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| . at Mills' house in Newton Abbot | |
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Invité
Ξ Sujet: . at Mills' house in Newton Abbot Mar 10 Avr - 22:58 | |
| Jamie & Minerva
Jamie faisait rebondir la balle assit sur la dernière marche du perron. C'était bientôt l'heure du thé, bien évidemment sa mère ne voulait jamais qu'ils manquent l'heure du thé et ce fut la raison pour laquelle il était coincé ici à jouer seul à la balle. Cependant que ça soit l'heure du thé dans moins d'une heure ou non, il serait quand même coincé ici, après tout elle ne l'avait jamais autorisé à sortir ou à inviter un de ses camarades de classe, l'heure du thé n'était qu'un des multiples prétextes qu'elle utilisait. Puis lorsque c'était son père qui était à la maison, le prétexte qu'ils utilisaient était que Jamie devait passer plus de temps avec lui. Sauf que bien évidemment il finissait par le passer seul, son père vacant à ses occupations à lui.
En tout cas il se retrouvait tout le temps seul et ça l'agaçait. Sauf que voilà, aujourd'hui il attendait sur le perron non pas parce qu'il jouait tout seul à la balle, ce n'était qu'une distraction en attendant le moment venue. Aujourd'hui devait arriver quelqu'un qui allait peut être changer tout ça. Cette balle qui continuaient de rebondir à chaque fois que Jamie la laissait tomber sur le sol était récente pour la simple et bonne raison que l'autre eh bien....c'est une histoire à part.
Il y a moins d'une semaine dans le jardin des Mills Jamie jouait tranquillement tout seul à faire rebondir la balle contre le mur. Un passe-temps comme un autre qui le faisait au moins prendre l'air, ni son frère, ni sa soeur de toute façon ne cherchait à s'amuser avec lui. Beaucoup plus agé que le garçon, il préférait vaquer à leurs occupations, soit à étudier, soit à sortir, ils étaient bien plus libre que Jamie pour une raison qu'il ignorait. Sa mère lui demanda alors de rentrer à l'intérieur pour travailler ce dont il ne voulait pas. Après tout il travaillait déjà assez et le faire un peu plus ça l'agaçait. Ce n'est pas qu'il n'aimait pas ça c'est juste qu'il voulait sa part d'amusement et pour le peu que lancer une balle contre un mur lui apportait, il ne voulait pas qu'on le lui enlève. Du coup sa mère avait insisté, encore et encore, et c'était parti dans les cri, et l'ancienne balle du garçon, celle qui rebondit pour la dernière fois contre le mur éclata dans un bruit assourdissant, aussi fort qu'un coup de feu.
Aussi bien Jamie que sa mère avaient été effrayés par la chose, se demandant très bien ce qui avait pu se passer. Un phénomène qui s'était reproduit dans la semaine avec un vase aussi dans les mêmes conditions, leur réponse fut apportée par une brève lettre provenant d'un établissement scolaire, le Collège Poudlard, avec la mention, école de sorcellerie. Apportée par un hibou, la lettre avait intrigué toute la famille pensant peut-être à une blague, mais ils verraient bien le jour du rendez vous que la lettre indiquait.
Jour qui était alors arrivé et c'est ce rendez-vous que Jamie assit sur son perron, attendait patiemment. Le problème dans tout ça c'est qu'il n'y avait pas d'heure indiquée, pour ses parents ça restait des sornettes, d'ailleurs son père n'avait pas prit comme son frère et sa soeur, la peine de rester. Seule sa mère résidait à la maison préparant le thé. Jamie lui avait veillé toute la journée contre les recommandations de sa mère, sur le perron s'étant levé juste pour le déjeuner. C'est alors qu'une vieille femme arriva et que les yeux du garçon pétillèrent. Cette femme il ne la connaissait pas, parmi tout ceux qui étaient passés devant la maison, c'était la seule qui ne semblait pas forcément avoir sa place ici. Il se leva, s'avança jusqu'au petit portillon devant sa maison où elle se tenait et demanda : " Êtes vous le Professeur McGonagall comment indiquez sur la lettre ? " demanda-t-il. Puis il ajouta : " Si c'est le cas j'espère que vous êtes armée... " plein d'ironie, mais en même temps quand on voyait sa mère et ce qu'elle pourrait réserver à cette vieille femme s'il s'agissait bien de l'expéditrice de la lettre.
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: . at Mills' house in Newton Abbot Lun 16 Avr - 17:16 | |
| Minerva McGonagall était une femme à cheval sur les convenances.
La vieille sorcière avait donc été agacée quand une lettre du ministère de la magie l’avait avertie qu’ils étaient débordés et ne pouvaient s’occuper des visites aux enfants nés-moldus pour tout leur expliquer. Minerva devait donc se débrouiller avec ses propres moyens qui, évidemment, ne seraient pas augmentés. Et c’est qu’il y en avait un certain nombre, des enfants de moldus ! Il avait donc fallu se partager les tâches : Flitwick, évidemment, mais en fait tous les directeurs de maison s’étaient retrouvés à aller dans les villes et villages d’Angleterre afin de répandre la bonne nouvelle aux élus. Evidemment, Minerva n’y coupait pas non plus et elle avait écopé du Devon.
Ce jour-là, elle arrivait pour l’heure du thé. Je vous l’ai dit, Minerva était une femme à cheval sur les convenances. Or, il lui semblait bon d’arriver pour le thé. Non seulement elle était ainsi presque sûre qu’il y aurait quelqu’un à l’intérieur et ensuite parce qu’il était bien plus simple d’expliquer à une famille éplorée que leur jeune garçon allait partir pour sept fois dix mois dans une école de sorcellerie, en Ecosse, où il apprendrait des choses qu’ils ne pourraient connaître devant une tasse fumante. La directrice de Poudlard avait remarqué que le thé avait souvent un effet apaisant sur les gens et de toute façon, ça l’arrangeait bien aussi : quitte à devoir partir de son école où elle avait pourtant beaucoup de choses à faire, autant qu’elle y ajoute un peu de confort.
Minerva transplana donc dans une ruelle discrète de Newton Abbot où personne ne devrait en principe la voir apparaître. Malgré son âge fort avancé, la directrice de Poudlard faisait toujours bien attention. Malgré les cheveux gris que le Ministère lui donnait, elle était bien obligée d’en respecter les règles, comme tout autre sorcière du Royaume-Uni. Seul Dumbledore avait su s’en défaire quelque peu mais elle était loin d’être Dumbledore. Enfin, elle sorti, vêtue de son habituelle longue robe vert foncé et stricte, ses lunettes carrées sur le nez. Faire bonne impression, montrer aux parents que leurs enfants seraient bien éduqués, tout cela était très important pour les convaincre de ne pas résister à leur destin. Ca et la peur qu’avaient pu infliger les premières prouesses magiques des gamins.
Enfin, elle arriva à ce qui devait être sa destination. A peine avait-elle fait quelques pas qu’un gamin vint l’accoster. Minerva l’examina un instant ; ce devait être lui, Jamie, ce lui qu’elle était venue rencontrer (même si c’était surtout à ses parents qu’elle voulait parler).
- C’est bien moi, jeune homme. Et ne vous inquiétez pas pour moi. Je peux entrer ?
Minerva n’avait évidemment aucun souci à se faire à moins qu’un piège lui soit effectivement tendu. Sinon, elle pensait avoir encore suffisamment de réflexes pour désarmer la maman du jeune Mill avant qu’elle puisse lui faire le moindre mal. Si elle n’avait jamais approché la puissance de Dumbledore (sans parler de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom) elle restait une sorcière de haute volée. Minerva avait passé l’âge d’être modeste. Elle savait ce qu’elle valait – et heureusement ! Restait à voir si la moldue qu’elle visitait à présent allait en être consciente elle aussi.
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: . at Mills' house in Newton Abbot Lun 23 Avr - 21:46 | |
| Elizabeth Mills était une femme qui tenait toujours à paraitre correcte. Brushing soigné, maquillage propre pour accentuer ce côté soigné, et vêtements non froissés, elle tenait toujours à paraître sous son meilleur jour aussi bien auprès des autres que de sa famille. Aujourd'hui spécialement elle accueillait un invité qu'elle qualifiait d'indésirable, mais qu'elle n'avait pas pu refuser. Tout avait commencé par une lettre déposé par un hibou et non pas par le facteur, qui laissait entendre que son fils était un être doué de pouvoirs magiques. Apprendre cela pour une femme qui n'avait jamais cru en la magie, une femme qui chaque dimanche allait à l'église, c'était plutôt difficile à croire. Mais si la sorcellerie existait vraiment et comme elle savait qu'il n'était pas son fils, elle tenta de dissimuler son précédent adultère derrière la possibilité qu'elle puisse avoir été envoutée par l'homme qui l'avait mise enceinte. Ce n'était cependant pas le moment de penser à ça, quelqu'un arrivait tandis qu'elle surveillait son fils derrière le rideau de la fenêtre du salon qui donnait directement sur l'avant de la maison.
Jamie avait vu cette vieille dame arriver devant chez eux et avec son talent naturel pour le manque de savoir-vivre, au lieu de la saluer en premier lieu de manière polie il lui quémanda tout de suite son identité cherchant à savoir si elle était bien l'auteure de la lettre à savoir le Professeur McGonagall. Elle acquiesça tout en ajoutant qu'il n'avait pas à s'en faire quant au fait de savoir si oui ou non elle était armée. Puis elle lui demanda si elle pouvait rentrer : " Oui bien sur. " répondit-il souriant. Il souriait parce qu'il voyait en la personne du Professeur McGonagall l'occasion de pouvoir enfin voir sa vie devenir un peu plus intéressante.
Il ouvrit alors le petit portillon pour la laisser pénétrer dans le domaine et c'est à ce moment là que la mère du garçon apparu : " Jamie ! " lança-t-elle d'un ton autoritaire qui lui fit grimacer. Elle restait à l'entrée tandis qu'il s'en approchait elle le gronda alors : " Combien de fois est-ce que je t’aie dis d'attendre ma permission avant d'ouvrir à quiconque. " puis, à l'approche de la vieille dame, Elizabeth Mills lança : " Oh et vous devez être Mrs. McGonagall c'est ça ? Entrez je vous en prie. " dit-elle après avoir tendu sa main pour serrer celle du professeur. D'ailleurs elle avait soigneusement fait attention à ne pas l'appeler Professeur puisque pour l'instant tant qu'elle n'avait pas de plus amples informations, elle ne s'autoriserait pas à la considérer comme telle.
Ils allèrent tous s'assoir dans le salon, Elizabeth Mills prit place dans un fauteuil d'une place après qu'elle eut servit le thé et quelques scones, amenant Minerva Mcgonagall à s'assoir auprès de Jamie sur le fauteuil à deux places. Ce fut la mère du garçon qui prit la parole en premier : " Vous savez Mrs McGonagall, c'est assez difficile de croire qu'à un moment ou à un autre votre fils développe des pouvoirs magiques alors que vous en êtes dénués tout comme ça l'est d'imaginer un monde à part entière fait que de magie. " dit-elle. Elle faisait tournoyer sa cuillère dans sa tasse de thé puis ajouta : " J'aimerais savoir concrètement ce que vous attendez de mon enfant en venant ici. Nous ne voulons par exemple pas que quelqu'un d'autre peut-être des sorciers viennent alors à s'en occuper alors que nous avons veiller à ce qu'il ait une éducation des plus correctes. " dit-elle ce qui incita le garçon à lâcher un audible : " Tu m'étonnes. " qui entraina un regard noir de la part de sa mère. Cette dernière s'imaginait donc, malgré le peu d'information sur la lettre qu'ils avaient reçu, que Jamie serait embarqué pour être élevé par d'autres sorciers en bonne et due forme. La seule chose qui l'inquiétait en fait c'était de l'avoir hors de contrôle.
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: . at Mills' house in Newton Abbot Dim 29 Avr - 10:58 | |
| Il ne fallut pas longtemps à Minerva pour voir la mère de Jaimie Mills et pour s’apercevoir que dans un concours de Miss Stricte, l’actuelle directrice de Poudlard n’était pas sûre de gagner malgré tout ce qu’on pouvait bien dire d’elle. Entendons-nous bien, elle ne désapprouvait évidemment pas la femme qui l’accueillait qui, d’une part, avait bien le droit d’être comme elle était et qui d’autre part avait sans doute donné une bonne éducation à son fils, ce qui manquait parfois parmi les élèves de Poudlard. Minerva n’était pas folle, elle savait pertinemment que certaines valeurs s’étaient perdues à l’école de sorcellerie, pas uniquement depuis qu’elle-même en était la directrice. Bref, pour résumer, c’était mieux avant.
- Merci, dit simplement Minerva en entrant dans la maison.
Bientôt, ils furent assis dans le salon, les deux femmes et Jaimie, le futur élève de Poudlard que Minerva examinait du coin de l’œil. C’était naturellement sa mère qui parlait et exprimait des craintes tout à fait légitimes ; les mêmes que l’on rencontrait généralement chez tous les parents d’enfants moldus. Comment croire à la magie dans leur monde de technologique, comment croire que les contes de fée étaient réels et non simplement destinés au plaisir de la lecture.
- Oui, je comprends, évidemment, et c’est pour ça que je suis là. D’abord pour vous montrer que la magie est réelle et ensuite pour vous expliquer ce que nous attendons de lui… et de vous.
Venait donc le moment de la démonstration, celui dont les enfants nés-moldus se partageaient la confidence en arrivant à Poudlard, chacun voulant savoir ce que l’autre avait vu. Minerva, en revanche, restait dans la sobriété : aux fonctionnaires du ministère de s’amuser s’ils en avaient envie, elle-même avait d’autres choses à faire. Elle sortit donc sa baguette et effectua un geste en apparence simple du poignet - tout, de toute façon, était dans la formule, plus nécessaire avec l’âge et l’expérience qu’avait Minerva. Une pluie d’étincelle jaillit alors du morceau de bois, rouges, vertes, bleues et jaunes, pour se volatiliser avant d’avoir pu toucher n’importe quoi dans le salon si bien rangé des Mills. Minerva s’était dit qu’il valait mieux ne rien abîmer, aujourd’hui plus que jamais. La démonstration terminée, la directrice de Poudlard rangea sa baguette et fixa de nouveau le regard de Ms. Mills.
- Bien entendu, le rôle de Poudlard n’est pas de faire faire aux enfants ce genre de tours de passe-passe. Votre fils y apprendra à maîtriser la magie qui est en lui en même temps que toutes les règles qui l’encadrent. Il vivra avec d’autres camarades dans l’une des quatre maisons de Poudlard ; et vous n’avez rien à craindre quant à l’éducation qui lui sera donnée : nous veillons à ce que nos élèves respectent toutes les règles de savoir-vivre et de bonne tenue, ainsi que la ponctualité et le travail nécessaire à une bonne scolarité en nos murs.
Peut-être que Minerva avait un peu enrobé les choses mais à son âge, elle savait comment traiter avec certaines familles et pouvait tout à fait comprendre les craintes de Ms. Mills. Le tout était de les rassurer afin que la venue à Poudlard du jeune Jaimie se fasse dans de bonnes conditions.
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: . at Mills' house in Newton Abbot Mar 29 Mai - 22:29 | |
| La vieille dame du nom de McGonagall restait encore très agréable avec la mère de Jamie, mais selon le garçon elle ne durerait pas très longtemps ou alors à Poudlard ils devaient avoir de sacrés professeurs avec à leur tête une sacrée directrice au sang plus que froid et il aurait vite un aperçu de cela dans le salon dans lequel ils pénétrèrent après que Elizabeth Mills ait invité le Professeur McGonagall à entrer. Le petit garçon était assit auprès de la vieille femme et il souhaitait volontiers la voir rabattre le caquet de sa mère rien que pour le plaisir de voir sa mère se faire fermer le clapet.
Le premier round arriva rapidement avec la mère du garçon qui débuta avec une petite tirade sur la difficulté de croire à la magie chez son enfant alors qu'elle en était dénuée et sur son inquiétude à voir son fils lui être enlevé pour être élevé par d'autres personnes, notamment des sorciers. A cela le Professeur McGonagall répondit par un petit tour pour lui montrer que la magie existait réellement. Les yeux du petit garçon pétillèrent. En dehors des deux accidents qu'il avait eut à savoir le ballon et le vase cassés, il n'avait rien su produire d'autres. En revanche le Professeur McGonagall faisait apparaitre des gerbes d'étincelles de différentes couleurs s'évaporant dans l'air sous l'air horrifié de Mrs Mills. Lorsque la vieille femme avait sortit sa baguette magique déjà ça n'avait pas plu à la mère de Jamie, mais la voir peut être incendier son salon, ça lui plaisait de moins en moins, par chance elle s'arrêta.
Le discours que tint alors le Professeur McGonagall fut moins plaisant à entendre pour Jamie qu'il l'était pour Mrs Mills. Bien que son objectif dans tout cela était de garder son garçon près d'elle, voir qu'il finirait dans un pensionnat strict pour sorcier n'était pas une si mauvaise chose. Petit à petit elle commençait à réfléchir, les rouages de son cerveau tournant à fond, une petite idée lui vint en tête. Un de ses deux autres enfants réussiraient sans aucun doute dans la vie moldu, c'était donc l'occasion d'en avoir un dans la vie sorcière. Elle esquissa un sourire : " Merci pour ses paroles rassurantes Professeur McGonagall. " dit-elle. L'utilisation du terme Professeur montrait comme une ouverture, mais ce faux sourire distinguable seulement par Jamie qui connaissait parfaitement sa mère, montrait clairement qu'elle n'était pas sincère. Pourtant elle tenta de faire comme si c'était le cas. " Je compte donc sur vous pour prendre soin de mon enfant pendant l'année scolaire. Comment cela se passe-t-il sinon en ce qui concerne les affaires à amener ? Et d'ailleurs je doute qu'elles s'achètent dans n'importe quelle boutique. Une baguette magique comme la votre ne doit certainement pas se trouver dans la quincaillerie du coin. " demanda-t-elle.
Mrs Mills adoptait une nouvelle attitude, celle de la femme ouverte à tout, cette fois elle s'ouvrait au monde de la magie. Quel plaisir ce serait de voir un Mills l'a conquérir, avide de pouvoir même de son rang de femme au foyer, elle espérait qu'avec son garçon elle atteindrait des sommets chez les sorciers. En attendant, arrivé à la fin de la conversation il était temps de prendre congé du Professeur McGonagall et Mrs Mills l'invita à partir de la façon la plus délicate possible tout en ajoutant : " Jamie pourquoi tu ne l'accompagnerais pas jusqu'au portillon. - Si tu veux... " répondit-il. S'il avait répondu d'une telle manière c'était sans doute parce que c'était plutôt étonnant de la part de sa mère, mais c'est vrai qu'elle devrait s'habituer à le voir partir. Il accompagna donc le Professeur McGonagall jusqu'au petit portillon, mais avant qu'elle ne parte il demanda : " C'est bien Poudlard ? " Il était intrigué, il voulait savoir et ce serait sans aucun doute la directrice qui pourrait lui en toucher juste deux petits mots. ( Terminé pour Jamie )
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