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| L'amertume du goût des cendres. -Libre- | |
| Auteur | Message |
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Invité
Ξ Sujet: L'amertume du goût des cendres. -Libre- Jeu 7 Fév - 20:17 | |
| - A METTRE EN COULEUR/ non terminé- -__-"
Terry marchait le long des couloirs. Une lettre, il avait reçut une lettre. Une assez mauvaise nouvelle, pour ainsi dire. Une très mauvaise nouvelle. Une de ses nombreuses amies, vers sa maison familiale, était en très piteux état. Aucun doute sur le fait qu'elle allait mourir. Terry en souffrait terriblement. De plus il connaissait tellement de personnes autour de lui, étant sociable, et chaque drame lui arrachait le coeur. Que la personne soit plus ou moins proche, d'ailleurs. Mais cette fois son amie était proche de lui... C'était une moldue. Elle avait été mystérieusement attaquée par quelque chose d'inanimé. Personne n'avait voulut ou plutôt personne n'était en état de lui dire exactement qu'est-ce qui avait bien pu lui sauter dessus... mais Terry se doutait fortement de la réponse. Ils la croyaient tous folle, délirant dans son agonie, et seul les Boots savaient qu'elle disait vrai. Et un magicien était à l'origine de cela. Quel magicien? Il n'en avait aucune idée, pas plus que les autres. Déjà qu'il ne connaissait pas l'arme du crime. Un grand sentiment d'injustice s'empara de lui, et l'injustice était le sentiment qu'il supportait le moins. Si cette jeune fille avait été une sorcière, elle aurait pu se défendre. Mais on l'aurait renvoyée, d'ailleurs. Terry serra les poings et accéléra le pas, regarda le vide devant lui... En tant que sorcière, Ste Mangouste ne lui aurait pas été refusé, mais elle n'avait à sa disposition qu'un hôpital de campagne moldu pour une blessure magique. Un hôpital qui, soit dit en passant, avait peu d'intérêt aux yeux du jeune homme. Il avait été envoyé là-bas quelques années avant quand il avait eu sa crise d'appendicite. Il s'en souvenait... La plaie s'était rouverte deux fois. Malheureusement ça c'était produit un an avant sa découverte de la magie... Il était trop tard pour son amie. Elle allait y laisser la peau. Comme un nombre très inquiétant de moldus en ce moment. Mais cela n'arrivait pas qu'aux autres, Terry était forcé de le constater. Il était triste de vouloir plus que tout au monde que quelqu'un qui vous est cher meure le plus vite possible. Mais c'était ce que souhaitait Terry à cet instant. Que son amie cesse de souffrir... et il ne pourrait même pas être à ses côtés, devant supporter les profs et les Serpentards. Il se plaisait au château mais son coeur, en cet instant, planait loin au-dessus de la demeure. Il se souvint... de ses sourires tout d'abord. Car les sourires cette mystérieuse moldue étaient absolument charmants. Ses canines dépassaient légèrement. La jeune fille était née la même année que lui, quelques mois plus tard - 5 pour être précis. Leurs parents, comme tous les habitants du village, se connaissaient par coeur depuis des années. Depuis l'arrivée de Mr. Boots et sa jeune épouse, un certain nombre d'années auparavant, le village les avaient tout d'abord trouvés simple et innocents, mais leur gentillesse avait prit le dessus. Travaillant dans le tissu et ayant des goûts plutôt désuets, les villageois étaient charmés par leur style particulier et les étoffe que quelques touristes venaient même chercher directement sur place. Avec un peu de recul, Terry s'était aperçut que ses parents vivaient comme au moyen âge dans un sens. Mais la situation s'était améliorée depuis quelques années.
Terry se sentit aller mal, et il y voyait d'ailleurs mal. Il tourna la tête de droite à gauche, essayant d'apercevoir une issue sans même ralentir la cadence. Les yeux embués, le jeune homme aperçut vaguement une porte qu'il identifia bien qu'il n'y fut pas très souvent entré. Il tourna brusquement vers la gauche et ouvrit cette porte à la volée, la refermant aussi sec derrière lui. Le bois étant gonflé et vieillit, elle ne claqua pas mais se coinça. Le jeune homme s'approcha d'un lavabo qu'il tint à deux mains, les jointures de ses doigts blanchissant aussitôt. Puis, sentant le désespoir le gagner, il se laissa glisser le long de l'objet en céramique et s'adossa contre. Il ferma ensuite simplement les yeux, refoulant son envie de vomir.
- 670 mots - |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: L'amertume du goût des cendres. -Libre- Sam 9 Fév - 13:42 | |
| [Je me permets une réponse, en espérant ne pas gêner]
Theodore avait eu une journée assez banale. Il avait suivi un cours plutôt calme. Ce n’était pas comme si c’était Rogue, puisque ce cours était celui de botanique, mais bon, ça s’était plutôt bien déroulé… Chourave n’était certes pas un modèle de sérieux, et encore moins d’élégance –bien que de ce côté-là, Nott s’en désintéresse totalement- mais au moins ses cours étaient à peu près potables… bien qu’ils ne soient, évidemment, pas au niveau de la métamorphose, qui était aux yeux de Theodore la plus formidable des matières ! Oh oui… la métamorphose ! Si cette discipline n’existait pas, il faudrait l’inventer ! Peut-être était-ce l’idée qui avait circulé, après tout… Quand elle a été fondée… en… eu… une date certainement… Theodore avait cependant une raison bien précise qui faisait qu’il adorait la métamorphose… Et oui… Et cette raison était on ne peut plus simple ! Il était doué dans cette matière, voilà tout. Etrange me diriez-vous ? Pourquoi donc ? Theodore était de ceux qui savaient apprécier leurs capacités et surtout, les mettre en avant. Il n’aimait pas beaucoup l’échec, et n’était pas vraiment une personne qui insistait sur une chose. S’il échouait, il tâchait d’oublier cet affront, en le lavant par des réussites dans des domaines divers. La métamorphose faisait partie de ces domaines. Il avait toujours eu un don pour cette matière, comme si les paramètres physiques qui la rendaient si complexes pour certains étaient pour lui de simples facilités. Malgré tout, il n’était pas parfait, comme chaque être de ce bas monde et avait donc de fortes lacunes dans les domaines sportifs, principalement. Une chance pour lui que les cours de vols n’aient qu’un très faible coefficient pour les examens magiques ! Et une fois les BUSES passaient, il en serait à jamais débarrassé.
Le jeune sorcier ayant fini la leçon de botanique était retourné au château on ne peut plus sereinement, laissant passer devant lui els bavards et gens pressés. Voilà une chose aussi qu’il n’aimait pas : qu’on se permette de le bousculer, de le presser… Il avait son rythme et ce dernier devait être respecté. Le jeune homme avait posé son regard sur la petite foule qui commençait doucement à s’émanciper… Le serpentard reconnu alors une fille qui était sa voisine de table en cours de botanique : Katy… élève de son année à Serpentard. Non loin se tenait Jade Gibson… Il la connaissait bien mal celle-ci… Du moins, moins bien que son cousin, Raphaël, étant donné qu’ils partageaient le même dortoir depuis plusieurs années à présent. Le jeune homme à la silhouette chétive les regardait, tous autant qu’ils étaient, s’éloigner de lui, alors qu’il prenait tout son temps pour traverser le parc plutôt froid et atteindre les portes donnant accès au hall d’entrée de la grande école de Sorcellerie anglaise :Poudlard. Theodore finit par atteindre les lourds battants en chêne massif et passa leur enceinte. Il était à présent dans le hall. Nott, jetant un coup d’œil à ses doigts parsemé de traces de terres trouva bon de quitter le hall pour rejoindre des toilettes et surtout un lavabo… Le jeune homme quitta donc le hall puis entra dans les premières toilettes qu’il trouva. Entrer était une belle façon de dire comment il du ‘défoncer’ la porte pour entrer…
D’ordinaire, on ne pouvait fermer les portes des toilettes à clé. Enfin, pas celles donnant sur la pièce en elle-même… Après évidemment on pouvait verrouillé –quand même-. Ceci dit, la porte était carrément bloquée, et Theodore ne tenant pas à chercher d’autres toilettes poussa avec brutalité le bois composant cette lourde porte qui finit par s’ouvrir. Non mais oh. Il entra alors, se massant le poigné dont il s’était servi pour forcer… ça faisait mal ! Il s’approcha du lavabo… seul lavabo de la pièce… pas de bol quelqu’un était déjà là… Et semblait être mort…
*Non je veux pas avoir un cadavre sur les bras ça suffit…*
Bon d’accord, il n’était pas mort… mort… mais bon c’était pas la forme non plus quoi. Theodore, s’approcha alors du Serdaigle, puisqu’il appartenait à cette maison, et délicatement, formula sa demande :
« Tu peux te décaler s’il te plait ? J’aurais besoin d’avoir accès au lavabo ne serait-ce qu’un court instant… »
Et oui, Theodore était poli ! Etonnant ? Non pas tant que ça. N’étant pas très branché groupe et compagnie, il n’était pas non plus désagréable avec les autres maisons… Enfin surtout les Serdaigles, après tout entre personnes intelligentes on ne pouvait que se respecter non ? Bien que le sang ne soit pas forcément présent… ce n’était pas comme les lions à deux mornilles. Eux, ils étaient stupides.
(777 mots)
§§§ Non compté pour Terry étant une punition. |
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