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| THÈME: Quand les fleurs emmène de la conversation... | |
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Invité
Ξ Sujet: THÈME: Quand les fleurs emmène de la conversation... Lun 29 Oct - 5:27 | |
| Marilie était dans la grande salle en train de manger son diner. Elle trouvait délicieusement bonne, les patates pillés et du poulet frit. Elle adorait aussi les desserts, la tarte à la citrouille est ce qu’elle préfère le plus. Pendant trente minutes, elle passait à jaser et à rire. Elle aimait bien sa maison, puisqu’elle se sentait chez soi. Après avoir mangé et ne pouvant plus avaler une seule nourriture d’avantage, elle se mit à se diriger pour se rendre à la tour des Serdaigles. Mais qu’elle ne fut pas sa surprise de voir Maïlie qui souriait tout en tenant des fleurs. La jeune demoiselle se demandait si elle avait un prétendant ou même un amoureux alors qu’elle l’ignorait tout simplement. Elle se dirigea en sa direction ou les portes d’entrée de la grande salle. Elle lui taponna son épaule pour le pas lui faire un saut. Ce qui serait ridicule en faite…
« Hé! Tu as reçue des fleurs! Elles sont magnifique… Tu as reçue de qui? »
Elle scruta dans ses yeux et vit qu’elle était gênée. Soudain, une idée lui frappa… Non! Pas le gars avec qui elle passait du temps la plupart du temps. Moïshe… Elle savait bien que tôt ou tard elle sortirait avec lui. Cela lui crevait les yeux même… (façon de parler bien sur!)
« Est-ce que tu sortirais avec Moïshe par hasard? »
Elle était si excité pour la jeune Texane qui semblait confirmer ses faits…
« Non! C’est merveilleux pour toi! Il a l’air tellement gentil en plus. Je suis contente pour toi. Je me demandais justement quand tu vas finir par te mettre avec lui! »
Elle lui acquiesça d’un léger clin d’œil. Mais là, elle n’allait pas en rester là. Oh que non, l’explication s’il vous plait?...
« Comment vous vous êtes pris? Qui a prit les avances? Je vous tout savoir… Enfin, pas trop. Je ne veux pas paraitre curieuse quand même. Mais Je voudrais juste quelques détails… Hein? »
Elle l'emmena vers un banc un peu en retrait, question d'être intime un peu. Maintenant qu'elle était assise, elle avait plus que hâte d’avoir le fil des évènements pour en arriver là. Marilie pour sa part, n’était pas prête à donner son cœur. Elle avait en ce moment encore l’intégration puisqu’elle était nouvelle dans cette école. Mais la personne qu’elle le trouvera, sera quelqu’un de bien et très amoureux d’elle. C’est très important pour elle. Elle avait en tête le modèle de ses parents qui s’aimaient beaucoup et qu’ils ne sont pas laissés imposer face à leur statut de star. Il était des comédiens internationaux, mais cela ne s’empêchait pas de s’aimer tout de même. Elle avait juste envie d’avoir un copain qui serait la au bon moment tout comme au mauvais. Il devait aussi qu’il sache communiquer et qu’il puisse parler de tout et de rien. Marilie aime avoir des conversations intéressantes. Si lui l’es, elle sera ravie. Bref, elle était si contente pour Maïlie, elle l’a connaissait depuis Salem et c’est la première fois qu’elle était amoureuse d’un si beau garçon comme Moïshe.
« Alors? Vas-tu enfin me dire ce qui s’est passé? » [530 mots] |
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Ξ Sujet: Re: THÈME: Quand les fleurs emmène de la conversation... Lun 29 Oct - 10:20 | |
| Mars était presque fini maintenant, et cela faisait presque trois mois que la Texane sortait avec son meilleur ami et Mexicain de son Etat, Moïshe Cameron. Ils ne se cachaient pas, mais ne s’affichaient pas non plus comme étant le couple de l’année, non. Ils étaient ensemble et passaient encore plus de temps tous les deux, certes, mais à côté de ça, ils prenaient aussi du temps pour eux, avec leurs amis, ou leurs loisirs. Moïshe ne dansait pas, contrairement à la brune, ce qui faisait qu’il n’était pas dans la troupe de Sterne. Maïlie y était en compagnie de Roy, et ils en profitaient pour discuter. Elle apprenait également à mieux connaître les autres quatrièmes années, comme William. Elle avait appris qu’il avait une petite amie, de leur année également, une jolie petite blonde de Serdaigle. Ce soir là, à la table des vipères, Maïlie avait un bouquet de fleurs dans son verre normalement destiné à l’eau. Moïshe les lui avait offertes il y avait de cela quelques minutes. Il était très romantique, elle le savait, et le découvrait jour après jour. La brunette était donc en train de sourire comme une idiote, avant de se décider à les emmener dans son dortoir. Alors qu’elle arrivait vers les portes de la Grande Salle, toujours en train de sourire, elle sentit une main sur son épaule, et entendit une voix familière.
«Oh, bonsoir Marilie ! Oui, elles sont belles, pas vrai ?!»
Maïlie renifla une nouvelle fois l’odeur des fleurs roses qu’elle tenait dans ses mains, avant de les mettre sous le nez de la blondinette, pour qu’elle s’ente elle aussi le parfum de ces fleurs. Marilie ne la laissa pas parler bien plus longtemps, et avant même qu’elle puisse dire de qui provenait ces fleurs, Marilie lui demanda si elle sortait avec Moïshe. Comme il était fort possible que la blonde n’ait jamais vu le couple, ils passaient beaucoup de temps dans les salles vides, pour pouvoir jouer de la musique rien que tous les deux, Maïlie ne s’en formalisa pas.
« Euh, bah, oui, on est ensemble.»
La Texane esquissa un petit sourire gêné. Même si elle était folle amoureuse de Moïshe, et qu’elle n’avait aucunement honte de ce qu’elle ressentait pour lui, elle lui avait d’ailleurs clairement dit «Je t’aime», parce qu’elle savait qu’elle ne mentirait pas si elle le disait. Par contre, les paroles suivantes de Marilie la surprirent plus qu’autre chose. Cela se voyait-il tant que ça que la Texane était amoureuse du Mexicain ? A moins que Marilie ne dise cela parce qu’ils avaient l’habitude de passer leur temps ensemble... En même temps, Moïshe était timide, alors pour lui, passer du temps avec des inconnus n’était pas si simple que cela... Pour Maïlie non plus, il ne fallait pas penser le contraire, puisque généralement, quand elle disait qu’elle venait de Salem, on lui demandait pourquoi elle était venue ici si soudainement.
«Quoi ?! C’était si visible que ça ?!»
Plus rouge que jamais, la jeune fille se laissa entrainée par son amie vers un banc en fin de table, où personne n’était assis. Marilie était une amie de Maïlie depuis longtemps, quand bien même elle avait un an de plus qu’elle, alors la brune pouvait bien lui raconter comment leur couple s’était formé. En soit, Maïlie ne pouvait pas dire si son couple s’était formé tout a fait normalement, parce qu’avant Moïshe, elle n’avait pas eut de petit ami. Un amoureux quand elle avait moins de dix ans, mais ce n’était pas pareil, puisque maintenant, elle savait réellement ce qu’elle ressentait, contrairement à l’époque où elle était haute comme trois pommes !
«Oh, ça s’est fait assez normalement, je pense... Enfin, non pas trop. En fait, je l’ai embrassé au bal de Noël, on y a été ensemble tu sais. Mais je ne sais pas trop pourquoi je l’ai embrassé ce soir là, j’en avais envie, et je l’ai fait. Par contre, je n’étais pas du tout sûre qu’il m’aime tu vois ? Alors j’ai filé comme une voleuse... Le lendemain, je suis partie pour Noël, et quand je suis revenue, il m’a donné rendez-vous dans la salle sur demande et... Voilà quoi. Il avait composé une chanson et il m’a embrassé.»
Maïlie souriait. Elle était amoureuse de Moïshe, sincèrement, et en parler à une amie, même si ça lui faisait un peu bizarre dans le fond, ça lui faisait aussi très plaisir. Parce qu’elle connaissait Marilie et qu’elle savait qu’elle était douce et gentille, et qu’elle ne se moquerait pas d’elle, si la brune lui disait qu’elle ne savait pas trop si tout s’était passé comme il le fallait. Ou du moins, comme cela avait l’habitude de se passer chez les autres. En tout cas, Maïlie devait s’excuser, car la dernière fois, lors du jeu de cartes, elle avait dit à son amie qu’elle n’avait personne en vue. Ce qui était faux, mais vu le contexte, elle avait eut trop peur que le Mexicain ne l’apprenne à ses dépends.
«Je suis désolée de ne pas te l’avoir dit la dernière fois, mais je l’aime depuis très longtemps et, comme il ne le savait pas, j’avais un peu peur que cela s’ébruite. Tu sais, avec cette Plume qui tourne partout dans le château...»
Esquissant un léger sourire, Maïlie espérait sincèrement que son amie blonde la pardonnerait. Parce que quand même, elle lui avait menti. Ce n’était pas comme si elle avait omis de dire qu’elle était amoureuse de Mexicain, non, elle lui avait menti, elle lui avait dit que personne ne l’intéressait, mais c’était nécessaire pour elle, à ce moment là. Parce que la Plume Empoisonnée l’avait déjà prise une fois pour cible, en lui prêtant une relation -complètement inexistante- avec Roy Bradley. Roy avait démenti peu de temps après, en s’affichant avec Ehawee Connely, qui était elle aussi membre de Sterne, et maintenant, Maïlie sortait avec Moïshe. Mais lorsqu’elle avait discuté avec Marilie, elle avait peur que cette commère ne prenne les devants. Et Maïlie avait eut peur que, si Moïshe l’apprenait ainsi, il ne croit que ce n’était que du vent, et rien de plus.
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: THÈME: Quand les fleurs emmène de la conversation... Mer 31 Oct - 6:35 | |
| Marilie ne pouvait pas dire qu'ils n'étaient pas jolies aux magnifiques fleurs qu'elle avait entre ses mains. Elle vit que la jeune Texane lui tendait afin qu'elle puisse sentir. C'était une senteur agréable et elle adorait sentir le parfum que dégageait de plusieurs fleurs qu'elle tenait dans ses mains. Elle remarqua qu'elle avait un sourire large quand Marilie lui avait demandé si elle sortait enfin avec Moïshe. Elle le trouvait qu'ils seraient bien un beau couple les deux ensemble. Aussi, elle les voyaient ensemble la plupart souvent dans ses activités et elle aimait bien les voir ensemble. Une belle relation quand même assez intime puisqu'ils se voyaient relativement souvent. Mais elle n'avait pas la confirmation qu'ils étaient un couple présentement. Bien sur que Marilie était si excité pour la jeune demoiselle qu'elle lui bombardait de question. Quand même, c'était son amie depuis longtemps, elle avait envie d'avoir quelques nouvelles croustillantes. Question d'assouvir sa curiosité débordante... Voilà, la confirmation est officiel. Ils sortaient à présent comme étant un jeune couple. Elle ne pouvait s'empêcher d'être heureuse pour elle qu'elle se mit à lui féliciter comme elle se le devait comme une amie qui serait heureuse d'apprendre une nouvelle qui lui réjouissait... Voilà quoi!
« Oh! Maïlie! Je suis tellement heureuse pour toi, tu ne pouvais pas tomber sur un garçon aussi adorable que lui! »
Puis, la jeune Texane semblait surprise qu'elle n'avait que d'yeux pour le jeune Mexicain. Parfois, elle ne regardait que lui. Ou elle semblait perdre le fil de la conversation quand elle le voyait passer. Marilie n'était pas dupe. Oh que non. Elle voyait bien que ce garçon ne lui laissait pas indifférent. C'était la même chose pour lui hein! Il lui souriait et ce parfois niaisement. Elle voyait bien que lui aussi n'avait que yeux pour la jeune Serpentarde! Pour la spectatrice qui est Marilie. Elle les trouvait rigolotes parce qu'a certains moments, ce n'était pas impossible d'être insensible face à leur geste et mimique qu'ils pensaient qu'il ferait à l'insu de tous. Malheureusement, la jeune demoiselle avait vu juste leur jeu.
« Eh bien, parfois sans te rendre compte, tu ne regardais que lui pendant nos conversations et idem pour lui aussi. Cela crevait les yeux que tu avais quelques chose que tu ressentais face à lui. Mais, Maïlie, c'était vraiment mignon. Des fois, j'avais des petites envie parce que vous êtiez en train de vous cruiser sans vous en rendre compte, mais c'était à votre manière et ça c'est quelque chose que j'ai apprécié chez vous. Voilà quoi »
Elle lui souriait à pleine dents. Elle avait juste envie qu'ils avaient bien fait de se mettre ensemble. Il étaient fait pour l'un et l'autre et elle avait entendu dire qu'il jouait de la guitare et Maïlie, on ne peut rien lui cacher, elle aimait bien son violon. C'était sa seconde nature de sa personnalité. Pour vivre, elle a besoin de son instrument. Elle aimait ce qu'elle jouait et la mélodie touchait particulièrement Marilie. Parce que pour elle, le son était juste, le son donnait le sentiment auquel la musique jouait et de ce qu'elle transmettait dans ses oreilles. Parfois, elle jouait du piano. Elle aimait quand elle jouait de ses mains pour produire un son, une mélodie. Elle se demandait si les gens pouvaient vivre sans musique. Elle n'y en croyait pas une seconde. Parfois, la musique peut donner un air triste, un air joyeux et même un air clownerie. La musique ne fait partie de nos vies et elle le restera jusqu'à notre derniers souffles.
Assise à présent sur un banc en toute intimidé, elle pouvait à présent parler plus profondément. Elle avait appris que cela s'est fait naturellement. Mais elle le trouvait bien téméraire de se lancer tête première de l'embrasser au bal. Mais, cette fête de Noël était un moment tout à fait propice aux rapprochements. À ce qu'elle voyait, la Texane en avait profité de cette occasion de l'embrasser. Mais bien surprise qu'elle aie filer sans laisser Moïshe de réagir à ce geste qu'elle avait faite à son intention. Elle n'était pas surprise d'apprendre qu'il l'avait chanté une chanson. C'était une déclaration à ses yeux le plus romantique.
« Oh, tu es tellement chanceuse, mais tu n'aurais pas du filer. Pauvre Moïshe! Si j'aurais été dans la pièce, je t'aurais obliger de te retourner et de voir sa réaction face à ça! Moi si je serais à sa place, j'aurais attendue s'il lui aussi avait les mêmes sentiments. Mais bon, l'important, c'est que vous vous êtes parler et voilà que vous êtes en couple. N'est-il pas agréable ça? »
Puis, elle en profitant pour s'expliquer que la jeune demoiselle lui avaient mentie, juste parce qu'elle ne voulait pas que cela créer une histoire. Elle pouvait l'a comprendre. Elle se rappelait de la rumeur avec Roy, au début de Janvier, de la part de la Plume Empoisonnée n'était pas ce qu'il y avait de mieux à colporter devant tout les élèves pendant le repas. Surtout que Marilie avait pitié pour la jeune Sibelle qui avait été éclaboussée non pas avec une nouvelle mais bien deux!. Ce qui avait pour résultat, que la jeune fille avait été détruite et qu'elle voulait en raison de tout ça, quitter Poudlard. Elle ne comprenait pas son choix de quitter. Mais elle ne l'a connait pas. Marilie avait pour but de ne pas juger au premier coup d'oeil. Elle doit avoir ses raisons plus profonde que ça pour vouloir tout quitter. Bref, si on revenait sur son amie qui était devant elle en ce moment, elle trouvait qu'elle avait le droit de ne pas le dire ou de le dire. C'était son choix et Marilie le respectait trop pour ça...
« Oh, ne te prend pas la tête pour ça. Tu as bien le droit de vouloir ne rien dire. Tu en avais le droit. Je ne suis pas toujours supposer de tout savoir dit donc! Même si tu es mon amie. Alors ne te sens pas mal pour ça. Je n'ai aucun problème avec ça »
Elle lui fit un geste qui lui montrait qu'elle devait oublier. Que ce n'était pas nécessaire qu'elle y pense autant à ça...
« Alors, tu as passé un bon moment avec lui tout à l'heure? Et puis, en quelle honneur qu'il ta donné les fleurs? Juste comme ça, parce que ça lui tentait tout simplement? »
Elle mit ses mains sur son visage tout en posant ses coudes sur ses genoux. Même si elle ne se sentait pas prête à se trouver un garçon pour l'instant, rien ne l'empêche qu'elle pouvait l'envier un tout petit peu de son bonheur...
« Je te souhaite que ça marche pour longtemps. Vous êtes fait pour être ensemble, vous aimez la musique en plus! C'est génial! »
Elle était bien heureuse pour elle, son sourire était maintenant aux centuples. Si elle continuait comme ça, elle allait avoir mal à sa machoire tellement qu'elle était tellement excité pour elle...
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: THÈME: Quand les fleurs emmène de la conversation... Mer 31 Oct - 20:33 | |
| Maïlie était contente. Elle était contente de voir que son bonheur pouvait réjouir ses amis. Bien sûr, Marilie était une fille en or à la base, très gentille, et très aimante aussi. Du coup, Maïlie savait qu’elle n’allait pas lui faire la morale, et qu’elle n’allait pas lui dire des choses horribles sur son petit ami. Certes, il avait des défauts, Maïlie le savait, mais elle s’en fichait. Elle-même n’était pas parfaite, loin de là. Elle pleurait encore à chaudes larmes certains soirs, quand le chagrin était trop douloureux à supporter en silence. Elle faisait des cauchemars, de ce jour où on lui avait annoncé le pire. Mais elle faisait avec. Parce qu’elle avait Moïshe, qui l’aidait à supporter tout cela. Parce qu’elle lui avait tout dit, parce qu’il était tout pour elle. Et Marilie, elle, apportait à la brune cette touche de légèreté, de fraicheur. Parler avec elle, c’était apaisant, c’était même rafraichissant, car elle n’avait pas besoin de se prendre la tête, elle n’avait qu’à être elle-même.
« Merci Marilie ! Oui, il est vraiment adorable. Mais ça, je n’en n’ai jamais douté ! »
En même temps, était-il seulement possible, pour elle ou pour n’importe qui d’autre, de voir en Moïshe quelque chose de mauvais ? Bon, peut-être que cela était possible pour Jules, sa petite sœur, mais Maïlie préférait ne pas y penser. Elle n’avait d’ailleurs pas encore croisé la jeune fille depuis qu’elle sortait officiellement et pour de bon avec son grand-frère. Mais en tout cas, elle était sûre que le jour où elles auraient à se retrouver face à face, elles auraient sûrement une grande discussion avec pour sujet principal le couple que formaient le mexicain et la texane, et du fait que la petite mexicaine avait juste depuis le début. Enfin bref, il n’était de toute façon pas question de cela ici. Quand Marilie expliqua qu’elle avait vu certaines choses, Maïlie rougit.
« Ah… Ah bon ?! Enfin, je veux dire, oui, je me doutais bien que je n’étais pas très discrète, mais je ne pensais pas l’être autant à vrai dire… Enfin, on a fini par se trouver, c’est déjà bien, non ? »
Et s’ils s’étaient loupés, que ce serait-il passé ? Si Moïshe lui avait dit qu’il ne l’aimait pas, qu’il ne l’aimait plus, que ce sentiment lui avait déjà traversé le cœur mais qu’il avait disparu depuis lors ? Cela aurait été très étrange non ? Maïlie se serait sans doute sentie trèsq mal, car en y repensant, ils auraient pu être en couple depuis longtemps peut-être, si elle s’était décidée plus tôt… A moins qu’il fallait justement qu’ils soient aussi proche que maintenant, tous les deux perdus à l’école de sorcellerie d’Angleterre, pour qu’ils ne comprennent qu’ils avaient besoin l’un de l’autre… Bon, avec des si on pouvait refaire le monde, donc mieux valait éviter d’y penser, pas vrai ?! Il fallait se réjouir du présent !
« Je sais… Je m’en suis voulu durant toutes les vacances de Noël… Mais j’avais tellement peur de le perdre, si tu savais… Avec toutes ces filles qui lui trainent autour, jamais je ne croyais qu’il pourrait m’aimer, moi… Alors j’ai eu peur, peur qu’il ne renie, tu vois le genre ? Je ne voulais pas qu’il me dise « Notre amitié est finie » avant de partir pour deux semaines… »
Marilie lui avait un peu fait la morale, oui. Mais elle avait raison, oui, la blonde avait entièrement raison ! Maïlie n’aurait pas du s’enfuir le soir du bal de Noël, même si elle avait une trouille pas possible. Parce qu’elle aurait du entendre Moïshe tout de suite, voir sa réaction, savoir le fond de sa pensée, et surtout, montrer qu’elle ne regrettait pas ce qu’elle avait fait. Là, elle avait pris la fuite, c’était lâche, oui, mais elle n’avait pas réfléchit sur le coup, et n’avait trouvé que cet échappatoire pour survivre à cette soirée.
« En tout cas, je suis la plus heureuse des filles, tu peux me croire. Je veux dire, je suis amoureuse de lui depuis longtemps, et je n’avais jamais osé lui dire de peur de le perdre, alors qu’au final, ça ne m’a apporté que du positif ! »
Alors peut-être que oui, elle regrettait de ne pas avoir eut le courage de lui dire la vérité plus tôt, mais au final, tout s’était déroulé tellement… spécialement, tout était tellement différent de ce à quoi elle aurait pu s’attendre qu’elle ne regrettait pas d’avoir attendu. Parce qu’elle l’avait fait quand elle était prête, et elle savait qu’elle n’était plus une gamine sans cervelle. Elle serait la meilleure petite amie du monde, elle se le promettait !
« Oui, mais tu sais, je passe toujours de bons moments avec lui. Oh, avec toi aussi bien sûr, je veux dire, je passe toujours du bon temps avec mes amis. Mais c’est vrai que depuis que nous sommes ensemble, je profite beaucoup des petits moments qu’on a tous les deux. Ca m’apaise, ça me rassure. Quitter les Etats-Unis d’un coup, ce n’est pas très facile. Même si j’ai retrouvé plein de monde ici, beaucoup me manquent… Et pour les fleurs… Tu connais Moïshe, c’est un grand romantique ! Et puis, ce sont des Lisianthus, une fleur du Sud des Etats-Unis, comme moi, et c’est ma fleur préférée… »
La brunette esquissa un sourire. Elle était vraiment très heureuse avec Moïshe. Et si, au début, elle avait tout de même eut peur que leur relation ne change du tout au tout –rappelons qu’il était son premier petit ami, qu’elle était une novice totale dans le domaine de l’amour- elle avait été rassurée de voir que tout était comme avant, avec seulement des câlins et es bisous en plus. Et bien plus de regards tendres et de sourires niais, bien évidement. Elle savait bien qu’elle devenait toujours complètement gaga et niaise quand il était dans les parages, mais elle l’aimait, voilà tout. Elle ne pouvait pas aller contre ses sentiments, et assurément, elle n’avait absolument aucune envie de les nier ! Pas maintenant qu’elle les avait enfin avoué à l’intéressé !
« Merci beaucoup Marilie ! J’espère que tu as raison… Je n’aime que lui, je l’aime vraiment de tout mon cœur, et je ne me vois pas aimer quelqu’un d’autre… Et toi ? Tu n’as toujours personne en vue ? Il y a pourtant de jolis garçons dans cette école… »
Bon, aux yeux de Maïlie, aucun garçon n’arrivait ne serait-ce qu’à la cheville de Moïshe, mais voilà, elle était complètement raide dingue du jeune homme, alors forcément, son jugement était faussé par l’amour qu’elle portait au Mexicain. Mais ça lui allait très bien comme ça ! Il était sa perfection à elle, et elle se fichait pas mal de ce que pouvait penser les autres. A ses yeux à elle, il était parfait, voilà tout. Et il était aussi l’homme de sa vie, elle en était convaincue.
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| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: THÈME: Quand les fleurs emmène de la conversation... Sam 3 Nov - 4:37 | |
| Marilie n'avait pas de crainte qu'elle avait choisi le meilleur partenaire pour Maïlie. Elle n'avait aucun doute là-dessus. Puis, elle appréciait beaucoup son amie par sa simplicité de vivre et sa joie. Elle avait toujours apprécié sa propre personnalité éclatante dont elle avait l'habitude de faire. Elle avait rencontré la serpentarde à Salem par un concours de circonstance. C'était le hasard que Marilie c'était retrouvé dans la salle de musique pour pratiquer sa partition de sa clarinette pour son cours de musique. Elle aimait bien la musique mais étrangement pour apprendre des notes de musique sur une clarinette qui n'était pas ton propre instrument de musique auquel tu jouais, c'était plutôt difficile! C'est de là que naissais une nouvelle amitié entre elle et la demoiselle. Elle venait juste de rentrer dans le local qu'elle avait aperçue Maïlie jouer du violon avec une facilité déconcertante à manipuler rapidement sur la manche du violon avec ses doigts. Pendant de long moment, Maïlie avait joué, Marilie était tombé dans une espèce de transe que la musique lui transportait. Puis, il arrivait qu'un jour que la musique doit s'arrêter parce que la chanson était terminé, c'était là que la jeune violoniste avait appercue Marilie dans un état euphorique. Cela donnait naissance à une extraordinaire amitié...
« Moi non plus, je n'en n'ai jamais douté une seconde non plus. »
Moïche était un jeune homme qu'il avait croisé aussi à Salem, elle n'était pas franchement trop copain, copine. Mais quand elle lui avait conversé quelques fois, il était quelqu'un de gentil. De toute façon, elle le croisait de temps en temps en raison du temps qu'il passe en compagnie de Maïlie. Mais il était surtout quelqu'un de timide, ce qui l'avait frappé en premier. Elle n'avait pas de commentaire négative face à lui. Il était quelqu'un de respectueux ce qui le faisait passer pour un gentlemen...
« Bein, c'est que ce n'est pas voyant voyant. Mais une personne comme moi qui te connait beaucoup pour en juger que tu étais différente quand tu croisait lui. Pour moi, ça crevait les yeux, mais pour les autres, t'étais surement ordinaire. C'est surtout ça... »
Elle lui offrit son sourire. C'était vrai que pour Marilie, cela était plus que évident qu'elle n'avait que yeux pour lui et ça lui faisait plaisir. Si son amie était heureuse, c'était plutôt ça l'important. Parfois, l'amour transportait les ailes. C'était beau à voir. Il y en a certains qui s'étaient mise en couple, dont ça ne fonctionnait pas à son point de vue et d'autre ça semblait être leur âme sœur. En ce moment, elle voyait que ses deux amies étaient fait pour l'un et l'autre. Il n'y avait rien à dire à ce sujet. Il aimait les même goûts, les même intérêts et ils adore la musique. Cela convenait pour les deux jeunes amoureux et elle était heureuse pour eux tout simplement!
« j'en suis sure, au moins, il t'a fait une belle déclaration à ton retour, c'est à ça que tu devrais y penser et non pas avec des regrets... ah si je n'avais pas faite ça.... C'est passer, alors pense alors aux beaux moments à venir lui »
C'était sans doute la meilleure chose à faire. Si on se mettait à penser à tout ce qu'on a fait ou pas. On allait se casser la tête, cela va de soi. Si une chose qui est plus important que d'autres, c'est de profiter du moment présent. Tout simplement, sans se casser la tête...
« Non pas vraiment d'autres gars en vue, de toute façon, je suis nouvellement arrivée. Je n'ai pas encore en tête de « magasiner » des garçons en ce moment. J'imagine que ça devrait venir bien sur! J'aurais alors un coup de cœur au point d'être sous le charme de lui, alors je m'intéresserais en ce moment là »
Elle avait répondu avec un petit sourire timide. C'était vrai qu'en ce moment, elle n'avait pas la tête à ça puisqu'elle venait de déménager de Salem. Donc elle est au niveau de l'intégration. Mais elle n'avait pas bien besoin d'un mec en ce moment pour être heureuse. Être avec ses amies lui suffit amplement. Un jour, quand elle sentira prête, elle pensera pour avoir un homme à ses côtés qui l'a comblerait de ce qu'elle attendrait de lui. Qu'il l'aime, c'est évident. Mais elle veut aussi qu'il soit présent dans les bons que ça soit dans les mauvais aussi. Elle veut qu'il aie un esprit de quelqu'un qui aime parler de tout et de rien de ce qui le rendrait intéressant au yeux de Marilie... Mais ça, c'est un jour à la fois... Elle n'était pas du tout prête à embarquer dans une relation... [786 mots] |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: THÈME: Quand les fleurs emmène de la conversation... Sam 3 Nov - 11:05 | |
| Maïlie fut relativement soulagée de voir que ça ne sautait pas tant aux yeux que cela, qu’elle était raide dingue du brun. Bon, dans un sens, ça avait sauté aux yeux de Marilie et à ceux de Jules. Mais bon, Jules était encore un cas à part, puisqu’elle était la petite sœur de Moïshe et que forcément, elle devait surveiller toutes les filles qui approchaient son frère d’un peu trop près. Un peu comme Maïlie quoi, sauf que la Texane le faisait sans doute plus discrètement que la Mexicaine, qui elle, n’hésitait pas à aller leur tirer les vers du nez et les pousser à agir. Enfin, elle avait agit ainsi pour Maïlie, et la brune n’était pas sûre qu’elle faisait ça avec toutes celles qui étaient passées avant elle dans les bras de son petit ami. Quant à avoir des regrets, ce n’était plus vraiment dans l’esprit de la jeune Serpentard. Elle était tellement heureuse et comblée ces derniers temps, qu’elle se fichait pas mal de ce qui aurait pu se passer avant. Au contraire, elle était heureuse d’avoir attendu. Parce que s’ils étaient sortis ensemble alors qu’ils étaient encore à Salem, elle aurait peut-être tout fichu en l’air lorsqu’elle était partie sans dire au revoir. Oh, elle avait écrit une lettre au garçon, mais ne l’avait jamais envoyée, et elle avait finit par la brûler à Noël. Tout cela était du passé, mais cette lettre avait été son échappatoire, entre deux crises de larmes. Si elle ne l’avait pas envoyée, c’était parce qu’elle espérait le revoir. Secrètement, elle espérait retourner aux Etats-Unis, retourner à Salem. Si ça avait été le cas, elle lui aurait tout dit, de vive voix. Si elle n’y était pas retournée, et qu’il n’était pas venu à Poudlard, alors elle le lui aurait envoyé, mais le sort en avait décidé autrement. Ils s’étaient tous les deux retrouvés là, à Poudlard. Alors non, elle n’avait pas de regrets, ou du moins, elle n’en n’avait plus.
« Oh, je n’ai pas de regrets ! C’est tellement magique, que je ne peux pas me dire «si j’avais fait ça », « si je lui avais dit plus tôt »… Non, je pense que c’est arrivé quand ça devait arriver… On est plus proche que jamais depuis qu’on est arrivés ici, alors je pense, oui, que c’est arrivé juste au bon moment. Pas trop tôt, pour ne pas tout rater, et pas trop tard, pour ne pas qu’on se rate… Enfin, c’est mon avis. »
Ouais, quand elle y repensait, maintenant était juste le bon moment. Ils n’étaient pas sortis ensemble dès leurs retrouvailles, juste pour dire que les anciens de Salem restaient soudés, mais leur couple avait mis six mois à se former. Six mois à se poser des questions –pour Maïlie en tout cas-, et à essayer de voir si l’autre était réceptif. Puis Maïlie repensa à certaines fois, où Moïshe agissait différemment. Il rougissait, plus que d’habitude, sur des petites choses qu’elle avait l’habitude de faire avec lui. Des bisous, lui prendre la main pour le forcer à entrer dans une salle aussi… Maïlie y avait repensé après la déclaration de Moïshe, et maintenant, ils lui revenaient en tête également. Comme quoi, ils s’étaient tout de même cherché avant de se lancer, ça ne s’était pas fait « par principe » ou parce que ça devait être ainsi. Ca s’était fait grâce à l’amour, voilà tout !
« Oui, je vois… C’est vrai qu’avec Moïshe, le fait qu’on se connaisse depuis longtemps aide. Ici, tu ne peux pas tomber amoureuse en deux secondes… Enfin, je veux dire qu’il faut apprendre à connaître les gens. Je ne crois pas que je sortirais avec un garçon ici, si Moïshe n’était pas là. Je ne les connais que depuis Septembre, ou même plus tard pour certains ! Mais tu connais Corey depuis longtemps… C’est peut-être lui l’élu, comme pour moi… Enfin, je ne veux pas te pousser à aller vers lui hein, je ne voudrais pas que tu sois triste ou quoi par ma faute si jamais rien n’était possible… Ou même si toi, tu ne l’aime pas ! »
Corey Heap, Serdaigle lui aussi, et ancien de Salem était un garçon super sympa, réellement ! Et peut-être que Marilie pouvait éprouver quelque chose pour ce dernier, la brunette n’en savait rien. Bien sûr, la Texane ne disait pas à son amie qu’elle devait tenter pour tenter, non, ça ne servait à rien s’il n’y avait pas de vrais sentiments derrières… Parce que oui, les vrais sentiments, c’était ce qu’il y avait de plus important pour la jeune Serpentard, et elle refusait de voir son amie triste parce qu’elle s’était pris un râteau, juste parce que la brune lui avait dit d’essayer…
« Il y a sa cousine dans ma maison, tu sais, Laurell. La pauvre, elle est toujours en train de se disputer avec son petit ami, c’est vraiment dommage ! Ils vont pourtant tellement bien ensemble ! Mais ils se déchirent toujours… J’avais peur qu’avec Moïshe ça soit pareil… Mais comme on est relativement calmes tous les deux –surtout lui- ça ne pose pas de problème… Oh, et puis, je ne sais pas si tu le sais, mais on est dans un groupe de musique ! Ca aussi, ça nous a encore plus rapprochés. Ca ne te dirait pas de te joindre à nous ? Personne ne joue de la clarinette ! Il y a Moïshe et moi, mais aussi un autre Serdaigle, il s’appelle William, tu le connais peut-être de vu ? Il a mon âge. Il y a sa petite sœur aussi, Sally, qui est à Poufsouffle. Et Roy aussi… Il n’y a pas de Gryffondor par contre, c’est dommage… En cours de musique il y en a pourtant pleins ! »
Maïlie était une grande romantique. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle elle était si passionnée par la musique, le chant et la danse. Avec des mots, une voix, des mouvements, on pouvait faire passer tellement de choses ! Tellement plus qu’en discutant simplement… C’est pourquoi, quand elle voyait Laurell et son « futur ex futur » petit ami se disputer –parfois même violemment- dans la salle commune, elle avait mal. Elle connaissait Laurell, de nom plus qu’autre chose, mais quand même, des fois, elle était triste pour elle, parce que ça ne devait pas être facile tous les jours. Ensuite, elle avait embrayé sur le groupe de musique, totalement indépendant du cours de musique, parce qu’elle savait que Marilie aimait ça aussi. Après tout, c’était comme ça qu’elles s’étaient rencontrées, à Salem !
« Si jamais tu veux venir, dis le moi, d’accord ? Je suis sûre que William et Sally ne seront pas contre une nouvelle venue ! »
Et puis, Maïlie vivait tellement pour la musique, et grâce à la musique, qu’elle ne pouvait décidément pas la laisser tomber comme ça, juste parce qu’elle était dans une autre école. Du coup, quand elle avait rencontré William, qu’il lui avait parlé de son projet et qu’elle avait ensuite vu le mot au panneau d’affichage dans le hall d’entrée, elle avait sauté sur l’occasion. Elle avait même réussi à convaincre Moïshe, ce qui en soit, était vraiment un miracle puisqu’il n’aimait pas trop –pour ne pas dire pas du tout- jouer devant d’autres personnes. Mais Maïlie l’avait rassuré, lui assurant qu’elle ne le laisserait jamais tout seul dans cette salle pleine d’élèves !
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Ξ Sujet: Re: THÈME: Quand les fleurs emmène de la conversation... Lun 10 Déc - 4:59 | |
| Marilie savait qu’elle avait eu de la chance de rencontrer Moïshe à Salem. Depuis toujours, elle savait bien qu’elle aller sortir un jour ou l’autre avec lui, ce n’était qu’une question de temps. Bon, bien sûr que ça lui avait prit un bon bout de temps. Mais l’important en ce moment, c’est qu’elle soit heureuse non? Si elle l’était, elle était heureuse point barre. Elle ne voulait que ses amis soient heureux.
« Je le sais bien que tu n’as aucun regret, ça se voit que tu es parfaitement heureuse et ça se voit sur ton visage Maïlie. Bah, il n’est jamais trop tard ou trop tôt. Comme tu dis, c’est l’évènement qui a fait en sorte que vous sortez ensemble seulement là. Vous avez appris à vous connaître. Tu as pu avoir une idée de quel genre de personne qu’il est. »
Elle lui donna un de ses sourires apaisants envers son amie. Elle avait bien hâte de ressentir les palpitations quand elle regarderait pour un garçon. Elle n’en savait rien au coup de foudre, elle avait bien une idée, puisqu’il y en avait certains qui lui en avaient glissé pour qu’elle puisse faire une idée. Mais c’est trop ambigu dans son esprit pour qu’elle sache le sentiment dont on pouvait ressentir aux yeux de cette demoiselle. Mais elle n’était nullement pressée et avait bien le temps devant elle. Elle ne voulait que concentrer sur ses études aux lieux d’avoir une peine d’amour, s’il y en a une évidemment. Elle ne voulait pas non plus qu’elle prenne le risque de le faire. Bref, de toute façon, elle avait le temps encore…
La conversation l’emmenait vers Corey Heap. C’est bien vrai qu’elle le connaissait de vue, mais elle le connaissait vraiment depuis qu’elle s’était établie à Poudlard. Par un simple accident de dortoir. En fait, elle s’était trompé cette journée, pensant que c’était la chambre des filles, elle s’était rendue compte qu’elle était dans la chambre des garçons et elle avait rencontré Corey… C’était bien sur un gentil garçon, très bien élevé et il savait bien parler et faire rire. Dans son esprit, Corey devait bien avoir une femme puisqu’elle ne l’imaginait célibataire. En y réfléchissant, c’était bien vrai qu’elle avait un petit quelque chose. Mais est-ce là un coup de foudre? Elle n’en savait rien. Il était trop tôt pour le valider…
« Corey? C’est bien vrai qu’il vient de Salem, mais je le connais plus ici. Peut-être que tu as confondus avec quelqu’un d’autre. Mais plus je réfléchis, c’est vrai qu’il ne me laisse pas indifférent. Mais là à se demander à sortir avec lui, je ne suis pas encore prête. Il faut que je le connaisse d’avantage. Mais pour t’avouer, il a marqué des points c’est sur! Il est toujours gentil. Bein, quand il est avec moi… Mais je suis sur qu’il devrait avoir un œil sur une fille. Pas une fille comme moi… Je ne sais pas… »
Elle rougissait, parler d’un garçon avec son amie était le plus étrange qu’il soit. Elle qui n’avait pas pensé au garçon jusqu’à maintenant. Elle devait bien se rendre compte qu’il lui plaisait bien, mais pour l’instant, c’est sans plus…
« C’est dommage pour les deux là qu’ils se chicanent souvent. Pourtant, la communication est importante. Et puis pour la musique, je ne sais pas. Mais je connais une fille qui est dans le cours internationale en plus des cours normaux. Elle s’appelle Sibelle Grown, elle est de ma maison. Je pourrais lui demander si elle le veut bien. Si je peux l’emmener avec nous, ça lui ferait tellement du bien. Elle ne va pas bien, en clair… »
Elle a un talent pour jouer de la clarinette, mais c’était plus pour un passe-temps. Elle n’avait jamais songé de faire partie d’un groupe de musique. Eh bien… Ça ne pourrait pas faire de mal. Si ça peut lui faire connaître d’autre gens, pourquoi pas?
« D’accord, je t’en parlerais d’ici là si j’embarque, mais j’avoue que ça serait intéressant. Si votre groupe me veule bien sur et mon amie aussi… »
Elle semblait excitée de faire partie d’un projet d’école. Si ça lui permet de passer le temps à Poudlard. Elle ne dirait pas non. Mais elle se demandait si elle se souvenait ou sont placés les touches pour chaque notes. Il faut le dire que ça fait extrêmement longtemps qu’elle n’avait pas touché à cet instrument de musique là…
En tourna sa tête, elle vit que l’horloge de la grande salle. Elle se rendit bien compte que l’heure avait avancé de beaucoup. C’est bien là souvent ce qu’il arrive quand nous sommes en de si bon compagnie.
« Oh! Je dois te laisser, j’ai quelques trucs à faire. Et puis, je crois que tu as quelqu’un qui t’attend derrière toi! »
Le petit ami de Maïlie était assis sur un banc d’une des tables. Avait-il attendu? Si oui, depuis combien de temps? Il aurait pu venir jaser avec nous… Mais bon, il était de nature timide, alors elle n’était aucunement étonnée… En se levant, elle lui donna la bise et elle profita d’un petit détour pour lui saluer Moïshe qui était rouge comme une pivoine avant de se retourner pour sortir de la grande salle. Elle avait bien aimé parler à son amie. Ce qui lui faisait sourire. Elle adore savoir des nouvelles de certains. Ça fait du bien de pouvoir savoir ce qu’ils vivent. Tout en montant les escaliers, elle se mit à réfléchir sur ce qu’elle avait dit sur Corey, sans le vouloir, elle avait mit un sentiment nouveau en elle. À sont tour, elle souriait en pensant à la rencontre dans le dortoir des garçons qui s’était déroulé accidentellement malgré elle. Si elle avait des sentiments qu’elle n’avait pas envisagée? Seul le temps pourra bien le dire. En attendant, allons faire les devoirs. Ce qui l’aidera à chasser un peu ses pensées un peu intimidantes…
[990 mots] [ Terminée pour Marilie ] |
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