La curiosité attire le danger... [PV]

Allongée dans son lit d’hôpital, elle regardait l’homme rire, c’est vrai que le peu qu’elle l’avait vu, il n’avait pas encore sourit, certaines personnes ont peut-être plus de mal que d’autre tout simplement. Quoi qu’il en soit, si il se moquait de Léna, ce n’était pas bien sympa, surtout qu’elle n’était pas vraiment en état de rire avec lui puisque lorsque son ventre se contracté, elle avait mal à l’intérieur.

« Ce n’est pas… sympa… de rire comme ça alors que moi je ne peux pas. Heureusement que je n’ai rien de manquant… par contre pour ce qui est de membres cassés… je crois que … que ma cheville n’a pas aimé… »

Elle regardait son pied, entouré d’une bande blanche, c’était lourd, c’était donc ça un plâtre ? Comment les moldus pouvaient ils se déplacer avec ça franchement ? Elle ne parvenait même pas à lever sa jambe, elle n’allait quand même pas devoir rester sur ce lit jusqu’à ce que se soit guéri ? Il parait que pour se remettre d’un telle fracture, il fallait plusieurs jours, voir semaines pour pouvoir à nouveau marcher dessus. Dire que si elle avait été à Sainte Mangouste, elle serait sortie du soir même… Elle devait joindre Erwan, il aurait surement une solution pour la tirer de la… encore qu’elle ne risquait rien ou elle était, et que le roumain devait avoir des tonnes de boulot. Dmitri s’excusa de lui imposer ce temps d’hospitalisation, elle haussa naturellement les épaules, lui indiquant qu’elle ne pouvait pas lui en vouloir.

« Ce n’est pas de votre faute, vous ne pouviez pas savoir… dès que je pourrais sortir, j’irais jusqu’à Sainte Mangouste et j’espère qu’ils pourront faire quelque chose. »

Oui, ce n’était pas sur que médecine moldu et magique puissent cohabiter ensemble, et elle ne ferait pas l’essai sur sa jambe. Si les médecins ne savaient pas ce que ça pourrait avoir comme effet, elle retournerait bien sagement chez elle, et elle squatterait son fauteuil en attendant que tout soit guéri comme il se doit. Il aurait pu aussi l’aider à s’enfuir de l’hôpital, et la déposer à Sainte Mangouste au passage avant de retourner tranquillement chez lui, après tout, il avait fait ses preuves avec le sortilège d’oubliettes, un hôpital ne lui faisait pas peur quand même si ?

« C’est surement pour ça que je ne sens rien alors… ça fait vraiment une drôle de sensation… »

Dmitri accepta de rester un peu avec la jeune femme, lui annonçant quand même qu’il ne pouvait pas trop tarder puisqu’il était attendu ailleurs. Après tout, il avait très certainement une vie et Léna ne pouvait pas lui demander de veiller à ses cotés le temps qu’elle aille mieux. Elle voulait juste lui poser quelques questions, déjà à savoir si il avait vu quelque chose parce qu’elle devrait aller porter plainte par la suite aux autorités, elle n’allait quand même pas laisser un fou en ville, si jamais il voulait l’agresser de nouveau ? Il fallait qu’elle se protège et que surtout, qu’elle garde sa baguette sur elle.

« Je vous promet de ne pas vous retenir trop longtemps. Je voulais juste savoir si vous aviez vu mon agresseur, si jamais il revient, qu’il n’ait pas quitté la ville ? Je ne peux pas vivre en sachant qu’il peut avoir envie de reprendre la ou il a été interrompu vous comprenez ? Et je saignais tant que ça ? Je n’ai vraiment plus aucun souvenir… Le traumatisme qui a du me faire ça… »

Ou l’intervention du jeune homme, mais ça elle ne pouvait pas le savoir… Il se présenta à son tour, oubliant son nom de famille, dans un sens elle s’en fichait un peu, mais si elle avait voulu lui envoyer quelque chose pour le remercier, ça serait plus compliqué. Elle l’écouta quand même lui expliquer que l’homme qui l’avait agressé ne voulait certainement pas la tuer… Euh, il avait bien vu l’état dans lequel elle était actuellement ? Non parce qu’elle était juste dans un lit d’hôpital moldu, une cheville dans le plâtre, le bras en écharpe, des compresses un peu partout sur le corps pour ses plaies… Heureusement qu’il n’avait pas voulu la tuer, imaginez le résultat sinon…

« Permettez-moi d’en douter… Je ne vois pas pourquoi je serais dans cet état s’il avait eu envie d’autre chose que de me tuer… »

Oui, parce que dans le cas contraire, elle voulait vraiment avoir la théorie du jeune homme…

« Excusez-moi… »

Sans perdre son sourire, toujours amusé, le jeune homme observé la brune alitée. Elle ne manquait pas d’humour, pour voir la situation dans laquelle elle se trouvait. C’était si étonnant, si inattendu, que c’avait le don de détendre l’atmosphère bien plus que nécessaire. Dmitri n’avait pas pour habitude de travailler avec des personnes aussi… posées… Généralement, il endurait cris, hystérie… crise de folie… Et si de temps en temps ce n’était pas marquant, il était certain qu’à long terme cela devenait difficile à supporter. Aussi la façon de réagir de la jeune femme avait-elle le don de plaire au Bulgare. Il ne s’était pas vraiment attendu à ça, et la surprise n’était pas désagréable (ce qui était un cas extrêmement rare dans sa voie !). Observant le plâtre qui était à présent là pour bloquer et aider la cheville de la sorcière à guérir ‘plus vite’ (notion purement moldue dans ce cas là, hélas…), il ajouta :

« Pour le rire, mais aussi pour votre cheville. Ca risque d’être long… »

Quant à Sainte Mangouste…

« Je suppose qu’ils sauront vous soigner bien mieux et sans nul doute plus rapidement qu’ils ne le feront ici… »

Quant aux effets des anesthésiants, Dmitri n’avait jamais eu la chance (ironie, haha) de les tester mais cela ne lui tenait pas particulièrement à cœur, soit dit en passant ! Il répondit donc doucement :

« Je veux bien vous croire. »

Oui, ce devait être une bien étrange impression que de perdre ses sensations. Et quitte à choisir, le Bulgare préférait souffrir plutôt que de ne rien sentir alors qu’il était brisé. C’était ridicule, certes, mais il n’aimait pas l’idée de ne pas avoir sa propre idée de son état…

Prenant place aux côtés de la jeune femme, Dmitri l’écouta lui parler et lui mentit avec une habituelle assurance qui faisait qu’on ne remettait jamais sa parole en doute (alors qu’en réalité, il passait son temps à mentir à tout le monde…) :

« Je ne l’ai pas vu, vous m’en voyez désolé. »

Que les choses soient claires. Il ne mentait pas intégralement ! La dernière partie était vraie. Il était désolé. Mais ce n’était pas pour l’agresseur, mais pour l’agression en elle-même. Si seulement il était arrivé plus tôt, aussi !

« Je ne peux que vous conseiller ne plus sortir sans votre baguette. Pendant un temps, en tout cas, même si je pense plus sûr de toujours l’avoir sur soit. On n’est jamais à l’abri et puis, on peut toujours avoir besoin de transplaner pour une raison ou une autre… N’est-ce pas ? »

Dmitri posa ses yeux sur les blessures à présent pansées de la jeune femme et reprit :

« Ceci di, je doute qu’il revienne… Quelqu’un ou quelque chose a dû le faire fuir, je suppose. Quand je suis arrivé, après vous avoir entendu, vous étiez seule. J’imagine qu’il a été poursuivit par quelqu’un… Aussi je doute qu’il repasse par ici. »

Puis il reprit, très sérieusement :

« Moi je pense que s’il avait voulu vous tuer, il l’aurait fait immédiatement, voyez-vous… Ah moins qu’il ne s’agisse d’un sadique, évidemment… Mais mon hypothèse, c’est qu’on a voulu profiter de vous, parce que vous êtes ravissante, on ne peut pas vous l’enlever. Et vous avez refusé… On vous a sans doute battu… Quant à la suite, je ne sais pas ce qui a fait fuir votre agresseur… mais il n’a pas eu ce qu’il désirait, ça j’en suis certain. Pour votre mémoire, peut-être est-ce dû à l’importante quantité de sang que vous avez perdu… Avec les coups, ça n’a pas pu vous êtres avantageux, c’est certain… »

Lena ne pouvait pas en vouloir au jeune homme, il parvenait à la faire sourire alors que la situation n’était pourtant pas spécialement prévu pour ça. Peut-être que les anesthésiants faisaient effet bien plus que dans sa jambe et aux autres endroits où elle avait mal. Dans un sens, ça restait des médicaments, ils ciblaient donc une zone mais pouvait agir dans tout l’organisme, alors pas la peine de chercher à comprendre pourquoi elle avait parfois mal, et d’autres fois plus du tout. Néanmoins, elle observait le jeune homme, ne sachant pas grand-chose à son sujet, elle ne pouvait pas non plus faire connaissance dans ce genre de condition, ça n’était pas ce qu’il y avait de plus courant on va dire. Bref, Dmitri s’excusa non seulement pour le dire mais également pour sa cheville, bah il n’y pouvait pas grand-chose mais c’était gentil quand même.

« J’ai déjà eu l’occasion de me retrouver dans cette situation suite à une chute dans les escaliers, donc la cheville, c’est déjà une zone moins importante… Espérons que je pourrai rapidement marcher dessus… »

Bon à la différence qu’elle avait été soignée à Sainte Mangouste et qu’elle avait pu faire plus ample connaissance avec William, mais passons sur ce dernier point. Elle voulait surtout pouvoir quitter l’hôpital, se rendre chez elle, récupérer sa baguette et aller voir Erwan. Sait-on jamais des fois qu’il saurait quoi faire pour abréger sa convalescence.

« J’irais voir là-bas une fois que j’aurai eu l’autorisation de sortir, et je pense que vu l’heure, ça ne sera pas avant demain… Tant pis, je n’ai plus qu’à attendre… »

Elle posa sa tête au fond de son oreiller, jetant un coup d’œil au plafond. Déjà la chambre n’était pas trop horrible, elle avait la télé, et elle était également seule dans la pièce, ce qui était plutôt pas mal quand on savait qu’elle était sorcière au milieu d’un établissement de personnes sans pouvoirs magiques. D’autant plus que le jeune homme ne savait pas grand-chose de son agression, elle ne se rappelait de rien et pensait qu’il aurait pu lui en apprendre d’avantage sur ce qu’il aurait pu voir avant que l’agresseur ne prenne la fuite. Léna l’écouta quand même, ça serait un début de piste si jamais elle voulait aller signaler son agresseur aux autorités moldus et sorcières. Une chose était certaine, c’est qu’à présent, elle ne quitterait plus sa baguette, elle ne pouvait qu’être d’accord avec ces propos, on n’est jamais à l’abri d’un transplanage pour vous sauver la vie.

« Je vous assure que je l’aurais toujours sur moi, je ne vais plus la quitter ! Quand je pense à ce qui aurait pu se passer si vous n’étiez pas intervenue, j’ai été chanceuse une fois, mais je ne tenterais pas à nouveau l’expérience, croyez moi ! »

Elle écouta la théorie de Dmitri, elle pouvait être censée, mais la jeune femme ne savait pas vraiment si c’était possible, quelque chose en elle lui disait que ça ne pouvait pas s’être passé comme ça, maintenant à savoir pourquoi elle pensait ça, c’était une bonne question, mais soit ! Léna l’écouta tout de même avant de donner son point de vue sur cette idée.

« Vu les blessures que j’ai un peu partout, je pense bien qu’il était un poil sadique quand même. Après tout, quel intérêt de m’attirer dans la forêt… euh la ruelle, pourquoi je parle de forêt moi… L’aspirine sans doute… Donc je disais pourquoi m’attirer dans la ruelle si c’est simplement pour me tuer ? Il voulait jouer avec moi, et je me suis pas laisser faire, et après c’est le trou noir, juste que je me rappelle de vous, et seulement vous d’ailleurs… »

Elle posa ses mains sur son visage essayant de se rappeler quelques vagues souvenirs, mais rien à faire, ça semblait vraiment impossible à faire… Pourquoi parlait-elle d’une forêt ? Elle était dans une ruelle… encore de vagues choses qui la perturbaient, elle ferait peut-être mieux de se reposer un peu…

« Je pense qu’il est tant pour moi de dormir, avec un peu de chance, j’y verrai plus clair demain… Comment pourrais-je vous contacter ? Je veux dire, pour vous remercier ? »

Parce que oui, Léna voulait le revoir, elle lui devait bien ça pour lui avoir sauver la vie quand même…

Le sorcier restait impassible, attendant (plutôt désespérément, hein *paaaf*), le moment où il pourrait quitter cet hôpital. Il ne se sentait ni à sa place, ni particulièrement à l’aise, dans ce genre de situations. Et c’était bien pour ça, justement, qu’il préférait les éviter autant que faire ce peu ! Il n’eut aucune réaction physique lorsqu’elle mentionna une forêt, mais en son fort intérieur, il eut un frisson d’inquiétude. C’était… étrange. Mais il ne pouvait pas lui jeter un sortilège d’oubliettes une fois encore, et puis, au fond, elle devait sans doute divaguer… Lorsqu’elle lui annonça qu’elle allait se reposer, le sorcier Bulgare se sentit immensément soulagé. Il n’en dit rien, ne le montra aucunement, mais il aurait hurlait de joie, s’il l’avait pu… La torture cessait enfin, et c’était une très bonne chose, de son point de vue.

Se redressant donc, il adressa un demi sourire à la jolie brune, répondant à sa demande avec une certaine neutralité :

« Je craint que cela soit compliqué. Et vous n’avez aucunement à me remercier, je le répète. »

Il ne lui donnerait aucune information, parce qu’il n’en n’avait aucune envie. Il ne voulait pas la revoir, il ne voulait pas être remercié alors qu’il avait commis une erreur qui aurait pu coûter la vie à cette sorcière innocente. Il s’en voulait, et revoir cette femme ne ferait que raviver sa douleur, à chaque fois qu’il l’apercevrait. C’était donc ridicule et une souffrance qu’il jugeait être inutile.

« Je vous souhaite un bon rétablissement. »

Il se leva, esquissa un dernier sourire et quitta les lieux, sans rien ajouter. Il préférait s’esquiver aussitôt que possible. C’était bien mieux ainsi. Pour lui, mais aussi pour elle. Voilà tout. Dmitri transplana dans une petite ruelle. Il récupéra ses affaires, à l’hôtel, puis quitta enfin les Etat-Unis, prêt à rejoindre sa fille en Bulgarie… Elle lui avait tellement manqué.

Quand il transplana dans l’immense jardin de ses parents, il fut accueilli, à peine quelques secondes plus tard, par un cri suraigu en provenance de l’immense demeure qui s’étendait sous ses prunelles azur. Une petite fille aux longs cheveux châtain se précipita dans le jardin, courrant dans sa direction, tandis qu’il faisait de même, de son côté. Portant haut dans ses bras la belle princesse de sa vie, il l’embrassa avec bonheur, tandis qu’elle s’émerveillait de son retour, il admirait sa beauté. Serrant fort la jeune demoiselle dans ses bras, il lui sourit et l’écouta raconter tout ce qu’elle avait fait dernièrement, tandis que, main dans la main, ils se dirigeaient vers les parents du jeune homme, qui se tenaient sur le pas de la porte…


[FIN POUR DMITRI ]

Léna était vraiment fatiguée et les calmants qu’elle avait reçus étaient assez forts. Par moment elle fermait les yeux, les ré-ouvrants aussitôt de peur de voir Dmitri disparaître sans lui avoir donné d’indications sur lui et sur une manière quelconque de le remercier. De plus, il n’arrêtait pas de dire qu’elle ne lui devait rien. Bah en y réfléchissant bien, elle lui devait la vie quand même –peut-être même une maladie des neurones futures avec les sortilèges qu’il venait de lui faire un peu plus tôt dans la soirée- . Le jeune homme sembla esquiver la réponse en tout cas, mais Léna était bien trop faible pour lui renouveler sa demande. Elle commençait vraiment à s’endormir et il était de plus en plus difficile de lutter.

« Je dois vous remercier, c’est tout naturel… Merci encore… »

Léna le regardait, sachant qu’il allait partir, il lui avait dit qu’il était attendu ailleurs, en plus, elle-même avait du mal à rester lucide, elle ne savait pas bien quoi dire, elle n’avait même pas la force de garer les yeux ouverts, alors le retenir, c’est complètement une mission impossible. Quoi qu’il en soit, la jeune fille sourit à son bienfaiteur, et lorsqu’il se leva pour lui souhaiter un bon rétablissement, la jeune femme souffla quelques mots avant de tomber dans les bras de Morphée.

« Merci… »

Pouf, plus de Léna, enfin si, mais elle dormait et si elle avait su à l’avance ce qu’elle allait voir en rêve, croyez moi qu’elle n’aurait pas fermé les yeux de si tôt. La jeune femme était en train de parler avec un jeune homme, surement l’homme qui l’avait agressé d’ailleurs, elle ne le reconnaissait pas et il était dans une ruelle sombre et sinistre… Tout ce qu’elle voyait de lui, c’était ses dents, pointues, qui voulaient aller croquer le cou de la jolie brune. Elle était la en train de courir, encore et encore, comme si elle était sur un tapis roulant, ne parvenant pas à avancer. Elle ne savait pas quoi faire, elle ne pouvait pas crier, elle avait peur, suait à grosse goutte, pas moyen de distancer le garçon. Léna ne parvenait pas à crier, c’était comme si on lui avait volé sa voix, et qu’on prenait un malin plaisir à la regarder essayer de s’en sortir en sachant déjà qu’elle n’y parviendrait pas. Elle tomba alors, une sorte de chute sans fin, puis elle heurta le sol. Elle se releva au milieu d’une forêt, la brune ne savait pas ou elle était, ni comment elle était arrivée la mais il y avait Dmitri qui était en train de se battre avec le garçon aux dents pointus, comment était-il arrivé la ? Pourquoi était-il-là ? Un sortilège impardonnable fut prononcer, l’homme s’écoula en poussière et Dmitri s’approcha alors de la demoiselle, se pencha vers elle voyant ses blessures puis il pointa sa baguette sur la demoiselle blessée. La brune avait du mal à comprendre, pourquoi la menaçait-il de sa baguette, pourtant il ne lui voulait pas de mal, c’est lui qui l’avait sauvé et amener à l’hôpital. Enfin, elle était dans une ruelle, alors qu’ici elle était dans cette forêt. C’est la que l’homme lança le sortilège et que la jeune femme se réveilla en sursaut.

«Nom d’un gobelin ! »

Le réveil en sursaut avait attiré un infirmier à venir dans la chambre de la jeune fille, il lui assura qu’elle n’avait fait qu’un mauvais rêve et qu’elle pouvait se rendormir, elle pourrait bientôt sortir de l’hôpital, surement le lendemain après la visite du matin. Léna se rallongea, légèrement troublée, et si tout ce qu’elle pensait était erroné, et si elle avait été agressée ailleurs que dans cette ruelle… Elle n’aurait pas les réponses de si tôt puisque Dmitri devait surement être loin à l’heure qu’il était…

[Terminé pour Léna]
[Sujet Fini]