Ronde au sommet [PV]

Marie Caroline Elisabeth, petite princesse blonde aux yeux bleus et (optionnellement) comtesse à ses heures perdues, était, à l’heure actuelle, pleinement occupée à se limer les ongles. Activité qui, pour de nombreux puristes dénués d’une quelconque intelligence (et d’un certain esprit pratique) était, sans nulle doute, marquée par une superficialité partielle, voire complète, mais qui, dans la vie dure et agitée que menait la jeune préfète ah oui, parce que j’avais omis d’ajouter ce titre avec ceux de noblesse, mes excuses… était une étape plus que primordiale du quotidien de la damoiselle (pardon, les devoirs ? Quel est ce vilain mot que vous prononcez là… Brrr !). Quand cette tâche fut terminée, elle pu rejoindre la salle commune des vipères, descendant doucement, d’un pas léger, les escaliers qui provenaient de son dortoir. Arrivée à destination, elle retrouva Heaven et la rejoignit, sûre d’elle. Elle ne resterait pas longtemps, mais c’était juste pour lui parler de ses ongles, donc bon…

Une fois qu’elles eurent fini de parler manucure (ce qui prenait beaucoup moins de temps qu’un sujet capillaire, ce dernier pouvant bien occuper plusieurs jours d’affilé la blondinette…), la blonde demoiselle quitta la salle commune, étant forcée de sortir de ronde ce soir-là. Elle allait faire cette dernière avec une Poufsoufle, mais elle n’avait pas vraiment pris la peine de savoir lequel, exactement (elle s’en moquait de toute façon…). Elle marchait d’un pas tranquille, n’étant aucunement en avance (mais ça, ça ne l’inquiétait pas, elle était née pour être attendue et pas l’inverse !). et c’est avec surprise qu’elle se trouva, finalement face à Roman Jones… Soudain, l’alarme sonna dans la tête de la sorcière qui se rappela que, oui, le blondin avait été nommé préfet cette année (comment avait-elle pu oublier, d’ailleurs ??? u_U). Aussi, le salua-t-elle, tout simplement :

« Roman… je ne sais pas si tu es au courant, mais tu as mis une cravate et un nœud de papillon… Loin de moi l’idée de te critiquer, mais je me permets une micro remarque, quand même : c’est super moche. Et sinon tu vas bien ? »

On notera un réel changement, du côté de la Vipère puisqu’elle souriait et qu’en bonus, elle ne l’avait pas nommé sèchement (et elle avait même di son prénom, et pas son nom de famille, pour l’interpeller ! Bref, que de progrès, que de progrès !). Evidemment, Roman n’était aucunement son meilleur ami plutôt crever que lier pareil lien avec l’ennemi !!! On est en Guerre, après tout !!!, mais on pouvait, néanmoins, qualifier leur lien de ‘positif’ depuis peu… Oui oui, c’était assez fou, mais bel et bien vrai… Qui l’eut cru !!! Assurément pas Marie ! Comme quoi… Il y a des jours comme ça…

« Comment vas-tu ? »

On notera qu’elle n’était pas non plus aussi extravertie avec lui qu’avec ses amis proches (en admettant que marie puisse se montrer réellement extravertie, ce qui me laisse pensive…). Disons qu’avec Roman Jones, la sorcière avait toujours besoin d’un certain temps d’adaptation. Elle n’était toujours pas habituée à le côtoyer… Ce n’était pas inscrit dans son code génétique. Les autres maisons, elle les évitait (surtout qu’actuellement, elle avait un énorme problème avec une peste blonde alias Ophélia, membre de la maison du jeune homme, et, accessoirement, ex petite amie de ce dernier ! *grrrr*). Après il y avait Fredericke… Mais elle c’était différent ! Elle était noble [struike]et blonde, ce qui n’est pas un détail négligeable[/strike] donc elle pouvait entrer dans le cercle so select de Marie (et ouiii).


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C’était une soirée spéciale pour la jeune lionne. Tout d’abord après avoir bien mangé, elle c’était dirigée vers le local d’Horace Slughorn pour y aidée des premières années en difficulté. Estelle était très bonne à l’école. Parmi les meilleurs de son niveau. Elle avait toujours eu une facilité à l’école qui avait bien souvent étonné ses professeurs. Nina lui avait même demandé de ne pas y allée car elle voulait y raconter un truc qu’elle avait apprise dans la journée. Nina n’avait rien dit de sa pendant le souper car, elle ne voulait pas que sa s’ébruite. Étrange non? Bref ce n’est pas le but de cette histoire D’ailleurs, elle n’était pas la seule qui était venu pour aidée les élèves. Estelle fut placé avec une jeune de Gryffondor et devait la supervisé dans l’évolution de sa potion. Se qu’elle fit avec brillance. L’astuce qu’elle donnait avait beaucoup aidée la jeune rousse qui était vraisemblablement nerveuse en matière de potion. La fillette se prénommait Sarah et elle lui avoua qu’elle était une née moldue qui avait de la difficulté a s’habitué à cette école particulière. Elle lui raconta dans les grandes lignes que pendant longtemps elle ignorait tout de la magie jusqu’à se qu’elle l’utilise pour la première fois et que sa mère avoue qu’elle était une sorcière. D’ailleurs sa rassura son élève. Il était près de 20 heures lorsque que les cinq élèves et leurs tuteurs commençaient à ranger leur matériel. Une fois que tout le matériel fut rangé le professeur les libéra.

Elle fit quelque mètre en compagnie de son élève lorsqu’Estelle réalisa qu’elle avait oublié son sac dans la classe. « Continue sans moi, j’ai oublié mon sac» dit t-elle à la jeune Sarah. « Mais s’est bientôt le couvre feu non? Et notre maison est loin des cachots» me répondit mal assuré la jeune fille. Estelle lui fit un grand sourire pour rassurer la première année. « T’inquiète pas pour moi vas-y, à plus tard» bref, Estelle fit les pas inverse du groupe qui venait de terminé la récupération. Par chance le professeur Slughorn était encore là, donc la classe était encore ouverte. Il lui proposa de se dépêché avant que les préfets la prennent dans les corridors lorsqu’elle serait gentiment supposé être dans sa salle commune avec les autres. Il n’avait pas tord par contre, se ne serait pas la première fois qu’elle se retrouverait en dehors du dortoir à des heures si tard- même si 20 heures n’était pas tard pour la jeune fille. Estelle salua le professeur puis quitta l’endroit avec son sac. Elle en avait absolument de besoin car il y avait son livre de lecture mais aussi son devoir qu’elle voulait terminer avant d’allez dormir. Puis, juste pour faire excipés, Estelle s’enfargea dans les fleurs du tapis, enfin dans les fleurs du planché inégal par endroit. Donc elle se retrouva face la première au sol et doucement elle se leva. Enfin, c’est main avait empêché d’avoir le visage directe au sol. Les genoux et les mains endoloris elle c’était doucement levé. Prête pour reprendre sa route vers les hauteur du château…

[520 mots]

Se moquant pas mal de l’attitude générale de son collègue Poufsouflien, la blondinette se contenta d’un petit sourire, mi amusé, mi agacé adressé à l’intention de son jeune ami. En soit, elle n’avait pas grand-chose contre lui, mais il restait un Poufsoufle (et le pire, dans l’histoire, c’est qu’il était aussi l’ex petit ami d’Ophélia *mieux connue sous le pseudo de l’abominable blonde qui avait essayé de lui voler Tobias :*). Bref, forcément, en voyant Roman, elle pensait à cette sale cruche, et donc à cette très fâcheuse histoire… Aussi répondit-elle simplement à la question de son compagnon de la soirée, lasse :

« Ca va, ça va… »

Elle avait connu bien mieux (puisqu’elle avait quelques difficultés pour pourrir la vie d’Ophélia, ça demandait beaucoup d’imagination, et Marie en manquait cruellement à l’heure actuelle… heureusement qu’Heaven était de son côté ! Elle avait toujours de très bonnes idées pour tuer la vie sociale des autres !). Ceci étant, Dieu ne devait vraiment pas être du côté de Marie, étant donné la question que Roman lui posa alors qu’ils venaient tout juste de se mettre à marcher… Si son début d’année s’était bien passé ??? Non mais quelle question !!!! Non, ça se passait mal, bon sang ! Super mal, même, mais il était incapable de comprendre les soucis de la belle blonde, ce gars là, il n’avait pas de cœur, c’était un blaireau, fallait pas trop lui en demander *oui il était mignon, mais il n’avait vraiment que ça pour lui (si si, Marie s’en convainc, non mais oh !).

« J’ai connu mieux… Poudlard me pèse, j’en ai vraiment assez de cette foule, de ces gosses sans manière et de ces sales petites pestes qui s’imaginent qu’elles valent quelque chose… »

Oui, en fait c’était Ophélia qui l’agaçait, mais elle n’était pas folle, elle ne balancerait rien à ce sujet à Roman, ha ça non alors !!! Haha !!!!

« J’ai hâte que mes études se terminent… Surtout pour ce qu’elles me serviront après, franchement… »

Oui, parce que pour Marie, il était évident qu’elle ne travaillerait pas plus tard ! Fallait pas pousser, quand même . Elle comptait profiter de l’argent dont elle hériterait, et faire comme sa mère (et sa grand-mère et son arrière grand-mère, bref, comme toutes les femmes dignes de ce nom, membre de sa famille : elle serait une femme belle, riche, qui ne travaillera pas. Normal, non ?).

« Et toi, ta rentrée ? »

Estelle toujours dans son éternel débat d’esprit c’était relevé, elle c’était enfargé dans les fleurs du planché. Pourtant après deux ans et demain dans ses lieux, elle devait s’être habitué à l’irrégularité des planchés. Malheureuse en bonne fille lunatique, elle s’y était fait prendre comme un chaton devant une sourit-peluche. Elle soupira. La lionne prit tout même le temps d’inspecté son genoux. Par chance, il n’était qu’éraflé. Il faut dire que la jeune rouge et or n’aimait pas trop le sang. Elle se sentait étourdi quand elle en voyait et parfois, elle tombait dans les pommes. « Felluette » va se que son frère lui disait en bon jargon pour la taquiné. Après avoir inspecté et ainsi rassuré de ne pas voir une trace de sang (Une lionne qui a peur du sang, drôle non?). Bref, Estelle regarda sa montre, elle indiqua 20h13. Arff ; laissa échappé la lionne. Tout les élèves excepté les préfets de garde, devait être dans leur dortoir. Si elle ne se dépêchait pas, elle aura des ennuis. Rien de bien grave car se n’était pas de sérieux comme ennuis mais son dossier était vierge. Et oui! Malgré ses deux –trois sortie nocturnes, les mauvais tours au concierge et celui en préparation, son dossier était vierge - blanc sans aucune note de mauvais comportement. Elle avait de la veine c’était certain. Elle se remit dont en marche. C’était le début du défit : celui d'éviter les préfets...

Mon Dieu… Que les Poufsouffles pouvaient être simplets… Marie aurait presque pu oublier d’où venait Roman s’il n’avait pas posé une question aussi ‘bête’, du point de vue de la jeune sorcière qui haussa les épaules, esquissant un sourire supérieur :

« Mais parce qu’il est évident que je ne travaillerais pas. »

Evidemment, cette ‘évidence’ n’était pas aussi ‘naturelle’ pour un garçon de la classe moyenne… Mais pour Marie, qui descendait de générations de femmes au foyer (enfin, de femmes qui se contentaient de sourire et de faire bonne impression), il était plutôt évident qu’elle ferait comme sa mère, sa grand-mère, son arrière grand père (et on peut remonter comme ça pendant des générations)… bref. C’était logique, en soit… Pourquoi, une princesse travaillerait-elle ? C’était à son époux de travailler (comme son père, quoi…). Elle, elle se contentait d’organiser quelques cérémonies… Elle travaillait l’apparence de la famille (parce qu’il était aussi évident qu’elle aurait des enfants…). Bref, elle serait une poupée qui ferait bonne figure. Et c’était, à ses yeux, parfaitement normal.

« Tant mieux, alors… »

Oui, si sa rentrée s’était bien passée, et bien c’était une très bonne chose pour lui après tout. Quand Roman questionna la sorcière sur son ‘imbé’ *pardon ?* copain, cette dernière eut un petit hochement de tête, sans sourire cependant, elle répondit, pensive (voire un peu évasive) :

« Oui, évidemment. »

Ca aussi c’était un peu ‘logique’, pour Marie. Elle était avec Tobias depuis tellement longtemps qu’envisager de mettre fin à leur relation… Et bien c’était tout bonnement inenvisageable. Voilà tout ! Ceci étant, le temps avait beau passé, la sorcière demeurait amère, quand elle songeait à ce que Tobias lui avait di sur (justement !) l’ex petite amie de Roman… cette pensée noircit quelque peu son regard, tandis que son expression devenait plus morne, presque triste. Heureusement, dans la pénombre des sous-sols, c’était sans doute peu visible ? Traînant quelque peu de pieds cette fois-ci, ayant clairement perdu de son entrain (il avait le don de casser l’ambiance ce Roman, quand même ! *paf*), elle trébucha, se cognant la pointe de son pied droit sur une dalle à peine surélevée par rapport aux autres.

Voyant alors toute sa vie défilait sous ses yeux étonnés aaaaah, peut-être faire marche arrière s’il vous plait ??? Je cherche ce bouquin depuis des lustres et je viens enfin de savoir où il était !!!! Merci le flash back !, c’est inquiète qu’elle se rattrapa au bras de Roman alors qu’elle allait tomber tête première, face contre terre (oui, parce que niveau réflexes, Marie n’est vraiment pas un exemple *on comprend, maintenant, pourquoi elle ne joue pas au Quidditch (hormis le fait que ça salisse et que ça fasse transpirer… +paf+).

« Haaa… »

Sa main droite avait agrippé la manche du Poufsouffle, tandis que la gauche s’était retrouvée autour du coup du sorcier, une fois s’être aidée de sa main droite. Etait-il utile de préciser que là, elle était bien plus réveillée que précédemment ?

« Han, j’ai cru que j’allais m’écraser par terre… »


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L’heure s’écoulait avec rapidité surprenant et elle était toujours loin d’être arrivée à la salle commune des Gryffondor. Les rondes des préfets ne lui facilitait nullement la tâche et présentement, elle aurait bien savoir maîtrisé son don et se rendre complètement invisible. Malheureusement pour la jeune sorcière, elle n’arrivait qu’à faire disparaître se main pendant quelques secondes. Elle qui était une élève qui n’avait pas de difficulté à apprendre voila qu’avec son don, se ne fonctionnait pas du tout Peut-être qu’elle devait d’abord et avant tout accepter son don et arrêtez de s’en faire. Estelle avait un peu de difficulté à l’accepter a cause de sa mère qui lui fait la gueule mais aussi (surtout en fait) qu’elle avait honte d’être une lionne qui devient invisible. La chance était jusqu’à maintenant de son côté faut qu’être capable de devenir invisible. Elle avait passé a deux doigt de se faire prendre lorsqu’elle d’un duo de préfet (car il ne se promenait jamais seul apparemment) s’approchait de sa position. Elle avait réussit à les évité grâce au passage secret qui était tout près d’où elle se trouvait. Lorsque le bruit de leur pas ne fut plus perceptible par ses oreilles, elle sortit de sa cachette. Elle avait eu chaud, très même. Elle était chance parce que les lumières dans les corridors n’étaient pas encore éteints donc elle n’avait pas à trahir sa présence avec un lumos.

Se n’est que lorsque qu’elle allait prendre le prochain corridor qu’elle perçut des bruits de pas. Elle se cacha derrière une grosse statuette qui agrémentait le corridor. Puis c’était à se moment la qu’elle vit passé Roman Jones et Marie De Liechtenstein. Roman Jones, elle le connaissait de vue. C’était un beau garçon et ça la lionne était d’accord avec certaine filles ceux qui le trouvait mignon et pour la vipère, elle ne la connaissait que grâce à Nina qui lui avait montré dans la grande salle. D’ailleurs Nina lui avait expliqué qu’elle était en couple avec Sandeau. Derrière la statuette qui la cachait amplement par son volume, elle passa inaperçu pour le duo Jones et De Liechtenstein. Elle laissa un soupire de soulagement en se lançant tombé au sol sans bruit. Mais rien n’était encore jouer. Elle ne pouvait revenir en arrière, la route ne serait que plus dangereuse… Elle pouvait parfaitement entendre leur conversation et se risqua un regard pour regardé leur progression. La verte et argent s’enfargea dans les fleurs du planché (comme elle plus tôt) – une dalle qui était légèrement surélevé et Jones, homme de la situation la rattrapa de justesse. Une véritable scène des meilleurs films d’amour. La Nina en elle, l’empêcha de détourné le regard de la scène. Elle était enfin témoin des subtilités de l’amour. C’est là, de sa parfaite cachette, elle put parfaitement voir Jones embrassé la vipère. La jeune lionne lâcha un « yeuk » qui par chance passa inaperçu. Elle n’arriva pas a détournée les yeux de la scène. Comment pouvait-on être amoureux d’une vipère. Bon, les Serpentard n’étaient pas tout à l’image de Drago Malefoy. Estelle avait même réussit a se liée d’amitié avec Ann Iverson, une 6ieme année. Mais, elle ne si faisait toujours pas a son amitié avec Ann.

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