Alors que la jeune, la belle (ahem), la douce (re-ahem), la charmante, bref, que la petite Rossana Farazzi avait réussit à retrouver le chemin des beaux, des magnifiques, des sublimes... bref, des cachots humides. Epuisée - pauvre petite... - par l'énorme détour qu'elle avait pris, et ce, juste pour éviter les escaliers fous -mais quelle idée aussi, hein, de les faire bouger.... - elle s'était confortablement assise sur un des canapés qui étaient là pour ca qui se trouvaient dans la salle commune de Serpentard.
Dévorant déjà les premières pages, avec une avidité qui aurait même inquieté sa propre mère - qui pourtant ne voyait que ce qu'elle voulait bien voir - elle commenca à apprendre les noms, et les premières répliques.... Le tout, si concentrée, qu'elle ne voyait même plus les autres élèves, qu'elle ne les entend même plus. Pour elle, il n'y avait plus qu'à l'heure actuelle ELLE et son livre, "je veux être ton oisillon".