J'aime pas les surprises !!

Léna avait craqué… oui, la jeune femme s’était promis de ne plus y penser, de tourner la page et surtout de ne pas reprendre de ses nouvelles, seulement elle avait eu échos des talents d’un chasseur de prime conseillée par personnes interposées, et elle avait craquée. La jolie brune avait embauchée un chasseur de tête pour retrouver des traces et mêmes quelques renseignements au sujet de Léo Armani. Oui, vous avez bien lu, elle qui ne voulait plus le voir, ne plus rien avoir avec ce salopard qui l’avait quitté comme ça, sans la moindre nouvelle, sans le moindre mot, la voila qui payer quelqu’un pour lui trouver au moins un signe de vie, des fois qu’il serait mort comme son frère d’un accident de la route.

Bref, Léna était chez elle en train de faire quelques papiers pour la boîte, parfois elle aimait bien sortir de l’ambiance du travail pour être tranquillement à la maison, traîner un peu sans pour autant être sur son trente et un. La jeune femme portait aujourd’hui un pantalon large et un débardeur, elle avait une queue haute et portait des lunettes plus pour le coté sérieux que parce qu’elle en avait vraiment besoin. Elle était en train de réfléchir à un prochain grand évènement quand elle se laissa distraire sur l’horizon, la vue sur la plage lui donnait envie de sortir bronzer un peu, mais le cœur n’y était pas. Elle repensait à Léo, et si on lui apprenait qu’il était mort ? S’il avait refait sa vie ? S’il était en train de mourir ? Comment réagirait-elle ? Elle n’en avait parlé à personne dans la mesure où personne ne comprendrait son geste, il était évident que s’il avait disparut de sa vie, c’est qu’il avait ses propres raisons… Serait-il mieux qu’elle n’ait aucun renseignement de plus ?

Son interphone sonna, la faisant sursauter et la sortie également de ses pensées. Léna habitait une résidence sécurisée et il fallait s’annoncer à l’accueil avant de pouvoir rejoindre les appartements. Lorsque Léna décrocha, on lui annonça une nouvelle qui allait très vite la remettre sur les rails de sa vie.

« Mlle Marks, j’ai devant moi un homme qui souhaite venir vous parler, il ne s’est pas présenter mais à une enveloppe à vous remettre. »
« Laissez le monter, pas de soucis Nils, merci. »
« Très bien Mademoiselle, il arrive. »

Réalisant qu’il était trop tard pour enfiler un truc décent pour recevoir le chasseur de tête, elle enfila juste un gilet pour cacher ses épaules et attendit que l’homme arrive jusque chez elle. Elle rangea nerveusement ses papiers pour qu’elle puisse recevoir les renseignements qu’elle avait demandé ou non, mais il fallait qu’elle sache, et dans quelques minutes, elle serait fixé sur son avenir ? Devait-elle pardonner à Léo ou alors tourner la page ? Etait-il seulement encore en vie ou pouvait-il quitter ce mode d’un moment à l’autre ? On sonna à sa porte, son cœur battait à huit cent à la minute, Léna se dirigea pour ouvrir. Lorsque la porte s’ouvrit, ce fut un tout autre choc qui la laissa sans voix, tout se remua une nouvelle fois dans sa tête, l’agression qu’elle avait subi, l’homme qui l’avait sauvé, la dispute lorsqu’elle lui avait demandé des explications…

« Vous… »

Dans la vie, on a des phases ennuie profond. C’était le cas de Dmitri, depuis qu’il ne sortait plus avec Corann. Si leur histoire avait été ‘pour un soir’ au début, ils avaient été presque sur le point de signer… presque. Mais leur couple n’était pas fait pour durer, et ils s’étaient donc récemment séparés. Pour occuper ses journées pendant lesquelles il ne bougeait pas trop trop (bon ok il gère une entreprise énorme, mais il a pas mal de sous fifre auxquels ils délègue donc bon…). A moins d’être en pleine crise (de croissance ou économique), le PDG n’était pas forcément overbooké… Il allait et venait à sa guise, surveillant de loin. Il avait fini par se remettre à la chasse, ‘sport’ qu’il avait abandonné pour Corann et reprenait volontiers. Mais comme ce monde manque cruellement de loup garou et compagnie à trucider, il s’intéressait aussi aux histoires bien moins palpitantes d’humains… Et il avait dû suivre un homme sans intérêt pour faire plaisir à une femme sans doute bien moins intéressante encore, étant donné l’intérêt exagéré qu’elle portait à cet homme. Mais tout cela, Dmitri s’en fichait, tant que ça l’occupait.

Il ne lui avait pas fallu très longtemps pour remettre la main sur la personne et pas longtemps non plus pour le suivre on manque de psychopathes sur cette planète, personne est assez parano,, le travail est beaucoup trop facile !. C’est donc en quelques jours, à peine, que Dmitri avait tout réuni. Trop facile. Il était ensuite allé voir sa cliente, histoire que l’affaire soit classée. Habitué à voyage ril fut arrivé à bon port en deux temps, trois mouvements. Il rejoignit rapidement le domicile de la cliente, le nom de lui disait rien (trop de personnes entraient dans sa vie pour qu’il se souvienne de chacune d’elle). En revanche, lorsqu’il se trouva, finalement, devant elle, il fut plus qu’étonné.

« Ah, ça… Le monde est bien trop étroit. »

Ce n’était pas peu dire ! Le voilà qui faisait affaire avec une femme qu’il avait sauvé et qui l’avait ensuite harcelé en se montrant de fort mauvais poil… Le sorcier tendit son enveloppe à sa cliente (l’avantage c’est qu’avec son autre boulot –officiel, lui- il était impertubable dans ses affaires…)

« Pour vous… »

Il resterait le temps qu’elle lise, sait-on jamais qu’elle ait quelques questions à lui poser avant qu’il ne s’efface à jamais se sa vie (enfin… Ne jamais dire jamais, n’est-ce pas !). Le sorcier demeurait silencieux : d’un parce qu’il n’avait rien à dire et de deux, parce qu’il se demandait si cette femme n’était pas un petit peu déséquilibrée et ne représentait pas un petit danger potentiel (ben quoi ??? On ne sait jamais après tout !!!). Prudence étant mère de sureté…

Le était petit, peut-être trop en y réfléchissant bien, on tombait toujours sur les personnes qu’on ne voulait pas voir, et ceux qui au contraire, on aurait voulu garder, parvenait très bien au contraire à disparaître sans laisser de traces. La jeune femme eut donc un léger instant de choc, et réalisant qu’elle devait se monter professionnelle, elle invita l’homme à entrer, elle n’allait pas recevoir les informations comme ça, sur le pas de la porte.

« Entrez, je vous sert quelque chose ? Un verre d’eau, un café ? »

Elle ne le regardait pas vraiment, et si elle lui proposait un truc à boire, c’était plus par politesse que vraiment pour l’inviter à rester chez elle. Certes, en d’autres circonstances, elle aurait très bien pu s’arranger avec le jeune homme pour le régler avec d’autres atout que son porte monnaie, mais la, il y avait eu trop d’histoires avec cet homme, ils n’avaient peut-être pas démarré sur les meilleures bases du monde, c’était même certains. En tout cas, elle prit l’enveloppe et se dirigea vers le canapé ou elle ouvrit l’enveloppe et y versa le contenu. Il y avait un compte rendu manuscrit, des photos, quelques factures. Elle parcourut rapidement les lignes qui étaient inscrites, les larmes lui montant aux yeux peu à peu.

« Il est donc en Asie, et au vue des photos, en charmante compagnie… Une princesse qui flirte avec lui en plus… »

Elle ravala difficilement sa salive, la jeune fille était très jolie, asiatique, Lena fut d’ailleurs surprise, elle ne pensait pas que c’était le genre de Léo. En tout cas, elle ne savait pas vraiment comment réagir. Elle continua sa lecture, et prit ensuite les photos… La, plus de doutes possible, il avait complètement zappé cette pauvre Léna. Une larme coula sur sa joue, au moins à présent elle était fixée… Elle essaya de rester calme, de faire bonne figure, mais c’était dur… et elle avait mal, elle savait bien qu’en deux ou trois ans, Léo avait du l’oublier, mais tant qu’elle n’avait pas de preuves sous les yeux, elle pouvait toujours espérer le contraire non ?

« Il s’est fiancé, avec cette fille… Son père lui a coupé les vivres, d’où le mariage avec une fille riche. Il ne changera jamais… »

Les photos étaient douloureuses, et une seconde larme s’échappa de ses yeux. Elle prit alors les photos et les lança à travers la pièce. Elle le savait et pourtant, elle avait espérer… L’espoir fait vivre certes, mais la, il lui avait vraiment fait mal, elle qui s’était jurée de ne plus tomber amoureuse, elle qui s’était bêtement fait avoir…

« J’ai vraiment été trop c*nne… Tomber amoureuse de ce salopard ! Il m’a changé, il s’est immiscé dans mon cœur, et maintenant, il me le détruit… Monsieur part, me laissant sans nouvelles, et à présent, j’apprends qu’il va se marier… Il m’avait dit qu’il était prêt à tout pour moi, je l’ai repris malgré son infidélité, j’étais même prête à faire bébé pour lui… Et c’est comme ça qu’il m’oublie… Pour une trainée de chine ! »

Elle était mauvaise, en colère… Elle se leva et se dirigea vers son bar, se rendant compte qu’il y avait toujours Dmitri, qui devait la prendre pour plus folle qu’il ne devait déjà le supposer. Qu’importe, elle se servit un verre de vodka, de l’ananas et un glaçon. Elle en prit une grosse gorgée, la buvant presque d’un traite. Elle secoua sa tête, comme pour reprendre le contrôle d’elle-même.

« Excusez moi, je ne vois pas pourquoi je m’emporte, de toute évidence, il vit très bien sans moi et je devrais en faire de même… Je vous dois combien pour vos services ? »

Elle mordilla sa lèvre inférieur, nerveusement, Léna était au bord de la crise de nerf, et après ces informations, elle irait voir Abell pour qu’il la réconforte, bon il l’engueulerait surement avant d’avoir fait des recherches sur Léo, mais ça ce n’était pas bien grave.

Lena parvenait toujours à garder ses émotions pour elle, seulement, voir ces photos de Léo avaient eu un choc plus important qu’elle n’aurait pu le penser. La jeune femme avait donc littéralement péter un plomb, ne retenant ni mot ni larmes et elle avait évacué cette colère et rancœur qu’elle avait contre son ex, sans même prendre la peine de remercier Dmitri pour qu’il évite d’insister à cette crise. Quand elle réalisa que son comportement était complètement déplacé devant l’homme, elle retourna à la réalité et préféra rebondir sur le sujet des finances, ce qui serait bien plus simple pour amener le chasseur de prime à prendre la porte et déverser encore un peu une crise sur la situation de Monsieur Armani.

« Oh… Euh… Bah, comme vous voulez alors, merci… »

Elle passa le revers de sa main sur son visage pour frotter les quelques larmes qu’ils restaient, puis alors que l’homme décida de partir, il s’arrêta pour se tourner vers la jolie brune avant de lui demander si elle voulait l’accompagner pour sortir prendre un verre ou même manger un morceau. Tout naturellement, elle arqua un sourcil, se demandant s’il était sérieux ou complètement fou, à la limite à son niveau à elle, ça ne la dérangeait pas mais bon, ils avaient quand même eu une légère dispute et n’avaient pas vraiment eu l’occasion d’en parler depuis… Elle se posa un instant la question, et puis, après réflexion, accepta quand même.

« Dans la mesure où vous me faites cadeau de la deuxième partie du paiement, je veux bien vous accompagner, même si je dois vous avouer que je suis très surprise par cette demande… La jolie blonde de votre bureau ne vous en voudra pas ? »

Bah oui, à ce qu’elle avait pu voir la dernière fois, il lui semblait avoir croisé un regard un truc qui lui indiquait qu’il y avait quelque chose entre ces deux là. Après ce n’était pas ses affaires certes, mais dans la mesure où elle était invitée à sortir, si elle pouvait éviter les problèmes en sortant avec un gars déjà en couple… En tout cas, elle fut quand même touchée par les paroles de Dmitri puisqu’il venait de lui dire, même si ça ne le concernait pas, que Leo ne méritait pas les larmes de Léna, et il avait raison, elle avait pleuré bien assez dans les bras de ses amis, Abell le premier pour estimer que Armani me méritait pas d’avoir de nouvelles larmes couler.

« Vous avez sans doute raison, je pense que ça ne peux pas me faire de mal… Par contre, il faut juste me laisser le temps d’enfiler un truc pour sortir, vous préférez boire un verre ou manger un morceau ? Ma tenue en dépendra… »

Bah oui, elle restait une femme quand même, et quand elle devait sortir, elle devait savoir pour quel occasion elle devait se préparer. Bon après, une fois que c’était dit, elle ne mettait pas trois heures pour être prête, en tout cas, il y avait fort à parier que sa soirée serait pleine de surprise.

Cela semblait surprenant et depuis qu’elle avait été attaqué, la demoiselle restait méfiante avec les hommes qu’elle n’avait pas dragué d’elle-même et qu’elle ne s’était pas renseigné un minimum à son sujet, hors, dans la mesure ou l’homme en question était celui qui lui avait sauvé la vie, elle ne risquait rien après tout non ? En tout cas, la jeune femme était comme absente par moment, pensant aux informations qu’elle venait d’avoir sur Léo, la réaction qu’Abell aurait quand elle lui parlerait de cette recherche qu’elle avait souhaité faire alors que Mr Armani était un crétin fini, et au final, elle décida que sortir avec Dmitri en serait sans doute pas une mauvaise idée, au moins prendre l’air, penser à autre chose, et puis il y avait un truc qui attirait la jeune femme, son coté mystérieux sans doute, enfin bref, elle hésita un instant avant d’accepter.

Elle préféra quand même, déjà pour lui permettre de réfléchir un peu avant de se prononcer, lui demander si la demoiselle blonde qu’elle avait croisé la dernière fois ne serait pas contre, dans la mesure ou il est bien connu que les patron sorte avec leur secrétaire, mais dans le cas de Léna s’était surtout pour éviter les demoiselles hystériques parce qu’elle serait sortie avec un homme déjà en couple. Dmitri sembla surpris par sa question mais lui annonça que ce n’était pas un problème, loin de là !

« Dans ce cas, je reviens tout de suite… Asseyez vous le temps que je me prépare, je fais au plus vite. »

Elle fila aussitôt pour réfléchir à une tenue pour sortir, bon la tout de suite, elle ne savait même pas ou elle allait sortir, mais autant faire simple et pas prise de tête, de toute façon ce n’était pas le genre de la jeune femme. Elle regarda dans son armoire et en sortit un jean, une chemise, une paire de petites chaussures plates, Léna était grande, donc elle n’était pas toujours obliger de mettre des talons et ce soir, elle n’en avait pas envie de toute façon. Un foulard pour accessoiriser sa tenue et apporter une touche de couleur et elle prit une veste en cuir pour couvrir le tout. Passage éclair dans la salle de bain pour retoucher son maquillage qui n’avait pas trop bougé, une pointe de parfum et voila, elle était prête.

« J’ai déjà pensé à faire dans le coaching mais je préfère l’ambiance des boîtes, un jour peut-être, j’ai du mal à m’arrêter à un seul genre de travail de toute façon… »

Elle avait quand même sourit un peu, signe qu’elle parvenait déjà à mettre de coté les nouvelles qu’elle avait eu un peu plus tôt. Quand à la destination de ce soir, elle avait déjà une petite idée en tête.

« Je dois vous avouer que j’ai un peu faim, donc on peut aller grignoter un morceau quelque part, ou vraiment s’installer au restaurant, c’est comme vous préférez. J’ai choisi ce qu’on faisait, vous choisissez ou l’on mange, c’est un accord correct non ? »

Léna le regarda prendre sa décision, elle venait de lui faire deux propositions, donc maintenant, à l’homme en face d’elle de se décider.

« J’essaye en tout cas, l’idée d’être esclaves de ce qui nous entoure ne me plait pas vraiment… Et cette façon de fonctionner ne plait pas à tout le monde non plus… »

Elle avait un large sourire, parce qu’il faut le reconnaître, les garçons n’aiment pas vraiment une fille qui n’en fait qu’à sa tête et qui en plus n’est pas du genre à obéir à leurs caprices… Lena l’avait bien vu en vivant avec Léo une histoire ou l’un comme l’autre n’en faisait qu’à sa tête… Au bout d’un certain temps, la jolie brune avait décidé de céder sur certaines choses, de se poser et de faire des concessions, seulement au final, on a bien vu le résultat… Alors oui, maintenant, elle ne comptait pas se laisser remarcher dessus de si tôt.

Lui laissant le choix de l’activité de la soirée, Léna décida –ou son estomac décida pour elle- d’aller manger à l’extérieur. Dmitri l’invita donc à le suivre et ils prirent la direction d’un restaurant que le jeune homme semblait connaître, chose qui fut confirmer une fois sur place par l’hôtesse qui l’accueilli. Le jeune homme adressa un compliment par la même occasion, ce qui, dans d’autre circonstance aurait pu mettre Léna en colère –Elle jalouse ? Mais non !-  En tout cas, ils furent très bien placé, le restaurant n’était pas bondé non plus, il était encore relativement tôt, et la fameuse Julias leur apporta les cartes, puis un verre de cocktail. Léna eut le temps de souffler un merci avant que la serveuse ne retourne s’occuper d’autre clients, et elle porta son attention sur la carte, jetant un coup d’œil par moment au regard de Dmitri qui ne la laissait pas indifférente… Il faut dire que ses yeux étaient ce qu’elle avait vu en premier lors de son réveil de l’attaque du vampire… ou de la chose qui y ressemblait.

« C’est très joli, je ne connaissais pas du tout… J’aime bien l’ambiance qui s’en dégage et c’est calme, vous avez de très bon goûts Monsieur Vodianovski. »

Elle lui adressa un nouveau sourire, hésitant sur son entrée, saint jacques ou foie gras… en tout cas, gourmande comme elle était, elle avait hâte de regarder les desserts qui lui étaient proposer. Son attention fut toutefois détournée par la voix du bel homme qui lui faisait face. Il voulait en savoir d’avantage à son sujet, pour commencer, il y avait une chose auquel Léna tenait vraiment.

« Dans ce cas, vous me tutoyez, j’ai l’impression d’avoir passé un cap de non retour avec ces ‘vous’. Quand à moi, que dire… J’ai été autrefois mannequin, une mauvaise chute dans les escaliers ont mis fin à ma carrière… Ensuite, j’ai été serveuse puis j’ai décidé d’ouvrir mon propre établissement, 4Dreams à Aberdaron et jusqu’à aujourd’hui, les affaires vont très bien. Et vous alors ? Parlez-moi un peu de votre parcours professionnel… »

Oui pour commencer, on va faire le professionnel avant de passer à la vie privé, même si pour le coup, Dmitri devait surement en savoir plus à son sujet que l’inverse.