Drago semblait montrer un peu de compassion, vis-à-vis de Blaise ce qui me surpris, je dois bien le dire, mais je ne voulais pas de son aide ni de sa pitié et je suis que Blaise ne le voulait pas non plus.
Désolé de ne pas avoir une vie comme la tienne Malefoy ou comme Stones, car je suis sûr quand fait en pensant à mélodrame tu penses à elle, mais tu n’oses pas te l’avouer, lui dis-je en me relevant doucement. Je ne veux plus entrer dans ta vie amoureuse ou non, je ne veux plus m’intéresser à ta petite personne vu que tu t’y intéresses assez toi-même, désolé d’être franc comme ça, mais tout ce que je dis est vrai. Tu ne t’es pas soucié une seule fois de Stones, tu n’es pas venu à Sainte Mangouste la voir, elle n’attendait sûrement pas ta visite et vous vous seriez sûrement disputez, mais au moins tu prouvais que tu étais humain. Tu n’es même pas capable de voir quand des personnes tiennent à toi, comme Pansy par exemple qui fait tout ce qu’elle peut pour que tu la remarques, mais le grand Malefoy ne voit guère plus loin que le bout de son nez. C’est peut-être pour cela que Stones a choisi Shinku, c’est peut-être ça qui te fais mal au fond, que Stones ait préféré quelqu’un de moins bien que toi, mais lui au moins montre qu’il est humain. Toi, tu ne montres rien, tu fais comme si l’univers tourné autour de ta petite personne, je ne dis pas cela pour être méchant, je dis juste ça pour que tu te réveils Malefoy. D’autre gens que toi souffres, seulement tu es trop obnubilé par ta propre personne pour t’en rendre compte, c’est comme quand Stones à craint que tu la frappes en cours de Botanique. Depuis que son père la blessée mortellement elle a peur des coups, des personnes qui peuvent s’énerver, mais ça tu ne l’as pas remarqué bien sûr. Et Pansy qui souffre de te voir discuter avec une autre fille ou te montrer plus doux vis-à-vis d’une autre, toi ça ne te fais rien au contraire tu aimes la voir dans cet état n’est-ce pas ?, lui demandais-je en le regardant droit dans les yeux. Voilà, j’ai dit ce que j’avais à te dire, maintenant ta compassion pour moi, tu te la gardes, j’en veux pas, par contre essaye de penser un peu aux autres personnes qui t’entourent et pour qui tu comptes un peu. Car si tu fais pas plus attention à eux, un jour tu te retrouveras seul sur ton lit de mort, lui dis-je avant de claquer la porte des dortoirs.
[Les escaliers]