un rince à l'oeil ou quoi ? [PV Sibelle]

Eliot était un nouveau dans le rang de Poudlard. Après avoir été arrêté de se promener en bateau pour se faire choisir un maison par le choixpeau, Eliot a été malade par la traversé. Il était devenu vert, quand il avait sentit les vagues brasser le bâteau. Il a faillit même de vomir ce qui serait insultant pour ses collègues qui voyagent par le même bateau. Malgré la traversé, il avait quand même réussi à voir le chateau de Poudlard qui est quand même ma foi époussouflant à voir et sombre aussi avec tout les lumières allumés.

Bref, il a été choisi par une maison avec qui il se sentait heureux d'appartenir. Il était fier et il essaya de se montrer digne envers sa maison.

Cela fait maintenant 1 semaine qu'il s'intègre dans le quotidien de Poudlard et pensait souvent à ses parents. Il décida alors d'aller écrire une lettre dans la salle de Poussoufles et puis se décida d'aller à la volière pour retrouver son hiboux pour l'envoyer. Après une longue marche, il ouvrit la porte pour la refermer derrière soi, il se retrouva dans une volière ou d'autres oiseaux se reposaient. Il monta alors les marches pour se retrouver au deuxième étages et vit alors une jeune fille qui était assise sur le plancher et qui tenta de refouler ses larmes.

Sentant la détresse de celle-ci, il décida alors de l'a retrouver..

Il s'approcha lentement et se retrouve face à face avec la jeune fille.

euh bonjour ? Est-ce que ça va ?

À la vue, elle avait les yeux rougies, comme si elle avait pleuré longtemps.

Il s'accroupit pour l'a regarder devant elle et être de la même hauteur. Comme elle ne répondait pas, il décida de répéter plus fort :

Salut ? Est-ce que ça va ?

Il toucha son bras ce qui fait sursauter la fille.

Je suis désolé, je ne voulais pas te faire peur.

Il attendit alors une réponse qu'il décida de s'asseoir à côté d'elle...

Sibelle était là depuis un moment dans la volière entourée d'oiseaux. Elle avait trouvé cet endroit ou elle suposse qu'elle ne verrait pas beaucoup de gens. Elle se sentait seule et désorientée. Elle n'aimait pas se sentir comme ça. Cela fait deux cours qu'elle le manque parce que la motivation n'était pas là. Elle se cherchait plutôt une identité. Elle avait cherché Zeno toute la semaine mais elle ne l'a pas trouvé. Surtout, il est tellement beau, que tout les filles le veulent. Puis, de toute façon, il est en dernière année. Il n'avait surement pas le temps de converser avec une Sibelle en pleine crise.

Celà faisait un moment qu'elle pleurait sans retenue, elle se sentait découragée et surtout que son adaptation difficile. Elle voulait parler à Zeno car il y avait autres choses qu'elle ne lui avait pas dite. De toute façon, elle croyait se limiter car ce qu'elle avait conversé l'autre fois en était pas une belle histoire.

Pendant que le jeune garçon rentra, elle ne l'avait pas remarqué, perdu dans ses pensés qu'elle n'avait pas entendu parler à son intention. Soudainement, elle sentit sa main sur son bras ce qui l'a fait sursauter.

Je suis désolé, je ne voulais pas te faire peur.

Elle chercha ses mots, encore surprise de voir quelqu'un par ici...

Le jeune homme décida de s'asseoir à côté d'elle.

Je... Je ne m'attendais pas à voir quelqu'un c'est tout. Elle rougissait à la vu de ce jeune homme.

Elle hésita de le regarder, il avait l'air calme et curieux. Et pour la première fois, elle était en présence d'un autre garçon autre que Zeno. Elle se disait qu'elle devrait apprendre à le connaître et ne pas le juger vite. Du à son traumatisme, elle se disait qu'elle devrait le connaître un peu plus avant de porter un jugement.

Eliot avait tout simplement sourit quand Sibelle lui disait qu’elle ne s’attendait pas à quelqu’un d’autre. Il vit qu’elle était rougit et puis combien de temps qu’elle avait pleuré. Il s’inquiétait pour elle et en plus toute seule dans une volière qui était remplis d’hibou, il avait de quoi pour qu’elle veuille s’en aller plus loin… D’un œil discret, il trouvait que Sibelle était jolie et fragile. Il voulait l’aider mais ne sait comment faire.

Pourquoi tu as de la peine? Est-ce que je peux t’aider ?

Il se sentait impuissant face à sa détresse, il n’avait jamais vu personne aussi peiné dans toute sa vie. Il tentait d’être un vrai homme et de l’épauler.

Bon peut-être parce qu’on se connait pas trop, moi je m’appelle Eliot Walsen, mais tu peux m’appeler Eli. Je suis de poufsouffle. Et toi ?


Bon, il ne savait pas s’il c’était bien comme ça, mais il se dit que pour un début, on pourrait commencer par ça évidemment. Il se tourna pour faire face à la jeune fille dont il ignore encore son nom et mit une main sur son bras en signe de réconfort.

Tu sais, tu peux me dire si tu veux, je pourrais faire de quoi pour que tu arrêtes que t’aie de la peine ?

Elle était belle pensait-il, vulnérable et craquante. Il aimait la façon dont elle essuya sa main, la façon de le regarder. Il se sentait bizarre, comme ensorcelé. Il ignorait la cause, mais elle ne lui laissa pas indifférent…

Elle essaya de respirer à travers ses larmes que s'en est désespérant. Elle vit alors son ami s'inquiéter et lui demander si elle avait de la peine et s'il peut faire quelques choses...

J'ai reçue une mauvaise nouvelle... et...et je n'arrive pas à réaliser ça...

Elle recommença à pleurer de plus en plus belle.

Elle apprit alors qu'il s'appellait Eliot et qu'il venait de poufsoufle. Elle se demandait si elle avait eu un sort de rencontrer des amies venant de Poufsouffle, en plus de lui, il y a Camélia et la soeur de celle-ci... Ça en fait pas mal pour elle !

Moi... Je suis Sibelle et on m'appelle Sib' et je suis de Serdaigle.

Eliot l'a regarda un peu trop à son avis et elle n'aimait réellement pas trop
ça. C'est bien de faire un pas pour pouvoir enlever toute peur envers les garçons. Mais il y a des limites tout de même !

Lui dire tout ? Je ne le connais même pas, et puis ce n'est pas avec lui qu'elle irait converser ce qu'elle vit présentement. Elle a plus confiance avec Zeno car elle le connait de plus en plus. D'ailleurs, elle songe lui parler de ce qui la tracasse. Il pourrait alors lui donner les conseils. Lui arrêter de me faire de la peine ? Pauvre lui, ça serait plutôt difficile mais comment lui dire ?

euh.. non pas vraiment. Ne te sens pas mal mais je préfère dire à une autre personne si tu veux le bien.

En espérant que celui-ci comprenne sinon, ça va être compliqué !!!

Elle sentit qu'il serra son avant-bras qu'elle retira brusquement son bras ce qui fait sursauter son ami...

Excuse moi, je n'aime pas quand on me serre mon bras. Je suis désolé de t'avoir fait un saut...

Tout en lui montrant son sourire pour le rassurer qu'il n'y est pour rien.

Depuis un moment, la jeune fille n’arrêtait pas de pleurer à chaude larme. Il comprenait maintenant que c’est dû à une mauvaise nouvelle qui l’a mise dans cet état.

Oh ! Si ce n’est pas indiscret, qu’est-ce qui s’est passé ?

J'ai reçue une mauvaise nouvelle... et...et je n'arrive pas à réaliser ça...

Il ne savait pas en quoi une mauvaise nouvelle pouvait pousser la jeune fille à se cacher dans la volière mais il n’allait pas la laisser comme ça sans rien faire.

Moi... Je suis Sibelle et on m'appelle Sib' et je suis de Serdaigle.

Voilà qu’il apprit qu’elle s’appelait Sibelle, quel beau nom pour une jeune fille. Il l’a trouvait mignon.

Enchanté Sibelle, c’est un beau nom que tu portes…

Il vit que Sibelle réfléchissait intérieurement, ça doit la terrasser comme nouvelle.

Dit, si tu veux m’en parler, n’hésite pas. Je suis capable de garder un secret, même si tu ne me connais pas vraiment beaucoup. Je suis quelqu’un de confiance.

euh.. Non pas vraiment. Ne te sens pas mal mais je préfère dire à une autre personne si tu veux le bien.

Pensant bien faire, Eliot avait mis sa main sur son bras et sursauta quand celle-ci retira vigoureusement son bras. Et lui tendit un sourire pour s’excuser son geste.

Oh… Ce n’est pas grave, je voulais juste te donner un peu mon support.

Mais, il n’allait pas sans rien faire ou sans savoir ce qu’elle a. Il a quand même un respect pour cette jeune fille en crise. Il tenta de se mettre devant elle et s’assouplit à sa hauteur. Il le fixa dans ses yeux rougit et quelques larmes qui coulèrent encore.

Tu sais, même si tu préfère ton ami, je pourrais aller le chercher si tu veux ?

Même si il aurait envie de savoir, c’est quand même elle qui décide à qui en parler. Et puis, ça doit être grave comme nouvelle et peut-être qu’il ne saurait pas gérer la situation ? Tout en réfléchissant, il se surprit à admirer cette femme d’une autre manière. Son parfum qu’elle dégageait, ses cheveux lousses et bouclé un peu. Ses mains douces, sa lèvre mince et pulpeuse…. Il se rendit compte qu’il sentait un sentiment nouveau, de celui d’être amoureux. Il se questionna sur la façon de voir les choses. Il la trouvait magnifique sa beauté et surtout vulnérable. Il vit alors qu’elle porta des appareils auditifs mais s’en fouta. L’important, c’est qui se sente bien avec cette personne. Mais le problème, c’est qu’elle est en pleine crise et qu’il devait gérer cette situation. Mais comment ? Voilà le problème qui se posait Eliot…

Humm… Tu ne veux bien pas me le dire ? Tu sais, je pourrais bien t’aider ?

Il ne savait que trop dire pour l’encourager à évacuer sa peine. Mais comme ils ne se connaissaient pas trop, elle ne pouvait pas encore lui parler. Bon voyant qu’elle ne répondra pas à sa question, il allait user de stratégie…

C’est qui la personne que tu voudrais lui parler ? Je pourrais aller le chercher ?

Il attendit alors sa réponse tout en enlevant une mèche de cheveu qui se trouvait sur son visage.