Mariage September et Lily (04/07/95) [Ouvert à tous]

C’était la veille du mariage de Lily-Roze Silverstone, il ne la connaissait pas très bien, Samuel lui avait parlé quelque fois au ministère … enfin ils avaient surtout parlé de Quidditch. Le jeune homme avait été fasciné pas la facilité de la jeune femme à s’emballer ainsi…visiblement cela était une passion pour elle….mais il l’avait trouvé tout de même bizarre enfin il y avait quelque chose en elle de folie.

Mais revenons à Samuel, le jeune homme n’avait pas vraiment hésité pour savoir qui l’accompagnerait au mariage bien au contraire il s’était même empressée d’invité cette personne. Depuis qu’il l’avait revu, il se surprenait à penser à elle tout le temps ou presque…Malory Berkeley elle était vraiment charmante déjà à l’école il la trouvait a son gout mais ne l’avait jamais dragué ce qui était bizarre…mais elle était une de ses meilleures amies et il ne voulait pas lui faire de mal comme au autres. Et puis il y avait eu Beth…mais elle n’était plus la et il l’avait revu et son cœur malgré son envie de ne pas retomber amoureux pliait chaque fois un peu plus. Un bon nombre de fois il s’était traité de Poufsouffle. Et puis maintenant c’était plus dangereux pour elle, vu sa nouvelle condition…rien que d’y penser il en avait des frissons dans le dos.

Qui a dit que les hommes de la famille Stones étaient compliqués ? Alors qu’il se trouvait devant son miroir essayant désespérément d’attacher son nœud papillon, les questions se trouaient dans sa tête par millier. Plus celle-ci se bousculaient et moins il arrivait à faire son nœud en rage il balança le bout de tissus a travers la pièce et opta pour une cravate. Mais merlin en avait décidé autrement et ses doigts n’arrivent à rien…le jeune laissa tomber et décida de demander à Malo si elle pouvait l’aider. Samuel jeta un coup d’œil a son reflet et se trouva beau. Enfin il était charmant et il le savait d’ailleurs bon nombre de femme mariées ou pas en avait eu un avant gout. Mais depuis peu sa vie semblait changer ses sentiments…Sa prise de conscience…la marque sur son bras (en fait ce mariage c’est réunion mangemort et Auror à la bonne franquette non ?)

Enfin il sortit de sa chambre se dirigeant directement vers celle de Malory. La cravate autour du coup, il leva le poing pour frapper puis le rabaissa, et recommença son manège pendant un bon quart d’heure. Le courage n’avait jamais été son fort, il soupira un bon coup et toqua à la porte. Son cœur battait la chamade alors que la porte s’ouvrait sur la jeune femme. Il resta devant elle la bouche grande ouverte, alors qu’elle lui montrait un bouquet de rose qui visiblement ne venait pas de lui. Son cœur se pinça et la jalousie se fit paraitre.

*Non mais qui est l’imbécile qui lui envoie des fleurs alors que c’est MOI qui l’est invité…y en a qui manque pas d’air…si je le croise celui la je lui fais manger sa baguette.*

Faisant mine de ne rien ressentir, il lui adressa un sourire alors qu’il était contrarier. Il s’approcha d’elle embrassa le coin de ses lèvres n’osant toujours pas faire plus…de peur de lui faire du mal. Innocemment il lui demanda :

« Malo tu es éblouissante que dis-je époustouflante... au fait, d'où vienne ces fleurs ?»

Oh jalousie quand tu nous tiens, il prit sa main qu’il caressa sans même s’en apercevoir. Puis se perdit à la regarder un long moment. Merlin qu’il se trouvait pitoyable ca ne lui ressemblait pas d’habitude c’était les femmes avec qui il sortait qui était dans cet état la pas l’inverse et maintenant que cela lui arrivait il ne savait plus quoi faire, ni comment se comporter. Il trépignait d’un pied à l’autre ne semblait plus tenir en place.

« Malory ma che…rie…Euh ma chère allons y ou nous allons manquer la cérémonie. »

Samuel la tira à lui, leurs joues s’effleuraient alors qu’il se penchait pour fermer la porte. Un peu trouble il la regarde dans les yeux, qu’il baisse presque aussitôt.

« On prend la poudre de cheminette. Le transplanage n’est pas mon fort rappelle toi. »

L’entraine toujours en lui tenant la main dans la pièce des cheminées magiques. Galant le jeune homme la laisse passer devant avant de lui même s’engouffrer dans la cheminer et de prononcer le nom du domaine. Lorsqu’il sort du petit espace il croise le regard de Malo mais n’a toujours pas digérer les fleurs. Samuel a quelque peu la rancune tenace. Il la prend de nouveau par la main et lui sourit en embrassant son poignet.

« Allons-y »

Les deux jeunes gens s’approchent dans le jardin, croisant des visages plus ou moins familier.

« Mon dieu c’est très Poufsouffle….oh regarde Sykes…tu crois que Lola a accouché ? »

La regarde dans vraiment s’en rendre compte avec envie.

Elle ne fit pas très étonnée de voir la réaction de Raphaël, il la regardait avec un tel mépris, elle se morda la lèvre inférieure, elle se faisait toute petite, devant ce jeune homme, mais quelque chose clochait dans son attitude, elle s'attendait se faire jeter comme d'habitude, mais il ne fit rien pour la renvoyer, il lui lâcha juste un ...

"Vous êtes?" lança-t-il sans autre procédure.

Halloween plongea son regard dans celui de son camarade de maison, elle ne savait pas si, c'était bien de lui rafraîchir la mémoire sur son nom et prénom, elle ne voulait pas être la cause d'une catastrophe dans un mariage... surtout à la présence de son père, ni de ses oncles. Mais elle lui dit en reculant d'un pas, d'un coup, elle présentait que Gibson n'allait pas apprécier ce petit rafraîchissement de mémoire

« Je suis Halloween Strue, une élève de ta maison ?!?! »dit elle en lui envoyant un petit sourire
*super, maintenant il va pas se gêner pour m'envoyer bouler !!! comme d'habitude.*

Mais elle avait beau lui avoir dit cela, il n'avait pas l'air d'avoir compris que devant lui se trouvait la peste de Poudelard, en personne, il l'ignora carrément pour regarder une scène pas loint d'eux, si lui arrivait à cacher son étonnement, elle ne put le caché bien longtemps et ne put se retenir de dire plus pour elle-même que pour Raphaël. En entendant ce que disait monsieur Sky...c'était tout bonnement horrible pour les oreilles d'Halloween. Heureusement qu'un homme vient à l'aide à la femme.
« Il prétend être adulte « dit elle en levant les yeux au ciel « et qui va venir l'aider et attirer l'attention sur qqn d'autre c'est moi »dit elle en partant direction le groupe
Elle fit quelques pas dans la direction du groupe et se retourna vers Gibson, lui dit d'une voix faussement amusée et en faisant un petit sourire.
« Si on se rapproche de monsieur Sykes on appourra peut-être entendre encore mieux ces propos légèrement enfantin, tu me suis ? On va mettre notre grain de sel !!! et dire bonjour à notre directeur de maison avant que monsieur Sykes fasse comment dire cela « dit elle en maintenant un index sur sa fine bouche en réfléchissant « ah oui, un carnage !!! »dit elle

Après cette brève discutions avec lui, elle se faufila vers le groupe et après avoir prit une bonne respiration et bu deux verres de punch , elle coupa la parole à tout le monde dans le petit groupe.
« peut-être pour vous faire taire vos imbécillités « dit elle avec un sourire d'ange à monsieur sykes
« Professeur Rogue ravit de vous voir, monsieur Sykes toujours aussi bavard, oh excuser mon impolitesse, je me suis pas présentée « dit elle en regardant Lorelai ,Charlie et l'autre aurore len faisant une brève révérence.« Je me nomme Halloween Strue, élève à Poudelard »dit elle sans préciser son année et sa maison de toute façon, ça servait à quoi qu'ils le savent. Elle but une troisième gorgée de son troisième punch et regarda la dame d'honneur et tout gentiment mais sûrement tourna la tête, elle dit d'une voix enfantine.
« Monsieur Sykes vous êtes vulgaire !! Comportez vous un quelqu'un de noble pour une fois !! « dit elle en le foudroyant d'un regard noir. « vous vous embêtez tellement que cela à ce mariage pour que vous veniez déranger une dame qui discute avec son ami et mon directeur de maison !!! »dit elle en regardant son directeur en déballant la pure vérité.
*trouver quelque chose pour lui fermer son clapet !!!et vite ?! ah le jeu de cartes*
« On va rire, d'accord !!! je vais tirer les cartes, depuis ces vacances je me suis beaucoup améliorée »dit elle en faisant un clin d'oeil à l'aurore, qui avait eu la désagréable surprise d'entendre sortir d'une bouche de cette enfant deux ou trois vérités sur son passé en partie grâce à ce jeu de carte de malheur.
« Voyant voir ce que vous réserves le futur ?! on commence par qui, vous monsieur Sykes ? « dit elle en lui faisant son petit sourire carnassier, pauvre monsieur Sykes, ça tombait toujours sur lui... Elle se mit à mélanger ses cartes avec rapidité et au bout de deux minutes, cinq cartes étaient posées en forme de croix sur la table du banquet, Halloween commença à les retourner une après les autres, elle n'avait pas l'air ravie de ce qu'elle lisait.[/i]La première carte était celle de l'impératrice donc il devait avoir une femme dans son futur.
La deuxième carte était le jugement donc il devait avoir un retour des choses, bref il allait en bavé

La troisième carte était celle du pendu donc il va être impuissant, déprimer, malade.

La quatrième carte était l'amoureux donc il va être hésitant, mais réfléchit

La cinquième carte était la dernière, mais la plus importante, donc qu'elle carte Halloween avait tiré pour monsieur Sykes, mais est-ce que les cartes avaient bien écouté leur maîtresse ?

C'était celle de l'empereur donc il allait être protégé par un homme

*Mais c'est quoi cette histoire, monsieur Syke protéger par un homme amoureux et réfléchit ?*

Le regard d'Halloween glissa sur la dame d'honneur et dit simplement d'une voix neutre

« Monsieur Sykes vous avez de la chance, mes cartes vous ont pas choisi cette fois-ci, mais bien une certaine personne dans ce groupe »dit elle en se retournant et regardant Lorelai droit dans les yeux, elle lui dit en souriant pour qu'elle seule comprenne.
« La dragonne va subir des temps douloureux, mais un dragon va réussir à faire chavirer son coeur, le temps viendra que la dragonne devra faire un choix entre deux dragons, lequel va-t-elle choisir ? seul le temps le décidera, même si ce dragon et bien plus prêt que l'imagine la dragonne »dit elle en souriant

on dirai une prophète comme je parle oula la !?!?! c'est bon elle va me prendre pour une folle !!!! et monsieur sykes lui il ne va pas me rate, maintenant*

Elle quitta son regard pour le poser juste derrière cette femme, sur un charmant jeune homme qui venait d'arriver, elle était prête à les quittée pour aller le saluer, quand elle fit quelque chose qui provoqua sur son visage un masque de glaçe, monsieur Stone n'était pas venu tout seul, il avait emmené avec lui une charmante femme, ils avaient l'air de pas être que des amis?!? Ses mains se crispèrent d'un coup une sur le jeu de carte et l'autre sur sa robe, ses yeux montrèrent d'un coup une immense triste, mais à peine deux minutes, ils reveignèrent normal, en raison que Halloween luttait intérieurement pour ne montrer aucun sentiment, elle réussit même à revenir complètement normal en cinq minutes.
"J'en ai été ou, ah oui à qui le tour?, à vous monsieur?"demanda t'elle à l'autre aurore en quittant de vue Samuel Stone

Severus Rogue s’amusait comme un petit fou à cette réception. S’il avait su qu’il assisterait à une telle scène en se réveillant ce matin, il serait venu à ce Mariage avec plus de rapidité et de spontanéité. Lorelai, qui ne se gêna pas pour lui lancer une sanglante réplique, sembla provoquer une colère divine car aussitôt, la seule personne pour qui Rogue éprouvait un certain dégoût mêlé d’admiration pour sa franchise grossière se présenta : Apophis Sykes. Les deux hommes ne discutaient que très rarement, et ne se connaissaient pas beaucoup, mais Rogue ne pouvait cacher un certain dégoût face à la grossièreté de l’Auror mêlé à un certain dédain pour ce qui est de la bienséance et des règles de vie. Il était vrai que Rogue prônait l’insolence, l’intolérance et la méchanceté, mais il savait garder une certaine touche polie et digne d’une conversation mondaine, alors que la conversation qu’il entendait en ce moment n’avait rien de diaboliquement polie et de méchamment mondaine. Sykes se contenta tout bonnement d’humilier Lorelai en public, avec cette attitude qu’ont les loups dans les fables de La Fontaine.

Rogue ne cacha pas son dégoût lorsque Sykes se montra grossier avec Lorelai et le Weasley qui les avait rejoints. Pour une fois, il voulait absolument se mettre du côté de la pauvre Lorelai, car après tout, Rogue était un Homme. Comment ne pas réagir face à une telle injustice ? Rester indifférent était diabolique… Il ne l’était pas vraiment, il était juste… purement insociable, mais après, ça n’était plus une question de moral, c’était juste une question de valeurs… Quelles étaient les valeurs qu’il avait apprises au cours de toutes ces années ? Son cœur, pour une fois, était présent, et lui ordonnait de défendre une cause qu’il ne plaidait jamais, de lancer une cinglante réplique à ce Sykes qui croyait que cette forme d’humiliation était un jeu, et qui n’avait que pour seul objectif de soudoyer Lorelai et le Weasley de son impétueuse insolence grossière et trop longtemps fortifiée.

Chaque conte possède un retournement, et après tout, que risuait-il pour une fois de plaider une cause juste et honorable ? Quand Sykes avait déposé un baiser violent et plus grossier que jamais sur Lorelai, son esprit s’était enclenché dans un long engrenage de réactions en chaîne, provoquant un intense désir de réagir promptement à cette grossière et démente attitude. Il lança vers Lorelai un regard de pâle incertitude, puis, il prit lentement et délicatement le verre offert par Sykes. Il n’avait pas prononcé un mot depuis la réplique dernière réplique de Lorelai qui lui était adressée, et ignorait les remarques qui le concernaient, préférant ne pas y répondre.

Il allait se décider à révéler son sentiment de dégoût et de rude colère, quand un infirme débarqua dans la conversation sans y avoir été invité. Son antipathie pour les Hommes émanait de lui avec cette fétide lueur nauséabonde qui s’évapore d’un cadavre en décomposition, et il ne semblait pas prompt à garder son antipathie dans sa poche, car le premier acte qu’il fit fut d’écraser violemment le pied de Sykes sans retenue. Habituellement, Rogue aurait sourit par le comique de la situation. Mais là, il souriait parce que l’acte était bien mérité, et que le pied de Sykes était traîté de façon trop sympathique, car s’il avait été à la place du nouveau venu, il aurait littéralement réduit en bouillie le pied de l’Homme.

Mais c’en était trop. Il lâche son verre, qui tomba sur le sol au ralenti, avant de se briser en mille morceaux, symbolisant la colère qui éclatait de lui tel un taureau qui entre dans une arène. Il lança un regard de pleine haine vers Sykes, et se lança dans sa longue et rouge démence qui se libérait en lui au fur et à mesure que ses paroles se délivraient.

« Sykes, je pensais qu’avec le temps votre comportement de gamin qui n’a pas eu son Eclair de Feu pour Noël s’estomperait, mais apparemment, je me trompais. Je pense que Miss Devalle a suffisemment subit vos grossiers caprices immoraux et malsains pour le moment, et que vous pouvez nous dispenser de votre intelligence fulgurante et nauséabonde. Peut-être que ce mister là, il désigna le nouveau venu, deviendrait votre copain le plus sympathique possible, et que vous pourrez jouer tranquillement dans le bac à sable quand on aura le dos tourné. »

Il lança le regard le plus noir possible aux deux hommes, un cruel dilemme tortillant son esprit, ne sachant choisir entre partir et rester pour se délecter de la scène qu’il avait tenté de modifier en moins pire que ce qu’elle pourrait devenir. Mais une élève du collège débarqua, une Serpentard, et entra dans la conversation tranquillement. Rogue lui lança le regard le plus sévère possible, soutenu d’une intense colère noire et sournoise, avant de se retourner vers les deux Hommes encore en train de se chahuter comme deux gamins. Il tourna un bref instant la tête vers Lorelai, et reposa son regard sur la scène de ménage qui entortillait ce Mariage déjà si peu ordinaire.
Pour la première fois de sa vie, il sentait qu’il avait commis une action humaine. Il y a un début à tout, après tout…

Devant le miroir de la salle de bain, Michael était en train de terminer de se coiffer.
Il finit par se reculer pour se regarder. Il observa la veste noir de son costume, le veston de la même couleur qui cachait un peu plus la chemise blanche qu'il portait en dessous.

Pourquoi était-il habillé ainsi...pourquoi cet accoutrement...en quel honneur...ah oui, un mariage...entre deux membres du ministère en plus...Lily-Rose Silverstones et le nouveau mangemort September Quint.

"Hé ben ça promet...J'espère pour leurs enfants, et pour nous, qu'ils n'en n'auront pas..."

Le cadet des Stones se remémora tout ce qu'il savait des futurs mariés tout en continuant d'arranger les derniers petits détails de sa tenue.

Quand il eut fini il sortit pour retourner dans sa chambre récuprérer quelques affaires dont il aurait sans doute besoin pendant son déplacement.
Tout en cherchant ces objets, il se demanda pourquoi c'était lui qui avait dû accompagner Aelita là bas...l'accompagner n'importe où ne le dérangeait nullement, si il pouvait il la suivrait toutes sa vie...mais bon là il aurait aimé n'avoir pas été disponible...malheureusement Jérémya était en Roumanie à ce moment là, et Sam y était accompagné par quelq...sa copine !
En repensant à ce détail il releva la tête de sa recherche et ce dit que c'était pour ça qu'il avait accépté de venir avec Aelita ! En entendant que son petit frère avait une copine, il voulait voir la tête de la fille qu'il avait embobiner.

Remonté dans son envie de participer aux festivités, il finit de se préparer plus rapidement.

Enfin fini, Michael sortit de sa chambre pour chercher Aelita et voir si elle était prète. Il alla frapper à sa porte mais n'entendit aucune réponse. Etonné, il descendit au rez de chaussé et chercha dans les différentes pièces qui le constituées, pour finallement la trouver dans le salon, en train de l'attendre.

"Désolé, je t'ai fait attendre..."

Sans faire attention aux éventuelles remarques qui auraient pu fuser à son encontre pour ce retard, il vérifia que tout était réglé et qu'ils pouvaient quitter le manoir sans problème.

"Bon on y va vient par là."

Quand Aelita fut devant lui, il la prit dans ses bras...
Chaque fois qu'elle transplanait avec lui...il était aux anges, et il espérait à chaque fois ne jamais arriver au lieu d'arrivé du transplanage...
Il chassa une nouvelle fois ces pensés et réfléchit à l'endroit où ils devaient se rendre. Il c'était renseignait minucieusement sur ce lieu et connaissait assez bien la géographie de la place, bien qu'il n'ait pas eu le temps de la connaitre dans ses moindres détails.
Il mémorisa le lieu prévu au transplanage qu'on leur avait désigné dans la propriété et ils disparurent...

Quelques secondes passèrent et ils appararurent sur la piste de transplanage, l'endroit exact où Michael avait choisit d'arriver. A contre coeur, il relacha sa soeur et, après l'avoir contempler quelques seconde, leva les yeux pour observer ce paysage qu'il connaissait déjà très bien, comme quelqu'un qui s'y serait déjà rendu un bon nombre de fois.
Il apperçut, en regardant un peu plus loin, des invités qui distucutaient ou s'affairaient dans les préparatifs du mariage. L'homme essaya de dicerner des visages qu'il connaissait mais sans frnc succès, même si il avait cru voir le professeur Rogue.
Son regard dériva encore sur les invités, et il en repéra un qui marchait droit sur le groupe où il avait cru voir Severus. Il fronça les sourcils pour tenter de voir qui il était...cette tête lui disait quelque chose...il avait un précentiment en voyant cette silhouette...un mauvais...il se concentra un peu plus et reconnu...

*Sykes !!! oh non pas cet aurore de malheur. Qu'est-ce que pouvait bien faire ce crétin à un mariage !?!?!*

Il savait que September était loin d'être un homme futé mais franchement là il touchait le font, invité quelqu'un comme lui, il fallait vraiment être irréfléchit et inconscient.

*Hé bien ça promet...*

Il soupira et porta son regard sur la jeun fille qu'il accompagnait, attendant de savoir ce qu'elle voulait faire.

Aelita n’était pas aux anges d’aller au mariage du professeur Quint, il l’avait invitée certes… Mais, elle aurait préféré ne pas si rendre, enfin c’est ce qu’elle avait pensé jusqu’au jour fatidique où elle c’était quand même fait une raison. Elle était bien trop jeune pour un homme tel que lui et son épouse devait être ravissante, pour qu’il l’épouse en si peu de temps. C’est donc avec le sourire qu’Aelita se prépara pour se rendre au mariage des Quint, elle avait pensé à une robe dans les noirs mais, elle voulu sortir de l’ordinaire et donc pencha pour une longue robe verte.

Mariage September et Lily (04/07/95) [Ouvert à tous] - Page 3 Robedaelitaqk7

Elle se doucha lava ses longs cheveux blonds puis elle les coiffa de manières à ce que cela fasse un chignon, elle se maquilla et s’admira dans le miroir. Il était évidement que plus elle grandissait plus elle ressemblait à sa mère, du moins ce qu’elle se souvenait d’elle. La jeune fille regrettait de ne plus connaître son odeur et d’oublier certaine chose la concernant, par contre en regardant ses yeux turquoises elle n’avait pas l’impression de voir sa mère mais, son père ses yeux pouvaient être vide et à ce moment elle se faisait même peur à elle-même.

Elle finit part retourner dans sa chambre pour enfiler sa robe, elle mit ses bijoux qui était tous en argent se parfuma puis se rendit au salon pour y attendre son frère qui était entrain de se préparer dans la 2ème salle de bains de la maison. C’était bien pratique car, comme ça les garçons pouvaient se laver de leur côté, tandis qu’elle n’avait pas attendre une éternité pour avoir la place libre. Oui, parce qu’on dit toujours que les mecs ça dure moins longtemps que les filles dans les salles de bains mais, pour les frères d’Aelita s’en était tout autrement.

Ca faisait donc un moment qu’elle attendait son frère quand celui-ci lui dit qu’il était désolé de l’avoir fait attendre. Aelita se leva et Michael la tira vers lui pour la prendre dans ses bras, elle posa alors sa tête sur son torse et joignit les mains dans son dos comme pour faire un câlin puis ils transplanèrent ensemble jusqu’au manoir Silverstones. Michael relâcha alors son étreinte et comme à chaque fois Aelita fut prise de tremblement dans les jambes, elle faillit donc trébucher sur sa robe mais finit heureusement par reprendre son équilibre. Elle chercha alors du regard son professeur d’histoire moldue.

- Professeur Quint ! s’exclama-t-elle une fois qu’elle l’eut vue et elle se mit à courir tout en tenant sa robe bien sûr pour ne pas se prendre les pieds dedans. Professeur Quint ! dit-elle en arrivant près de lui essoufflée. Bonjour, lui dit-elle une fois que son souffle fut repris, pardonnez moi mais, je tenais a vous remercier pour l’invitation, dit-elle en le regardant droit dans les yeux.

La jeune fille n’avait même pas prit attention si son frère la suivait où non tout ce qu’elle voulait c’était parler à son professeur.

- Je voulais vous dire que…, enfin…, que je vous souhaite tous mes vœux de bonheurs professeur, lui dit-elle en lui souriant.

Elle se retourna alors pour regarder un peu autour de lui, qui il y avait et elle aperçu alors une jeune femme blonde à la bouche pulpeuse et revêtue de blanc, juste à ses côtés.

*Ca doit être elle !*, pensa-t-elle en la regardant de haut en bas avec dédain tout d’abord puis son regard changea en un regard appréciateur.

- Vous êtes plutôt pas mal en fait ! Je comprends pourquoi le professeur Quint vous a choisi, lui dit-elle en la regardant droit dans les yeux. Oh mais, je ne me suis pas présentée, je me nomme Stones…, Aelita Stones.

La jeune fille regarda de nouveau au-delà du couple et remarqua le professeur Rogue, en compagnie d’une jeune femme blonde, un homme grisonnant avec une canne, un homme grand et blond. Qu’elle reconnu immédiatement comme étant l’Auror qu’elle détestait tant Apophis Sykes et enfin elle vit une tignasse rousse, elle trépigna alors et se retourna vers le couple pour essayer d’oublier la présence de Charlie en attendant la réponse de ceux-ci.

****

694 mots

*

September eut à peine le temps d'offrir un sourire à Lily que déjà il se sentait appelé, attiré tout autre part. Il tourna ses yeux mornes vers la jeune fille qui le hélait de loin et ne put effacer la mine réjouie qui s'étalait sur son visage. Il fit quelques pas dans sa direction afin d'écourter la distance et salua d'un signe de tête la jolie demoiselle tout de vert vêtu.

*Ce n'est pas vraiment la couleur de sa maison... mais ça lui va assez bien !*.

Lorsque Aelita Stones lui souhaita tous ses voeux de bonheur, le coeur du jeune écrivain fut rapidement gonflé d'une grande joie et profonde reconnaissance. Elle était peut-être la première élève à le lui dire et cela ne pouvait que lui faire plaisir et le rasseréner. Il prit ses faux airs d'adolescent blasé et habitué -s'évertuant à cacher sa gêne- et lui esquissa un sourire plein de candeur.

"Merci Aelita, c'est vraiment très gentil...".

Sept avait l'habitude d'être humble et aussi d'être honnête. Ce témoignage de sa jeune élève était pour lui bien plus que de simples voeux de mariage formulés à la sauvette. C'était comme un cadeau, un don d'elle-même qu'elle venait de faire sans s'en rendre compte. Il savait leur relation privilégiée et c'était toujours demandé ce qui lui coûterait de savoir et de comprendre qu'il serait bientôt marié...

Assez apparemment... Voila qu'elle se permettait de faire une remarque à propos de Lily, constatant qu'elle n'était pas aussi pire qu'elle se l'était imaginée. C'était déjà une bonne chose finalement... Enfin, Quint ne pensait pas qu'il manquerait à ce point à cette jeune fille. S'était-elle tant attachée à lui qu'elle en avait refusé la place concédée à son épouse ? C'était amusant lorsque l'on y songeait... mais diablement déroutant.

September, par précaution, recula d'un léger pas tout en saluant sa jeune élève pour la dernière fois. Ils se reverraient plus tard, il en était certain, et ainsi il pourrait lui parler... Sept' aimait parler comme il aimait être à l'écoute. Nombre de fois Kitty, sa soeur, disait de lui qu'il ferait un très bon père. Certains événements actuels finissaient d'amenuiser cette certitude.

Le jeune marié sut qu'il fut l'heure à la seconde où il entendit les carillons retentir dans le ciel, effet magique et surprenant puisque l'on ne voyait pas lesdites cloches. Les invités commençèrent à se masser près de l'autel et lui, comme de juste, préféra renfermer sa terreur dans ses poches, y fourrant profondément les mains. Un regard fut tendu à Lily puis il s'avança sans un mot vers le sorcier, exécuteur de la cérémonie.

C'était un homme petit, rubicond et chauve qui portait des lunettes demi-lune sur son nez. Il apparaissait comme n'importe quel pasteur ou prêtre à la différence que sa robe noire et poupre était plus longue et plus ample. Il lisait un parchemin flottant devant lui avec une très grande attention.

Les carillons se turent et firent ensuite place à une somptueuse mélodie d'un orgue presque céleste qui envahit la totalité de l'espace. Chacun prit place, laissant l'allée les conduisant à l'autel libre de tout passage. Le tapis était rouge parsemé de fleurs blanches, seuls détails que l'esprit embrumé de September pouvait encore saisir.

Il chercha des yeux des visages connus tandis qu'il arpentait son chemin, celui qui briserait sa vie de célibataire, celui qui en ferait un époux, un père. Il reconnut quelques uns de ses élèves, des professeurs et surtout ses parents installés au premier rang. Aucun signe de Kitty... et pourtant elle lui avait dit qu'elle reviendrait.

Il arriva finalement à la heuteur du vieil homme et inclina légèrement la tête comme pour le saluer. Ses mains moites et tremblantes étaient serrées devant lui tandis qu'il attendait impatiemment que sa jeune épouse n'arrive. Il n'aimait pas vraiment être seul et face à tout ce monde, il arrivait à en être plus pâle que d'habitude...

*Toujours pas de témoin ! Dieu du Ciel, faites que ça soit pas vrai !*.

Il aurait voulu être une petite souris et disparaître dans un trou... Il poussa un profond soupir et se redressa pour se donner meilkleure allure. Ses blessures et échymoses le faisant encore intensément souffrir... Etait-ce une lubie de ses maîtres ? Le rouer de coup afin qu'il n'adopte plus que la position d'un bossu, d'un être servile ?

Chassant rapidement cette idée néfaste, il se tourna vers le maître de cérémonie, levant le menton afin de l'inviter à commencer. Quint était tellement pressé qu'il en avait oublié sa charmante épouse... Où avait-il la tête en ce moment ?

Et la part d'adolescent qui sommeillait en lui aurait répondu du tac-au-tac : dans le... C'était assez proche de la vérité !
Guindé et tendu il patientait dans l'espoir de voir arriver bientôt sa jeune épouse au bras de son père. Pour la forme et afin de ne pas offrir à tout le monde une mine trop défaite -n'importe quel moldu, en voyant sa tête, aurait pu le croire camé-, il laissa s'épanouir sur ses lèvres son plus joli sourire.

Le jeune homme ferma les yeux très forts s’attendant à une déferlante de colère de la part de la jeune femme. En même temps elle aurait eu raison…vu que ce la faisait approximativement plus d’une heure qu’elle devait attendre. Il sentait déjà ses tympans explosés dans leurs conduits, sous la voix si douce de sa bien aimée…oui enfin ca faut pas lui répéter hein ! Je compte sur votre discrétion bien sur…. Razz

Enfin bref pauvre de lui elle est avec Rogue, non pas qu’il le déteste mais il trouve que cet homme a un don pour qu’on le voit encore plus antipathique que le diable en personne. Il se bouge d’un pied sur un autre évitant le regard de l’homme, attendant la sentence de la jeune femme mais surtout se mordant l’intérieure de la joue pour ne pas mourir de rire devant sa tenue….Très représentative de la maitresse de maison. Elle ne fut pas trop méchante à son grand désarroi s’attendant à la foudre ou au tonnerre surtout après c’être moqué d’elle. Mais elle ne lui avait balancé que l’une de ses réflexions mordantes qui avaient généralement tendance à le faire culpabilisé. Mais bizarrement pour une fois ce ne fut pas le cas…non il était plutôt entrain de divaguer sur les énormes fleurs de sa robe qui semblaient prendre toute la place. Il avait beau se répété inlassablement qu’il ne devait pas ce moquer parce qu’en privé, elle ne le louperait pas c’était peine perdu alors il décida en bon garçons de détourner les yeux de sa robe pitoyable surtout si elle devait la porter toute la journée.

Mais ce moment à trois si délicieux fut rapidement interrompu par la voix d’un homme…ou d’un homo-sapiens….ou encore d’une étrangeté de la nature. En effet ce qui semblait être le plus rustre des hommes enfin je veux parler l’auror Sykes venait d’apparaitre devant leurs yeux. Il afficha un sourire…que Charlie se garda d’en faire autant. Le mot « mon trésor » qui était sorti de la bouche du blond sonna faux aux oreilles du jeune homme, il ne manquait pas de toupet celui la….le pire fut lorsque les yeux du roux croisèrent les mains qui se frottait aux bras de sa cavalière.

*Fait comme si j’étais pas la surtout….tu veux p’être un coup de main pendant qu’on y est…il va me faire vomir…*

Ses yeux seraient sortis de leurs orbites s’ils avaient pu, n’était il pas entrain de voir des lèvres autres que les siennes dévorer celle de sa bien aimer. Non seulement il pensait en Poufsouffle mais en plus il devenait jaloux. La stupéfaction l’empêcha de bouger mais le rouge commençait à monter et ses poings à se serrer. Heureusement pour son égo Lorelai l’envoya promener comme elle savait si bien le faire. C’était une de ses facettes que Charlie adorait mais il se gardait bien de le lui dire…car ses colères dépassaient parfois celle de sa mère….rien que d’y penser il en avait des frissons.

*Ce que les femmes peuvent être effrayantes parfois !*

Ils ne les écoutaient déjà plus montant dans sa tête un plan d’extermination de blond à l’allure pervers. La réflexion sur la réception lui passa au dessus de la tête comme sa présentation pompeuse et son sourire malin….Ce qui le ramena sur terre fut la voix de la jeune femme énumérant à son tour son nom….

*Il veut mon pédigrée le guignol. Oh oui une visite à Théos ca serait parfait je suis sur qu’il l’adorait…Et puis il doit être assez tendre pour être manger non ?*

L’homme reparti dans ses délires ce qu’il était épuisant à parler ainsi…Ca mère lui avait jamais apprit à se taire non ? Des boissons maintenant et puis quoi encore un massage ? Plus il parlait, plus il bouillonnait et plus il avait envie de l’attraper pour le mettre à terre. Il la collait plus que jamais et il pouvait voir ses pattes d’ours mal lécher. D’un geste qui se voulait possessif il l’attrapa par le bras l’éloignant de la bête….

*Hein ? Le gentil collègue pourquoi elle parle de moi avec ce type ? Mais il va la lâcher….oui*

Elle s’échappa de ses bras pensant surement avoir échappé à son assaillant. C’était peine perdu juste après il se collait déjà de nouveau à elle. Charlie laissa échapper de ses lèvres un grognement et s’avança vers eux. Mais il s’arrêta le visage de la jeune femme semblait suppliant et se tournait vers le maitre des potions. Il n’avait pas lâché sa main et l’attira un peu à lui. Lorsque l’Auror s’adressa directement à lui, le sourire en coin et la lueur pervers de l’homme déranger le jeune homme faillit lui sauté à la gorge pour mieux l’étrangler. Pour se contenir un peu il ferma les yeux un instant, reprenant son souffle et serrant la main qui tenait la sienne. Il ne pouvait même pas profiter de celle-ci tellement la colère l’avait envahie….il se faisait peur à lui même…sa réaction était violente comme jamais elle ne l’avait été. Elle continuait de le rabaisser et de l’envoyer dans le mur mais il n’en profitait même pas…

*Grand-père ? Gringott ? Charlie ? Héritage ? Mais de quoi il parle j’en ai rien à faire moi*

« Comme il est gentil de m’avoir informé….mais ca ne change pas grand-chose…ma discision était déjà prise…Avec ou sans votre aide. »

Sur ses mots qu’il prononçait depuis l’arriver de l’Auror, il vit un autre homme s’approcher et une jeune fille en robe rose qui aurait surement du choisir un autre couleur…décidément il aurait peut être mieux fait de réellement oublier de venir. Cela aurait été la solution à ses problèmes. L’homme ne question, le visage froid, s’emblait sarcastique ce qu’il confirma quelques secondes plus tard. Mais ils s’étaient donné le mot ce soir.

« J’aurais du lire mon horoscope….*

Le nouvel Auror semblait ne pas apprécier, l’Auror blond à son plus grand soulagement, bien que Charlie n’aimait pas plus son attitude que celle de l’autre…il écoutait sans rien dire mais non sans penser qu’il aurait bien besoin d’exercice….ses poings se serrèrent encore alors que Sykes s’adressait de nouveau à Seth, s’approchant plus prés…

*Ouf si j’étais lui je reculerais….j’aurait peur d’avoir la peste…ou même de sentir son haleine…contient toi un peu Charlie Weasley….facile à dire en fait…*

La jeune fille déguiser en bonbon proposa ses prédictions et plus il l’écoutait plus il se disait qu’il visait juste. Mais les propos salaces de l’homme ne fit qu’un tour il se détacha de la main de sa compagne…S’avança vers eux alors que Severus prenait la parole et que l’Auror se défilait voulant leur céder compagnie.

Charlie n’en pouvant et profitant de se moment de relâche pour tous pour s’avancer vers l’Auror. Il posa sa main sur son épaule pour le faire se retourner, son visage rouge de colère, il serra de nouveau le poing qui s’abattit sur la joue droite de l’Auror. Lorsqu’il vacilla un peu, le visage de Charlie était toujours déformer pas sa colère trop longtemps contenu, il s’approcha de lui si prêt qu’il pouvait sentir son haleine chatouiller son visage. En le regardant dans les yeux il lui dit d’une voix très calme :

« Auror Sykes, je vous interdis de m’insulter moi, ma famille ou ne serait ce que la femme que j’…-il s’arrêta de parler un moment se rendant compte des mots qu’il allait prononcer…- euh la femme qui m’accompagne….est ce que votre petit cerveau de moineau a imprimé ce que je viens de dire ou est ce qu’il faut que je déforme ceux-ci en propos salaces, dégradants et misogynes pour me mettre à votre niveau ? »

Il se redressa au moment ou les carillons sonnaient le début des noces et se dit que c’était une parfait transition. Il s’avança comme si de rien était vers la jeune femme qui l’accompagnait et lui prit de nouveau la main l’entrainant lentement vers la ou se pressait les convives.

« Lorelai, je crois que ton rôle de témoin va commencer…allons y veux tu ? »

*Mon dieu…qu’ai-je fait encore ? C’est pas possible je sais pas me tenir ma mère à raison -_-*

Sykes n'avait pas fait attention aux regards mauvais et lourds de dédain qu'on lui avait tendu ni ne s'était attardé sur les prédictions vaseuses de cette peste d'Halloween. Depuis qu'il lui avait sauvé la vie, il regrettait presque de ne pas l'avoir laissé pour morte au pied du Saule Cogneur. Severus y était allé de sa petite tirade de petit professeur et de petit freluquet aux cheveux mal lavés et, à présent, c'était le tour du grand rouquin, grand Irlandais imbécile tout juste bon à jeter des souches pour le concours du plus grand lanceur d'arbres du pays ! Sykes ne savait ce qui se tramait dans son dos mais il savait que la rumeur à son sujet était lourde et ne cesser d'enfler. Sans même s'en rendre compte, il avait réussi à s'attirer tous les rebus de ce mariage infâme...

A peine eut-il fait quelques pas et adresser un mot à Seth qu'il sentait que l'on se saisissait de son épaule. Trop ennivré par ses propres pensées et trop attentif à la réaction de l'Auror Williams, il ne vit pas Charlie Weasley arriver par surprise et lui décocher un coup fulgurant en pleine mâchoire.
Sonné, des lucioles commençèrent à danser juste devant ses yeux tandis qu'il vascillait, se courbant sur lui-même afin de ne pas flancher. D'instinct il releva aussitôt la tête - des coups, il en avait reçus, et il avait appris à faire face.
Sa tête lui tournait de plus en plus et il lui aurait sans aucun doute fallu un siège pour s'asseoir et reprendre ses esprits. Mais quelque chose, provenant du plus profond de ses entrailles, le poussa à continuer...

"Auror Sykes, déclara le jeune homme d'une voix courroucée, je vous interdis de m’insulter moi, ma famille ou ne serait ce que la femme que j’…".

L'insolent Auror, à ces mots, ne put s'empêcher de relever un sourcil amusé. Un sourire piquant se traça sur ses lèvres aux commissures tachées de sang. Il s'apprêta à répondre mais Charlie fut plus rapide que lui :

"Euh la femme qui m’accompagne….est ce que votre petit cerveau de moineau a imprimé ce que je viens de dire ou est ce qu’il faut que je déforme ceux-ci en propos salaces, dégradants et misogynes pour me mettre à votre niveau ?".

Le fait que ce petit moins-que-rien tente seulement de l'évincer en parole réjouit Sykes plus qu'il ne l'aurait cru lui-même. Sa gorge se mit alors à répondre aux ris qui chatouillaient son oesophage et le jeune homme éclata d'un rire gras et mauvais.

"Ohh sans blague, gamin ? Tu penses seulement faire le poids ? Est-ce que tu crois que tu pourras me vaincre en quoique ce soit ?" -ses grands yeux bleus s'écarquillèrent et une figure affreuse- "Tu n'es pas de taille à te confronter à moi, et tu pourras protéger ce que tu voudras, je trouverai toujours un moyen de vous étripper !".

"Bel exemple de courage pour un Gryffondor d'attaquer par derrière, misérable larve !".

Essoufflé et encore un peu ahuri il s'éloigna de quelques pas afin de lui laisser le champ libre pour qu'il disparaisse. En bon toutou bien discipliné, Charlie revenait voir sa dulcinée. Sykes gloussa faisant brusquement se secouer ses larges épaules de brutes épaisses. La situation était touchante, vraiment... Un décadant sourire étira ses lèvres, découvrant des dents rougies par son propre sang. Il croisa ses larges bras contre sa cage thoracique.

"Oohh, comme c'est attendrissant ! Médor qui revient voir mémère !".

Il laissa échapper un nouveau rire puis se retourna. Les cloches de la cérémonie retentirent au même instant et Sykes lança à son collègue un coup d'oeil malicieux.

*September doit être dans ses petits souliers ! Pauvre, pauvre petit écrivain, j'en pleurerai presque ! Bouhouhouh...*.

Un dernier regard à Lorelaï et Charlie et l'enfant maudit serra les poings, son sourire dépravé s'effaçant immédiatement de son visage et prenant une moue boudeuse.

Il se le jura, dans un coin de sa mémoire, de venir rendre à ce Weasley la monnaie de sa pièce et peu importe ce que cela puisse lui coûter. Il se devait d'avoir sa revanche sur ce gringalet qui avait caressé l'espoir de pouvoir lui bousiller la mâchoire au moins une fois dans sa vie. Il fallait qu'il apprenne que l'on ne s'en prenait pas à lui impunément.

Soit ! Ce qu'il laissera derrière lui ne sera que champ de ruine... Il considérait d'ailleurs avoir admirablement commencé son travail : une Lorelaï en bonne femme au foyer et un Charlie, fougueux Irlandais maître de dragons, en parfaite petite serpillère. L'effet escompté n'était, certes, pas le même mais il était gratifiant. Finalement ils avaient su s'offrir la vie qu'ils avaient souhaité, propre et bien rangée derrière des tonnes et des tonnes de sentiments aussi coulants et collants que de la guimauve bien molle. Des vieux, voila ce qu'ils devenaient ! De vieilles choses ! Et lui, dans son éternelle jouvence, ne pouvait offrir qu'à ce spectacle un regard détaché et moqueur. Oh oui, il en jubilait presque !

Mais au moment où il allait rejoindre son merveilleux collègue à la jambe capricieuse, il fut à nouveau attiré par quelque chose qui captiva son attention. Une jeune femme à la robe rouge et aux cheveux châtain faisait toute l'assemblée en demandant à chacun s'ils voulaient se porter garant et devenir témoin. Témoin de quoi ? Apophis tendit l'oreille et fit quelques pas dans sa direction, échappant au pauvre Seth qui peinait droit devant comme le déplorable infirme qu'il était...

Manifestement, cette délicate et séduisante jeune fille cherchait désespérement un témoin pour son jeune frère. Il ne fallut pas longtemps à l'esprit de Sykes pour comprendre ce qu'elle entendait réellement par là, et cet horrible petit nez en trompette ne pouvait plus le tromper ! Il était en présence de la soeur de September, soeur qui s'efforçait de... Quoi ?! L'autre gogol n'avait personne pour assister à sa cérémonie ?

Sykes laissa échapper un grand rire délirant, suffisamment puissant pour que la jeune demoiselle l'entende et se retourne. Elle le fixa d'un regard incongru puis, tout en fronçant les sourcils, s'approcha instantanément de lui.

"J'vois pas ce qu'il y a de drôle ! Lança-t-elle les poings sur les hanches sur une pose accusatrice, si vous voulez le faire à ma place, faites-le donc !".

"Le faire à votre place ? -Sykes se rengorgea, les yeux brillant- Rien ne me ferait plus plaisir mais, je crois qu'il ne vous a pas mis au courant !".

"Comment pas au courant ?".

Cette fois-ci elle commençait vraiment à douter d'elle ou de ce qu'elle avait pu comprendre. Elle cligna des yeux et Apophis reconnut là l'air sceptique et accessoirement débile de son vieil et pauvre rival de toujours... Il embraya, posant un doigt sur son propre torse :

"C'est moi, le témoin !".

Et comme si Serpentard en personne s'était révélé à elle, Mademoiselle Quint arrondit des yeux ronds comme des soucoupes, hochant lentement la tête sous la surprise. Mais elle ne perdit pas une seconde et s'empara de sa grosse main.

"Suivez-moi ! Je l'ai quitté alors qu'il montait vers l'autel ! Il doit nous attendre !".

Et Apophis de se resserrer un peu plus contre elle... par mesure de précaution, j'entends.

"N'ayez crainte, jeune fille. Il aura tout mon soutien !".

Puis il se laissa guider, fendant la foule auprès de la soeur de September, se dirigeant progressivement vers l'autel...
Elle avait vu juste ! Il était déjà planté là comme un cornichon !

La jeune femme étant pris sous les assauts de la grande brute blonde qui lui faisait face, par certain aspect il lui faisait penser à Jeremya Stones. Cet homme qu’elle n’avait jamais su supporter et qui trouvait toujours un moyen de la taquiner au possible. Sykes était entrain de faire la même chose voir pire vu qu’il l’humiliait en publique. Un homme aux cheveux grisonnant vient alors à son secours un peu plus vite que Severus ou Charlie mais, la jeune femme aurait préféré que ça soit un des deux hommes qui réagissent en premier. Au moins, elle le connaissait, celui-là lui était parfaitement inconnu même après qu’il se soit présenté.

Le Maître des potions réagit ensuite, elle ne pensait pas que Rogue allait la défendre mais, c’est pourtant ce qu’il fit, d’aussi loin que remonté ses souvenir il n’avait jamais prit la défense d’un de ses élèves même ci celui-ci était un ancien. Lorelai n’en revenait que cet homme si froid et si austère vienne à son secours et avec des paroles tranchantes et pleines de sarcasmes ce qu’aimait la jeune femme. Elle le gratifia même d’un regard bien veillant, bien sûr c’était loin du regard énamouré que pouvait avoir les adolescentes, elle lui était juste reconnaissante.

Sykes c’était éloigné et Charlie qui maintenant était hors de lui l’avait attrapé par l’épaule le tira ainsi un peu en arrière pour et lui avait administré une droite en plein dans la mâchoire. Lorelai resta un instant bouche bée voyant l’Auror vaciller un instant sur ses pieds, elle faillit faire alors un pas vers l’Auror mais, quelque chose l’en empêcha. Une phrase incomplète que Charlie venait de faire, la jeune femme regarda alors son collègue et ami sans comprendre vraiment ce qu’il se passait tout lointain désormais même le bruit des cloches de l’églises.

Tout ce qu’elle savait c’est que Charlie l’emmenait retrouver la mariée, elle se retourna pendant qu’il la tirait pour regarder Sykes une dernière fois, elle ne savait pas pourquoi elle le regardait tout était à présent confus dans son esprit. Une fois arrivée dans la demeure elle tira sur le bras de Charlie pour se dégager de son emprise, une fois cela fait, elle se plaça devant lui pour pouvoir le regarder. Ses yeux passèrent de l’un à l’autre de ceux du jeune homme, sa main se leva alors et s’abattis sur celle du jeune homme.

- Pourquoi !? lui demanda-t-elle furieuse. Tu ne pouvais pas retenir tes poings ? Il fallait que tu agisses en brute comme Stones ! Il a trop d’influence sur toi ! Les poings ça ne résous jamais rien ! Sykes est une brute et un salaud de la pire espèce, je te l’accorde mais, les poings c’est comme ci tu rentrais dans son jeux, lui dit-elle en s’agrippant soudainement à son cou. Charlie, je ne veux pas qu’il te fasse du mal, lui murmura-t-elle à l’oreille. Je…, je ne veux pas qu’il sache t’atteindre mais, là tu lui as montré le contraire. Charlie tu es comme mon petit frère et je ne veux pas qu’il t’arrive malheur…

La bouche de la jeune femme effleura alors la joue de son jeune collègue et elles finirent par l’embrasser tendrement.

- Va t’asseoir, nous en reparlerons après le mariage si tu le souhaites mais, je ne veux pas de scandale au mariage de ma meilleure amie !

Lorelai avait lâché le mot sans vraiment s’en rendre compte, elle chercha après Lily qui se trouvait dans une pièce en compagnie de sa mère et de son père. La jeune femme vit alors sa meilleure amie dans sa robe de mariage et ne put retenir un sourire tellement elle la trouvait resplendissante. Elle se plaça donc derrière elle en compagnie de la mère de la mariée qui lui prit le bras et lui murmura qu’un jour viendra son tour. Lorelai lui sourit sans pour autant être convaincue que ce jour viendrait pour elle.

Seth était un sorcier assez particulier, au Etat-Unis, il n’était pas rare de voir des sorciers habillés en civiles – moldus- mais, ici en Grande-Bretagne c’était assez rare aussi comprit-il très vite l’étonnement de l’autre Auror. Sykes lui dit que tout le plaisir était pour lui et il inclina sa tête révérencieusement et il ajouta que c’était un bonheur de le savoir parmi eux en ce jour et que c’était très plaisant qu’il soit venu rendre visite.

*C’est quoi ça ?*, se demanda-t-il en plissant les yeux.

L’homme continua alors sur ça lancée en regardant la jeune femme puis le jeune homme roux, il lui dit qu’il ne fallait plus bavarder car il devait être exténué. Il fit alors un pas ce qui semblait être douloureux pour l’homme car il fit une grimace que Seth remarqua. Il se saisit alors du bras de l’homme grisonnant et lui dit sans que les autres puisse entendre :

Sykes : - Je sais pas qui tu es, jambe de bois, mais je pense que je vais rapidement le savoir... Si tu es venu ici pour me chercher, tu vas être servi ! Et...

*Ah voilà sa vrai nature… je me disais aussi*, pensa-t-il avec un léger sourire en coin.

Celui-ci pris la main de l’homme qui tenait sa canne et l’enfonça plus férocement dans son pied et il ajouta :

Sykes : - ... Si ça te branche de torturer tes semblables, hésite pas à y aller franchement, ma puce !

Seth regarda alors l’autre homme dans les yeux et plaça la main qu’il n’avait pas d’occupée sur la canne le regardant droit dans les yeux.

- Je ne vous savais pas masochiste alors je n’osais pas vraiment…, commença-t-il en lui souriant, mais, vu que ça à l’air de te plaire mon puceron allons y franco !, dit-il avant de lui faire un clin d’œil et en se penchant sur sa canne.

Sykes prit alors l’homme par les épaules avant de se tourner vers les convives en disant :

- Lorelaï, Charlie et, euh, Severus ! Pardonnez-nous d'être aussi cavaliers mais... l'émotion me gagnant, il me faut tout de suite parler avec mon vieux camarade ! Ce cher Seth Williams nous avons tant de choses à rattraper ensemble ! Pas vrai, vieille branche ? Parfait ! Bien, allons-y !

*Dire que j’ai eu à faire à des sorciers tel que lui mais, qui n’étaient pas Auror. Oh ça ils étaient loin de l’être ! Si il, il venait à New-York, je crois que le pauvre serait perdu, l’Angleterre est bien trop sage… je me demande à quoi doit ressembler celui qui veut devenir le plus puissant des sorciers. Quand je suis parti, il n’était pas si puissant que ça…*, se dit-il alors que Sykes l’entraînait.

Seth c’était laissé un peu distraire et avait relevé sa canne, non qu’il voulait la gardée enfoncée dans le pied de l’homme mais, au moins il avait de l’ascendance sur lui. Sykes lui dit alors que deux dieux d’Egypte qui se rencontre ce n’était pas banals, il lui demanda ensuite ce qu’il voulait. L’homme d’une quarantaine d’année voulu alors répondre à cette question mais on lui coupa la parole et lui dit des choses concernant la jeune femme Seth n’y prit pas attention jusqu’à ce qu’il parle de lui en disant qu’ils pouvaient devenir amis et qu’ils pourraient ainsi jouer tranquillement dans un bac à sable quand ils auront le dos tournés.

L’homme avait entendu l’Auror appeler cet homme Severus, son esprit fonctionna alors à vive allure et il leva un sourcil de satisfaction et de curiosité envers l’homme aux cheveux noirs et huileux.

- Excusez moi vous ne seriez pas Sev…

Mais, il n’eut pas le temps de continuer qu’une jeune fille vint les interrompre, Seth recula alors d’un pas, décidément il ne supportait pas les enfants. Elle s’adressa à Sykes en lui dévoilant soit disant son avenir, l’homme leva les yeux au ciel exaspérait pas ce petit être tellement insignifiant pour lui. Elle se retourna ensuite vers lui et demanda si il voulait savoir son avenir, l’homme se pencha alors vers la gamine et la regarda droit dans les yeux.

- L’avenir on peut le changer et le modifier comme bon nous le semble alors à quoi bon savoir ce qu’il nous réserve, non le plus intéressant c’est, le présent ce qu’il va se passer maintenant. Comme le fait que je te dise que je ne suis pas intéressait par ces choses stupides… tu me fais penser à une Serdaigle qui essayez sans cesse de lire dans l’avenir des autres à l’aide de feuilles de café… Comment elle s’appelait cette folle ? Ah oui ! Trelawney ! lui dit-il en souriant.

L’homme se redressa ensuite et regarda l’homme en noir qui se tenait à quelques mètres à présent de lui et lui faisait face.

- Vous êtes Severus Rogue n’est-ce pas ?

Pendant qu’il demandait cela le jeune homme roux venait de décocher une droite magistrale, à Sykes, le vieil Auror sourit alors et se dirigea de nouveau vers l’homme en noir.

- Excusez moi je ne vous avez pas reconnu on vous dépeigniez comme quelqu’un d’austère et qui parlait fort peu, bref on m’a dit que je m’entendrais fort bien avec vous. Allez savoir pourquoi, le ministère de la magie de New-York… enfin soit, on m’a dit que vous saviez faire des potions calmantes comme personne et que si vous me refuseriez de les faire je n’aurais plus qu’à me couper la jambe. Mes collègues ont un certain dont pour l’humour, je dois bien l’avouer, lui dit-il en faisant la grimace alors que presque tout le monde était parti vers la cérémonie de mariage.

L’homme s’appuya sur sa canne et avança un peu, puis il se retourna pour regarder l’homme en noir.

- Allez venez…, elle ne vous a pas remercié de vive voix mais je suis sûr que son cœur y était, croyez moi, lui dit-il en soupirant.

Seth détestait faire ce genre de choses réconforter les gens n’étaient vraiment pas son fort, bien au contraire il préférait les enfoncer un peu plus.

Ξ Sujet: Re: Mariage September et Lily (04/07/95) [Ouvert à tous]

» Invitation au mariage par Lily&Sept (pour tous /!\)
» Demande en mariage [PV Lily-Roze]
» Bal de Noël [Ouvert à tous]
» 1er voyage [ouvert à tous]
» Soirée d'Halloween [OUVERT À TOUS]