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| Dans les couloirs du ministère de la magie | |
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Invité
Ξ Sujet: Dans les couloirs du ministère de la magie Ven 7 Déc - 20:09 | |
| Cela faisait une semaine qu’Aelita était revenue chez elle pour une raison qu’elle ignorait il n’y avait que Samuel qui était venue la chercher à la gare. Enfin, elle se doutait un peu de ce qu’il se passait vu que Potter avait dit que le Seigneur était revenu à la vie, bien sûr beaucoup de monde avait démentit cela en le faisant passer pour un fou. Mais, Aelita était une des seules personnes à le croire même si elle n’avait montré aucun signe envers son frère. La jeune fille avait grandit et avait aussi mûrit pendant l’année scolaire, elle ne laissait presque plus ses émotions transparaître sur son visage.
Aujourd’hui alors qu’elle c’était levée de bonheur Samuel lui avait dit qu’il avait quelque chose d’urgent au travail, ce qu’elle trouva bizarre car, elle savait qu’il n’aimait plus aller au travail. Mais, elle lui dit quand même de passer une bonne journée, elle remonta dans sa chambre pour étudier, quand elle vit que son réveille affiché midi, elle descendit se préparer à manger et se demanda si son frère avait prit de quoi manger avec lui. Aelita tout en se préparant à manger en fit un peu plus pour son frère, elle aurait ainsi l’occasion de sortir de la maison et de prendre un peu l’air.
*Sinon, je vais devenir folle*, pensa-t-elle en arrangeant un plat de pâte à la sauce tomate. *Il y en a au moins pour deux personnes ça pourra faire l’affaire*, se dit-elle en mettant un film sur le dessus afin de pouvoir le prendre sans grand danger d’en renverser.
Une fois, qu’elle eut mangé, elle sortit de chez elle habillée légèrement vu la chaleur qu’il faisait au dehors, elle se précipita vers un taxi. Elle n’avait même pas prit sa baguette pour ne pas être tentée d’utiliser la magie, elle demanda alors au Taxi de la déposer devant une cabine téléphonique bien précise. L’homme ne sembla pas très surpris peut-être parce qu’il ne parlait pas très bien anglais… Une fois à l’intérieur du ministère elle rechercha après Samuel, beaucoup de monde connaissait Aelita dans cet endroit même si elle n’avait pas mit souvent les pieds dans ce lieu. Elle croisa même Rufus Scrimgeour qui sembla être perdu dans ses pensées, alors qu’elle allait tourner pour s’engager dans un couloir elle percuta une jeune femme qui lui sourit.
- Tu es Aelita Stones c’est bien ça ? lui demanda la femme. - Oui… - Oh, par Merlin ce que tu as grandit…, je suppose que tu cherches Samuel…, lui dit-elle en la regardant lorsqu’Aelita lui fit oui de la tête elle s’approcha alors discrètement et lui dit qu’il était à l’étage des Aurors.
*Chez les Aurors ? Mais qu’est ce qu’il fout là bas, il est inconscient ou quoi !?*, se demanda-t-elle en se précipitant vers les ascenseurs.
- Merci, dit-elle en se retournant vers la jeune femme.
Aelita savait que ses frères étaient tous les trois des mangemorts et maintenant elle apprenait que le plus jeune de ses frères était dans le quartier des Aurors.
*A moins qu’ils soient entrain de l’interroger ou qu’il veuille se dénoncer dans ce cas ça serait du suicide*, se dit-elle en soupirant.
Une fois que les portes de l’ascenseur furent ouverte elle rentra dans quelqu’un, elle leva la tête et s’aperçu que c’était Samuel. |
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère de la magie Lun 10 Déc - 3:11 | |
| Le matin très tôt Samuel sortait du manoir des Stones…vous allez me dire c’est plutôt louche comme attitude il est plutôt du genre à rentrer tôt le matin et pas l’inverse. C’était un peu spécial aujourd’hui, le jeune homme était plutôt angoisser et mort d’inquiétude depuis la fin de l’année scolaire. Ce qu’il avait vu et ce qu’il lui était arrivé lui faisait encore vraiment froid dans le dos. Alors se matin il avait prit sa décision maintenant qu’il était mangemort et cette pensée lui donnait la nausée, il se devait d’éloigner sa petite sœur de lui et surtout de ses frères. Si lui avait une aversion pour ce qu’il était devenu ce n’était pas du tout le cas des deux.
Alors il en profitait, Jérémya et Michael ne seraient surement pas de retour avant de bonnes semaines, ce qui lu laissait le temps de trouver une excuse au fait qu’Aelita n’était pas la maison. Il y avait réfléchit toute la nuit (oui, oui je vous assure ca lui arrive) et il n’avait vu qu’une seule solution. Il se rappelait d’une altercation qu’il avait eue avec un auror dans les couloirs du ministère. L’homme et il ne pouvait que s’en souvenir, ressemblait trait pour trait à son père…il avait d’ailleurs crut que c’était lui. L’homme semblait digne de confiance bien Qu’il n’aimait guère ses manières.
Il avait pris sa décision, mais le but était de savoir comment l’amener à prendre la jeune fille chez lui. Samuel bien que parfois très stupide ne pouvait décemment lui dire qu’il était mangemort ou alors il était sur de finir à Askaban mais alors comment en venir la. Il n’avait pas dormit de la nuit jusqu'à trouver l’excuse parfaite. Maintenant il était déjà au ministère et se dirigeait vers le bureau des aurors. Il fallait le trouver et lui dire qu’il ne pouvait pas la garder puisqu’il avait quelqu’un de sa famille très malade mais pour être sur qu’il accepte la proposition il fallait qu’il arrive à tourner tout cela a son avantage…on ne charme pas le serpent comme on charme les femmes….restait maintenant à être convaincant. Bien trop perdu dans ses pensées il marchait d’un pas décidé, tellement décider qu’il en loupa la porte et lorsqu’il s’en rendit compte il soupira en faisant demi-tour. Il restait tout de même égale à lui même. Il percuta dans sa précipitation une chevelure blonde qui sortait de l’ascenceur. Il s’apprêtait à s’excuser lorsqu’il s’aperçu qu’il s’agissait de sa petite sœur.
« Pardo….nez ….moi…mais qu’est ce que tu fais la ? » |
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère de la magie Lun 10 Déc - 21:34 | |
| Comme si la jeune fille c’était attendu de recevoir un choc elle avait bloqué le plat qu’elle tenait dans les mains contre son ventre afin de ne pas tout renverser. Son frère voulu s’excuser jusqu’à ce qu’il la reconnaisse et lui demande ce qu’elle faisait là.
*Ca fait toujours plaisir d’être la bienvenue*, pensa-t-elle en le regardant droit dans les yeux, elle lui arrivait maintenant aux épaules.
La jeune fille avait enfin fini par grandir et à prendre des formes avantageuses pour son âge où il fallait qu’elle en ait. Elle devenait une femme seulement son frère, la regardait toujours et la considéré toujours comme une fillette d’à peine quatre ans. Ce qui énervait un tantinet la jeune fille qui se recula presque pour rentrer de nouveau dans l’ascenseur en voyant ça elle s’avança bousculant par la même occasion Samuel pour qu’il comprenne que si il ne bougeait pas elle allait repartir avec l’ascenseur.
- Je me suis dit que tu aurais peut-être faim et comme j’avais un peu de temps devant moi je t’ai préparé des pâtes à la sauce tomates. Mais, si tu n’en veux pas je trouverais bien quelqu’un d’autre ici, qui les acceptera, lui dit-elle avec un petit sourire en coin.
Elle fit alors le tour du petit hall du regard mais, il n’y avait personne au alentour la pause ne devait pas encore avoir eut lieu.
- Au fait, que fais-tu chez les Aurors ? Ah… oui j’ai rencontré… Camille…, Camélia…, Ciara…, Coralie…, enfin je ne me souvient pas bien de son nom, il faut dire que tu as tellement de collègue et d’aventure que je ne sais plus comment elle s’appelle, lui dit-elle en le regardant droit dans les yeux. Bref, elle m’a dit que je te trouverais ici… Tu as des ennuis ? lui demanda-t-elle d’un coup avec un parfait sérieux.
C’est alors qu’elle remarqua que la clenche du bureau des Aurors commença à remuer doucement. La jeune fille regarda alors son frère droit dans les yeux pour savoir ce qu’était la réponse ou l’excuse qu’il allait lui fournir. |
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère de la magie Mar 1 Jan - 19:34 | |
| La poignée tourna doucement et la porte s'entrouvit lentement, laissant échapper quelques rumeurs de voix étouffées ainsi que quelques bribes de conversation. Apparemment deux hommes discutaient à bâtons rompus, l'un parlant de façon beaucoup plus puissante et emportée que le deuxième... Et, brusquement, la porte s'ouvrit dans son entièreté, repoussée avec une telle violence qu'elle manqua voler hors de ses gonds. Le panneau percuta et rebondit contre le mur laissant ainsi apparaître deux personnes -dont l'une, blonde à l'extrême, dépassait l'autre d'une bonne toise. Intentionnellement, ce dernier voulut refermer derrière lui mais le jeune homme, qui paraissait avoir prévu le coup, riposta de ses bras, évitant soigneusement le panneau en bois qui lui revenait comme un boomerang. Ralenti, il pressa l'allure afin de rejoindre son compagnon qui marquait son pas par de plus grandes enjambées...
"Auror Sykes, il faut que je cloture ce dossier aujourd'hui ! Si je n'ai pas les papiers relatifs au rapport, je suis fichu...".
Apophis mordit avidement dans un sandwich qu'il venait de se faire : tomate, mozzarella, gruyère, jambon et mayonnaise... beaucoup de mayonnaise. Cette dernière lui resta à la comisure des lèvres et sur les joues. Il renchérit, la bouche pleine :
"Demandez à vos potes de la Brigade de vous les fournir ! Je leur ai donné hier, je les ai plus avec moi ! -il ravala un morceau coincé dans sa gorge- Et puis vous n'avez qu'à faire attention à ce que l'on vous donne !".
Il arracha une autre bouchée, mâchant et mâchant encore, ventre gargantuesque apaisant sa faim, véritable dogue aux mâchoires compressant la nourriture avec avidité. Le pauvre garçon, aux allures amaigris et rachitiques, le suivait avec peine, s'essouflant plus que de mesure.
"Mais, protesta-t-il entre deux soupirs, mais on ne les retrouve plus ! Etets-vous sûr de...".
Il s'arrêta sur le champ. Sykes venait de déplacer sa grosse masse vers lui, roulant des yeux meurtriers et flamboyants de méchanceté. Son visage était froid, impitoyable tandis qu'il toisait le petit employé.
"Je me contrefiche de savoir si vous l'avez perdu ou non. J'ai d'autres choses à faire que de m'occuper à rédiger un autre compte-rendu ! De plus, je ne me trompe jamais !".
Il avait ajouté cette phrase sur un sourire félon, continuant sa route sans se préoccuper de recevoir une réponse ou non. Ses talons claquaient ferme contre le marbre du couloir, ses bottes en cuir couinant dans un bruit souple à chacun de ses mouvements. Il ne fit aucune halte, pas même lorsque l'autre tenta de reprendre la parole. S'essuyant une dernière fois la bouche sur un mouchoir blanc qui devint vite gras, il rangea le tout dans une des poches multiples de son pantalon noir. Ses épaules se balançaient à un rythme régulier mais elles se stoppèrent aussitôt. Le gamin venait d'attraper son bras...
"Auror Sykes, c'est important. Je vous l'ai dit, vous le savez...".
Il parut hésiter l'espace d'un instant, baissant les yeux de honte. Sykes poussa un long et profond soupir...
"Oui, vous me l'avez dit ! -et il l'imita d'une voix niaise et lancinante- "Auror Sykes, j'ai besoin de ça pour vous-savez-quoi !", "Auror Sykes, ma promotion tombe à la fin du mois !", "Auror Sykes ils vont me fiche à la porte !", "Auror Sykes, j'ai une famille à nourir..." et bla, bla, bla et bla, bla...".
Au même instant son regard s'arrêta sur deux silhouettes qui ne lui était pas totalement inconnues. L'une était plus grande et plus âgé que l'autre tandis que la seconde, d'un blond crémeux et chatoyant, tenait entre ses bras un grand plat en porcelaine (je suppose héhé). Les deux personnages, eux aussi, le fixaient à présent.
"Bla...", finit-il. Puis il arqua un sourire aussi rassurant et avenant que celui d'un requin. Il ne laissa pas l'employé de la Brigade s'éterniser sur ses gérémiades insupportables et pressa l'allure afin de couper court à ses explications. A présent, il se dirigeait vers Aelita et Samuel avec la ferme attention de savoir ce que pouvait bien faire une enfant en ces lieux.
Fier de lui, sans se départir de son sourire puant, il se campa devant eux, les mains derrière le dos. Coulant un regard hypocrite à chacun il finit par bomber le torse en inspirant lentement pour ensuite expirer tout son souffle. Ceci, évidemment, afin de garder son calme.
"Ah, Monsieur Stones... Quelle charmante idée que d'amener des enfants ici ! Sincèrement, je n'aurais pas pu faire mieux moi-même !".
Ses lèvres charnues s'imprimèrent un peu plus dans sa chair en un sourire jovial. Il continua :
"C'est... Mardi-Gras, Mercredi ? Y a un problème ? Vous voulez un congé maternité ?".
Ses yeux d'un bleu froid s'arrêtèrent sur Aelita. Il eut un ricanement mauvais, reflet d'enfant insupportable.
"A moins qu'elle ne vienne prendre la relève pour vous aider dans votre travail... ce qui ne serait pas étonnant !".
"Au... Auror Sykes, reprit l'employé derrière son dos, s'il vous plait...".
"Couché, toi !", il revint à la jeune fille. Ses paupières clignèrent un instant tandis qu'il plissait les yeux, perdu dans ses pensées. Soudain la lumière se fit et Sykes laissa s'épanouir sur son visage juvénile un énorme sourire. Il se pencha sur Aelita, ses mains plaquées contre ses genoux et soutenant la grande masse qu'il était.
"Voici donc la jeune fille qui m'a si étrangement dévisagé au dernier banquet de Noël. Comme si j'avais été un fantôme, elle n'a pas arrêté de m'observer...".
Il lui décocha un dernier clin d'oeil puis se redressa, considérant à présent Samuel Stones.
"Elle a cru certaines choses, affabulé, demandant si je n'avais pas un quelconque lien avec son père... Très poliment d'ailleurs, quoiqu'un peu craintive. Ce qui lui coûta -il leva les yeux, cherchant dans sa mémoire- oh ! Cinq points à Serdaigle !".
Il écarta les bras sur un rictus décadant faisant pétiller ses yeux de grand gamin de 34 ans. Il portait ce que, communément, il n'aurait jamais mis. Un t-shirt noir et cotelé suffisemment court pour révéler un morceau de son ventre sur des hanches encrées et solides. Sykes, ému par sa propre bêtise, laissa retomber ses larges bras face à l'évidence.
"Je suis en présence de la famille Stones, il n'y a aucun doute à avoir ! Le frère, légèrement ahuri qui, me prenant pour son vieux, se jette sur moi. Et la soeur, je présume, qui, frappée de stupeur, va jusqu'à braver les règles de son école pour venir m'accoster !".
"Ai-je raison ou ai-je tort ?".
Il pencha la tête de côté tout en se mordillant la lèvre inférieure, sorte de réflexe de nourrisson déformé et inquiétant sur son propre visage. Sykes haussa les épaules sur un petit ris vain. L'employé, derrière lui, avait baissé les bras et chassé tout espoir. A présent il repartait en sens inverse d'un pas courroucé.
Apophis leur tendit un signe dédaigneux du menton.
"Alors ? Qu'allez-vous inventer pour justifier sa présence, Monsieur Stones, hein ? -il prit un air ahuri et demeuré- "Oh, Au... Auror Sykes, elle... elle s'ennuyait à la maison !". Hinhinhinhinn... A hurler de rire, Monsieur Stones ! Je me fends la poire, voyez ?".
Il lui décocha un dernier cclin d'oeil complice et se réserva un sourire terrifiant, découvrant ses grosses dents à l'intention d'Aelita. |
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Ξ Sujet: Re: Dans les couloirs du ministère de la magie Mer 9 Jan - 23:09 | |
| Aelita regardait toujours Samuel droit dans les yeux pour savoir ce qu’il allait bien pouvoir lui répondre quand la porte du bureau des Aurors c’était alors entre-ouverte. Un homme de petite taille assez fin était de dos et reculé en regardant de temps en temps ou il mettait les pieds. Quand un homme assez grand par rapport à l’autre ouvrit brutalement la porte l’envoyant dans le mur la porte revient alors sur les deux hommes et le géant l’évita soigneusement tandis que l’autre homme continuer à reculer en regardant de temps en temps derrière lui.
D’après leur conversation Aelita put en déduire qu’il s’agissait de paperasse, en entendant cette conversation elle avait détourné le regard de son frère pour pouvoir observer la scène. Elle ne mit pas longtemps à reconnaître le géant, comme étant l’Auror Apophis Sykes, son professeur d’histoire des Moldus lui avait un peu parlé de lui. Elle le trouvait à ce moment dégoûtant et répugnant à souhait avec la mayonnaise qui lui dégoulinait des babines et qui avait laissé une emprunte blanche sur les joues de l’homme.
*Par Merlin, que les hommes peuvent être écoeurant quand ils mangent*, pensa-t-elle en détournant le regard et en se couvrant la bouche comme si elle allait vomir.
Sykes venait de s’arrêter dans le couloir, ce qui donna à Aelita une raison de regarder de nouveau dans sa direction. Elle entendit alors l’homme dire : qu’il se contrefichait de savoir si il l’avait perdu ou non qu’il avait d’autres chose à faire que de s’occuper de rédiger un autre compte-rendu et de plus qu’il ne se trompait jamais.
*Pas de doute, il vient bien de la maison des Serpentard*, pensa la jeune fille en le toisant du regard.
Le jeune homme attrapa alors le bras de l’Auror qui avait reprit sa marche et lui dit que c’était important qu’il lui ait dit et qu’il le savait. Sykes poussa un soupir et dit alors qu’en effet il lui avait dit puis il prit une voix fluette comme pour imiter très mal le jeune homme qu’il avait en face de lui et poursuivit en répétant sans doute ce que l’homme lui avait dit pour obtenir ce pourquoi il était là. Il quitta alors le jeune homme et se dirigea vers Samuel et elle, elle ne détourna pas un seul instant son regard de l’Auror.
Il semblait fier de lui, il avait toujours aux lèvres un sourire et il se campa devant eux les mains derrière le dos bombant le torse en inspirant fortement. Sykes prit la parole avant d’exploser, il dit à Samuel –ironiquement bien sûr – que c’était une charmante idée que d’amener des enfants au ministère et que sincèrement il n’aurait pas pu faire mieux que lui. Il demanda ensuite si c’était Mardi-Gras ou Mercredi ou si il y avait un problème à moins qu’il ne veuille demander un congé maternité. Aelita écarquilla alors les yeux de stupeur en entendant le dernier mot, elle espérait au fond d’elle avoir mal comprit, son regard se reporta alors sur Samuel.
- Pour qui il se prend ce type ? Il devrait se regarder avant de demander si c’est Mardi-Gras vu la façon dont il est habillé, on dirait un as de pique ! Si il croit que je suis enceinte ou que je suis encore un bébé c’est que c’est lui qui a un problème et je ne parle pas seulement de la vue !, dit-elle en regardant uniquement Samuel.
L’homme poursuivit en disant à Samuel que peut-être Aelita était là pour prendre la relève pour l’aider dans son travail ce qui ne serait pas étonnant.
- Ce qui est vraiment étonnant c’est qu’un type pareil soit Auror !
Le jeune homme reprit alors la parole avec une certaine hésitation, l’homme s’adressa alors à lui comme si il s’agissait d’un chien. Il se pencha alors vers Aelita qui se recula d’un pas, elle ne voulait pas être trop proche de se pervers. Il avait reconnu la jeune fille comme étant celle qu’il l’avait dévisagé au banquet de Noël. Il dit alors qu’elle l’avait sûrement prit pour un fantôme car, elle n’arrêtait pas de l’observer. Il lui décocha un clin d’œil puis se redressa, Aelita fit alors un pas en avant pour revenir elle aussi à sa position initiale.
- Voir une personne qui ressemble trait pour trait à son père ça pourrait troubler n’importe qui, se dit-elle à haute voix.
Sykes regardait Samuel tout en lui disant qu’Aelita avait cru certaines choses et qu’elle lui avait même demandé si il avait un quelconque lien avec son père. Il ajouta qu’elle avait était très polie avec lui mais, un peu craintive, ce qui lui avait coûté cinq points pour Serdaigle. Aelita se souvenait de ce moment, elle aurait préféré ne jamais le vivre, quelle honte, elle avait eut en plus pour cet homme si imbu de lui-même. Sykes après avoir rit fit une version vraiment très ironique de la famille Stones, il ne comptait que deux membres ce qui arrangeait bien Aelita pour le moment. Il n’avait donc pour l’instant rencontré que Samuel et ça tombé très, très bien pour la jeune fille.
*Il vaut mieux qu’il ne rencontre pas Jeremya tout de suite*, pensa-t-elle avec un léger sourire aux lèvres.
Sykes demanda ensuite si il avait raison ou tort, Aelita le regarda alors droit dans les yeux avec un léger sourire ironique.
- Braver les règles c’est bon pour les Gryffondor, disons que je voulais juste faire une expérience ou vérifier une théorie en bonne Serdaigle que je suis, dit-elle en insistant sur le mot Serdaigle.
Sykes demanda ensuite à Samuel qu’est-ce qu’il allait inventer pour justifier la présence d’Aelita, il prit ensuite un air ahuri et demeuré puis il dit en imitant misérablement la voix de Samuel : Qu’Aelita s’ennuyait à la maison. L’Auror lui dit alors que c’était à hurler de rire et qu’il se fendait la poire comme il pouvait le voir.
- Mon frère n’a pas besoin de se justifier face à vous, Auror Sykes !, lui dit-elle en posant un doigt sous son menton, ou devrais-je dire Auror Apophis Sykes hum… c’est difficile de choisir… ou alors Apophis Sykes parce que le titre d’Auror ne vous va pas du tout ! Vous savez Samuel est connu au Ministère de la Magie, dit-elle en se rapprochant de lui, et je suis venue plusieurs fois ici pour lui rendre visite alors je suis assez connue ! Donc, j’ai le droit Mr Sykes de me trouver là et d’apporter le repas à MON frère !
Tout en se rapprochant de lui elle avait levé son index et elle le frappa à plusieurs reprise avec celui-ci au niveau de l’abdomen de l’homme vu que son torse était un peu trop haut pour elle.
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