elle avait rêvé qu’un monstre rodait autour de son lit, et venait lui prendre son énergie. Elle s’installa tant bien que mal à la table de son salon, Siegfried était déjà levé, et le thé était déjà prêt.


Siegfried : « Vous êtes enfin levée madame. »
Rita Skeeter : « Oh, je suis épuisée mon petit. Je ne sais pas ce que j’ai attarpé, ou ce que j’ai mangé mais… Oh, je donnerais tout ce que j’ai pour pouvoir passer une nuit tranquille, je passe des nuits affreuses en ce moment, et j’ai mal à la tête… OOOh… Que fais tu là mon garçon. »
Siegfried Léthé : « Il est déjà 10H30 madame, je vous ai préparé votre thé. »

10H30 !!! Elle avait dormit si tard ! Tout en s’étonnant de son heure de levé si tardive, elle bue une gorgée du breuvage que lui offrait Siegfried. Presque instantanément, elle se senti mieux. Le goût était tellement sucré, tellement doux… Si bon… Elle avait l’impression de boire du… du… De boire du nuage… Sa douleur passait déjà, et elle se sentait plus énergique…

Rita Skeeter : « Aaaaaah, Heureusement que tu es la mon petit… Sans toi je ne sais pas ce que je deviendrais, c’est le pire été que j’ai jamais connu. Enfin… Non, toi, tu es la seule chose agréable qui me soit arrivé cet été. Allons, dis moi, comment prépare tu ton thé. »
Siegfried : « Ca madame, c’est un secret. De toute façon, vous vous moquez de ce qu’il y a dedans, du moment, que cela vous apaise. »
Rita Skeeter : « Ooooh, comme tu as raison mon petit. Heureusement que tu es là. Bon, je vais me préparer, je dois travailler encore aujourd’hui. »
Siegfried : « Je vais débarrasser madame, et je vais préparer moi même votre déjeuner. C’est un plaisir de vous servir. »

Toute la journée durant, Rita écrivit, ne se reposant que pour manger, boire, se faire masser par son petit esclave, et… Lorsque l’heure du coucher vint enfin, et qu’elle eu bue son thé, Siegfried lui prit la main comme à son habitude pour y déposer un baiser.

Siegfried : « J’espère que vous passerez une bonne nuit ce soir madame. Le monde attend vos écrits avec impatience. »
Rita Skeeter : « Ton thé m’a fait beaucoup de bien mon petit, je sens que je vais passer une très bonne nuit. »


Mais… ce ne fut pas le cas. Elle rêva carrément qu’un vampire venait lui sucer le sang cette fois ci. Elle se réveilla en sueur, et… Sans comprendre pourquoi, ses draps étaient tachés de toutes petites traces de sang. Ses bras étaient marqués de plusieurs petites piqûres éparses.

Rita Skeeter : « Oh non, des moustiques… Je pensais pourtant avoir dressé un sortilège pour me protéger de ces sales bestioles. »

Le réveille était une fois de plus difficile. Elle se tira hors du lit avec peine, et trouva sa plume qui était tombée par terre. Tient… Elle se souvenait pourtant de l’avoir posée sur son bureau avant de se coucher. Siegfried était-il venu fouiller durant son sommeil ? Elle lui posa la question durant le petit déjeuner. Un petit déjeuner à base de thé à la Siegfried bien sure.

Siegfried : « Non madame, je ne me permettrais pas de fouiller dans vos affaire. De toute façon, vous fermez toujours à clef votre chambre, comment pourrai-je venir pendant votre sommeil ? »
Rita Skeeter : « Oui, oui bien sure, tu as raison. Aaaaah, je ne sais pas ce que j’ai. Je m’endors apaisée, mais je passe de mauvaises nuits, et je me réveille épuisée, abattue, j’ai mal à la tété, et aux muscles. Heureusement que tu es là pour me faire ton thé délicieux. »
Siegfried : « Je ne suis ici que pour votre plaisir madame. »
Rita Skeeter : « Tu m’aides toujours à lutter contre ma détresse mon petit. »
Siegfried : « Quelque soit la cause de cette détresse madame. Encore un peu de thé ? »
Rita Skeeter : « Oui, s’il te plait. »

La journée passa très lentement pour Rita. Etait-elle malade ? Chacun de ses gestes devenait lent et pesant. Respirer même devenait un effort. Son seul réconfort, elle le trouvait grâce à Siegfried, grâce à ses attentions, et grâce à son thé. Et une fois la nuit venue, toujours suivant le même cérémoniale, Siegfried baisa la main de la journaliste.

Siegfried : « Je vous souhaite une bonne nuit madame. Je suis convaincu que cette nuit… Sera inoubliable pour vous. »


Inoubliable oui… Mais pas du tout réconfortante. Cette fois ci, Rita rêva que Siegfried lui même était un vampire, qui venait jusqu'à elle, et la vidait de toute son énergie, de tout son sang. Il lui mordait le bras, elle se débattait, et se débattait, mais ne parvenait pas à lui faire lâcher prise. Elle se réveilla encore une fois en nage, et elle senti qu’on venait de la piquer juste au dessus du coude. Elle portât son regard vers l’origine de la douleur et… Elle vit… Sa plume… Sa plume magique était plantée sous sa peau, et aspirait son sang. La seconde suivante, la plume se retira, et se planta à nouveau avec force, plus profondément. Rita poussa un cri plus motivé par l’horreur que par la douleur. D’un revers de la main, elle repoussa l’objet magique, et sortit de sa chambre avec frénésie. Elle s’effondra sur le canapé de son salon baigné dans l’obscurité. Siegfried était déjà levé, il attrapa la plume qui poursuivait sa propriétaire et l’isola sous une cloche de verre.

Siegfried : « Est-ce que tout va bien madame. »
Rita Skeeter : « Oh, Quel horreur, elle m’a attaqué, ma plume m’a attaqué, regarde ! Elle me pique les bras depuis des nuits !!! C’est pour ça que je faisais tous ces cauchemars. Oh, mon petit, garde la loin de moi… Oooooh, mais quel enfer… Mais… Que fais tu là mon petit, à cette heure ci ? »
Siegfried : « Madame, il est midi passé. »

Le jeune garçon tira les rideaux et une lumière vive envahit la pièce. Rita en fut éblouit, et du se cacher les yeux pour atténuer la douleur qui lui était infligée. Elle commença à avoir mal à la tête. Siegfried s’assit en face d’elle, dans un fauteuil, et posa une boite métallique sur la table.

Siegfried : « Je voulais vous faire une surprise ce matin, madame. »
Rita Skeeter : « Ooooh, non mon petit, ça n’est vraiment pas le moment. »
Siegfried : « Je voulais vous dire le secret de mon thé Madame. Oh, pas la peine de prendre des notes, c’est très simple en fait. C’est un thé ordinaire Madame. Un thé auquel j’ajoute un élément particulier. Une quantité non négligeable d’une puissante drogue. C’est pour ça que vous vous sentez si bien lorsque vous en buvez. »
Rita Skeeter : « Mais mais… tu es fou ! Je risque de devenir dépendante à cette drogue si tu continues !! »
Siegfried : « Mais, vous êtes déjà dépendante. C’est pour cela que vous passez de mauvaises nuits. Le temps qui sépare votre coucher de votre lever est trop long, et votre corps ne le supporte pas. Dans la journée, je prends garde à ce que vous preniez bien votre dose. Et vous savez ce qui est le plus drôle ? »

Rita ne parvint pas à dire le moindre mot. Elle était fatiguée, elle avait mal à la tête, et elle était effrayée. Son petit esclave s’était joué d’elle.

Siegfried : « Le plus drôle, c’est que j’ai plongé votre plume magique dans ce thé, et, il semblerait que la drogue ait eu un effet sur elle. Elle aussi est devenue aussi dépendante de vous. Tous les soirs, je mettais un peu de thé sur mes lèvres avant de vous baiser la main. De fait, j’en ai déposé tous les soirs sur votre peau, et, durant la nuit, votre plume était attirée par les odeurs de thé et de drogue qui s’en dégageait. Oh, mais maintenant, elle n’a plus besoin de mon aide, elle sait où se trouve sa dose… Dans vos veine, votre sang… On peut dire qu’elle vous a dans la peau. Ne vous en faites pas pour moi, j’ai bien fait attention de ne pas avaler ma salive avant de mettre nettoyé les lèvres. »
Rita Skeeter : « Tu… Tu… Tu es un monstre ! »
Siegfried : « Oh, pas un monstre, un démon. Mais un démon en position de force. Le monstre est visible à des kilomètres, alors que le démon s’insinue en vous, et frappe sans que vous vous en rendiez compte. Vous connaissez bien cela. Apres tout… vous aussi vous êtes un démon… C’est vous qui avez écrit ces pages indignes sur Harry Potter, sur ses amis… Vous vous êtes nourrie de ses drames pour… Vous enrichir. Sauf que maintenant, dès que vous voudrez utiliser votre plume, elle viendra vous piquer pour avoir sa dose. Je vous ai privé de votre outil de méfait. »

Siegfried ouvrir la boite métallique qu’il avait déposé, on pouvait y voir plusieurs sachets alignés, et numérotés.

Siegfried : « En fait, pour pouvoir réutiliser votre plume, vous devrez vous débarrasser de toute la drogue qui est en vous, mais ça ne sera pas facile, maintenant que vous êtes dependante. Alors je vous ai préparé ceci. Il y a 365 sachets de mon thé spécial dans cette boite. Chaque sachet contient de quoi vous servir 3 tasses par jours. Les doses de drogue sont de moins en moins importantes au fur et à mesure que les chiffres augmentent. Ainsi, vous pourrez vous sevrer pendant 1 an. Et à ce moment la seulement, vous pourrez réutiliser votre plume magique. »
Rita Skeeter : « Mais… Mais… Mais depuis quand un Serpentard est il l’ami de Potter et de sa bande ! »
Siegfried : « Je n’aime pas Potter. Je le trouve même insupportable avec ses belles paroles, et ses bonnes intensions. Mais vous, vous êtes une adulte qui a profité de son pouvoir pour se jouer d’un enfant. Pour cela, je vous détesterais toute ma vie. Les adultes comme vous devraient disparaître. »

Rita Skeeter voulu frapper Siegfried, mais ses gestes étaient maladroits, et elle renversa la cloche de verre sous laquelle était piégée la plume. L’objet magique, complément ensorcelé par la drogue de Siegfried piqua piqua et piqua encore la journaliste qui se défendit en agitant les bras autour d’elle. Siegfried se leva calmement, passa par la chambre de Rita et sorti de l’appartement en emportant avec lui tous les écrits qu’elles avaient rédigé depuis la fin de la coupe des 3 sorciers. Il rencontra une voisine en quittant la demeure.

Voisine : « Siegfried, j’ai entendu Rita crier, tout va bien ? »
Siegfried : « Oui oui, Elle s’est juste piquée avec sa plume, ne vous en faites pas. »
Voisine : « Pauvre Rita, elle a l’air épuisée depuis la coupe des 3 sorciers. Elle n’a plus rien publié depuis. »
Siegfried : « Oui la pauvre… Mais là… Je pense qu’elle va passer une bonne nuit. Les 365 prochaines nuits seront inoubliables pour elle. »

Satisfait d’avoir pu se jouer ainsi de cette vieille harpie…
Siegfried sourit.


Dernière édition par Siegfried Léthé le Jeu 4 Juin - 17:42, édité 4 fois
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Ξ Sujet: Re: [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25)   [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25) EmptyMer 27 Fév - 22:15

Titre : La révélation
Couple : Siegfried Léthé/ Jack Chandlers
Personnages concernés : Uniquement Siegfried et Jack
Rating (G, PG, PG-13, R, NC-17) : Entre G et PG
Thème (numéro et nom) : 5. « J’ai quelque chose à te dire… »
Tomes concernés (au delà de l'année en cours ?) : 5eme volume.
Cadre (époque et lieu si besoin) : Vacances de noël, chez Jack.

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La révélation



Siegfried passait ses vacances chez Jack. Les 2 garçons s’étaient liés d’une drôle d’amitié dans le sens ou Jack était devenue plus ou moins l’animal domestique de Siegfried. Mais ce soir là, dans la chambre du poufsoufle, tout allait basculer.

Jack : « Siegfried, j’ai quelque chose à te dire. »
Siegfried : « Moi aussi, j’aimerais dormir tu sais, il est tard. »
Jack : « C’est important. »
Siegfried : « Nan nan, écoute moi, le baiser, et la scène de cul, c’est à la fin de l’histoire. »
Jack : « Justement, c’est de ça que j’veux parler. »
Siegfried : « De quoi ? De la fin de l’histoire ? »
Jack : « Non, du baiser, et tout le reste… »
Siegfried : « Les baisers et le sexe, ça se fait avec les lèvres, pour la pratique, trouve toi une copine. »
Jack : « Tu n’as jamais envisagé de dépasser une relation d’amitié pour explorer de nouveaux horizons, pour apprendre à avoir une relation plus profonde avec… »
Siegfried : « Oui, euh… Non, euh… écoute, ce que tu vas faire en fait c’est que… Tu ne vas pas terminer ta phrase… »
Jack : « Non, mais écoute, tu es tellement mignon comme garçon. Tu es si mince, si délicat, plus féminin que les trois perfectes de Serpentard réunies ! »
Siegfried : « Euh… Jack… Tu commences à me faire flipper léger là… Hey ! Depuis quand tu es entré dans mon lit ?! »
Jack : « Vient là, mon beau Serpentard, aaaaaaaah… »

Jack embrassa Siegfried avant que le Serpentard ne puisse réagir. Et soudain…
Siegfried se réveilla… Dans son lit… Il était seul dans son lit, et tout était éteint dans la chambre. Jack était dans l’autre lit. Siegfried agitait les bras devant lui pour luter contre le songe de Jack, et il criait. C’était juste un cauchemar. Un cauchemar horrible pour un petit macho
.

Siegfried : « AaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaAAAAHHHHHH ! »
Jack : « Siegfried ! Qu’est ce qui t’arrive ?! »
Siegfried : « Aaaaah ! Naaaan ! »
Jack : « Pardon, j’t’ai fait peur ? »
Siegfried : « Ne m’approche pas !!! N’essaie même pas de m’tirer ! »
Jack : « Te tirer ? »
Siegfried : « Euh… Dessus… Me tirer dessus… Tu me fais peur avec ta baguette pointée sur moi la… Eteints ton lumos. »
Jack : « Siegfried, vraiment, j’ai quelque chose à te dire. »
Siegfried : « Quoi quoi, ça va pas recommencer !! »
Jack : « Faut vraiment que tu fasses moins de bruit quand tu dors. Il est tard, boucle la un peu. »

Jack éteints son lumos, et se cacha sous ses couvertures pour se rendormir dans son lit. Siegfried s’allongeât sur le dos en repensant au rêve qu’il venait de faire. La honte… Il remonta les draps jusqu'à son visage en fixant le plafond avec des yeux exorbités d’inquiétude… Et soudain… L’évidence frappa son esprit… et il murmura :

Siegfried : « Faut que j’me trouve une copine… »


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Ξ Sujet: Re: [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25)   [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25) EmptyDim 16 Mar - 17:46

Titre : Aveugle
Couple : ? Siegfried ?/ Heaven
Personnages concernés : Siegfried, Heaven, et ? Siegfried ? (Plus quelques figurants payés au rabais)
Rating (G, PG, PG-13, R, NC-17) : g
Thème (numéro et nom) : 23 : Bonbon
Tomes concernés (au delà de l'année en cours ?) :5eme volume.
Cadre (époque et lieu si besoin) : Un bal en cours d’année, mais avant le renvoie des jumeaux Wesley.

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Aveugle



Combien de fois vous êtes vous tordue le pied dans la rue sans que personne ne s’aperçoive que vous vous étiez fait mal ? Combien de fois êtes vous passées devant une de vos idoles pendant un concert sans quelle vous remarque? Combien de fois avez-vous rencontré un garçon en classe que vous trouviez spécial, mais qui ne connaissait même pas votre existence ? Les humains, et en particulier les filles, ressentent le besoin d’être aimés, mais ces mêmes humains, et en particulier les garçons, sont particulièrement aveugles.
La nature les a pourtant doté du sens de la vue. Ils s’observent, leurs regards se croisent mais ils ne se voient pas. Ou du moins, ils ne voient pas l’essentiel, l’important, le primordial.
Et qu’est ce qui est important lorsqu’il vous regarde ? Que vous l’aimez ? Que vous êtes belle ? Que vous voudriez qu’il vous témoigne un peu plus qu’une simple amitié ? Choisissez vous-même l’objet de votre frustration, il s’en moque. Il s’en moque parce qu’il n’imagine même pas à quel points ça vous dévore de l’intérieur toute cette indifférence. Et si il était au courant ? Cela changerait il quelque chose ? Ou alors se montrerait il encore plus indifférent vis à vis de votre détresse ?

Heaven Clarks se posait toutes ces question dans la salle commune des Serpentards. Elle ne faisait pas vraiment parti de ces filles fragiles qui sanglotaient dans leur lit en pensant au prince charmant. Elle était encore jeune, mais son physique la rendait déjà attirante et séduisante, les garçons se tournaient sur son passage, et manifestaient leur admiration pour elle. Elle prenait un malin plaisir à ne leur laisser aucune chance, sans pour autant leur faire perdre espoir. Cela lui donnait une sorte de pouvoir sur eux, et Heaven aimait cela. Elle était belle, talentueuse, riche… Elle avait tout pour elle.
Alors pourquoi lui ne s’intéressait il pas à elle ? Siegfried… Le jeune serpentard fréquentait régulièrement Heaven, ils s’entraînaient ensemble pour l’équipe de quiditch, comme ils n’avaient qu’un an d’écart il leur arrivait même de travailler de concert, mais jamais, au grand jamais, Siegfried n’avait manifesté pour elle l’admiration qu’elle était en droit d’attendre. Il semblait parfaitement indifférent, ce qui agaçait passablement la jeune Clarks.
L’agacement s’était changé en colère, la colère en esprit conquérant, l’esprit conquérant en affection.
Cet après-midi là, il était assit dans l’un des fauteuils de la salle commune, il bavardait avec d’autres Serpentards de la soirée spéciale qu’avaient proposé les jumeaux Weasley. Il tenait dans ses mains un bonbon empaqueté, avec une inscription : « Siegfried Léthé : Bonbon-polynectar : Fabrication spéciale des jumeaux Weasley. N° de série 103 »


Siegfried : « Les Weasley… Parfois je regrette qu’ils soient pas serpentard ces 2 là, ils ne sont jamais à court d’idée. »
Heaven : « De quoi est ce que vous parlez ? »

Elle était intervenue dans la conversation de manière inopinée. Certains garçons sur les canapés se poussaient déjà pour lui faire une place auprès d’eux, mais elle choisit de s’installer sur une simple chaise, et elle s’amusa en lisant la déception sur leurs visages. Siegfried sourit toujours sans manifester la moindre attirance pour elle.

Siegfried : « Les jumeau Weasley font ces bonbons depuis ce matin. Ils ont trouvé un moyen de faire des bonbons à base polynectard alors, si tu vas les voir, tu leur donnes un de tes cheveux, et ils te font un bonbon à ton nom. »
Heaven : « Wouahhh, mais c’est trop fun ça, un bonbon à ton nom. Ils personnalisent aussi les baguettes magiques ? » Répondit elle d’un ton sarcastique. Siegfried ricana subtilement et poursuivit.
Siegfried : « Idiote, c’est pas le nom qui est sur le papier qui est amusant, c’est l’effet produit par ce qui est à l’intérieur. Si tu manges mon bonbon, tu prendras mon apparence. Alors ils ont eu une idée amusante. Il y a une soirée ce soir après le dîner dans la grande salle. Pour y entrer tu dois juste déposer ton bonbon personnel dans une urne. Une fois tout le monde arrivé, on sort tous, en reprenant un bonbon au hasard dans la même urne, on part se cacher pour changer de forme, et on revient. »
Heaven : « Mais, c’est naze ! Ca sert à rien d’aller à ne soirée si on a pas notre véritable apparence, personne ne pourra nous reconnaître. »
Siegfried : « C’est justement ça qui est amusant. C’est comme… Un bal masqué… Personne ne saura vraiment à qui il a à faire. »

L’idée n’avait pas vraiment séduite Heaven qui était déjà parfaitement satisfaite par son apparence. Elle ne voulait pas que quelqu’un d’autre ait son physique même pendant une soirée, et elle ne voulait pas non plus prendre l’image d’une mocheté même pour quelques heures… Mais l’enthousiasme, et la motivation de ses camarades réussirent à la convaincre. Elle s’en alla donc voir les jumeaux Weasley pour faire fabriquer son bonbon personnel à base de polynectard.

Le dîner eu lieu, et prit fin… La soirée commença comme Siegfried l’avait annoncé. Les élèves étaient invités à entrer dans la grande salle en déposant au préalable leur bonbon personnel dans une urne géante qui était comme un grand chaudron avec écrit dessus « les bonbon Weasley, les bonbons pour vous amusey ». Tout le monde savait que les jumeaux avaient pour ambition d’ouvrir une confiserie magique après la fin de leurs études, et en vérité, il avait suffisamment de talent pour ça. Une fois tous les élèves arrivés, Fred et George invitèrent leurs camarades à ressortir en prenant bien soin de rependre un bonbon au hasard dans l’urne. Heaven pria pour tomber sur un nom potable…. Elle parti se cacher aux toilettes pour changer son apparence. Elle avala le bonbon d’un coup, elle eu mal aux os, mal à la peau… La douleur dura quelques secondes, et lorsqu’elle sortit, elle vit son reflet dans le miroir.

Heaven : « Pansy parkinson… Mouais… J’aurais pu tomber plus mal… »

Avoir l’apparence de pansy parkinson était sans doute le moindre mal qui pouvait lui arriver. Elle était relativement belle, relativement classe, relativement séduisante… Dommage qu’elle soit blonde, enfin, on ne peut pas tout avoir.

Une fois de retour dans la grande sale, Heaven découvrit des scènes particulièrement amusantes. Harry Potter était entrain de plaisanter avec Drago Malfoye, un couple Ginny/longdubas s’affichait ouvertement, mais le must, le must du must, c’était un couple Crabe et Goyle qui démontraient qu’ils étaient capables de compter au delà de 11, et sans les mains. Les élèves avaient joué le jeu, et visiblement, ceux qui avaient pioché l’apparence d’un camarade célèbre s’amusaient à détourner cette célébrité. Elle se mit en quête de son capitaine en espérant le reconnaître à son attitude froide et cynique et ce quelque soit l’apparence qu’il aurait piochée. Mais ça n’était pas aussi simple. Chaque fois qu’elle apercevait un de ses amis, elle devait faire un effort mental pour se rappeler qu’il s’agissait d’un autre élève avec l’apparence de cet ami. Retrouver Siegfried dans tout ce chaos était impossible, autant chercher une aiguille dans une botte de foin. C’est là qu’eu lieu un demi miracle.

Siegfried se présenta à elle. Enfin, Siegfried… L’élève qui avait pioché le bonbon de Siegfried… Même si il en avait l’apparence, il ne pouvait pas avoir la moitié de sa classe, ni de sa prestance. Le faux Siegfried s’avança, et la salua… Heaven chercha à se rassurer en se rappelant qu’elle avait l’apparence de Pansy parkinson
.

? Siegfried ?: « Bonsoir Pansy Parkinson. J’ai toujours rêvé de pouvoir vous approcher sans me faire gifler »
Heaven : « Oh la la, le boulet… Euh… Oui oui, et bien… Peut être que moi je pourrais t’en coller une baffe si tu veux. »
? Siegfried ?: « Oh non, non, s’il te plait, j’ai rien fait pour. Je voulais juste t’inviter à danser. »
Heaven : « Oh la la, le pécore… Tu veux dire que tu voulais inviter pansy parkinson à danser. »
? Siegfried ?: « Euh... Oui, enfin… Tu as son apparence ce soir, alors pour moi c’est pareil. »
Heaven : « Pff, au secours… Bon, euh... D’accord, si tu veux, mais juste une danse. »

Pourquoi avait elle accepté ? Probablement par désoeuvrement, ou simplement parce qu’elle espérait que ce naze la lâcherait après avoir dansé. Ou alors pour le simple plaisir de croire danser avec le vrai Siegfried ? Le naze en question était plutôt bon danseur, tellement bon qu’elle lui accorda une seconde, et une troisième danse… La 4eme était beaucoup plus douce que les 3 précédente, et le pseudo Siegfried en profita pour embrasser délicatement Heaven en profitant du fait que la tigresse avait baissé sa garde. Heaven réagit en le repoussant, et en le giflant.

Heaven : « Hey la coco, c’est pas parce qu’on sait pas qui on est vraiment que tu dois te sentir tout permis ! »
? Siegfried ?: « Désolé, désolé, je pensais juste… Que ça te ferrait plaisir. »
Heaven : « Ecoute, déjà dans la vrai vie, je laisse pas n’importe qui me toucher. Mais alors si je ne sais pas qui me touche pour de vrai, c’est même pas la peine d’espérer. »
? Siegfried ?: « Peut être que dans la vraie vie, tu aurais accepté un de mes baisers. »
Heaven : « Ca reste à voir ça, y en a bien un qui aurait eu sa chance ce soir, mais il est aveugle et borné. »
? Siegfried ?: « Et c’est qui ? Dis le moi, c’est peut être moi ? »
Heaven : « Ah non, ça, aucune chance. Oublie moi. »

Heaven quitta la grande salle en rageant, comment un pseudo Siegfried avait il pu osé l’embrasser comme ça. Passe encore que son capitaine ait voulu tenter sa chance, elle aurait pu y trouver un certain plaisir, mais pas avec cet espèce de… Crétin profiteur. Elle aurait mieux fait d’en rester à son premier avis, et de ne pas venir à cette soirée.

Le lendemain, heaven était toujours un peu énervée par ce qui était arrivé la veille. Elle avait retrouvé son vrai visage, et sa vraie couleur de cheveux. Tous les élèves avaient retrouvé leur apparence d’ailleurs. Certains se vantaient d’avoir pioché un bonbon qui leur avait donné le visage d’un camarade notable, d’autres préféraient garder secret leur déguisement magique. Elle croisa Siegfried qui faisait face à la cheminée avant de partir en cours.

Heaven : « Hey Cap’tain, déjà levé ? »
Siegfried : « hum… Ah oui… J’ai des choses à finir avant d’aller en cours moi. Tu pars déjà ? »
Heaven : « Je voudrais prendre de bonne places, je t’en garde une ? »
Siegfried : « Oui, tu n’as qu’à faire ça. Tu t’es bien amusée hier ? »
Heaven : « C’était l’enfers. Par pitié, ne m’entraîne plus jamais dans un plan pareil. J’ai cru mourir de honte. »
Siegfried : « Pourquoi ça ? Raconte moi. »
Heaven : « Euh… Nan, ça me regarde c’est tout. Toi tu t’es amusé au moins ? De qui as-tu pris l’apparence ? »
Siegfried : « Se-cret. De toute façon, tu n’y croirais pas. »

Heaven haussa les épaules et prit la direction des salles de cours agacée une fois de plus que son capitaine se montre à ce point distant avec elle. Une fois seul, Siegfried plongeât la main dans sa poche, et en sorti un bonbon empaqueté avec écrit « Siegfried Léthé : Bonbonpolynectar : Fabrication spéciale des jumeaux Weasley. N° de série 103 ». Il jeta le bonbon au feu.

Siegfried : « Aveugle…aveugle et borné hein… »


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Ξ Sujet: Re: [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25)   [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25) EmptyLun 31 Mar - 9:49

Titre : Le langage des fleures
Couple : Siegfried Léthé/ Drago
Personnages concernés : Siegfried Drago et sa femme Heaven, ils ont la vingtaine.
Rating (G, PG, PG-13, R, NC-17) : G
Thème (numéro et nom) : 11. Fleur
Tomes concernés (au delà de l'année en cours ?) : Au delà du 7
Cadre (époque et lieu si besoin) : Heaven est mariée a Drago, Siegfried n’a personne et ne cherche personne, il rend visite au couple.

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Le langage des fleures
[DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25) Laurier_1


Certaines relations se lient, et d’autres se délient sans que l’on sache pourquoi. De la même façon, certains êtres s’attirent l’affection des autres sans le vouloir, tandis que d’autre, s’attirent les pires des malédictions.
Siegfried Léthé avait toujours fuit les contacts humains prolongés. Aussi bien physiquement que moralement. Etre l’ami de Siegfried signifiait qu’on avait quelque chose qui puisse lui être profitable. Et les contacts physiques rapprochés que Siegfried avait eu, c’était toujours pour parvenir à des fins personnelles. Comme il était difficile d’aimer pour lui… L’être humain était solitaire, c’était écrit dans sa nature.
Drago Malfoye, au contraire, brillait par son aisance à tisser des liens avec ses paires. Il croyais au pouvoir du sang et a l’importance de l’influence familiale. L’être humain n’était rien si il n’avait pas pour lui un héritage ancestrale solide. Nombre de sangs purs partageaient ses idées, c’est ainsi qu’il avait réussit à mettre dans sa maison Madame Heaven Malfoye, riche héritière de la famille Clarks.
Cette union avait été célébrée peu de temps après la fin de leurs études, et elle avait été accueillie chaleureusement par le monde des sorciers. Tous 2 étaient serpentard, tous 2 étaient riches, tous deux avaient un nom célèbre, et tout deux étaient dévorés d’ambition. En fait, c’était un mariage parfait, liant 2 êtres parfaits qui se ressemblaient tellement qu’il était inimaginable qu’ils puissent trouver meilleur parti.

Cela faisait plusieurs années désormais que ces deux êtres étaient liés, et Siegfried eu l’envie de revoir ses deux anciens camarades. Et comme sa nature l’y poussait, il allait semer le trouble dans leur foyer. Il se présenta chez eux un dimanche matin du mois de septembre. L’été avait été particulièrement long, et les jours étaient encore doux. Il était vêtu d’un grand manteau noir, et de gants tout aussi sombres. Un chapeau couvrait sa tête, et il tenait entre ses lèvres une cigarette d’une marque qu’il appréciait tout particulièrement. Son accoutrement pouvait paraître surchargé vu la température favorable qui régnait dehors, mais Siegfried avait besoin de se sentir couvert, et caché… Lorsqu’il frappa à la porte du couple Malfoye, la gouvernante vint ouvrir.


Gouvernante : « A qui ai je l’honneur ? »
Siegfried : « Mr Siegfried Léthé, je viens rendre visite aux Malfoye, je suis un ami. »
Gouvernante : « Madame m’a prévenue de votre venue. Si vous voulez bien vous donner la peine d’entrer. »

Siegfried répondit à l’invitation en passant le seuil. Il remit ses affaires entre les mains de la gouvernante, et il écrasa son mégot dans un cendrier placé dans le vestibule. La gouvernante lui expliqua que madame Clarcks n’appréciait pas que l’ont fume sous son toit. Siegfried suivit la gouvernante jusqu'à un salon privé où elle lui demanda de se mettre à son aise en attendant la maîtresse des lieux. Durant les quelques minutes où Siegfried fut seul, il remarqua toutes les fleures, et chercha a identifier les senteurs qui émanaient de ce lieu. Cette demeure était plus fleurie que dans la plus part des maisons, et l’harmonie qui avait été crée était parfaite. Siegfried repéra entre autres beaucoup de fleures de lauriers réparties discrètement parmi d’autres plantes. Lorsque Heaven entra à son tour dans le salon, elle était vêtue d’une robe serrée, très raffinée, illustrant très bien son rang social. Le message implicite qui était adressé a ceux qui la voyait ainsi était « tu me désires sûrement, tu voudrais avoir la vie que j’ai, mais je te suis inaccessible » Les années l’avaient rendu encore plus belle, et plus féminine que dans ses souvenirs. Siegfried restait néant moins insensible à ce genre de séduction, et c’est sans un baiser, ni même une accolade qu’il la salua.

Siegfried : « Heaven, ou devrais je dire, madame Malfoye… Le nom des Clarks ne te manque pas trop j’espère. »
Heaven : « Siegfried, Toujours aussi provocateur. Pourquoi faut il que nous soyons dirigés par ce genre de tradition machiste ! Si ça ne tenait qu’a moi, je m’appellerais toujours Clarks. »
Siegfried : « Oui, ça je n’en doute pas. Mais Drago t’aurait forcé à devenir une Malfoye si tu avait résisté
Heaven : « Tu es insupportable, mais tu m’as manqué pendant toutes ces années, et tu es devenu adulte finalement, malgré son souhait de rester un enfant. Pourquoi n’as-tu pas donné de nouvelles ? »
Siegfried : « J’ai beaucoup voyagé. J’ai beaucoup de travail si je veux devenir le plus grand des maîtres des potions. Mais là, je me suis réinstallé dans la région, depuis une semaine. »
Heaven : « Ah, mais nous pourrons alors te rendre visite peux être. »
Siegfried : « Cela étonnerait, ma maison n’est pas vraiment présentable. Je n’ai pas défait mes cartons, et je ne pense pas le faire. »
Heaven : « Pour quelle raison ? »
Siegfried : « C’est une maison qui me sert d’abri jusqu'à ce que je déménage a nouveau. »
Heaven : « Tu n’arrives pas a t’implanter quelque part n’est ce pas ? Tu ne te sens jamais chez toi. »
Siegfried : « Oh, je dois avouer que si ma maison était aussi bien fleurie que la tienne, je me sentirais peut être chez moi. Mes compliments a ta gouvernante. »
Heaven : « C’est moi qui m’occupe de l’arrangement florale de ma maison. »
Siegfried : « Oh… Vraiment, alors… Toutes mes félicitation pour ce talent que je ne te connaissais pas et… tu devrais apprécier ceci. »

Siegfried fit un geste ample du bras, et fit apparaître un bouquet de roses jaunes qu’il tendit à Heaven.

Heaven : « Tu ne pouvais pas venir les mains vides. »
Siegfried : « Non, et connais tu la signification des roses jaunes ? »
Heaven : « La trahison il me semble. »
Siegfried : « Euh, oui, secondairement, mais elles signifient l’amitié surtout… J’avoue que c’est plus ou moins la même chose en fait…»
Heaven : « Elles disent aussi 'je pense à toi'. »

Heaven prit le bouquet, et s’attacha à les mettre dans un vase.

Siegfried : « Alors dis moi Heaven, tu es heureuse dans ton rôle de mariée ? »
Heaven : « Bien sure, pourquoi cette question ? »
Siegfried : « Oh, ne me fais pas ce coup la, je t’en prie. On n’est jamais heureux en mariage, si le mariage apportait le bonheur, ça se saurait. »
Heaven : « Tu penses qu’il n’y a pas de mariage heureux. »
Siegfried : « Euh… Oui… C’est ça, c’est exactement ce que je pense. »
Heaven : « Siegfried, nous sommes riches, nous avons de l’influence, nous avons une grande maison, et mon mari est fou de moi. J’ai tout ce qu’une femme heureuse peut souhaiter. »
Siegfried : « À ce propos, j’ai appris que ton mari était souffrant. »
Heaven : « Les nouvelles vont vite dans le monde des sorciers. »
Siegfried : « Vous êtes une famille influente, le moindre détail de votre vie commune ne peux pas passer inaperçu. »
Heaven : « Ah bon ? Moi qui espérais que tu nous espionnais en cachette. »
Siegfried : « Ca ne serait pas mon genre voyons. Pourquoi est ce que je vous espionnerais ? »
Heaven : « Je ne sais pas, pour garder un œil sur moi ? »
Siegfried : « … Et donc, au sujet de ton mari. »
Heaven : « Et bien, cela a commencé il y a 2 mois. Ca a commencé avec des vertiges, des fatigues… Des douleurs aussi. Nous pensons qu’il s’agit d’un gros coup de fatigue. Drago aussi a beaucoup travaillé ces derniers temps. »
Siegfried : « Est-ce que je peux le voir ? »
Heaven : « … Mais… Vous n’étiez pas amis à l’école… »
Siegfried : « Mais nous nous connaissions. Et puis, ça ne serait pas très poli que je ne présente pas mes respects au maître de maison.»
Heaven : « D’accord, comme tu veux. Il doit être réveillé a cette heure ci, viens je te conduis a notre chambre. »

Heaven guida Siegfried à travers les couloirs de sa demeure. Tout ce luxe, tout ce raffinement dans les décorations, et ces tableau des 2 mariés ensembles, toute cette maison respirait le mariage réussit. Même les odeurs émanant des fleures respirait l’épanouissement. Lorsque Siegfried pénétra dans la chambre conjugale des Malfoye, il y vit un Drago, Pale, aminci, allongé sur son lit, travaillant bon gré mal gré sur une pile de dossiers.

Heaven : « Chéri, nous avons de la visite. »
Drago : « Huuuum… Oh, qui est ce ? »
Siegfried : « Tu ne te rappel pas de moi ?Siegfried Léthé, j’ai eu l’honneur de mener notre équipe de quiditch a une époque a Poudlard, et… »
Drago : « Oh oui… Siegfried Léthé… Un serpentard sans famille, et au sang incertain. Un serpentard qui n’a même pas rejoint la BI. »
Siegfried : « J’avais mes raisons Drago, pourrions nous laisser le passer en arrière ? »
Drago : « hum… La seule chose qui soit a porter à ton crédit pour moi, c’est que tu es un grand maître de potion, et que tu pourrais peut être faire quelque chose pour ma santé. »
Siegfried : « Peut être, je ne suis pas médecin. »
Drago : « Hum… Chérie, je me sens faible, pourrais tu me préparer une de tes tisane ? »
Heaven : « Mais bien sure. »

Heaven s’éclipsa quelques minutes tandis que Drago invitait Siegfried à s’installer sur une chaise prêt du lit.

Siegfried : « Heaven, s’est mise à faire la tisane ? »
Drago : « C’est lié a sa passion pour les fleures, ça l’a prise il y a 1 an. Ses tisanes aux fleures de laurier franc me font beaucoup de bien. Tu vois, nous sommes un couple parfait. Je travail dure pour le prestige et l’influence de ma famille, et elle me soutient. »
Siegfried : « Du laurier vrai, le laurier d’Apollon. C’est vrai que les fleures de laurier sont efficaces pour lutter contre les douleurs intestinales, et les malaises de toutes sortes. On en fait des infusions apaisantes. »

Heaven revint avec un plateau supportant 3 tasses. Chacune avec des feuilles et des pétales blancs infusés. Elle tendit une tasse a chacun des 2 hommes avant d’en prendre une elle-même. Elle s’installa sur le lit, aux coter de son époux.

Drago : « Heaven me prépare cette tisane régulièrement pour m’apaiser, mais a part cette délicate attention, elle manifeste peut son inquiétude pour moi. C’est donc la meilleure des femmes. Ou alors la pire… »
Siegfried : « Dans ce cas, je bois à la meilleur des épouse. Savez vous quelle est la signification des fleures de lauriers ? L’éternité. N’ai crainte Drago, ta femme veille sur toi. »

Tous trois burent leur tasse. Ils bavardèrent encore quelques minutes, et puis, Drago se senti affaiblit. Il demanda à prendre congé de Siegfried pour se reposer. Heaven parti la première en emportant le plateau. Drago s’endormit avant que Siegfried ne puisse sortir de la chambre. Le jeune maître de potion profita alors de cet instant de discrétion pour se ra porcher de Drago. Il se pencha au dessus de lui, huma l’air, et déposa ses lèvres sur les sienne comme un baiser. Puis, il essuya sa bouche avec son mouchoir.

Heaven : « Qu’est ce que tu fais ? »
Siegfried : « Oh, tu es revenue. »
Heaven : « Qu’est ce que tu fabrique. Tu embrasses mon mari ? Sur la bouche ? Pendant son sommeil ? Je sais qu’il est craquant mais… »
Siegfried : « Non non, j’ai cru qu’il murmurait quelque chose, j’ai voulu écouter, mais il ronflait en fait. Euh… Sortons. »


Dernière édition par Siegfried Léthé le Jeu 4 Juin - 17:43, édité 2 fois
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Ξ Sujet: Re: [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25)   [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25) EmptyLun 31 Mar - 9:50

Siegfried Et heaven passèrent le reste de la matinée à bavarder, à parler de la belle époque, à l’école, Heaven vanta les mérites de son mari, et la solidité de son mariage. Lorsque Siegfried prit congé de son hôte, il enfila son manteau, prit une cigarette entre ses dents, sans l’allumer, et garda son chapeau a la main après avoir mis ses gants.

Siegfried : « Alors… Miss Clarks, vous êtes vraiment heureuse d’être devenue Madame Malfoye ? »
Heaven : « Oui Siegfried, je le suis. Si tu continues à me poser la question, je vais croire que tu es jaloux. »
Siegfried : « Ah non, non, je suis pas jaloux du tout, non, je me demande juste pourquoi une femme heureuse en mariage essaie de tuer son mari. »
Heaven : « … De quoi est ce que tu parles ? »
Siegfried : « Le laurier noble fait naître des fleures blanches. On l’utilise pour ses senteurs délicates en bouquet ou en parfum, on s’en sert pour faire des sauces en cuisine, on peut en faire des infusions pour apaiser les malades ... Mais il existe d’autres lauriers, dont le laurier Rose. Les fleures qu’il déploie sont d’un rose très pale, très difficile à différencier du laurier blanc, l’odeur et le goût sont très semblables aussi. Enfin, pour un novice, pas pour un maître en potion, ou pour un expert en poisons. Je dis ça parce que le laurier rose est très toxique, il attaque surtout le cœur. Il arrive souvent que des gens mal instruits confondent les deux lauriers, occasionnant ainsi des empoisonnements accidentels. Cependant, tu es intelligente, je ne pense pas que tu te sois trompé. Je pense en fait, que tu sers du laurier blanc à ton mari en ajoutant un peu de laurier rose de temps en temps. »
Heaven : « Qu’est ce qui te fait dire ça ? »
Siegfried : « J’ai bien remarqué la différence de couleur très subtile de son infusion par rapport aux nôtres. Et quand tu es partie, j’ai goûté les traces de tisane qui étaient resté sur ses lèvres. Ne t’en fait pas, je n’ai rien avalé. Mais j’ai très bien reconnu le goût sensiblement plus sucré du laurier Rose. Tu viens de donner une dose de poison à ton mari, c’est ça qui l’a affaiblit si subitement. »
Heaven : « Tu dis n’importe quoi. »
Siegfried : « Peut être oui. Apres tout, Je dis tout ça peut être simplement parce que je suis jaloux. Apres tout, tu n’a aucune raison de vouloir le tuer n’est ce pas ? Tu n’es pas du genre à ne pas supporter la vie en couple. Ou alors a ne pas supporter l’autorité d’un mari. Et puis, ne plus porter le nom Clarks, ça ne t’embête pas plus que ça finalement, oh, et j’imagine aussi que ça ne te manque pas de ne plus avoir une cours d’hommes autour toi. C’est une chance que tu ai su te passer de tous ces petits détails de la vie qui te plaisaient tant avant, parce que le seul obstacle entre toi, et toutes ces petites choses, c’est Drago. »

Siegfried remit son chapeau, masquant ainsi une partie de son visage, il sorti, et alluma une cigarette. Le temps si chaleureux en matinée s’était nettement assombrit a l’approche de midi. L’automne pointait le bout de son nez

Siegfried : « Sais tu pourquoi le laurier symbolise l’éternité ? Parce que c ‘est une plante qui il demeure vert en hiver, un peu comme les épicéas. Soit rassurée, il t’en restera donc pour cet hiver. Il symbolise aussi la paix. Alors, si tu continue a donner du lauriers rose a ton mari, votre mariage ne vivra peut être pas pour l’éternité, mais c’est sur que tu aura la paix rapidement. A ta place, je demanderais le divorce. Une enquête approfondie finira par te designer comme coupable si il meurt, ça serait dommage non ? »

Sans plus prononcer une parole, Siegfried laissa Heaven sur le pas de sa propre porte, se détourna, et s’éloigna de la maison.

2 semaines plus tard, alors que le mauvais temps s'etait installé sur la region, Siegfried pu lire dans la gazette du sorcier : « Divorce princier, l’héritière de la famille Clarcks, et l’héritier de la famille Malfoye se séparent après 4ans de mariage. »
Siegfried ne lu pas l’article, posa le journal sur sa table, et dégusta une infusion de Laurier Blanc qu’il avait préparé lui-même
.

Siegfried : « Il n’y a pas de mariage heureux… »


Spoiler:


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Ξ Sujet: Re: [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25)   [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25) EmptyMer 2 Avr - 22:10

Titre : La délivrance
Couple : Siegfried Léthé/ Cherise Rowle
Personnages concernés : Siegfried Cherise, et son mari Jack. Ils ont la Trentaine.
Rating (G, PG, PG-13, R, NC-17) : G
Thème (numéro et nom) : 28. Médicament
Tomes concernés (au delà de l'année en cours ?) : Au delà du 7
Cadre (époque et lieu si besoin) : Une maison en bord de mer au sud de l’Angleterre. Cherise est mariée à Jack depuis la fin de leurs études. Siegfried est seul. Jack est gravement malade, et Siegfried n’a pas donné de nouvelles depuis plus de 5 ans. Jack est un aurore, Siegfried est un Maître des potions, Cherise est une compositrice de renom.

_______________________________________________

La délivrance


Vous marchez dans la rue, vous êtes en bonne santé. Il fait beau. Imaginez ce qui peut vous arriver. Vous pouvez tomber accidentellement sur une grosse somme d’argent, vous pouvez croiser un ami, ou alors rencontrer la femme de votre vie. Vous pouvez aussi être fauché par un bus fou, ou bien être écrasé par un échafaudage incertain. La vie est ainsi faite d’épreuves et de consolations qui s’alternent successivement. Jack Chandlers et Cherise le savaient très bien. La fin de leurs études, le mariage magique et déjanté qu’ils avaient fait, a vie heureuse qui était chaque jour plus amusante, le couple nageait dans le bonheur. C’est à l’age de 25 ans que tout bascula. Tout commença avec quelques douleurs dans la jambe. Jack attribua cette souffrance à son métier stressant, être un aurore était éprouvant. Et puis la douleur se diffusa, doucement insidieusement, et lorsque le diagnostique tomba, il était trop tard. Cancer comme disait les moldus. Parfois, la vie du monde magique n’a rien de féerique. Inopérable, métastasé à foison, et aucun traitement possible. Jack tenta de faire avec jusqu'à ce que la douleur le cloue au lit. Ses jambes le faisaient tellement souffrir qu’il ne pouvait plus marcher. Une amputation n’aurait servit à rien, le mal s’était déjà propagé dans tout son corps. C’était ses jambes qui le faisaient souffrir le plus, mais tôt ou tard, c’est l’ensemble de son corps qui serait une seule et même torture. La maladie l’avait pénétré, et dévorerait bientôt l’intérieur même de ses os.

Néanmoins, Cherise restait à ses coter. Elle était chaque jour souriante, même lorsqu’il était rendu muet par la douleur, elle savait apaiser ses craintes et ses tourments par ses paroles douces et sa musique. C’est elle qui eu l’idée de quitter Londres pour emménager une grande maison en bord de mer. Il suffisait d’ouvrir la fenêtre de leur chambre pour se trouver sur la plage. L’odeur du sable, le goût de l’air marin, ces choses rendaient les malheurs de Jack plus doux. Ces choses, et surtout, son adorable femme.

C’est au cours d’un après midi d’été que Siegfried se présenta chez eux à l’improviste. Toujours habillé de noir, toujours les mains gantées, et la tête couverte par un chapeau. Et surtout, la cigarette à la bouche. C’est Cherise qui vint lui ouvrir.


Cherise : « … Qu’est ce que vous venez faire ici. »
Siegfried : « Cherise… La dernière fois qu’on s’est parlé on se tutoyait non ? »
Cherise : « La dernière fois, ça remonte a plus de 5 ans. Alors oui, on se vouvoie. »
Siegfried : « Allons, Cherise… Ne soit pas si sévère avec moi. Je veux juste voir mon ami. »
Cherise : « Ton ami ? Parce que tu penses être son ami ? Quel genre d’ami disparaîtrait des années sans donner de nouvelles lorsqu’on traverse une épreuve. Jack souffre depuis toutes ces années, et tu n’as jamais pris le temps de venir le voir, ni même de lui écrire. Il disait que tu étais spécial, que tu n’étais pas comme les autres Serpentard. Il se trompait. »

Elle voulu lui fermer la porte au nez, mais Siegfried mit son pied dans l’entrebâillement pour l’en empêcher.

Siegfried : « Ne me force pas à me montrer violent Cherise. Je sais que je vous ai laissé prisonniers de vos propres malheurs. Mais ma présence n’aurait rien changé à son état, rien du tout. Ca ne serait pas juste que tu m’empêche de le voir

Cherise était en colère, mais elle restait profondément bonne, et généreuse. Elle savait pardonner. Elle lui ouvrit à nouveau la porte, et le conduisit jusqu'à la chambre. Là, Siegfried découvrit son ami allongé, le visage marqué par des heures à grimacer de douleur. Cherise vint se mettre aux coter de son époux, déposa un baiser sur son front, et lui chuchota quelque chose à l’oreille. Siegfried vint prendre place sur un fauteuil prêt de la table de chevet.

Siegfried : « Hey l’apôtre. Tu as une sale mine, tu le sais ça ? »
Jack : « He he… Mais même dans cet état *kof kof* je reste plus beau que toi. »
Siegfried : « Touché… »
Jack : « Tu vois, quand je suis devenu aurore *kof kof*, je t’avais dit que les mages sombres n’auraient pas ma peau. J’avais raison, au final, c’est mon propre corps qui s’est retourné contre moi *kof kof*. »
Siegfried : « C’est à ce sujet que je suis venu. Je suis vraiment navré de t’avoir laissé sans nouvelles depuis toutes ces années. Je t’ai laissé prisonnier de tes craintes, de ta douleur… »
Jack : « Mon ami, j’ai plus de peine *kof kof* pour ma gentille femme que pour *kof kof* moi-même. C’est elle qui est prisonnière de cette maison à cause de moi. »
Cherise : « Ne dis pas ça mon amour. »
Jack : « Mais c’est la vérité Cherise. Je suis tellement désolé de ne plus pouvoir me promener avec toi sur la plage, de ne plus pouvoir manger avec toi au salon, d’être cloué dans ce lit… Tu passes tellement de temps à t’occuper de moi que tu écris beaucoup moins de musique que tu ne le voudrais. »

Un silence gêné s’installa. Un silence pendant lequel Siegfried fouilla dans sa veste, et il sorti une fiole qu’il déposa sur la table de chevet de Jack.

Jack : « Siegfried, je sais bien que tu es devenu un grand maître des potions. Mais j’ai consulté beaucoup de médecins, et ils étaient avaient certainement autant de talents que toi. Aucune potion ne peut me guérir, et aucune n’arrive à faire disparaître la douleur qui m’assaille. »
Siegfried : « C’est parce que tous tes médecins n’ont pas passé ces 5 dernière années à travailler exclusivement sur ton cas. »
Jack : « … Qu’y a-t-il dans cette fiole ? »
Siegfried : « Un remède mon ami. Votre délivrance à tous les deux. La solution à ton cancer. 5 années à chercher… Une seule dose et tous tes problèmes s’envoleront, je te le promet

Jack lança un regard incrédule à son ami. Et puis, bon gré mal gré, il but le contenu de la potion. Cherise ne savait que penser. Elle souhaitait réellement que Siegfried puisse avoir trouvé un médicament miracle pour l’homme qu’elle aimait, mais elle n’arrivait pas à y croire. Les minutes passèrent. Les 3 compagnons attendaient sans rien dire. Siegfried regardait dans le vide en tirant sur sa cigarette, Cherise fixait son mari en croisant les mais, et puis… Jack se toucha la jambe… Il la toucha doucement d’abord, puis avec plus de force… Et il commença à bouger les genoux… Et enfin, il réussit à se mettre debout. La douleur était partie. Ses pas étaient incertains, mais il se tenait debout. Cherise pleurait de joie, Jack criait au prodige, mais Siegfried, impassible, se contentait d’invoquer les bienfaits de la recherche et des propriétés médicinales des potions. Cet après midi là, les 3 amis marchèrent sur la plage. Pour la première fois depuis des années, Jack put sentir sa femme qui le tenait par le bras, qui se promenait avec lui, il avait l’impression que des chaînes qui le retenaient prisonnier s’étaient envolées. Siegfried, lui, restait en retrait, laissant les 2 amoureux profiter de leur bonheur retrouvé. Apres plus d’une heure, Jack senti ses forces l’abandonner. Apres tout, cela faisait tant de temps qu’il n’avait pas marché de lui-même. Il avait perdu en endurance et il proposa de rentrer pour pouvoir se reposer.


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Ξ Sujet: Re: [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25)   [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25) EmptyMer 2 Avr - 22:10

Cherise proposa de préparer un festin pour célébrer l’évènement. Siegfried était bien sure leur invité. Jack s’éclipsa pour se changer, et Cherise en profita pour remercier Siegfried.[/i]

Cherise : « Siegfried, je… Je te remercie pour ce que tu as fait… C’’est formidable… Mais, il va devoir reprendre de ce médicament tous les jours ? »
Siegfried : « Non, une seule dose suffit, je vous l’ai dis. »
Cherise : « C’est formidable… Je n’en reviens pas. Comment as-tu réussit ce miracle là où tous les médecins ont échoué ? »
Siegfried : « Je vous expliquerais tout au dîner Cherise, c’est promis. »

Juste avant de partir préparer le dîner, Cherise sera si fort Siegfried contre elle qu’il cru qu’elle allait lui briser les os. Profitant des quelques moments d’intimité qu’il allait avoir avec son ami, Siegfried retourna dans la chambre. Jack avait revêtu son plus beau costume, mais il s’était étendu à nouveau sur le lit.

Jack : « Je n’ai plus du tout mal, mais qu’est ce que ça peut être fatiguant de marcher. »
Siegfried : « Tu as vraiment une femme merveilleuse Jack. Elle t’aime beaucoup. »
Jack : « Je sais. Sans elle, ces dernières années auraient été impossibles pour moi tu sais. Mais ne reste pas debout, viens t’asseoir prêt de moi. Et bavardons. Commençons par le début. Combien de temps me reste t il à vivre ? »
Siegfried : « Jack… Le médicament… »
Jack : « Oh non Siegfried… Je te connais si bien… Si tu avais vraiment trouvé un remède, tu ne serais pas venu de toi-même. Tu n’aimes pas les compliments… Tu me l’aurais fait parvenir d’une façon détournée… Ce n’est pas un vrai médicament que tu m’as donné… Je le sais… Alors je te demande, combien de temps me reste t il à vivre ? »

Siegfried ne dit pas un mot, et il s’assit très lentement dans le fauteuil à coter du lit de Jack. L’ancien poufsoufle poursuivit.

Jack : « Je me souviens de Socrate, le philosophe Grec… Quand il est mort, il a commencé par ne plus sentir les douleurs, puis à ne plus rien sentir du tout. La perte des sensations et la perte de la motricité commencaient par les pied, puis remontaient vers le haut du corps. Il avait été condamné à mort tu sais, ses paires l’on condamné à boire de la ciguë. »
Siegfried : « En fait, il s’agissait d'un mélange de ciguë, de datura et d'opium. L’opium et la datur sont de puissantes drogues qui neutralisent les sens, puis la conscience, et la ciguë tue. Lentement… En quelques heures… Je suis désolé mon ami… En 5 ans, je n’ai pas trouvé d’autre solution.»
Jack : « C’est pour cela que j’ai pu faire cette dernière promenade tout à l’heure. Les drogues bloquaient la douleur, les médecins n’auraient pas prit le risque de me faire prendre ce genre de substance. Il n’existe pas de remède contre la mort, seulement la délivrance »
Siegfried : « À quel moment as-tu deviné ? »
Jack : « Au moment même où tu m’as proposé la fiole, je savais que c’était du poison. Je te connais si bien. »
Siegfried : « Alors pourquoi l’avoir accepté ? »
Jack : « Parce que j’avais parfaitement compris ton idée, et parce que j’approuvais, j’avais confiance en toi. Je suis condamné, tôt ou tard, je vais mourir. J’aurais pu le faire dans d’atroces souffrances, et en rendant Cherise encore plus malheureuse. En prenant ce poison, tu m’offrais une dernière journée heureuse avec ma femme avant de partir paisiblement. C’est une fin qui me plait. »
Siegfried : « Une fin qui ne plaira peut être pas à Cherise. »
Jack : « Dans un premier temps peut être. Mais tu sais, elle sourie toujours avec moi, cependant, je sais reconnaître lorsqu’elle fait un effort pour sourire. Cette après midi, pour la première fois depuis 5 ans, elle a sourit sans se forcer. Tu nous as offert un dernier moment de pur bonheur ensemble, et pour ça, tu as toute ma gratitude. Tu as tenu parole, tu m'as offert la délivrance. Je suis délivré de la maladie, de la souffrance, et Cherise sera délivrée de moi. »
Siegfried : « Délivrée de toi ? »
Jack : « Elle est encore jeune, belle, gentille, intelligente, et talentueuse. Elle écrit des morceaux magnifiques… Elle ne mérite pas d’être attachée à un mourant pendant des années. Je n’ai pas eu la force que lui dire de me quitter parce que j’avais peur sans elle. Aujourd’hui, grâce à toi, je vais lui rendre la liberté a laquelle elle à le droit. Elle rencontrera d’autres hommes qui auront plus de chances que moi, et qui la rendront heureuse. Elle aura enfin accès a la carrière musical grandiose a laquelle elle a le droit. »
Siegfried : « … Ta question jack, combien de temps il te reste... Je dirais qu’il te reste quelques minutes. Tu vas sentir tes muscles se relâcher un par un, tu vas sombrer dans un profond sommeil, et ne jamais te réveiller. Veux tu que j’aille chercher Cherise, elle nous prépare toujours à manger. »
Jack : « Non, non je… Je voudrais garder en mémoire son visage joyeux, pour toujours. »
Siegfried : « Je comprends, c’et toi qui décides… »
Jack : « Le vent porté par les vagues m’emporte…. S’il te plait mon ami… J’ai froid… apporte moi une couverture… »

Siegfried s’en alla chercher une couverture dans un placard qui lui indiquait Jack. Il couvrit son ami, et resta a ses coter tandis qu’il s’en allait doucement. Et à un moment, il ne perçu plus le bruit de sa respiration. C’était fini. Siegfried voulu quitter la maison discrètement, mais il croisa Cherise au moment même où il sortait de la chambre. Elle était tellement souriante, tellement heureuse.

Cherise : « Siegfried ? Tu t’en vas ? Tu ne vas pas partir comme ça quand même ! »

Le maître des potions resta immobile, puis, dans un élan d’émotion, déposa un baiser sur les lèvres de Cherise, puis il se recula brutalement.

Siegfried : « C’est pour te remercier d’avoir tant pris soin de Jack pendant toutes ces année. Il y a, certaines choses qu’on ne peut supporter seul… Des évènements dans ce monde… Contre lesquels ont ne peut rien faire… face auxquels il n’y a pas de solution… Je te demande pardon… »

Comprenant qu’il s’était passé quelque chose en son absence, Cherise bouscula Siegfried et se rua dans la chambre. Siegfried ne resta pas pour la consoler, ni même pour l’écouter pleurer. Chacun porte son fardeau à sa manière, il quitta la maison sans faire de bruit, laissant refroidir le dîner pour 3 qu’elle avait préparé. Personne ne mangea ce que Cherise avait préparé pour cette soirée spéciale.

Cherise fini par apprendre la vérité sur les événement qui s’étaient passé cet après midi la.
Elle en voulu longtemps à Siegfried, elle ne pouvait pas comprendre comment il avait pu agir ainsi en tant qu’ami.
Elle ne pouvait pas comprendre que Siegfried leur avait apporté, le seul cadeau qu’il pouvait leur faire.
La plus grande marque de leur amitié.
La délivrance…

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Ξ Sujet: Re: [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25)   [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25) EmptySam 5 Avr - 20:37

Titre : L’histoire sans fin.
Couple : Siegfried Léthé/ Rowen Lone
Personnages concernés : Siegfried Léthé et Rowen Lone, ainsi que Susan Bones qui fait juste un petit passage.
Rating (G, PG, PG-13, R, NC-17) : G
Thème (numéro et nom) : 12. De bonne humeur
Tomes concernés (au delà de l'année en cours ?) Durant le 5eme volume
Cadre (époque et lieu si besoin) : Mois de mars une nuit où tous les élèves auraient du être couchés.

_______________________________________________

L’histoire sans fin.


Rowen était une préfette. Sa mission ? Traquer, pourchasser, et piéger les élèves contrevenant au règlement. Cela impliquait de sa part de supporter des nuits relativement courtes parfois pour pouvoir patrouiller dans les couloirs. Ceci était particulièrement éprouvant pour elle nerveusement, principalement à cause du fait qu’elle-même n’était pas une grande fane du règlement, surtout cette année. L’inquisitrice Ombrage mettait tellement la pression sur les élèves que la vie à Poudlard devenait oppressante. Même pour les préfets… On ne pouvait plus sortir ni rentrer dans les salles communes après les couvre feu sans présenter le badge des préfets aux tableaux gardiens des portes. Rowen avait d’ailleurs perdu le sien dans la journée, et elle n’avait pas réussi à remettre la main dessus. Elle avait du en demander un nouveau à la grande inquisitrice avant la nuit.
Une de ses rares consolations, c’était ses quelques moments privilégiés partagés avec Michael Corner. Elle avait entamé une relation plus ou moins sérieuse avec le séduisant Serdaigle. Il avait su se montrer si attentionné au bal de noël, et un peu de tendresse lui faisait le plus grand bien.

Ce soir là, un lundi soir, Rowen se remémorait au cours d’une ronde nocturne le week end magique qu’elle avait passé en compagnie de son chevalier servant. Un week end entier au pré au lard… Avec l’autorisation spéciale de la grande inquisitrice pour services rendu au maintient de l’ordre. Rowen n’était pas une colabo, mais elle avait été forcée de punir certains excès de la part d’éléments trop agités au cours des semaines passées. Elle avait agit en songeant qu’il valait mieux que ces élèves soient puni par elle que par la grande inquisitrice.

Le week end qu’elle avait ainsi pu passer avec Michael avait été totalement délicieux, loin de Poudlard, loin des jérémiades des autres élèves, loin de la brigade, loin de tout… Et surtout, avec la seule compagnie de Michael. L’escapade l’avait mise de bonne humeur pour la semaine, peut être que si elle surprenait un élève hors la loi, elle se montrerait clémente.

Durant la ronde, elle passa devant la porte du bureau d’ombrage. Rowen s’arrêta un moment devant pour contrôler la fermeture de la porte. Rien… La préfette songea un instant que faire respecter l’ordre au nom de Dumby ou de mc Gonagal était amusant, mais au nom d’ombrage, c’était particulièrement déplaisant. Elle resta ainsi à contempler la porte quelques secondes, en se demandant vers quel avenir incertain se dirigeait l’école. Son visage laissa s’échapper une mine inquiète et triste.


Siegfried : « … Et ben, t’en fait une tête… en même temps je te comprends, c’est triste à pleurer une porte fermée. »


Rowen sursauta tant l’apparition de Siegfried avait été soudaine et inattendue. D’où est ce qu’il sortait d’abord ? Il n’était pas préfet, il n’aurait pas pu quitter la salle commune sans se faire prendre. C’était la seconde fois que Rowen croisait Siegfried en pleine nuit, et visiblement, les restrictions de plus en plus draconiennes en terme de règlementation ne dissuadaient pas le capitaine des serpentard de continuer ses promenades de nuit.

Rowen : « Nan mais ça va pas, t’es taré ! On se glisse pas dans le dos des gens comme ça en plus… Mais mais mais… Qu’est ce que tu fais dehors à cette heure ci !!! Tu pirates encore les galeries des elfes ! »
Siegfried : « J’peux pas, vous avez renforcé la surveillance du coter des galeries, comment tu veux qu’on se balade tranquille avec toutes vos surveillances. »
Rowen : « Ben, tu n’as qu’à rester en salle commune ! Mais pourquoi je lui réponds… Tu n’as pas envisagé que si les directeurs ont rédigé des règles dans cette école, c’est pas pour les merles. »
Siegfried : « Ah mais les règles, c’est pour les autres élèves non ? Moi j’ai le droit de transgresser le règles normalement… »
Rowen : « Pourquoi faut toujours que tu me tombes dessus exprès quand tu sors après le couvre feu ?
»
Siegfried : « Pour avoir ma dispute journalière. J’ai pas eu ma dose aujourd’hui, on peut y aller là ? »
Rowen : « … Si c’est censé être drôle tu as intérêt à me le dire très vite parce que je vais avoir du mal à retenir mes coups dans le cas contraire. »
Siegfried : « Roh, soit pas fâchée, cette fois ci, j’ai un passe. »
Rowen : « Un passe ? »
Siegfried : « Un passe. »

Siegfried plongeât la main dans sa poche et en sorti un badge de préfet.

Siegfried : « Ta Dam ! Avec ça, toutes les portes s’ouvrent. C’est vraiment bête un personnage de tableau, ça reconnaît l’insigne, mais ça n’est pas capable de lire le nom qu’il y a dessus. »
Rowen : « Mais mais… Hey ! C’est mon badge ! »
Siegfried : « Oui, et alors ?! Tu en as un autre maintenant. T’en as plus besoin. »
Rowen : « Mais depuis quand tu as accès à mon badge !!! »
Siegfried : « Euh… Depuis que j’ai accès à tes vêtements et à tes sous-vêtements… Dans un certain vestiaire… A coté d’un certain terrain de quiditch… »
Rowen : « Tu as fouillé mes affaire pendant l’entraînement de ce matin !!! »
Siegfried : « Euh… Et si je te disais qu’il y a un concours entre les garçons de 2eme année ? C’est à celui qui volera le premier les sous vêtements de Rowen Lone… Ca allègerais mon cas ? »
Rowen : « … Tu veux mourir ? »
Siegfried : « Pas encore… Euh, ok, j’avoue, j’ai fouillé tes affaires, et il n’y a pas de concours concernant tes sous-vêtements. Pas que je sache en tout cas»
Rowen : « Mais tu pouvais pas en voler un autre ? »
Siegfried : « Ben si, mais parmi tous les préfets je pensais que tu serais la plus sympas avec moi si j’avais tu me surprenait entrain de… »
Rowen : « Stop… Ne… Dis… Plus rien… Je suis de bonne humeur ce soir alors… Je vais faire comme si je n’avais rien vu, rien entendu… Et tu vsa retourner dans ta salle commune immédiatement et tout oublier de cette soirée compris ? »
Siegfried : « Euh… Quitte à faire la sourde aveugle et muette, tu veux bien me laisser faire un truc ? »

Rowen n’avait pas remarqué mais Siegfried avait à la main du papier plié et un pot de peinture rouge. Il déplia les feuilles et Rowen remarqua qu’elles étaient percées, on y avait découpé des formes linéaires. Siegfried plaqua le papier contre la porte du bureau d’ombrage, et Rowen comprit qu’il s’agissait d’un patron, Siegfried allait passer son pinceau par-dessus, et la peinture allait se déposer sur la porte à travers les trous découpés. Des trous qui étaient des écritures d’ailleurs...

Rowen : « Hey ! Mais arrête ! Qu’est ce que tu fais !! »
Siegfried : « Je marque ‘Ombrage pousse toi de devant le soleil, tu fais eclipse avec ton gros… Signé : fudge’. »
Rowen : « Mais mais mais… Tu vas te faire envoyer !!! »
Siegfried : « Ah seulement si tu me dénonces. Tu ne le ferras pas n’est ce pas. A moins que tu l’aimes bien cette malade… »
Rowen : « … Euh… Ben.. Euh… … T’as pas un pinceau en rab ? »
Siegfried : « si !^^ »

Rowen aida Siegfried à peindre les inscriptions insultantes sur la porte de l’inquisitrice. Pour une fois qu’elle pouvait se défouler un peu… Une fois le graffiti terminé, ils brûlèrent le patron de papier, et contemplèrent leur œuvre.

Siegfried : « Ah , c’est pas mal… Elle va nous faire une crise demain, c’est sur. »
Rowen : « Y a des chances… Mais pourquoi tu as signé fudge, personne n’y croira. »
Siegfried : « Oh, ça c’est juste pour énerver fudge . Elle doit tout lui rapporter, ça va le rendre fou lui aussi qu’un élève se soit moqué de lui. »
Rowen : « Oui, j’comprends, bon, il faudrait que tu… Oh, chut… Quelqu’un arrive. »
Siegfried : « Mince, par ou ? »
Rowen : « Et zut, ça viens de ce couloir… Cache toi… »
Siegfried : « Mais ou ça ? Y a une seule autre issue, c’est l’autre bout du couloir, 20 mètres en ligne droite. »
Rowen : « T’as pas un passage secret en rab ?! »
Siegfried : « Je t’ai dis que j’en avais plus, vous les avez tous mis sous surveillance ! »

Les pas se rapprochaient… Ils allaient se faire surprendre tous les 2 avec les inscriptions sur l forum. Rowen réalisa qu’ils allaient se faire virer tous les 2. Alors, sans réfléchir, elle attrapa Siegfried, le plaqua contre la porte, en lui écartant les bars pour cacher plusieurs lettres. Elle-même se colla a lui en faisant de même. Dans un dernier élan d’improvisation, elle plaqua ses lèvres contre celles de Siegfried, en espérant simuler ainsi une situation embarrassante, et surtout, en espérant que la personne qui allait les surprendre serait…
Susan Bones… La pauvre petite Poufsoufle tomba nette sur une Rowen, plaquée contre une porte, embrassant un élève qu’elle ne pouvait pas identifier. Surprise, et gênée, elle ne prit même pas le temps de remarquer les inscriptions cachées tant bien que mal sur la porte.


Susan Bones : « Oh, oh, désolée, je… J’arrive en plein milieu de … Non non non, faites comme si je n’existais pas, je vais… Je vais repartir par là… Désolé de vous avoir dérangé… »

Siegfried et Rowen écoutèrent les pas de Susan s’éloigner… Et puis ils s’écartèrent l’un de l’autre. Rowen ne parvenait pas à croire qu’elle venait de plaquer un élève de 2eme année contre une porte et à l’embrasser pour éviter le renvoie… Siegfried lui se remettait de cette intrusion dans son espace vitale.

Siegfried : « Ah la la… Ces Gryffondor… Toutes les même… Mettez les dans une situation délicate, et elles vous sauteront dessus comme des mangeuses d’homme… Je n’arrive pas à croire que tu ai profité de la situation pour me peloter comme ça. »
Rowen : « Hey ho, hey ho !!! Qui a peloté qui ? Je te signal que sans ça, elle aurait vu ton graffiti, et on se serait fait virer de l’école tous les 2 ! Maintenant, retourne dans ton dortoir, et que ça saute. »
Siegfried : « Oui maîtresse… »
Rowen : « Oh, euh… Siegfried, tu n’oublies pas un truc ? »
Siegfried : « Hum… Non, quoi ? »
Rowen : « Le badge… »
Siegfried : « Mais mais… Comment je retourne dans ma salle commune sans lui. »
Rowen : « Tu te débrouilles. »
Siegfried : « …Ok… tiens… C’est bizarre quand même… Normalement on ne complique pas la vie de ceux qu’on vient de sauver. Ce n’est pas logique comme attitude. »
Rowen : « Ouais… j’sais pas… Ca doit être parce que j’ai la dalle. »
Siegfried : « Pourquoi ne pas me dénoncer directement alors ? »
Rowen : « Ca, c’est parce que je suis de très bonne humeur ce soir. J’ai passé un très bon week end. »
Siegfried : « Ah, au pré au lard avec michæl c’est ça ? »
Rowen : « Comment tu les sais ? »
Siegfried : « Tout se sait ici. »

Chacun fini sa nuit sans plus d’aventure. Rowen se demanda bien comment Siegfried avait pu retourner dans sa sale commune sans se faire attraper, mais elle s’en moquait. La semaine passa, l’inquisitrice fut furieuse en découvrant l’acte d vandalisme sur sa porte, mais on ne trouva jamais les coupables. Le week end arriva et puis, a nouveau le lundi annonçant la nouvelle semaine. Rowen prenait son petit déjeuner tranquillement et seule lorsque Siegfried vint s’assoire a coté d’elle. Elle songeât qu’il était peut être venu la remercier, les incidents de la derniere semaine avaient du calmer ses envies de rébellions un bon coup… Naïve Rowen…

Siegfried : « Euh. Dis, il parait que tu es encore allée au pré au lard ce week end. »
Rowen : « Bonjours déjà, et oui, je suis allé au pré au lard. »
Siegfried : « Est-ce que tu y est allé avec Michael ? »
Rowen : « Mais qu’est ce que ça peut bien te faire ? »
Siegfried : « Ben, Je voulais taguer ‘va mourir Rusard’ sur la porte de la grande salle, mais j’ai besoin de me faire surprendre par une préfette de bonne humeur. Alors j’veux savoir si je peux tenter le coup ce soir ou si je dois attendre la semaine prochaine… »


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Ξ Sujet: Re: [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25)   [DEFI] 30 Baisers - Siegfried Léthé (25) EmptySam 12 Avr - 23:06

Titre : Perfectement insupportable
Couple : Siegfried Léthé/ Dawn Kostovak
Personnages concernés : Siegfried Léthé Dawn Kostovak Myrielle Symphonie Elea Mayan qui font un passage.
Rating (G, PG, PG-13, R, NC-17) : G
Thème (numéro et nom) : 3. Scandale
Tomes concernés (au delà de l'année en cours ?) Durant le 5eme volume
Cadre (époque et lieu si besoin) : Mois de mai, dortoir des filles chez les serpentard, vers 1H du mat.

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Perfectement insuportable


Myrielle, Dawn et Elea, les 3 serpentards, elles cumulaient beauté, grâce, sang noble, et talent. On les appelait les perfectes, les 3 déesses de l’équipe de Quiditch. Dawn en particulier avait été capitaine de l’équipe durant un temps. Cette année là, ce poste était tenu par un très jeune élève nommé Siegfried Léthé. Un serpentard habile, mais sans famille, et sans rang social. Dawn avait une certaine affection pour le jeune capitaine, mais quelque part en elle, elle lui en voulait. Siegfried était parvenu à tenir l’équipe sans faire appel à son aide. Malgré son jeune age, malgré son manque latent d’appartenance social, il s’était acquitté de sa tache brillamment. L'orgueil de Dawn en avait été profondément ébranlé, si seulement elle avait pu rester capitaine une année de plus… C’était tellement difficile de recevoir des ordres de la part d’un 2eme année. Il était parfaitement insupportable.

Ce soir la, Dawn était allée se coucher tôt. L’équipe avait joué un match contre les Gryffondor et la jeune Russe avait été frappée à la tête par un cognard. L’infirmière lui avait conseillé du repos, et c’est sans souhaiter bonne nuit à ses amis qu’elle était partie se cacher sous ses draps dans le dortoir des filles. Et puis soudain, alors qu’elle rêvait profondément d’un beau soldat soviétique l’emmenant voyager à travers la Sibérie, quelqu’un la tira de son sommeil en la remuant.


Dawn : « Gnéééé, quoi ? »
Siegfried : « Aller Dawn, lève toi, mais ne parle pas trop fort, tu vas réveiller les autres filles. »
Dawn : « Mais, Siegfried ? Qu’est ce qui se passe, une catastrophe ? »
Siegfried : « Non non, tout vas bien, tu dormais ? »
Dawn : « Evidement, qu’est ce que tu veux que je fasse d’autre ? Quelle heure est il ? »
Siegfried : « Je sais pas, 1 H du matin je crois. »
Dawn : « … 1h du mat ! »
Siegfried : « Chuuuuut, pas si fort ! »
Dawn : « Mais mais mais, qu’est ce que tu fais dans les dortoirs des filles à cette heure ci ? A pars m’empêcher de dormir ! »
Siegfried : « …Tu crois que je suis juste venu t’embêter c’est ça ? »
Dawn : « Je sais pas, disons que tu pourrais me surprendre. »
Siegfried : « Tu es parti te coucher sans rien dire tout à l’heure. Je voulais juste vérifier si mon attrapeuse fétiche est toujours en un seul morceau. C’est que c’est un sale coup que tu t’es prit tout à l’heure. »
Dawn : « … Ca te prend souvent les angoisses nocturnes au sujet de tes coéquipiers ? »
Siegfried : « J’arrivais pas à dormir en fait… »
Dawn : « Tu t’ennuyais quoi. »
Siegfried : « Ouais, j’avoue. »
Dawn : « Mon p’tit Siegfried, quand on est capitaine, on ne réveille pas une perfecte prefete en plein rêve au milieu de la nuit pour des trucs aussi futiles. Je ne suis pas en sucre. Moi si j’étais à ta place… »
Siegfried : « Mais tu n’es pas a ma place. »
Dawn : « Je l’ai été, et c’est… »
Siegfried : « Mais tu ne l’es plus. »
Dawn : « Tu peux arrêter de me couper la parole ? »
Siegfried « Ca te dérange que je sois à ta place maintenant ? »
Dawn : « Quoi ? Mais non, pas du tout. »
Siegfried : « Alors tu ne voudrais pas redevenir capitaine. »
Dawn : « Si un peu mais… Oh, arrête d’essayer de m’embobiner. Tu as vu que j’allais bien, ça doit te suffire non ? »
Siegfried : « A moitié, mais je vais m’en contenter pour ce soir. Je retourne me coucher. Bonne nuit solnetchko. »

Siegfried se releva pour retourner dans le dortoirs des garçons sur la pointe des pieds, mais une lumière apparu derrière la porte du dortoir des filles. Quelqu’un arrivait.

Siegfried : « Mince, qui c’est à cette heure ci ?! »
Dawn : « C’est sûrement Elea, elle est allée patrouiller à ma place exceptionnellement comme j’étais naze. »
Siegfried : « Mais mais mais… Il faut pas qu’elle me trouve ici ! J’vais m’faire tuer ! »

Dawn et Siegfried regardèrent autour d’eux pour trouver un endroit ou cacher le jeune garçon au milieu de toutes ces filles endormie. Mais il n’y avait que des lits dans cette salle, des lits remplis… Dawn souleva ses draps d’un coup révélant sa tenue de nuit légère, mais tout à fait descente.

Dawn : « Viens là ! »
Siegfried : « …Nan nan… le danger moi, ça m’excite pas du tout. »
Dawn : « Viens de te cacher là au lieu de dire des bêtises, avant que je change d’avis ! »

Siegfried hésita encore 2 secondes, puis, entendant qu’on appuyait sur la poignée de la porte, il sauta à plat ventre à coter de Dawn. Elle rabattit les draps sur eux 2, et Elea entra dans le dortoir. Siegfried essayait de retenir sa respiration sous les draps de Dawn, essayant à la fois d’écouter les pas d’Elea qui se déplaçait dans le dortoir, et de ne pas regarder le corps de Dawn beaucoup trop proche de lui. Il fallait cependant se rapprocher pour ne pas se faire griller. Il lui sembla qu’Elea se dirigeait vers eux, et finalement, elle vint s’agenouiller au pied du lit de Dawn. La russe serra un peu plus Siegfried contre elle pour le dissimuler un peu mieux, l’obscurité jouait en leur faveur… Pour le moment

Elea : « Dawn ? Tu dors ? »
Dawn : « Euh… Non… »
Elea : « Ah, je voulais te dire que j’avais patrouillé à ta place ce soir, Ombrage m’a donné l’autorisation. Tout va bien, tout le monde dort. »
Dawn : « Bien sure… tout le monde… »
Elea : « Tu vas bien toi ? Ca va la tête ? »
Dawn : « C’est une manie décidément, de se soucier de ma santé ce soir ? »
Elea : « Pourquoi tu dis ça ? »
Dawn : « Oh, euh… Pour rien… »
Elea : « Je sais que ça te dérange qu’on te prenne avec des pinces, tu étais notre capitaine après tout, mais tu peux pas nous empêcher de nous inquiéter pour toi. Ca te dérange pas de devoir obéir aux ordres de Siegfried d‘ailleurs ? »
Dawn : « hum... Euh... quoi ? »
Elea : « Ben oui ? Toi tu es une sang pure, tu fais partie d’une famille illustre, comme n’importe quel serpentard qui se respecte. Siegfried lui, on sait pas vraiment d’où il vient, et puis il est si jeune. »
Dawn : « Oh, euh... Je sais pas… On ne sait pas d’où il vient justement, peut être qu’il fait parti d’une famille noble sans le savoir. »
Elea : « Ca m’étonnerait, il a sympathisé avec des sangs de bourbe tu sais. »
Dawn : « Ca n’en fait pas un mauvais capitaine, il nous fait gagner des match, et ceux que nous perdons, nous les perdons de justesse. »

Elea se releva, et vint s’assoire sur le bord du lit. Dawn du serrer Siegfried un peu plus contre elle pour ne pas que son amie le remarque. Heureusement, Siegfried était très mince… Serré de la sorte contre Dawn, le jeune serpentard commençait à étouffer, et à se sentir mal à l’aise contre la peau de son aînée. Siegfried supportait si mal les contactes rapprochés. Il se mit à murmurer assez bas pour que Dawn l’entende sans que Elea ne le remarque.

Siegfried : « J’peux plus respirer Dawn. »
Elea : « Me dis pas que tu l’aimes bien ce marmocchio. »
Dawn : « Je suis certaine que ce marmocchio comme tu dis deviendra un moujik. »
Elea : « Il n’est même pas grand. »
Siegfried : « Arrête de discuter avec elle, je vais mourir étouffé ! »
Dawn : « Ca peut venir. Oh ! Elea, ma chère Elea, tu peux me rendre un service ? J’ai mal à la tête, j’ai laissé des aspirines dans la salle d’eau, tu peux aller me les chercher ? »
Elea : « …qu’est ce qui t’arrive Dawn ? Tu n’es pas comme d’habitude. »
Dawn : « Oui, je sais, parce que j’ai mal à la tête. »
Elea : « Non non, il y a autre chose… »

Elea se rapprocha un peu plus, Dawn serra Siegfried encore plus, la respiration du jeune serpentard fut coupée… Et Elea posa sa main sur le font de son amie.

Elea : « Tu es sure que tu es pas malade ? Tu as de la fièvre j’ai l’impression. »
Dawn : « Oui, c’est ça, je dois être malade, va me chercher ces aspirines s’il te plait, ça va aller mieux. »
Siegfried : « tu m’étonnes que tu ais si chaud, collés comme on est… »
Elea : « Ok, je vais te chercher ça, attends moi ci. »

Elea se releva, et sorti calmement du dortoir. Lorsque Dawn fut certaine que son amie était assez loin, Elea libera Siegfried qui passa précipitamment la tête hors des draps pour respirer.

Siegfried : « Ouaf !!! Et dire qu’il y a des mecs qui payeraient pour vivre ce que je viens de vivre . »
Dawn : « Quels gars ? »
Siegfried : « Euh… Nan personne… J’ai bien cru que j’allais mourir là dedans… »
Dawn : « Maintenant file vite, avant qu’elle revienne. »
Siegfried : « On a bien 5 minutes le temps qu’elle revienne de la salle de bain. Laisse moi retrouver mon souffle et mes esprits, c’est une expérience traumatisante que je viens de vivre. »
Dawn : « … Tu cherches à me vexer là ? »
Siegfried : « Nan, c’est pas ça, je supporte mal les contact trop rapprochés… et puis, ça me fait bizarre de t’entendre me défendre auprès de ton amie. »
Dawn : « J’aurais peut être du te… »
Elea : « Dawn, je viens de penser, j’avais une boite d’aspégique dans ma poche, tu n’as qu’a… »

Patatra… Elea resta bouche bé devant la scène qui s’offrait a elle. Son amie, en chemise de nuit, dans son lit… Avec Siegfried à moitié recouvert par les couvertures

Elea : « QUOI ! QUOI MAIS C’EST DINGUE CA ! »

Le cris de surprise réveilla plusieurs filles dans le dortoir. La plus rapide à s’éveiller fut myrielle dont les sens et les réflexes étaient aiguisés comme le réclamait son entraînement de tueuse.

Myrielle : « Quoi ? Quoi ? Qu’est ce qui se passe Elea ? »
Elea : « Là ! Dawn ! Dawn et Siegfried dans le même lit ! »
Myrielle : « Ou ça ? Quoi ! Mais qu’est ce que c’est que cette histoire ! »
Dawn : « Nan nan nan, c’est pas ce que vous croyez c’est c’est c’est… »

Même Siegfried s’était retrouvé mué. Il ne savait pas comment justifier sa présence dans cette situation ambiguë. Dawn regrettait d’avoir cherché a cacher la vérité à son amie tout a l’heure, maintenant, elle était sous les feux de la rampe, et c’est la mort dans l’âme qu’elle menti pour s'en sortir.

Dawn : « Euh… C’est lui… Il vient de se glisser jusqu'à mon lit sans mon autorisation, moi je voulais, pas, et puis il a insisté... »
Myrielle : « Siegfried Léthé, tu vas mourir… »

Myrielle sorti un poignard d’on ne sait trop où, et s’élança sur Siegfried qui tentait de s’échapper. Elle le maîtrisa sans peine et…
1H plus tard, à 2H du matin donc, Siegfried était attaché comme un saucisson, pendu par les pieds dans la salle commune. Dawn profita que ses amies s’étaient enfin endormies pour se glisser sans bruit jusqu'à lui
.

Dawn : « euh… Siegfried ? Siegfried tu… tu es encore en vie ? »
Siegfried : « Oui, et c’est pas grâce à toi ! »
Dawn : « Désolée, vraiment, vraiment désolée, mais tu comprends, il était tard, j’étais fatiguée… J’ai paniqué et… »
Siegfried : « Et du coup, tu m’a jeté entre les griffes de myrielle comme on jette une balle à un chien excité, oui, bien sure je comprends, et dire que j’avais peur que tu réagisses de manière excessive. Qu’elle idée de me cacher dans ton lit ! »
Dawn : « oui, et bien, des idées lumineuses à 1H du mat, j’ai du mal moi. »
Siegfried : « Au lieu de continuer à parler tu peux me détacher ? Je ne sens plus mes jambes, je sens que le sang stagne au cerveau. »

Dawn tendit sa baguette et libera son capitaine. Il tomba lourdement au sol, mais sans se faire mal. Elle l’aida à se relever.

Siegfried : « En fait, je suis certain que tu aurais aimé que myrielle m’écorche avec ses poignards, comme ça, tu aurais pu prendre ma place dans l’équipe. »
Dawn : « Ecoute, je me suis déjà excusée, dis toi que ça te servira pour plus tard. Tu pourras te vanter de t’être déjà retrouvé dans les bras d’une fille dans son propre lit. Et tu pourras même dire que c’était un canon. Tu devras juste… éviter de donner les détails de la soirée. »

Dawn deposa un baiser sur le front de Siegfried et ils s’en retournèrent vers leurs dortoirs respectifs. Dawn réalisait que son capitaine, n’était pas si désagréable que ça. Même si il avait du mal à l’admettre, il s’était inquiété pour elle, et il n’avait pas cherché a se disculper lorsqu’elle l’avait accuser à tord devant ses copines. Au moment même où ils se trouvèrent sur le pas des portes de leurs dortoirs, Siegfried se retourna vers elle.

Siegfried : « Dawn … Euh… Surtout le prend pas mal Dawn mais… quitte a avoir une petite amie, j’aimerais qu’elle soit jeune elle… »

Oubliez ce que je viens de dire, il est parfaitement insupportable


Dernière édition par Siegfried Léthé le Jeu 4 Juin - 17:45, édité 1 fois
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