[EVENT] En route vers Ilvermony !

Si Joséphine avait un instinct de survie développé, son instinct de protection était plus fort encore. Quand elle vit Noé rater le sort qu'il venait de lancer à un élève d'Ilvermorny, son cœur se serra un peu. Clairement, ils avaient été pris par surprise et étaient en danger : si un sorcier comme Noé n'arrivait pas à ses fins, qu'allait-il advenir des plus jeunes ? Convaincue de leur défaite s'ils ne se réveillaient pas plus c'est le moment de lâcher Victoire les gars, la jeune française s'approcha de plus petit étudiant de leur groupe : elle se posta près de Douglas, dans la ferme intention de le protéger jusqu'à son dernier souffle. Elle ne pouvait hélas pas protéger tout le monde (mais y avait quand même pensé, un Protego commun leur aurait laissé l'occasion de s'échapper par le couloir d'où ils étaient venus) mais à choisir entre Temp', Teddy, Prudence, Alan, les autres et un enfant de 11 ans, son choix était vite fait.

- Stupéfix !

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'Attrapeur' :

Résultat : 80

Alors que le combat faisait déjà rage entre les élèves formatés de l'école nord américaine et ceux de l'école britannique, Cole s'approcha des deuxièmes années du groupe. Il ne pouvait pas laisser seuls des enfants qui savaient à peine faire un sort de désarmement. Cole imita Joséphine en lançant un protego et il tâcha de lancer un experliamus assez puissant pour repousser un des ennemis. Cole n'aimait pas être violent, c'était quelqu'un de doux, de compréhensif, mais l'heure n'était pas aux pourparlers... Freja voulait qu'ils montrent de quoi Poudlard était capable : qu'il en soit ainsi.

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Résultat : 90

Victoire n’en crut pas ses yeux lorsqu’elle déboula dans la salle aux quatre statues. Ils étaient vraiment à Ilvermorny! C'était tellement cool ! L'idée d’un tunnel entre les deux écoles de sorcellerie faisait sens après l'arrivée express de Magicis Sacra au château l’an passé mais Vic n’avait jamais pensé vraiment se retrouver dans les couloirs de l'école américaine. Ses yeux clairs où brillait de nombreuses étoiles reflétaient son excitation. Elle se tourna vers Teddy avec un regard lumineux : « Tu crois que ton ami Noé peut nous prendre en photo devant les statues ? James sera tellement dégoûtée en voyant ça ! » Et que l’on soit bien clair sur une autre chose : Victoire n’aimait rien de plus que de faire bouillir son cousin préféré en lui parlant, et en n’extrapolant qu’un tout petit peu, de ses aventures à Poudlard.

Après avoir récolté quelques indices, les élèves continuèrent d’avancer avant d'être brutalement interrompus par Freja en personne -quelle plaie celle là. Resserrant sa prise sur sa baguette en apercevant les élèves américains les entourer, Victoire lança à la mage noire à la robe violette : « On a peut-être un concierge cracmol mais nous au moins on est libres ! » Il était sans doute complètement inconscient de provoquer ainsi Freja mais comme d’habitude, l’adrenaline renforçait l’impulsivité de Victoire. Sans compter que la présence de Teddy à ses côtés lui donnait toujours l’impression qu’elle était invincible. Elle lança d’ailleurs un Depulso claironnant à un élève qui s’approchait d’un peu trop près de son meilleur ami. Vic hésitait à activer ses pouvoirs de Vélane mais avait peur d’enchanter ses camarades de la Brigade en même temps que les Américains.

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Résultat : 31

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Résultat : 48

Vanellope se sentait vaguement désemparée, elle était plutôt du genre combattif en général, mais là, elle ne s'y attendait pas !

C'était un peu idiot de sa part, peut-être... Elle croyait qu'ils feraient chou blanc (faut dire qu'après l'échec de l'année précédente, la BAM avait quelque peu perdu de sa gloire) et qu'ils reviendraient à Poudlard comme ils étaient venus. Elle avait déjà été surprise, même si soulagée, qu'ils passent la porte au bout du tunnel, ensuite ils avaient trouvé une preuve qu'ils étaient bien à Ilvermony… ça l'avait enchanté bien que ce sentiment positif n'ait pas duré : ils étaient maintenant face à Freja Blomberg, l'une des personnes que V détestait le plus au monde. Comme beaucoup d'autres enfants de moldu, elle avait assez mal vécu de vivre deux mois en se demandant sans cesse si sa famille se souvenait encore d'elle… Puis, en bonne adepte du monde moldu, elle ne pouvait pas être d'accord avec les préceptes de MS, toute considération personnelle mise à part.

La pique de Victoire à l'égard de Blomberg n'avait pas échappé à la lionne qui jeta un coup d'œil anxieux vers son amie. Qu'est ce que Victoire pouvait être stupide quand ça la prenait !!! "Vous commencez à m'ennuyer Mademoiselle Weasley… कारावास" Même si V n'avait aucune idée de ce que Freja venait de dire, elle le sentait mal pour Victoire, aussi, elle courut vers son amie et lança avec l'énergie du désespoir "Non ! Protego !" Le sort n'atteignit pas sa cible grâce à l'intervention de Vanellope, mais Freja ne tarda pas à répliquer, toujours perchée sur son balcon. " कांच पिंजरा " Encore cette langue que V ne comprenait pas… elle ne parvenait même pas à en entendre clairement les sons, peut-être à cause de la confusion générale, du combat.

A peine avait-elle pensé ça qu'elle réalisa que le silence s'était fait autour d'elle… et de Victoire. Elles étaient toutes les deux prisonnières d'une cage en verre épais à travers lequel elles pouvaient encore voir les combats, mais plus aucun son ne leur parvenait. Si ça avait été le cas, les deux filles auraient pu entendre Freja leur dire : "Parlez tant que vous voulez maintenant, plus personne n'entend votre insolence." Mais même sans l'entendre, le sourire satisfait de Freja ne laissait pas grand doute sur ce qu'elle disait.

HRP : Libérer Vanellope et Victoire coûtera un gallion, votre personnage peut payer ce prix en plus de son lancer contre les PNJ. Vous pouvez aussi les laisser dans leur prison, c'est à vous d'en décider !

Rappel ordre de passage:

Contrairement à la plupart de ses camarades, c'était la première fois de sa vie que Douglas se retrouvait en face de Freja. Il n'avait, par ailleurs, eu que très peu d'échos des méfaits que son petit groupe d'aficionados avait accomplis sous ses ordres (il payait là son antipathie chronique : personne ne tenait à rester près de lui assez longtemps pour lui dresser, par le menu, le portrait de Freja), si bien qu'il n'avait pas réellement conscience du danger qu'elle représentait. Déjà c'était une femme : elle était faible de nature, maternelle par essence, et nécessairement moins puissante qu'un homme. Ensuite... Mais qu'est-ce que c'était que cette tenue ? Allôôôôô, quelqu'un avait-il signalé à cette personne que le violet était la pire couleur au monde ?

Cependant, même s'il n'était pas très au fait de la capacité de nuisance de Freja, Douglas n'était pas un crétin ça se discute : son instinct de survie lui souffla que peut-être, peut-être, il serait de bon ton, au vu de la réaction de ses camarades, de se la boucler sur le point "Mode et chiffons", et de sortir sa baguette. Ce qu'il fit sans tarder, la pointant devant lui avec une fermeté qu'il était pourtant loin d'éprouver. Car, après un petit trimestre de cours, Doug ne connaissait pas vraiment de sortilège de duel, et il ne croyait pas en ses chances de survie que lancer un "Lumos maxima" dans la figure d'un de ses camarades américains fût une stratégie payante. Au mieux le gars était bon pour une visite chez l'ophtalmo, au pire il envoyait Doug rejoindre, dans leur prison de verre, Vanellope et Victoire (et il préférait être le héros délivrant les donzelles - surtout si l'une d'elle s'appelait Victoire Weasley, l'autre, franchement, il s'en moquait : elle n'était même pas jolie - plutôt que le blaireau Sorry, Helga qui se retrouvait coincé avec elles).

Mais, comme il ne supportait pas l'idée de ne rien faire et que les sorts commençaient à fuser, Douglas, estimant probablement qu'il y avait plus mal en point que lui dans cette affaire, se précipita sur Charlotte, une pauvre et faible Poufsouffle (une maison de gros mous, d'après ce qu'il avait compris), de sexe féminin, de surcroît, victime toute désignée pour leurs ennemis : il lui fallait la protéger, quitte à périr être grièvement légèrement blessé.
- Ne t'inquiète pas, Charlotte, déclara-t-il en se plaçant devant sa camarade, je suis là...
L'effet eût pu être réussi, si Joséphine de Guise (aka "la grosse rousse aux traits un peu épais", pour Douglas, qui ne s'embarrassait jamais l'esprit avec des détails aussi insignifiants que les noms des figurants du film de sa vie) n'avait pas pris la même initiative le concernant. Outré, Douglas (qui avait un sens des priorités très personnel), adressa un regard noir à la Poufsouffle : non mais de quoi elle se mêlait, celle-là ?!