Ξ Sujet: Damn! Not you... Hey, how are you? ○Jensen○ Lun 22 Fév - 22:07
Damn! Not you... Hey, how are you?Jensen Pas de cours en ce jour, c'est un peu le week-end version internat qui laisse une douce ambiance. J'en profitais pour changer ma routine, la biblothéque attendra avant ma visite et mes longues heures de lecture. Non pas que j'avais vraiment besoin de bosser mes cours, mais j'avais envie de sentir la présence des autres élèves plus que de travailler dans mon coin. En même temps, je venais de relire les lettres du doc' Magnus. Je les gardais en main, ne sachant pas trop quoi en faire ni comment lui répondre. Il avait raison: normal c'était son job de guider psychologiquement et de soigner physiquement, mais j'avais du mal à accepter la vérité. Laisser tomber mes recherches sur l'alchimie et les chimères me semblaient impossible, voir totalement stupide de tout planter là. Alors pour simplement prendre un peu de recule, inspirer un peu un autre air poussiéreux que celui des vieux bouquins et des étagères, je migrais calmement vers la Grande Salle. Ce lieu de vie commune ou souvent il y avait plus de personnes pour discuter que dans les rangées que je hantais. Un vrai fantôme, il serait d'ailleurs peu surprenant qu'à ma mort je devienne un esprit qui traine entre les livres.
D'un pas joyeux, faussement trop joyeux, je m'efforçais de ne pas changer de direction. Mon attention se portant alors vers le plafond du couloir qui devait me conduire vers ma destination. Bien que certains élèves discutaient pour s'y rendre, moi je flânais avant de m'arrêter au milieu du passage qui devient progressivement plus calme. Plongée dans une grande réflexion mathématique, architecturale et psychologique: je me demandais ce que ça avait bien peu faire à ceux qui avait construit ce château. Était-ce uniquement à coup de magie que l'édifice avait vu le jour, où avait-il eu des ouvriers qui avaient sué et saigné pour donner vie à des dessins? Cette question pouvait paraître anodine voir totalement stupide, mais je me le posais avec tout le sérieux et le savoir que j'avais dévorer ces dernières semaines. Combien de livre avais-je lu? Aurait été plus logique comme question au vue de l'indigestion intellectuelle que j'étais en train de faire. Et pourtant, je ne m'inquiétais pas de cela, pas plus que je ne m'en rendais compte. Mes pas me remirent en route jusqu'à un carrefour. L'angle mort, le coin dangereux, longer le mur en regardant le plafond, tout le monde le voix venir, l'inévitable logique du moment. Persuadée que j'étais de toute façon seule dans les lieux pour le moment, je pivotais sur moi-même grave erreur!. Mon talon gauche cogna contre un pavé plus haut que les autres. Je tombais donc, grossièrement, et encore une fois de plus une nouvelle habitude presque pire que de me transformer à tout va! je tombais. Mes livres glissèrent de mes bras, en essayant de les rattraper, plus que d'amortir ma chute, ce fut mes lettres qui s'envolèrent. Et voilà, comment bêtement, je me retrouvais les bras ballants à regarder mes affaires autour de moi. Ni Quino, ni Emrys ne pouvaient imaginer l'ironie de ma chute, qui bien sûr, leur parviendrait avec mes rires. L'un d'eux s'échappa doucement de mes lèvres alors que je me remettais sur mes pattes.
" Après la neige, le tabouret et maintenant un pavé. Je vais finir par me casser quelque chose." Riais-je en dévoilant mes pensées avant de sentir une odeur que je connaissais sans savoir d'où. De toute façon, je ne craignais rien à être seule dans le château. Qui oserait s'en prendre à moi? Je ramassais mes feuilles avant de me souvenir d'où j'avais ce parfum complexe. " Merde, pas toi..." Articulais-je un peu fort avant d'entendre les bruits de pas qui se rapprochaient. il fallait bien reconnaître qu'être dur de la feuille avait un gros désavantage. Je me redressais sans avoir fini de ramasser mes affaires pour me tourner, un magnifique faux sourire des plus maladroit sur le visage. " Salut, comment tu vas Jensen?" Ma voix trahissait ma hâte de partir plus que mon sourire forcé. "Pourquoi de tous les élèves fallait-il que ce soit Jensen?!" Pensais-je en questionnant mon côté sentimental autant qu'ironique!
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Ξ Sujet: Re: Damn! Not you... Hey, how are you? ○Jensen○ Lun 1 Mar - 13:18
Jensen & Ivalyana.
Breathe that smoke it clouds my thought. Once darkness comes again we're just footsteps following the storm. You don't know me well but you've loved me before. You'll love again tonight when you breathe me back to life again.
La fin de l’année se profilait au fur et à mesure que le temps passait, et Jensen devait mettre les bouchées doubles, le soir, pour rattraper le retard qu’il avait pris depuis que Viska avait été enlevée par son père. Que celui-ci court toujours et n’ai pas été emprisonné par le Ministère l’insupportait au plus haut point et le mettait dans un état de colère pratiquement constant. Autant dire qu’il n’était pas la meilleure compagnie du monde depuis que Viska avait été enlevée. Si les Serpentard et ses rares amis dans les autres maisons ne lui en tenait pas rigueur, il savait que son comportement énervait les élèves des autres maisons. Et honnêtement ? Il s’en fichait complètement. Malgré son absence sur le terrain de Quidditch depuis la mi-février, son équipe avait remporté son troisième match et par conséquent, la Coupe de Quidditch, la ravissant aux Gryffondor, et mieux encore, à Victoire. Cela lui avait mis du baume au coeur et on avait quelque peu remotivé, mais on ne pouvait pas dire qu’il était vraiment de retour. Loin de là. Preuve en était, Dahlia et Peony lui donnait toujours les notes des options qu’il ne suivait pas.
Ce jour-là, fait relativement rare, Jensen était seul dans les couloirs. Viska était avec Victoire et Peony dans la salle de bains des préfets à faire il-ne-savait-quoi (et avait-il envie de le savoir ? Absolument pas) et lui se retrouvait tout seul, comme un parfait idiot, à errer dans les couloirs. S’il tentait de ne pas réitérer son gardiennage de la porte de la salle de bain, il devait, cependant, s’occuper l’esprit. Il était arrivé dans la bibliothèque peu de temps après que les filles se soient éclipsés, mais avait fini par en avoir assez. Il n’arrivait pas -plus- à rester immobile trop longtemps, encore moins quand Viska n’était pas dans sin champ de vision. S’il savait que cela était parfaitement idiot, puisqu’elle n’était pas seule, il ne pouvait s’y résoudre malgré tout. Il rangea donc ses affaires, se leva et quitta la pièce, sous le regard perçant de Madame Pince. Ou aller ? Le château était immense, et pourtant, aucun endroit ne l’intéressait. Il finit pas se rendre, un peu par automatisme, vers la Grande Salle. Il pourrait sûrement y grappiller quelque chose à manger, ou tomber sur quelqu’un avec qui il pourrait parler d’autre chose que de l’enlèvement de Viska et de ce que tout cela avait engendré.
Jensen avait vu Ivalyana tomber, et, instinctivement, avait pressé le pas. C’était la seconde fois qu’il l’a voyait par terre, la première étant la dernière fois où ils avaient eu un cours de vol particulier et qu’elle avait fui. Il l’entendît rapidement pester contre elle-même, trop loin pour entendre ce qu’elle disait, et elle était déjà debout lorsqu’il arriva à sa hauteur. « Salut Iva. » Était-ce une bonne chose qu’ils discutent, alors qu’elle l’évitait depuis qu’elle était rentrée ? Peut-être, peut-être pas, mais de toute manière, ils étaient l’un en face de l’autre maintenant. « Ça va, merci et toi ? Tu ne t’es pas fait mal ? » À dire vrai, Jensen ne savait pas trop quoi dire à la jeune fille. Les mots qu’il avait lu sur la lettre qu’elle lui avait écrit, alors qu’elle était absente de l’école, résonnèrent dans son esprit. Elle l’aimait. Ou tout du moins, elle avait des sentiments pour lui. A l’époque en tout cas, qu’en était-il désormais ? Et surtout, comment devait-il se comporter, lui ? Il savait ce qu’il ressentait pour Viska, quand bien même il n’arrivait pas à le lui dire, mais en même temps, son coeur s’emballait toujours particulièrement quand il voyait Fiona, même si son esprit était bien trop occupé ces derniers temps pour qu’il n’y fasse réellement attention. « Iva, tu... » Était-ce une bonne idée de lui reparler de tout cela ? Si elle l’avait évité depuis qu’elle était revenue, peut-être avait-elle une raison, non ? Mieux valait passer à autre chose, sans doute. « Tu t’en sors, depuis que tu es revenue ? Tu as besoin d’aide ? Je me doute que tu ne vas pas remonter sur un balai de si tôt. » Et lui-même n’était de toute manière pas réellement en état de lui faire cours, puisqu’il passait tout son temps, ou presque, avec Viska. Mais peut-être qu’il pourrait aider Ivalyana si elle en avait besoin, pour certaines matières. Après tout, Viska était parfois mise en duo avec d’autres élèves...
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Ivalyana Van Cress
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Ξ Sujet: Re: Damn! Not you... Hey, how are you? ○Jensen○ Lun 1 Mar - 14:07
Damn! Not you... Hey, how are you?Jensen Bien qu'il était désormais devant moi, je peinais à croire qu'il était bien là. Etait-ce un rêve? Probablement, je me serais bien pincé, mais mon fessier avait encore mal de ma chute, il n'était donc pas nécessaire d'ajouter une couche, bien que... Mon regard le fuyait plus vite que mon corps aurait aimé pouvoir le faire. J'admirais la lettre, sur laquelle son pied venait de se poser, tout en me saluant très poliment. " Mes fesses ont connus pire qu'une petite chute. Dit comme ça... c'est étrange." Plus qu'étrange, malgré moi je pensais de travers et en rien de bon. Autant dire que je pouvais faire mieux comme discussion, surtout après avoir pesté envers lui avant même qu'il ne soit proche. Mon regard finit par être accompagné d'un doigt pointé avant que je n'ose lever les yeux. Il articula mon surnom avant de se taire, coupant court à ma propre demande. Il semblait vouloir demander quelque chose, sans parvenir à le formuler. De quoi me faire arquer un sourcil avant de regarder à nouveau ma pauvre lettre au sol. " Est-ce..." Il reprit de plus belle.
On allait y arriver, c'était certain, mais quand était une très bonne question. Sur ses propositions généreuses, bien qu'un peu mal venue, puisque je l'évitais. A raison, une raison bien plus logique qu'il ne pouvait l'imaginer. Je n'avais aucun mal à sentir son odeur, un paysage calme d'un lac au cœur d'une forêt me vient comme première idée, mais il y avait dans cette peinture quelque chose d'angoissant. Une ombre planait et dévorait la beauté, de quoi me faire secouer la tête, comme si la fin de sa phrase ne pouvait avoir meilleur réponse. " Je n'ai plus aucun problème avec le vol de balai." De but en blanc, je lâchais cette information sans la moindre explication. Mon regard se plongea un instant dans le sien avant d'à nouveau regarder ses pieds. " Je peux récupérer ma lettre?" Bonsoir la sympathie, mon ton était froid, il fallait bien avouer que j'avais la chair de poule.
Dès qu'il retira son pied, je pliais les genoux pour ramasser le pauvre papier froissé et à peine sale. Un petit frottement de la main lui redonna son éclat de courrier transporter par hibou. Je glissais le papier avec les autres en me redressant avant de perdre mon regard vers son visage. Il n'avait pas vraiment une mauvaise mine, mieux que peu après mon retour, mais pire qu'avant mon départ. Ce qui me fendit le cœur comme si quelqu'un venait de tuer sous mon nez un chaton. J'avais envie de pleurer, de lui faire un câlin et de lui dire que tout allait aller mieux, mais je ne pouvais pas. Pas parce que j'avais des sentiments pour lui, mais parce que ce fumier courait toujours. Ne pas savoir où il était, ni quand il allait encore frappé avait un côté trop angoissant pour y penser. Je n'osais pas en parler, ni même faire autre chose que fixer ses yeux bleus clairs. Les pauvres feuilles entre mes doigts auraient hurlé en me sentant serrer les doigts. Je me rendis compte que je retenais mon souffle, quand brusquement l'air me manquait. Pourquoi faisais-je de l'apnée? C'était débile. Je me trouvais débile. Peut-être que je l'étais tout simplement?
"Ouai, heu, je vais pas te retenir." Articulais-je juste pour casser les silences qui semblaient durer depuis une éternité à peine trente secondes! Maladroitement, je passais une main dans mes cheveux en détournant les yeux. Fuir, mais par où?
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Ξ Sujet: Re: Damn! Not you... Hey, how are you? ○Jensen○ Lun 1 Mar - 22:25
A la remarque de la brune, Jensen fronça les sourcils. Il n’était pas sûr de comprendre ce qu’elle voulait dire par là, et n’était pas non plus très sûr d’avoir envie de comprendre ce qu’elle voulait dire. « Fais attention quand même, ce serait dommage que tu te casses quelque chose par inadvertance. » Il l’avait vue étalée par terre dans le parc de l’école, puis tomber dans l’eau glacée du lac noir, s’en sortant, tant bien que mal, sous sa forme reptilienne. Ce moment là lui avait glacé le sang, terrifié à l’idée de perdre la Serdaigle. Allez savoir pourquoi, Jensen appréciait sincèrement Ivalyana, alors que rien, pourtant, ne les destinaient à se rapprocher. Il n’avait, après tout, pas vraiment voulu lui donner les cours de vol qu’on lui avait imposé au tout début. Il s’était rendu au premier à reculons, et elle, elle n’avait pas été très intéressée non plus, la peur la clouant au sol. Puis elle s’était transformée, pour la première fois, en basilic devant ses yeux. Il y avait eu quelque chose de fascinant dans cette transformation et en même temps, Jensen avait eu un élan de protection pour la brune. Pour qu’elle raison ? Il n’en savait rien. Peut-être que ce côté reptilien les rapprochaient. Peut-être était-ce totalement autre chose.
Il n’avait même pas fait attention où il mettait les pieds, et n’avait donc pas remarqué qu’il marchait sur l’une des lettres de la bleue et bronze. Alors que ses propres mots s’essoufflaient avant de sortir d’entre ses lèvres, la brune en face de lui n’en menait pas plus large. Pourquoi étaient-ils ainsi ? Était-ce la révélation que la brune avait glissé dans sa lettre qui était encore présente ? Pourtant, il n’y avait pas vraiment grand chose à en dire, si ? Elle l’appréciait, peut-être un peu plus que la normale, mais elle ne pouvait pas être follement amoureuse de lui, pas vrai ? Ou était-il un parfait idiot qui ne comprenait rien à l’amour ? Peut-être un peu des deux, après tout, il n’avait pas répondu à la déclaration de sa propre petite amie et se bornait, encore et toujours, dans un silence de plomb concernant ses sentiments. « Oh. » fut-il seulement capable de répondre, quand elle lui dit qu’elle n’avait plus aucun problème avec le vol sur balais. Comment se sentait-il, suite à cette bombe ? Après tout, sans le vol, se seraient-ils jamais parlé ? Peut-être pas. Probablement pas. « Cool. Je suis content pour toi. » Cela lui éviterait sans aucun doute de finir une nouvelle fois congelée dans le lac noir, manquant de mourir d’hypothermie ou dévorée par le calmar géant... « Pardon, je n’avais pas vu. » souffla-t-il, suite à sa froide demande, poussant son pied. Le détestait-elle, désormais, pour lui parler ainsi ? Lui en voulait-elle encore d’être un animagus à la forme de reptile? Il lui semblait pourtant qu’elle avait fini par comprendre. Il n’avait pas choisi cette forme, c’était elle qui l’avait choisi. Il passa nerveusement une main dans ses cheveux, puis dans sa nuque, ses yeux bleu-gris se posant sur la brune.
Pourquoi était-il si nerveux ? Si mal à l’aise ? C’était idiot. Son regard croisa celui de la jeune femme et il esquissa un léger sourire, presque timide. Elle avait des tonnes de livres et papiers dans les bras, comme souvent. Alors qu’elle lui disait ne pas vouloir le retenir, Jensen sentit un électrochoc. Non. Pas si tôt. « Iva attends. » Instinctivement, sa main attrapa celle, encore libre, de la brune, une fois qu’elle eut quitté ses boucles. « Je me suis fait un sang d’encre pour toi, tu ne revenais pas. » Elle était censée partir une semaine. Elle était partie un mois entier. Et Jensen, en l’espace de ce mois là, avait vu son monde parfait s’écrouler. Il s’était sincèrement inquiété pour la brune, ne sachant pas ce qu’elle vivait, ce qu’elle faisait. Par Merlin, les filles qui l’entourait le rendrait fou, toutes autant qu’elles étaient. Et s’il avait bel et bien brûlé la lettre de la brune comme elle le lui avait demandé, ses mots étaient inscrits dans sa mémoire. « Ces lettres, ce sont... Elles viennent de... Lui ? » Ce mage qui l’avait mise en garde, cet homme qu’elle pensait être son grand-père, ce « AA » dont lui, ne savait absolument rien ?
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Ivalyana Van Cress
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Ξ Sujet: Re: Damn! Not you... Hey, how are you? ○Jensen○ Mar 2 Mar - 0:45
Damn! Not you... Hey, how are you?JensenNiveau tension, je ne pensais pas que ça pouvait être pire? Je me sentais ridicule, je savais bien que c'était pas une bonne idée de lui parler. Je me souvenais que j'avais fuit cette histoire d'animingus. Je lui en voulais de se changer en serpent, comble de l'ironie non? Ce n'était pas un choix, pas plus que moi ma malédiction. Bien que je l'avais compris, je n'avais pas trouvé le courage de m'excuser auprès de lui. Je ne voulais même pas l'approcher, alors me retrouver comme ça près de lui, c'était juste... déplacé. Il avait une petite amie, rien nous empêchait d'être ami, hormis que tout le monde savait que j'étais amoureuse de lui. Est-ce que Vanellope lui en avait touché deux mots? Peut-être même son grand-frère professeur? Je ne savais pas trop, mais il avait l'air triste. D'autant plus avec ma super annonce. N'espérait-il pas qu'un jour je puisse voler sur un balai? C'était très mal partit, même monter sur une chaise était un calvaire pour moi. Alors pourquoi avait-il cette expression, cette odeur même. Je ne lui disais pas que je ne lui dirais plus jamais bonjour, mais c'était un peu comme si.
De tout évidence, mon ton ferme n'arrangeait rien. Je me redressais pour le regarder en ayant vu ses lèvres bouger avant de froncer les sourcils. "Pardon, tu as dis quelque chose? J'ai..." Toujours mon ton cassant, distant, agressif presque. Je ne terminais pas ma phrase, détournant seulement les yeux en rangeant la lettre. A quoi bon ajouter du discoure? De toute façon, je n'avais pas besoin de l'inquiéter plus, même si je mourrais d'envie de tout le raconter. Mais pourquoi à lui?! C'est vrai, nous n'avions rien en commun! Quand on s'est rencontré il voulait partir et moi aussi, mais pas à cause de lui, à cause du vol. Je me souvenais clairement de la peur qui m'étouffait et m'écrasait la poitrine. Puis aussi clairement, je me souviens de son regard lors de la dernière leçon. Ses yeux clairs me fixant comme s'ils pouvaient tout voir en moi, me comprendre. Ca m'avait coupé le souffle, fait totalement chavirée et pourtant, pourtant les choses avaient changées. Je n'éprouvais plus cette sensation folle, même si mon cœur me disait le contraire en battant plus vite: maudit traitre! Ma raison prenait le dessus, elle fixait un mur, une paroi de glace que personne ne pouvait plus franchir. J'avais décidé de la solidifier, de la rendre imprenable pour ne plus attirer qui que ce soit vers cette fin atroce qu'avait eu mes parents.
L'annonce de mon départ, qui était clairement le début d'une course pour moi, fit réagir un peu vite Jensen. J'eus un sursaut quand ses doigts chauds touchèrent ma peau glacé. Je devais sérieusement mettre un pull de plus, mais c'était trop suspect alors que le vent devenait un peu plus chaud. Quelqu'un aurait vite fait de remarqué que je portais encore un manteau polaire, plutôt que ma température anormalement basse. Magnus avait dit que c'était surement temporaire, comme mon audition diminuée et mon super odorat. Le soucis étant, qu'à cause des ces déréglages, je ne pouvais pas ne pas lui faire face, sinon je n'aurais rien entendu. Au moins, je récupérais ma main, bien qu'un peu trop vite et presque trop froidement. Je commençais à avoir l'art d'être la garce indifférente alors que je voulais juste pas dévoiler mes problèmes.
Pourtant, en entendant ces mots, je me figeais. Mon souffle resta coincé dans ma gorge, mes yeux devirent des billes. Merde, il avait remarqué mon absence? Je pensais vraiment que les rares personnes avec qui j'avais eu de vrai contact n'avaient rien remarqué. Hors Vanellope me l'avait dit, je m'en étais voulue de ne pas avoir été la voir plutôt. Puis ce n'était pas la seule, Dahlia avait été la première, bien que d'autre c'était contenté d'un :"Hey content de te revoir!". Je n'avais pas vraiment pensé que Jensen, lui, aurait été inquiet pour moi alors qu'il y avait sa copine en danger. Je m'en voulais de l'avoir évité, je serrais les livres et lettres contre moi avec mes deux bras en baissant les yeux. Pourquoi est-ce que ça me faisait mal? "Tu n'as pas à t'inquiéter... je vais... bien. " Je l'avais dit, mais ma voix avait eut tant de mal à sortir. Pour une fois, mentir me brisait le coeur. Je ne voulais pas lui mentir à lui qui m'avait vue, vraiment vue sans fuir. C'était ridicule.
La question, me fit aussitôt redresser le visage. Je fronçais les sourcils sans parvenir à comprendre de qui il parlait. Pourtant, il ne devait pas avoir été mis au courant de son existence. Alors comment? "De qui tu parles? " D'un pas brusque, je m'approchais de lui pour le regarder dans les yeux en craignant le pire. "Ne me dis pas que tu parles de LUI?! Comment t'es au courant?! Il t'a menacé? Toi, Viska ou qui que ce soit?" Une certaine colère montait en moi, légitime, ce fumier n'avait pas le droit de me mettre en garde puis de menacer mes amis! Me vie ne lui appartenait pas, j'avais été claire en le lui disant une fois, il avait approuvé en s'excusant d'avoir été déplacé. Étrangement, je n'étais pas si sûr que AA aurait décidé de se faire connaître auprès de mes proches, mais ce type était imprévisible! Il ne fallait pas croire pour autant que ma colère avait mit de côté cette douleur atroce, mais je préférais faire passer la rage sur le pénible. Bien que, je me reculais d'un pas en m'efforçant de me calmer pour écouter ces explications. Et puis son odeur... c'était horrible de sentir quelque chose de si agréable et d'en même temps dangereusement interdit! AU moins ça changeait des milles odeurs que je devais supporter sans broncher tous les jours. J'avais le plus facile dans le cours de botanique ou de soins aux créatures magiques, quand il y avait de l'air voir même qu'on était dehors. Par contre avec le froid, c'était moisn facile.
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Ξ Sujet: Re: Damn! Not you... Hey, how are you? ○Jensen○ Mar 2 Mar - 19:28
Jensen avait l’impression d’être face à quelqu’un d’autre. Une autre personne, une autre Ivalyana. Avait-elle toujours son petit serpent de compagnie ? Si oui, il trouvait étrange que le petit reptile ne se soit pas encore fait remarqué. De ce qu’il avait cru comprendre, elle ne l’aimait pas trop, lui et sa façon d’être. Comme beaucoup d’autres dans cette école, chaton. Il secoua négativement la tête, laissant entendre un vague « Non rien. » quand elle reposa ses yeux sur lui, en lui demandant s’il avait dit quelque chose. Pourquoi était-ce aussi étrange entre eux ? Il n’y avait pourtant rien de bizarre qui s’était passé avant son départ, si on oubliait le fait qu’elle s’était transformée en basilic et qu’elle avait plongé droit dans le lac noir, fichant une frousse pas possible à Jensen. Il en avait carrément eu du mal à produire son patronus, par Merlin ! Le ton de la brune le décontenançait également. Pourquoi était-elle si froide avec lui ? Qu’avait-il fait ? Alors certes, il ne s’était pas émerveillé suite à sa révélation pour le vol sur balais, mais une part de lui s’était senti mis de côté. Avant, elle avait eu besoin de lui. Maintenant, il ne servait plus à rien. Et cette idée sournoise s’insinuait de plus en plus souvent dans son esprit ces derniers temps, qu’il s’agisse d’Ivalyana et son vol sur balais, ou de Viska et de son bien être. Pour la deuxième, il se gardait bien d’en parler, sachant pertinemment que la blonde ne comprendrait pas.
Comment voulait-elle qu’il sache qu’elle aille bien ? Sa dernière lettre, la seule qu’il avait reçu de la part de la brune d’ailleurs, avait eu l’effet d’une bombe, sur bien des points. S’il avait certes, partager les sentiments qu’elle avait pour lui à Viska, il avait gardé le reste pour lui. Elle n’était pas non plus au courant de la malédiction qui planait sur la Serdaigle, mais savoir que la brune en pinçait pour lui, ça lui avait fait un drôle d’effet. Et surtout, il s’était sentit bien idiot de ne pas s’en rendre compte. Pourtant, à l’époque, et pendant un moment, il était célibataire. Si elle avait voulu, elle aurait pu tenter sa chance. Le pire qu’il aurait pu faire, c’était lui dire qu’il n’était pas intéressé. Cependant, même si elle lui disait qu’elle allait bien, Jensen ne pouvait s’empêcher de ne pas y croire. Viska était pareil, elle disait qu’elle allait quand tout allait mal, quand elle était au bord de la crise de nerfs et qu’elle voulait seulement éviter à Jensen de se faire du souci. Ce qui ne marchait jamais, soit dit en passant...
La réaction de la brune face à sa question le laissa sans voix. Qu’est-ce qu’elle lui faisait ? Elle semblait avoir tout oublié de ce qu’elle lui avait écrit. A moins que ça n’ait été un tissu de mensonges dès le départ ? Il l’avait souvent -si pas toujours- ci avec une liasse de lettres. Il en avait ramassé lors de l’épisode du lac, mais ne les avaient jamais lues. Peut-être aurait-il dû au final. La colère et la crainte se lisaient dans ses yeux bruns, et malgré tout, Jensen ne cillait pas. « Non, Iva... C’est toi qui me l’a dit. Tu m’as écris, tu ne... Tu ne te souviens pas ? Tu m’as parlé de... Il baissa la voix, s’approchant encore un peu plus de la brune, pour lui murmurer à l’oreille, presque, AA. » Il se recula ensuite un peu, ses yeux bleu acier toujours fixés sur la bleue et bronze. Il ne comprenait pas. Clairement, sa colère était légitime, et finalement, Jensen se dit qu’il eut été stupide de penser qu’elle lui avait menti. Clairement, cet homme existait. Mais pourquoi ne s’en souvenait-elle plus ? Est-ce qu’elle avait oublié plus de choses que tout cela ? Allez savoir pourquoi, il repensa aux autres mots de sa lettre, y compris ceux qu’elle avait rayé, dans l’espoir qu’il ne les lisent pas peut-être. « Iva, qu’est-ce qu’il t’es arrivé pendant ce mois là ? Quelqu’un t’as fait du mal ? » Depuis la fin décembre, il avait l’impression de devenir un chevalier servant, poussé à la fois par l’envie de protéger ceux qui lui étaient chers. Et pourtant, il n’avait que quinze ans et ne faisait pas le poids contre des mages noirs ou des sorciers ayant le double de son âge et de son expérience, voire plus. Sa voix s’était un peu durcie, l’envie de savoir le fin mot de l’histoire prenant le pas sur son malaise latent. « N’essaye même pas de me planter là sans une explication, tu ne te débarrassera pas de moi comme ça. » Elle l’avait évité depuis qu’elle était revenue, mais le destin en avait décidé autrement aujourd’hui, qu’elle le veuille ou non.
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Ivalyana Van Cress
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Ξ Sujet: Re: Damn! Not you... Hey, how are you? ○Jensen○ Mer 3 Mar - 0:10
Damn! Not you... Hey, how are you?Jensen Ma question sur ce qu'il avait dit avait été bien trop froide. Il se contenta d'un "Non, rien." Comme si ce que le vert avait pu dire un truc sans la moindre importance. Ce n'était pas le cas pour moi, ce qu'il disait était d'ailleurs bien trop important. Au moins, je pouvais ranger ma lettre et profiter de cette absence de conversation amicale pour fuir. Une bien belle idée qui s'envola aussitôt. Il me retient, je tentais de mentir, ridicule, je me sentais poignardé par mon propre reflet. La réalité, j'avais le sentiment qu'elle n'était pas du tout ce qu'elle devait être. Savoir qu'il avait pensé à moi me faisait plaisir, douloureusement plaisir car, ça n'avait pas été réciproque. Certes, je n'avais pas eu le temps durant mon voyage et mon hospitalisation, mais après. Même si ce n'était que des coups d'oeil de loin, l'avait-il remarqué? J'en doutais. Je ne pouvais pas non plus l'en blâmer, avoir des gens autour de lui quand Viska était on ne sait où ni dans quel état, c'était normal. Les absents ont toujours tord. Cette vérité blessante me venait bien à l'esprit. Tout comme le fait que j'aurai aimé pouvoir me trouver dans ce couloir ce jour atroce. Ma simple présence, j'aurai pu au moins me transformer pour faire peur à ce type, donner une seconde de plus! Ridicule Non seulement je n'avais pas été dans le château, mais c'était justement à cause d'une transformation que c'était arrivé.
Ces mots furent aussitôt agressé par mes questions. J'étais à la fois furieuse, inquiète et paniquée, mais surtout furieuse! Et la réponse me coupa le souffle. La lettre venait de moi? Il baissa la voix pour parler moins fort, comme un secret, qu'il souffla près de mon oreille. J'avais à peine réussi à l'entendre! J'allais vraiment devoir lui demander de parler un peu plus fort, mais il allait comprendre que j'avais des problèmes d'ouïes si je le faisais. Bien que dans l'immédiat, c'était ma mémoire que je faisais travailler à toute allure.
J'avais quitté l'école avec Candys. Le paquet de bonbon s'était retrouvé sur ma table de nuit avant que je ne fasse ma valise. Impossible de dire ce que je mettais dedans. Quelques minutes plus tard, je partais avec mon oncle. Je partais en porte-loin pour arriver en Amazonie avec l'envie de vomir mes tripes après ce premier voyage. Dès que je me sentie mieux, j'avais passé le dôme de protection, perdu ma baguette et ma valise au passage. Tout le reste était un mélange flou. Mon retour aussi fut encore plus absent de mes souvenirs. J'avais beau réfléchir, je ne parvenais pas pas à trouver la moindre trace d'une lettre. "Non, je n'ai pas pu écrire de lettre après, j'étais trop mal. Avant, je suis à peine partie de l'école que j'étais déjà chargée par l'emplois du temps." Un détail me dépassait, le fait que ce soit AA qui ait été mentionné dans la lettre. Avait-il lui-même écrit? La possibilité me semblait être faible, mais il était du genre bien compliqué à suivre. Je secouais la tête avant de mettre entre mes dents mon oncle de pouce de la main droite. "De quand était-elle daté? Qu'est-ce qu'il y avait dedans. Jensen, je dois savoir. J'ai des... mais de là à te parler de lui. Ca ne me ressemble pas." Elle était bien bonne celle là! "Ca ne me ressemble pas." Il fallait bien dire que je n'étais plus la même. Je ne savais pas ce qui me "ressemblait" avant, mais je doutais sérieusement que la petite moi amoureuse aurait prit le risque de perturber le mec qu'elle aime pour sa personne. Je ne me pensais pas si égoïste.
Sa question me fit aussitôt détourner les yeux. Je reculais d'un pas. Peut-être que j'avais pas tant envie que ça de savoir? La lettre, son contenu, c'était moins problématique que tout le reste. Si je n'en avais rien dit à Dahlia, ni même à Vanellope, ce n'était pas pour en parler avec quelqu'un d'autre. De toute façon, Jensen n'était pas en mesure de m'aider avec mes problèmes, lui en parler n'allait que le tracasser et rendre les choses plus difficiles à gérer. Il semblait déjà si perturbé, presque près à tout pour aider. Je n'étais pas celle qui devait recevoir cette aide. "C'est compliqué. Je n'ai pas envie d'en parler. Je le fais déjà avec le médicomage qui me suit toujours, pas besoin d'en rajouter." A peine cette phrase sortie que je voulais la ravaler. Je me mordis la lèvre rageusement en reculant d'un autre pas. Son ton ferme me surpris. Bien sûr que je voulais partir! Un interrogatoire n'était pas le bienvenu alors que je me sentais déjà trop... inquiète? furieuse? effrayée? chagrinée? perturbée! Pour couronner le tout, je le sentis, lui le basilic, réagir ou plutôt bouger. Tout ce mélange confus le faisait pointer le bout de son nez. Je jetais un coup d'œil à ma main, comme si j'allais la voir onduler sous la magie de la transformation. Rien, pas un frémissement anormal hormis que mes veines commençaient à marbre ma peau. Super! Je devais avoir trop froid.
"Écoute, je veux juste savoir ce que disait cette lettre. Je pense pas qu'elle venait de moi." Nouvelle gaffe, pourquoi avais-je laisser ce doute dans mes mots, dans ma voix? Même mon regard fuyait encore son visage. Je n'avais rien contre lui, mais je n'avais pas envie qu'il s'implique dans tout ce bordel qu'était devenu ma vie. Pouvais-je seulement espérer qu'il ne poserait pas plus de question? C'était le sous-estimé un peu, je savais qu'il pouvait être tétu, la preuve en était qu'il avait continué de me donner des leçons de vol de balai après m'avoir vu en monstre. Ce même monstre qui le croquerait sans distinction, juste par ce que j'étais sous pression. Les BUSES promettaient d'être joyeuse. D'ailleurs, est-ce qu'il y avait le patronus dans les testes? Une autre raison de plus de me stresser, je commençais à me dire que Pouddlard c'était pas une si bonne idée. L'année passée j'avais eu des étoiles pleins les yeux. Début de cette année les choses avaient été toutes aussi magnifiques et puis tout avait dérapé. Entre le couple de la blonde et du mec qui me rendait toute chose. Ma chute dans le Lac Noir avec une sortie des eaux totalement absentes de ma mémoire. Puis cette transformation voulu dans la forêt. Quand est-ce que j'avais commencé à déraper? Les choses n'allaient pas si mal en début d'année? Alors pourquoi n'arrivais-je même pas à regarder dans les yeux Jensen?
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Ξ Sujet: Re: Damn! Not you... Hey, how are you? ○Jensen○ Dim 7 Mar - 20:17
Jensen ne savait plus trop comment agir ni réagir. Il avait l’impression que son monde était en perpétuel changement, sans qu’il n’ai la possibilité de stopper tout cela, sans pouvoir faire ce que lui, pensait important. Il était coincé, cible de cette roue qui tournait, encore et toujours, sans lui demander son avis. « Trop mal ? Comment ça trop mal ? » Jensen n’aimait pas les mots qui sortaient de la bouche de la brune. Inexorablement, ils le ramenait au moment où on lui avait appris que Viska avait disparu. A ce moment là, Jensen ne se faisait pas vraiment de souci pour Ivalyana. Et maintenant qu’elle lui disait ça, il en venait à se détester. Il avait eu une lettre et s’en était contenter. C’était idiot, stupide, et en même temps, pouvait-il penser autre chose, à ce moment là ? Ivalyana ou qui que ce soit qui lui avait écrit, avait fait en sorte que Jensen soit aveugle sur la situation qu’elle vivait. « Je... Début février, une semaine et quelques après que tu sois partie, je crois. » Il ne comprenait vraiment plus rien. Si ce n’était pas Ivalyana qui lui avait écrit, qui était-ce ? Et si ce n’était pas la brune, pourquoi lui parler des sentiments qu’elle ressentait pour lui ? A moins que tout cela ne soit un tissu de mensonges ? S’il avait parlé des sentiments de l’aiglonne à Viska, il avait tu le reste de la lettre. Mais maintenant, il s’en voulait de l’avoir brûlée, comme cela lui avait été demandé. Inconsciemment, peut-être, il s’était dit que s’il ne le faisait pas, quelque chose de plus grave se passerait. Ou qu’elle finirait par s’autodétruire toute seule, comme les beuglantes... « Tu as des quoi ? » Si elle pensait pouvoir échapper à ses interrogations, elle se mettait le doigt dans l’œil. « Parce que m’éviter comme la dragoncelle depuis que tu es rentrée ça te ressemble peut-être ? » Son ton était toujours froid, dur, le côté suffisant du jeune Serpentard reprenant le dessus sur le reste.
La bleu et bronze détourna ensuite le regard, alors que Jensen n’avait toujours pas dit ce que la lettre en question renfermait. Il ne savait même pas quoi lui dire. Si les mots étaient imprimés dans son esprit, il en venait à se demander s’il était réellement nécessaire qu’il s’en souvienne. Pourquoi, tel un parfait idiot, n’avait-il pas ramené cette lettre à son frère ou à sa sœur ? Les deux étaient parfaitement aptes à prendre les décisions qu’il fallait pour la suite. Et pourtant, il n’avait rien fait. La suite le laissa sans voix. Un médicomage ? Il ne comprenait plus rien. Ses yeux bleu acier ne cillaient pas, fixés sur la jeune sorcière qui semblait vouloir se soustraire à sa présence le plus rapidement possible. Son poing se serra, ses jointures blanchissant en même temps. Un élève passant près d’eux lui fit détourner les yeux, pour regarder l’individu, quand détourna lui-même rapidement le regard, comprenant que tout cela ne le regardait absolument pas.
Les dernières paroles de la brune l’achevèrent. Il lui saisit la main et l’emmena, de force, vers un endroit un peu moins fréquenté, dans le renfoncement du couloir. Son dos appuyé contre le mur froid, il regardait la Serdaigle, ses doigts toujours enroulés autour de son poignet. « Iva, tu ne peux pas me dire ça et espérer que je te laisse partir sans rien dire. » Lâchant le poignet de la brune, il passa nerveusement sa main dans ses cheveux, poussant un soupir. « Tu disais que tu m’aimais. Ou est-ce que c’est faux ? » Peut-être aurait-il dû commencer avec le reste de la lettre ? Que son grand-père ou ce AA, peu importe, pouvait lui vouloir du mal ? A lui comme à d’autres ? Qu’il était au courant de la malédiction de la brune et qu’elle tentait de trouver comment contrôler ses transformations ? Il savait que sa sœur avait fait des recherches aussi, sans réussite pour le moment. Il l’avait vu vider de nombreux chaudrons, depuis qu’elle s’était attelée à la tâche. Maintenant qu’elle était presque sur le départ avant la rentrée, sans doute avait-elle arrêtée ses mixtures. « Qui serait capable d’écrire des choses à ta place ? Ce AA, c’est qui alors ? Ton grand-père ? Quelqu’un d’autre ? » Il s’énervait, c’était mauvais signe. Cela étant, son vocabulaire restait soutenu, comme à son habitude. Tant qu’il ne s’abandonnait pas à la facilité de l’agressivité, y compris dans son langage, peut-être y avait-il encore un espoir.
acidbrain
• 745 mots •
Ivalyana Van Cress
Parchemins : 398Âge : 18 ans ◄ 30 Avril 2000 ► Actuellement : Hospitalisée à Cygnet Hospital Sheffield Points : 11
Ξ Sujet: Re: Damn! Not you... Hey, how are you? ○Jensen○ Lun 8 Mar - 3:08
Damn! Not you... Hey, how are you?Jensen Trop en dire ou pas assez, il allait bien falloir que je parvienne à trouver le juste milieu. De toute évidence, je lui avais donné matière à s'inquiété. N'était-ce pas un peu trop vicieux, même pour moi? Pour moi? N'était-ce pas ironique que justement, le basilic se face sentir peu après? Il était de plus en plus envahissant. Jusqu'ici je jonglais avec ses apparitions uniquement dans mon esprit, comme une chanson qui revient à la moindre note un peu semblable ou parole cité. Je ne comprenais pas pourquoi il sortait soudainement par moment, comme pour me faire un signe de la main avant de disparaitre. Là c'était différent, je le sentais si proche de la surface, comme si l'immense vitre qui nous séparait se fissurait. Pas bon! Quoi qu'il n'avait jamais tenté de sortir de force, sans que mes émotions ne jouent le rôle principal de déclencheur. D'ailleurs, c'était un manège dangereux qui ne cessaient de faire des tours la tête en bas.
En me focalisant sur une seule chose: la lettre, je parviens à calmer un peu tous ces ressentis superflus pour le moment. Après tout, c'était Jensen devant moi! Pas un autre élève avec qui je n'avais aucun contact depuis mon arrivée. Il avait vu le pire de moi, dit comme ça ce n'est pas très glorieux, mais il n'avait pas fuit! Comme quoi, voir un Basilic ne fait pas hurler de panique tout le monde. Une petite pensée pour Fiona qui n'avait même pas ceux ce qu'elle avait sous son nez. Du moins, c'était ce que j'en avais déduis au vue de sa réaction.
Quand enfin, il parvient à me donner un semblant de date, le doute n'était plus. Début Février, j'étais partie le premier, le deux j'étais déjà sous le dôme. "Fumier!" Pestais-je envers l'auteur de celle-ci qui ne faisait aucun doute pour moi. La seule personne qui pouvait avoir de nombreux exemples de mon écriture, sous les différents coups des émotions, et tout savoir de moi, c'était la seule personne avec qui je me confiais: AA. Je réfléchissais rapidement, parlant un peu trop, pour ne pas changer. Je devais sérieusement à être moins bavards, car Jensen devenait un peu plus agressif dans ses questions. Une douceur odeur de colère mélangée à l'inquiétude planait autour de lui. Au revoir jolie vision d'un petit lac tranquille dans une forêt mystérieuse, mais paisible. Je m'écartais et affirmais ne pas avoir envie de m'expliquer. Il me renvoya aussitôt la balle avec fermeté. Je n'avais pas besoin d'avoir une boule de nerfs dans ma zone personnelle. Plus il prenait les choses à coeur, et plus je me sentais rassurée de ne pas l'avoir approché plutôt. Sauf que c'était encore trop tôt! Je voulais partir moi, fuir tout simplement!
J'avais beau essayer de me focaliser sur la lettre, m'efforcer de faire en sorte qu'il ne parle de rien d'autre. Des mots qui laissèrent le doute être dévoilé. Je n'avais pas prévu de lui parler de ce vieux crouton rusé comme un kitsuné (démon renard japonais ayant plusieurs queux et de nombreux pouvoirs magiques dont celle de créer un feu pour changer d'apparence et tromper les autres). De toute évidence, Jensen ne comptait pas me laisser fuir, même alors qu'un autre élèves passaient d'un pas rapide pour fuir les grondement de voix et regards sombres. Brave petit, pauvre de toi d'avoir assisté à une véritable scène de ménage d'enfer.
Mon regard s'attarda vers le dos qui disparaissait avant qu'une main m'attrape fermement. J'eus un sursaut et un premier mouvement de recule en me retenant de pester alors que le serpentard m'entrainait dans un coin plus discret pour discuter. Sérieusement?! Mon pied se prit dans un pavé et la lois de la gravité se moqua de moi avec cette ironie atroce. Mon nez tomba tout droit contre le torse de Jensen. Je m'écartais rapidement avant de chercher après quoi j'avais trébuché. La pauvre pierre eut un regard noir. C'était vraiment étrange que je trébuche, tombe, glisse au moins une fois par jour. Trop régulier pour n'être que de mon fait, tout comme la colère qui s'apaisait après avoir humé une fine odeur de vanille. Minute? C'était moi où ce foutu basilic retournait dans son coin sans rien dire?
La remarque du vert et argent me parvient. Mon regard plus sombre que jamais se tourna vers lui. Je l'aurais étripée! Mais c'était quoi mon problème? Il lâcha mon poignet et se montra bien moins assurant. Ce qui suivit me fit lâcher les livres que j'avais en main. Autant dire que le bouquin tomba directement sur mon pied gauche avec le coin. "Je vais le tuer..." Articulais-je entre mes dents avant de soupirer. Les questions revinrent rapidement. Je levais les yeux aux ciels en jurant entre mes dents avant de me reculer un peu pour ramasser, encore, mes affaires. "Du calme." Affirmais-je, pour moi-même plus que pour lui.
Lettres froissées et bouquins retrouvèrent l'empilages. J'avais les nerfs tellement à vif, que j'aurai déversé toute ma fureur sur le premier venu, si ce n'était pas Jensen devant moi. J'inspirais profondément pour me calmer alors que mes mains tremblaient. Les yeux clos, je vis que l'autre me regardait de côté, comme si il attendait que je demande son aide.
"Oké, une chose à la fois. Je vais pas tout te raconter d'un coup, j'ai pas les nerfs assez solide pour ça... pas aujourd'hui en tout cas." Je sous entendais qu'il aurait bien plus d'explication un autre jour surtout. Je ne voulais pas lui parler de ce voyage et ce qui en avait découlé, mais puisque AA s'était "présenter". "Heu, ouai, le début. Mon grand-père, qui je suspecte être AA, était un grand alchimiste qui pratiquait beaucoup d'art interdit. Il a créer un basilic et est parvenu à le fusionner avec une non-mage pour en faire un malédictus. Selon mon oncle ils tombèrent amoureux l'un de l'autre, difficile à croire mais mon ancêtre n'est pas méchant envers moi. Il me met en garde, et joue son rôle de criminelle traqué par les aurors." Le début, c'était pas sans déconner, je commençais vraiment avec le début là. "Quand ma mère devait avoir à peu près mon âge, des aurors ont tués ma grand-mère, mon grand-père à disparu et ma mère allait aussi finir comme la sienne. Sauf que c'est là que mon père entre en jeu en tombant amoureux d'elle. Peu après ma naissance, ma mère à perdu le contrôle de sa transformation et à tuer son grand amour. Remord, suicide, mon oncle m'a alors élevée loin du monde pour que je ne tue personne. Bon après, j'ai découvert que mon super papa était très doué en charme et qu'il a fabriqué ce collier." Je tirais de mon colle le triangle d'argent avec les trois quartz. "Il bloque le regard mortel du basilic."
Alors que je rangeais le collier, plus calmement, car parler faisait quand même du bien, l'air de rie. Je soupirais doucement. "Avant ma naissance, ma mère avait organisée mon entrée à Pouddlard. Promesse tenue, je suis arrivée ici et dès la première semaine, une lettre signée AA est arrivée. En plus de me nommer Reine Serpent. J'avais des doutes, mais ce n'est plus le cas. Ce AA est mon grand-père. Je ne sais pas ce qu'il veut, mais il semble vouloir me protéger. Et..." Et là je sue. Je me figeais en réalisant qu'il savait ce qui allait arrivé dans ce village. Bien sûr qu'il le savait, ces habitants cachés du reste du monde, ils avaient un lien directe avec mon ancêtre. Une sueur froide glissait dans mon dos à mesure que je réalisais que ces délires hallucinatoires que j'avais eu avec ces personnes déformées d'écailles, de membre manquant et de yeux d'ambres. "Le fumier, il savait..." Mon souffle se coupa net. J'avais envie de vomir. La panique remonta en une vague troublante. Malgré que j'avais les yeux grands ouvert, je vis ceux du basilic.
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Ξ Sujet: Re: Damn! Not you... Hey, how are you? ○Jensen○ Lun 8 Mar - 20:07
Jensen avait été élevé comme un enfant unique, malgré le fait qu’il ait deux grands frères et une grande soeur. La différence d’âge entre ses aînés et lui avait conduit à cette situation, ce qui faisait que le jeune homme avait toujours eu tout ce qu’il voulait, quand il voulait. Il avait, également, toujours été au centre de l’attention, aussi bien de la part de ses parents que de la part de ses aînés. Un peu moins, peut-être, de la part de Nathanaël, mais les jumeaux -surtout Heaven- avaient toujours été là pour lui, à n’importe quel moment de sa vie. Nate lui avait l’excuse de vivre la grande majorité de l’année de l’autre côté de l’Atlantique, donc forcément, ils se voyaient moins. C’était en partie pour cela qu’il n’aimait pas qu’on le mette de côté. Il avait été habitué à être le centre de l’attention, il était habitué à recevoir de l’amour. Alors être battu froid par l’aiglonne, il ne supportait pas. Qu’elle l’évite comme s’il avait la dragoncelle la plus contagieuse du monde ne lui plaisait pas, et c’était ce qui nourrissait sa colère, en plus de savoir qu’il n’avait pas pu l’aider. Qu’il ne savait, au final, rien du tout de ce qu’elle avait pu vivre. Alors qu’elle pestait -était-ce après lui ? Après ce AA ? Après quelqu’un d’autre ?- Jensen lui, attendait d’avoir des réponses. Est-ce, qu’en effet, quelqu’un d’autre lui avait envoyé cette lettre ? Si oui, pourquoi ? Elle avait pourtant semblé si vraie.
Alors qu’il décidait d’emmener la brune un peu à l’écart, il se félicita d’avoir un équilibre moins bancal que celui de la Serdaigle, alors qu’elle venait littéralement rencontrer son torse. Jensen ne broncha pas, la laissant se reculer, la forçant tout de même à le suivre dans le renfoncement du couloir. Son regard perçant ne la quittait plus, et il tentait, tant bien que mal, de comprendre ce qu’il se passait. La colère de la malédictus était palpable, il la sentait, la ressentait, mais ne pouvait rien n’y faire. Il savait qu’ils devaient en parler, à un moment ou à un autre. Parce qu’il refusait qu’elle l’abandonne. Encore une fois. Même s’ils n’étaient que de vagues amis, ou encore de simples connaissances, suivant ce que la brune pensait, Jensen, lui, ne voulait pas être rayé de sa vie. Loin d’être un super héros -il avait pleinement conscience du fait qu’il n’était pas capable de l’emporter contre Nathan ou Magicis Sacra, voyez-vous- il avait cependant quand même envie d’essayer. D’être là. Et c’était ce qui avait principalement changé chez lui avec les années. « Qui ? » dit-il, alors qu’Ivalyana parlait de tuer quelqu’un. Lui ? Il en doutait, il n’avait rien fait -encore- qui méritait autant de colère et de haine, du moins, l’espérait-il. Ses livres et ses lettres se retrouvèrent éparpillés par terre une seconde fois, lui échappant des mains. Il la laissa les ramasser, ses yeux passant sur les livres et les feuilles volantes. Est-ce que ces lettres… ? S’il se risquait un geste vers ces dernières, comment la brune réagirait-elle ? Elle ne voulait sans doute pas qu’il les lisent, vu qu’elle ne voulait pas non plus lui parler de ce qu’elle avait vécu.
Alors qu’elle fermait les yeux, Jensen lui, attendait. Aurait-elle le courage de lui parler ? Lui ferait-elle assez confiance, une nouvelle fois, tout comme lorsqu’elle lui avait parlé de sa malédiction ? Finalement, la jeune femme se mit à parler. Elle ui expliqua, avec précision, l’histoire de sa famille. Jensen avait froncé les sourcils à la mention de son grand-père, qui était visiblement à l’origine de sa malédiction. Comment quelqu’un pouvait faire cela à une personne qu’il aimait ? Puis il repensa à Nathan Symphonie, qui voulait faire de sa propre fille, de sa chair et de son sang, sa compagne. Visiblement, les femmes de sa vie étaient toutes entourées de personnes complètement tarées. Alors qu’elle lui désignait son collier, Jensen approcha doucement les doigts, effleurant à peine les pierres, faisant attention à ne pas toucher la peau de l’aiglonne. Depuis que sa transformation avait pris plus d’ampleur, il avait l’impression que son corps était plus froid. Peut-être était-ce idiot, peut-être était-ce juste son imagination… Ou tout simplement la génétique. Heaven, elle aussi, avait une température corporelle naturellement basse. Ses yeux bleu aciers fixés sur les topazes, Jensen réfléchit. Il l’avait déjà vu quelque fois ce collier, et au final, il lui devait la vie, les fois où la brune s’était transformée devant lui. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, avant de la refermer, laissant la brune continuer son histoire. Elle semblait avoir retrouvé un certain calme, et Jensen lui, sentit son souffle se ralentir également. « Mais pourquoi maintenant ? Et ton oncle, pourquoi il t’as coupée du monde s’il savait pour ce collier ? Tu n’as tué personne ici. Et pourtant, je t’ai vue deux fois en… » En basilic, mais devait-il le dire, ou non ? Il n’était pas tout à fait sûr de ce qu’il pouvait dire ou non.
Jensen ne savait plus quoi penser, ni quoi croire. Avec Ivalyana, tout avait été relativement simple, jusqu’à ce qu’elle se transforme d’un seul coup en basilic. Jensen n’avait pas eu peur, même s’il avait été surpris. Il n’avait, après cet épisode là, pas changé d’attitude par rapport à la brune, et avait sincèrement apprécier passer du temps avec elle. Les cours de vol n’étaient jamais des plus simples, mais à force, elle avait fait des efforts. Elle avait même fini par voler légèrement, même si ses pieds n’étaient qu’à peine à un centimètre du sol. C’était toujours mieux que rien. Puis elle l’avait évité, à cause d’une dispute que Jensen imputait à son statut de futur animagus. Il avait cru bon de dire à la brune qu’il devenait, lui aussi un serpent, qu’elle ne serait plus seule. Mais tout cela avait été particulièrement mal reçu. Passant une main dans son cou, Jensen fixait l’aiglonne en face de lui. Il était peut-être un peu excessif, allez savoir pourquoi. Depuis l’épisode Gabrielle, il semblait avoir un besoin constant de protéger ceux qui l’entouraient et qu’il appréciait. Cela s’était déjà vu avec Peony, sur laquelle il avait échangé avec Dahlia. Puis il y avait eu Viska, d’abord au stage du Ministère l’été passé, puis durant les premiers mois de leur cinquième année alors que le Poufsouffle-Gate continuait de plus belle. Puis il y avait eu décembre, son arrivée surprise au manoir de Lairg et l’enlèvement. Alors qu’il fixait toujours les yeux bruns de la jeune femme, il y vit une drôle de lueur, qui ne lui laissait présager rien de bon. Si elle se transformait ici, toute l’école pouvait être au courant de son secret. Alors sans réfléchir, Jensen saisit sa main, et l’attira contre lui, pressant son corps contre le sien, une main dans son dos, la maintenant contre lui. « Résiste, Iva. S'il te plait. » souffla-t-il que son oreille, son autre main enfoncée dans les boucles brunes de la serdaigle. Il était plus grand qu’elle, et n’avait donc aucun problème à l’entourer de ses bras. Il espérait juste qu’elle ne se transformerait pas. Pas maintenant et pas ici en tout cas.
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