une nuit quelque peu agité.

L’orage gronda, accompagné très peu de temps après par un véritable torrent ! Cette nuit était très bruyante, le son du tonnerre et le bruit fracassant de la pluie résonnaient dans la tête de Nikko. Lui qui adorait dormir dans un noir et un calme sans reproche, ne put dormir cette nuit là. Entre les bruits incessants de la pluie et le tonnerre, et avec la lumière des éclairs, l’insomnie le frappa de plein fouet.

*Quelle temps pourri ! Je n’arrivai donc jamais à dormir ! Entre les deux guignols d’à coté qui n’ont cessés de parler la hier soir, je me retrouve avec de la pluie et des éclairs maintenant ! J’en ai ma claque*

Il se leva et s’habilla tout doucement, après tout il avait du temps devant lui, toute une nuit s’offrait à lui. Il sortit délicatement de la pièce, en faisant attention au sol qui grinçait terriblement. Si par malheurs, il réveillait les deux guignols de l’autre nuit. Il pouvait bel et bien faire une croix sur sa nuit. Il espérait tout de même que ce temps finirait par s’arrêter, et qu’il pourrait retourner se coucher après une courte visite de nuit. Visiter Poudlard de nuit, quelle idée… Que cela à faire le pauvre garçon ! Il eu à peine descendu l’escalier que le pluie, le tonnerre et les éclairs s’arrêtèrent.

*Je suis maudit ! Et, c’est partis pour se refaire le chemin à l’envers !*

Il venait de remonter l’escalier, il avait fait attention de ne pas réveiller ses camarades en entrant dans le dortoir, il avait fait attention au sol grinçant pour parvenir jusqu’à son lit. Pour qu’une fois couché à nouveau, un de ses camarades commence à ronfler !

*C’est pas possible, la nature est entrain de s’acharner contre moi. Ils veulent tous que je devienne héros d’une nouvelle tragédie, je vois déjà le titre : La machine infernal version 2008 !*

Plaisanter dans ces moments là était le mieux à faire. S’énerver ne servirai strictement à rien. Le ronflement sourd et continu de son voisin était presque devenu une berceuse. Pas très agréable, je dois l’avouer, mais une berceuse quand même. La fatigue extrême finit par triompher et Nikko s’endormi profondément.

Il se réveilla le matin de bon humeur, la nuit était passée, ce n’était plus que du passé. Nikko se leva en s’étirant tel un ours ayant hiberné tout une saison. Il s’habilla avec de nouveau vêtement qu’il avait préparé la veille. Descendit du dortoir et se dirigea vers la grande salle les mains dans les poches, malgré l’heure assez matinale, quelques personnes se trouvaient déjà assissent. Il demanda alors poliment :

Puis je m’asseoir ici ? La place à l’air libre ^^ …

Dit-il accompagné d’un grand sourire, on lui répondit affirmativement. Il n’hésita donc pas une seconde de plus à s’asseoir. De nombreux plats étaient étalaient tout au long de la table, certes certains n'avaient même pas l'air comestible, mais d'autres par opositions semblaient succulants. Il finit par prendre un jus de citrouille accompagné de corn flakes multicolores, assez extravaguants. Ces derniers n’étaient finalement pas très appétissants, il les noya donc de sucre avant de les manger. Le petit déjeuner touché bientôt à sa fin, Nikko avait bien mangé et espérait passer des nuits aussi agréables que fut son petit déjeuner.

550

&&&

Lisa aimait la pluie, elle effaçait toute les saleté et même si elle rendait le monde plus flou, le matin suivant une nuit d'orage était toujours magnifique. Lisa s'éveilla de très bon matin, l'orage de la veille au soir lui aillant servi de berçeuse, elle s'étira dans son lit, bailla de bon coeur et frota ses yeux avant de poser les pieds à terre, elle resta une minute ou deux ainsi, les yeux dans le vague émergeant lentement de sa nuit elle essaya vaguement de se remémorer le rêve de la nuit mais tout ce qui lui revint à l'esprit c'était une histoire de glace qui se dérobait sous ses pieds, pas très joyeux tous cela, heureusement elle l'oublia bien vite, elle sema son pyjama sur le chemin de la douche et resta sous celle ci juste le temps qu'il faut pour se réveiller, l'eau était à peine tiède mais si elle avait été plus chaude Lisa se serait probablement rendormie dessous.
C'était le genre de début de journée que Lisa détestait, il fallait qu'elle choisisse ses vêtement et évidemment elle n'était pas très girly girly alors forcément on lui reprochait de ne pas faire tellement d'effort, la jeune fille le savait mais elle ne faisait pas grand chose pour arranger le truc justement. Alors elle atrappa simplement son pantalon vert foncé et une chemise blanche, enfila un veston sans manche gris en laine et descendit dans la grande salle, son estomac criait famine, comme d'habitude. Et il faut pas croire mais de la tour des Serdaigle jusqu'a la grande salle ça fait une petite trote, Lisa effectua la distance en trotinant et en descendant les escaliers aussi vite que possible l'image mentale d'une assiette d'haricots rouge avec des saucisse s'était imposé à son esprit et ne lui laissait aucun répit. A la maison son père continuait désespéremment de vouloir prendre son petit déjeuné "à la française" mais ça avait vraiment le don de dégouter ses filles, en fait c'était surtout l'odeur du lait chaud qui donnait des haut le coeur à notre bleue et bronze, mais sinon elle apréciait les viennoiserie que ses parents vendaient dans leur salon de thé.
Enfin elle arriva dans la grande salle, il n'y avait pas encore beaucoup de monde, la clarté blanche qui provenait du plafond magique conférait à l'instant un aspect plutôt mystèrieux qui collait tellement bien avec l'école de magie.
Aprés avoir petit déjeuné Lisa se dit qu'elle remonterait surement se changer histoire d'aller courir un peu, l'eau de pluie était soi disant excellente pour la confection des potions elle en profiterait donc pour en récolter un peu, même si rien de ce que faisait les Serdaigles, les Poufsouffles et encore moins les gryffondors ne plaisait jamais à Rogue elle aurait au moins cette satisfaction personnelle .
Lisa s'intalla auprés de quelques personnes de sa maison avec qui elle avait parfois plus ou moins discuter et dont elle se souvenait vaguement des prénoms, le type en face d'elle par exemple s'appelait Jesse lui semblait il, la jeune fille haussa les épaules intérieurement et se servit une assiette de ce qui hantait son esprit depuis qu'elle s'était levée, elle voulait aussi se verser un mug de thé mais la théire était hors de portée et elle ne voulait pas déranger ce pauvre type qui comme elle venait probablement de se lever mais qui avait sur le visage les marques d'un sommeil pas très réparateur, son regard passait de la theière à Jesse sans que toutefois elle ose faire quelque chose.

[encore une fois ça fait plus de 500 mots mais je ne sais pas combien exactement...]
édit Andgy, 588 mots

Ploc, ploc, ploc. Juliet aimait la pluie, mais que quand elle pouvait aller dessous... Et encore, ce n'était que dans certaines conditions. Quand il pleuvait à torrent par exemple... Aaaah, c'était vraiment amusant de courir sous la pluie, on avait un peu l'impression d'être une héroïne de cinéma (et comme Juliet n'allait pas au cinéma, nous allons plutôt dire une héroïne tout court) et puis on se sentait vraiment bien... L'impression de revenir aux sources, d'échapper à la réalité, de pouvoir s'envoler. Bref, quand il pleuvait comme ça dans la journée, Juliet était vraiment ravie, car elle s'empressait souvent d'aller dans le parc et de s'étaler par terre pour regarder la pluie lui tomber dessus, jusqu'à ce qu'elle se prenne une goutte dans l'oeil et qu'elle soit obligée de le fermer, dans ce cas elle se contentait de ses sensations somatosensorielles tactiles et auditives que la pluie lui procurait...
Le problème, c'était que là, on n'était pas au beau milieu de la journée. Cette fois-là, ce n'était pas le cours de Rogue juste après qui l'empêchait d'aller gambader sous la pluie, non, Juliet devait faire face à un problème auquel on ne peut remédier (comme si on pouvait remédier au problème d'aller en cours de potions...) : c'était la nuit. Et notre petite était donc dans son dortoir, collée à la vitre, en train de soupirer à force de voir toute cette pluie tomber sans qu'elle ne puisse être dessous. Bien sûr, il y avait des moments où elle était tentée de sortir et d'aller se faire arroser (en plus en chemise de nuit, le plaisir n'en serait que plus grand), mais non, en fait, elle restait là, sans rien dire... Ces derniers temps elle avait déjà suffisamment risqué de se prendre des punitions en tout genre pour jouer encore à la superwomen (même si elle ne se considérait pas du tout comme tel >.<). Evidemment, elle n'était plus fatiguée. Quitte à perdre son temps parce qu'on ne peut pas dormir, autant le passer le nez collé à la vitre pour se sentir au plus près de ce qu'elle ratait... Et c'était ce qu'elle faisait. Les seuls bruits qui hantaient le dortoir étaient ceux du grondement de la pluie, et de la respiration lente et régulière de ses camarades qui dormaient. Même si Juliet se sentait légèrement frustrée, elle trouvait ce bruit bien agréable. En fait, en ce moment, ce qu'elle pouvait se dire était aussi niais que quelque chose comme ça :

* C'est beau la vie. *

Bien sûr, la petite n'allait pas se contenter d'une banalité pareille, il fallait absolument qu'elle lui trouve un sens, qu'elle puisse avoir l'impression de ne pas perdre totalement sa nuit, et cela se traduisait forcément par une histoire à écrire. Il fallait qu'elle trouve une histoire à écrire, à partir de ça : la pluie et le sommeil. Ce serait simple, ce serait beau, et Juliet serait satisfaite. Mais bien sûr, elle n'allait pas l'écrire tout de suite, là, elle en était encore à la phase observation et recherche. Cela faisait déjà plusieurs heures qu'en apparence elle était calme, mais que son cerveau bouillonnait. Il bouillonnait car il cherchait des idées, et il n'en trouvait pas.
Lorsque le soleil pointa le bout de son nez, Juliet n'avait pas bougé, et son esprit était encore en ébullition à force de chercher en vain. Lorsque le réveil d'une de ses camarades sonna, la petite ne bougea pas. Elle se contenta d'observer tout ce petit monde s'éveiller et se préparer, et elle trouvait cela drôle, car elle se rendait compte que d'ordinaire, elle faisait la même chose. Elle ne prit pas garde des regards étonnés qu'on lui lança, et ne mit ça que sur le compte du fait qu'elle soit déjà debout. Elle ne se douta pas qu'elle avait peut-être une tête qui faisait peur...
Alors que les filles avaient déjà presque fini de se préparer, Juliet se décida enfin à bouger. Ce n'était pas la peine de le faire avant, elle savait qu'il lui fallait très peu de temps pour se préparer. D'ailleurs, elle fut tout de même la première à sortir du dortoir et à descendre tous les escaliers qui la séparaient de la Grande Salle. Si elle était prête si vite, c'était peut-être parce qu'elle n'avait même pas pris le temps de se regarder dans la glace, ce qui pouvait expliquer pourquoi les gens se retournaient sur son passage. Ses cheveux étaient en broussaille, et son visage était d'une pâleur inquiétante.
En arrivant dans la Grande Salle, elle se dirigea instinctivement vers la table de Serdaigle, et s'assit à un endroit qui n'était pas trop au centre du monde, elle voulait rester discrète. La petite aigle tendit la main en imaginant qu'elle allait se refermer sur la théière, mais évidemment, puisqu'elle n'avait pas regardé, ses doigts se refermèrent dans le vide. Grumpf, il vaudrait mieux que la théière ne soit pas bien loin, car notre petite était vraiment à l'ouest là. Elle leva lentement la tête pour inspecter les lieux, et l'aperçut, non loin de là. Il fallait cependant qu'elle se lève pour l'attraper, ce qu'elle fit immédiatement, sans même regarder s'il n'y avait pas quelqu'un d'autre qui avait aussi des vues sur cette théière. Au bout d'un effort inconsidéré, Juliet parvint à attraper cette théière et commença à se servir du thé, sans se rendre compte qu'elle versait le liquide en dehors de son bol...
Elle resta un moment comme ça, comme si elle était complètement déconnectée du temps qui s'écoulait, et ne se réveilla que quand le liquide vint à couler sur sa robe de sorcier. Juliet lâcha subitement la théière qui par je ne sais quel miracle retomba sur ses appuis et recula vivement sa chaise.

"Pfff..." souffla-t-elle en restant immobile, elle n'avait même pas laissé échapper un petit cri de douleur, alors que le thé était vraiment brûlant...

Elle ne s'était pas non plus rendue compte qu'elle avait quasiment vidé tout le contenu de la théière sur la table, et que celui-ci était allé se répandre sur les genoux des personnes à côté...

[1016 mots]

Nikko fuyait le reste de sa journée en restant assis à table, alors qu’il avait presque finit son petit déjeuner. La flemme l’envahissait, il [i]ne souhaitait en aucun cas aller en cours et encore moins bouger. De plus, ses multiples devoirs n’étaient pas finis. Il avait eu une potion à terminer pour aujourd’hui, la galére ! Il avait passé deux à trois heures à essayer de faire cette potion à base de mandibule d’araignée, de résine de pin et de liquide argenté dont il ne se souvenait même pas du nom. Il avait désespérément essayé de faire une potion parfaite. Il était indiqué dans le livre, de laisser le chaudron chauffer jusqu’à ce que les quelques ingrédients mis dedans fondes ou grilles afin de laisser un liquide s’écoulé. Une fois cette étape franchit, Jesse pensait avoir terminer sa potion. Il fallait simplement rajouté le liquide argenté. Le mot « simplement » est exagéré car il fallait tout verser dans le chaudron en même temps, alors que le liquide contenu dans la fiole était visqueux et compact. Il tenta alors par différents sorts de mettre tout le liquide concerné d’un seul coup. Autant dire que s’était perdu d’avance, il passa une heure de plus à galérer, pour finir par abandonné. Le liquide ne prenait pas la couleur demandé.

[i]Il passa alors aux devoirs de défense contre les forces du mal, sa matière préférée. Il avait un sort à apprendre, le sort « Waddiwasi », qui fait partir un objet à la vitesse d’une balle de fusil. Il s’était drôlement amusé avec ce sort, malgré la fenêtre de son dortoir qui fut cassée à cause de quelques tentatives ridicules. Malgré tout, il maîtrisa très rapidement ce nouveau sort. L’ apprentissage de sorts nouveaux l’avait toujours intéressé et ainsi permis d’apprendre rapidement. Il décida ensuite, de retournait voir sa potion. Et quel surprise !

Sa potion était devenue la même que celle du livre. Il fut très surpris de son exploit. Et resta blasé une à deux minutes avant de continuer ses autres devoirs. Quand tout à coup…

….Jesse se retrouva dans la réalité actuelle. Un liquide brûlant coulé sur sa cuisse, il recula alors vivement et se leva afin d’essuyer le thé qui coulé sur sa jambe, ceci le fit totalement retrouver la terre ferme !

*Ahhhrgg !!! *

Il sentait une grande partie de sa cuisse le brûler intensément. Il souri alors aux quelques personnes qui l’avait regardé faire son petit spectacle, puis se ressaya comme si de rien n’était. Voilà où sa courte nuit l’avait amené, il avait plané quelques instants seulement. Lui qui d’habitude n’est pas rêveur. Et s’était retrouvé avec la cuisse brûlait par du thé…

Il regarda alors la jeune fille, qui avait renversé la théière, il n’était pas le seul à avoir mal dormis apparemment. Ensuite, il jeta un coup d’œil à une autre fille qui avait assisté au spectacle. Et déclara :

Excusez moi de se remue-ménage !

Il se demanda ensuite pourquoi il s’était excusé. Peut être parce qu’il était de bonne humeur, et ne cherchait aucun problèmes, regardant attentivement les deux filles, il décida de se présenter, elles avaient toutes les deux charmantes et sympathiques. Puis déclara :

Au juste, je m’appel Jesse, Jesse Barkley… Enchanté mes demoiselles.

Voilà, il s’était présenté… Et attenter une réponse, du moins il l’espérait…

[ 557 mots ]

[Désolée de répondre avant toi, Lisa >.<]

Noon... Ce genre de choses arrivait malheureusement trop souvent à la fillette. Combien de fois se retrouvait-elle à faire des choses si idiotes ? Le pire, c'est que ce n'était pas forcément une caractéristique qu'elle prenait le matin... Cela, elle pouvait le faire à n'importe quelle heure de la journée. Tenez, par exemple, le jour où elle avait balancé un gobelet de chocolat chaud sur les devoirs de potions de deux élèves à la bibliothèque... Quoique, là, c'était différent, ce n'était pas du à une quelconque maladresse ou parce qu'elle était plongée dans ses pensées, c'était même totalement volontaire ! Mais bon, ce n'était pas non plus pour embêter les élèves en question, elle n'avait rien contre eux puisqu'elle ne les connaissait pas... Enfin, après tout, on ne mélange pas les serviettes et les torchons, donc ça ne sert pas à grand chose de faire des comparaisons comme ça, puisque nous venons de voir que ce n'était pas la même chose qui avait provoqué "l'accident". Le seul point commun, à la limite, c'était qu'il s'agissait d'une boisson chaude. Et justement, le thé, là, il était brûlant, d'où la réaction plus ou moins brutale qu'avait eu Juliet. Enfin, brutale... Elle avait lâché la théière et s'était reculée, mais n'avait lancé aucun cri de douleur. Peut-être parce qu'elle était encore persuadée qu'elle pouvait continuer à être discrète. Remarque, je ne sais pas si on peut avoir ce genre de réflexion quand on est subitement tiré de ses pensées. En tout cas, pour la discrétion, c'était un peu raté. D'autant plus que le garçon qui se trouvait à côté, et qui avait pris du thé aussi sur lui, n'avait pas été très discret non plus puisqu'il s'était soudain levé pour essuyer vivement le liquide, ce qui ne devait pas être très efficace si jamais il avait été brûlé. D'ailleurs, à propos de brûlé, Juliet avait eu les deux jambes bien attaquées, et il y eut un phénomène bizarre, on aurait dit que le pantalon semblait vouloir garder la chaleur et continuer de la transmettre. La petite n'aurait bientôt plus de peau si elle le gardait sur elle. Nullement gênée ni même pressée, elle saisit donc le bas de son pantalon et se mit à le tirer vers le bas pour l'enlever. Mais ne vous inquiétez-pas, ce n'était pas totalement un strip-tease qu'elle faisait, puisqu'elle avait encore la robe de sorcier par-dessus. Cependant, ses chaussures la gênaient pour pouvoir enlever totalement le pantalon, du coup elle se mit à galérer pendant quelques secondes à essayer de le faire passer quand même, car elle n'avait pas envie d'enlever ses chaussures. Pendant ce temps, le jeune garçon s'excusait de son remue-ménage. Quel remue-ménage ? Il n'avait provoqué aucun remue-ménage en fait... C'était plutôt Juliet la responsable ! Non seulement elle arrosait tout le monde de thé mais en plus elle pensait être encore discrète en enlevant son pantalon pour éviter de finir comme un steak grillé. Ah, cela devait être un joli spectacle ! Déjà qu'elle n'avait pas une tête super en arrivant, maintenant elle devait totalement ressembler à un poisson-clown ! (ne cherchez pas à comprendre pour la comparaison xD)
Sauf que cela ne sembla pas perturber le garçon qui s'était levé puisqu'il se mit à se présenter. Hein ? En fait, Juliet s'attendait plutôt à un "t'aurais pu faire attention" ou alors "c'est quoi que tu nous fais là ?". Mais bon, de toute façon, elle n'était pas douée dans les relations sociales, alors peut-être qu'elle ne prédisait pas bien.

"C'est bien" dit-elle en mettant son pantalon en boule sur ses genoux, car c'était la seule chose qu'elle avait trouvé à dire. Que peut-on répondre à "Je m'appelle Machin" de toute façon ? Il n'y a pas vraiment de quoi commenter... Aaaah, mais peut-être fallait-il se présenter ?
Ben oui, maintenant qu'on y pensait, c'était certainement ce qu'avait imaginé le dénommé Jesse. Comment Juliet n'y avait-elle pas pensé plus tôt ?

"Ah, heuu... Juliet Knightley, 2ème année, Serdaigle." débita-t-elle automatiquement en lançant un regard à la jeune fille qui se trouvait à côté d'elle pour voir si c'était ça qu'il fallait répondre, en fin de compte...

[698 mots]

[hj : Je répond aussi ^^, désolé]

Jesse en attendant la réponse des filles auxquelles il s’était présenté. Il se rappelait la fois, l’unique fois où il s’était brûlé autant. A peu prés de la même façon qu’aujourd’hui, mais sur tout le corps, d’ailleurs tout ses amis de Durmstrang y étaient passés aussi.

Des cinquième ou sixième années, enfin peu importe, ils avaient organisé un jour d’été, une après midi piscine. Tout le monde était invité, quelle chance pensa Jesse, ainsi que ses amis. Ils enfilèrent alors leurs maillots en vitesse, pour se précipiter vers la fameuse piscine. Une piscine à Durmstrang seul eux étaient assez sots pour y croire. Je préviens le groupe d’amis n’étaient alors qu’en première année. J’en reviens au souvenir de Jesse.
Ils arrivèrent tous ensemble et en courant devant le groupe d’adolescent plus âgés qu’eux. Ces derniers les conduisirent loin, trop loin de l’école de magie. Ceci aurait du mettre en garde les jeunes premières années, mais se ne fut pas le cas, trop euphoriques de s’imaginer barboter dans une piscine. Qu’ils oublièrent ainsi que les territoires en dehors de l’école était dangereux et mystérieux, voilà les paroles qu’avait prononcé le directeur de Durmstrang au débuts de leurs années solaires.
Les jeunes arrivèrent devant ce qu’on pourrait nommé une « piscine arrangée ». Les jeunes naïfs posèrent alors quelques questions stupides, genre pourquoi cette piscine était elle dans la nature, ou encore pourquoi est ce qu’elle ne ressemble pas aux piscines que l’on connais. Les élèves d’années supérieurs n’eurent aucun mal à répondre des stupidités aux questions posées. Alors, ils se jetèrent à l’eau, erreur ! L’eau était brûlante et provoquée des allergies ! C’était en réalité une nouvelle farce qui venait de sortir. Elle créait une petite piscine miniature où l’eau restée constamment brûlante, et provoquée des boutons. Dés que les premières années eurent sautés dans l’eau, tout les grands furent pris d’un rire fous. Les effets de cette attrapa devaient s’arrêté au bout de cinq minute, mais cette farce ne marchait pas bien, voir pas du tout… Les jeunes élèves passèrent leurs affreuses nuit à l’infirmerie, quant aux élèves d’années supérieurs, ils furent renvoyés momentanément.

Voilà le souvenir qu’eu Jesse aussitôt que sa brûlure commença à lui faire mal. Quand sa concentration dériva sur la jeune fille qui se trouvé à coté de lui, elle enleva son pantalon. Jesse comprenait pourquoi, mais il n’aurait pas osé faire cela en publique. Puis elle lui répondit. Alors Jesse lui dit un peu hésitant :

Euh… Très heureux de faire ta rencontre…

Tout ceci lui fit oublier sa douleur, et il demande :

Tu ne t’es pas trop brûlée ? Si tu désires, je connais un sort calmant la brûlure…

Jesse lui fit alors un sourire, ce sort il l’avait appris lors de sa fameuse journée à Durmstrang. C’était en réalité, lors de sa terrible nuit où il n’avait put dormir, qu’il avait demandé à l’infirmière de lui apprendre ce sort, gentilles comme sont les infirmières, elle lui avait répondue affirmativement, et aujourd’hui, il était content de pouvoir proposer son service à quelqu’un qui s’était brulé.

[ 513 mots ]

Lisa n'était pas encore parfaitement réveillée, elle aperçut bien Juliet atrapper la théire qu'elle convoitait du regard, mais lorsque le liquide brulant coula sur sa cuisse, elle se rendit compte qu'elle avait dû louper une étape. La douleur ratrappa bien vite sa réfléxion et elle se redressa d'un bon renversant à moitié le banc sur lequel elle était assise ainsi que son assiette.
Elle ne jura pas, ce n'était pas dans ses habitudes, mais eut une grande inspiration de surprise, pour sur c'était ce qui lui falait pour passer de l'état semi-comateux à celui de parfaitement éveillée. Au moins niveau chaleur du thé on pouvait être sûr que les elfes de maison faisaient bien leur travail, pour le coup Lisa aurait préféré que cela ne soit pas le cas elle avait une assez grande résistance à la douleur mais l'eau brulante n'était agréable que dans un bon bain.
Après avoir épongé l'eau qui goutée de la table et froté ses cuisses endolori Lisa se rassit, bien décidée pour une fois à adresser une sévère remontrance à la personne tellement maladroite qui n'avait même pas réussit à verser correctement son thé dans sa tasse, mais elle se ravisa en voyant Juliet discuter avec ce garçon qui venait de se présenter, n'avait elle pas encouragé la deuxième année lors du dernier match contre serpentard? A plein poumon d'ailleurs et ils avaient gagné le match d'ailleurs, elle ne pouvait décement pas lui en vouloir en puis c'était le matin personne n'était extremment bien réveiller ça pouvait arriver à tout le monde après tout, imaginons que se soit Lisa qui ait atrapper la théière avant Juliet peut être que s'aurait été elle qui aurait tout renversé.
Lisa mourrait d'envie de faire comme la blondinette, après tout elle s'était déjà trimballée dans les couloirs en peignoir, alors retirer son pantalon, la grande salle n'était vraiment pas remplie et Jesse était en face d'elle donc il ne verrait rien elle déboutonna son pantalon histoire de constater l'étendue de la brulûre, aïe aïe c'était pas joli à voir,n la peau avait blanchie et quelques cloques étaient apparuent si Jesse disait vrai son sort ne serrait pas de refus, mais comment le connaissait-il alors qu'il semblait, selon toute vraissemblance être plus jeune que lui.
Lisa tenta se verser dans le côté sociable de sa personne qui n'était d'habitude pas très présent.

"Knightley tu t'es surpassée aujourd'hui, mais je ne t'en veux pas, elle remis ses cheveux derrière ses oreilles et se présenta au garçon, Lisa Turpin, cinquième année."

C'était dans ses habitudes d'appeler ses cadet par leur nom de famille ça pouvait paraître un peu bizarre mais quand on ne connaissait pas quelqu'un personnellement ça mettait une certaine distance, et quand on n'aimait pas tant que ça se faire des copains copines c'était toujours utile.
Toujours est-il que ses cuisses lui faisaient quand même vachement mal.

"Si tu métrises le sort dont tu parles je veux bien tester."

Sans quoi elle serait bien contrainte et forcée d'aller faire un tour à l'infirmerie et ça ne faisait pas tant que ça partie de ses priorités de la journée...

[plus de 500 mais je ne sais pas combien]

&&& Tous

[ hj: désolé de mon indisponibilité cette dernière
semaine, j'ai eu beaucoup d'examens. Mais le voilà ! ]

Jesse était entouré, voir encerclé par le thé, comme les deux jeunes demoiselles d’ailleurs.
Juliet, Lisa et lui s’étaient tous bien brûlés. Ah ! le thé, quelle arme
redoutable. Ses cuisses commençait sincèrement à le faire souffrir, mais comme
à son habitude, rien, aucun sentiment n’était apparent sur son visage. Il
restait de pierre, si ce n’est avec seulement un petit sourire. Quand la plus
grande des trois brûlés répondit, elle se nommait donc Lisa Turpin. Et elle
possédait une curieuse manière de nommer les personnes, oui, elle les
appelaient par leurs nom de famille. En
tout cas, c’est ce que Jesse avait constaté avec l’exemple de Juliet. Elle lui
parla du sort de guérison général, il le connaissait depuis un bout de temps
celui là. Puis il s’exclama d’une voix calme accompagné d’un large sourire,
comme il s’avait bien les faire :

Excuse moi de ne pas t’avoir proposé mon aide Lisa, je
n’avais pas remarqué que tu étais brûlée toi aussi. ^^ Donc tu veux que je
teste mon sort sur toi, je ne pense pas que le mot « teste »
convienne, je l’ai déjà utilisé de nombreuses fois. Ne t’inquiète pas, tu ne
crains rien. Enfin, de toute façon, sa tu le sais parfaitement, tu es en
cinquième année tout de même. Excuse moi, je n’ai pas voulu te manquer de respect…

Jesse décida de faire un peu travailler sa mémoire, il
revoyait la scène dans sa tête, l’infirmière avait prononcé l’incantation assez
rapidement. Elle avait prononcé comme cela si sa mémoire ne lui faisait pas
défaut : E-PI-SKEY… Oui, il en
était presque certains. Sans adresser une parole aux autres, il pointa sa baguette
qu’il venait de sortir de sa veste-blouson sur ses cuisses et s’écria tout en
faisant des gestes précis :

E-PI-SKEY !!!!

Quel bien fous, sentir la douleur s’en aller aussi vite, lui
fit fermer les yeux et mordiller ses lèvres. Le sort était donc bien efficace. Il s’adressa à nouveau à Lisa et lui
dit :

Je me souviens donc de la formule exact =), de plus, elle fonctionne, que demander de plus. Bouge pas, j’arrive !

Il se leva, fit attention de ne rien renverser de plus, une
nouvelle catastrophe ne serait pas la bienvenue. Il fit le tour de la table de
Serdaigle, sous les yeux exorbités de certains élèves ne comprenant pas son
action. Il arriva à petit pas devant Lisa et lui dit en regardant fixement ses
cuisses afin de pouvoir un effet précis et bénéfique sur la
blessure concernée :

Tu m’excusera, je dois savoir ou je vais précisément lancer
le sortilège, ne t’imagine rien, surtout ! Je ne suis pas un voyeur !
C’est tout simplement plus dur quand on lance ce sortilège sur quelqu’un autre
que soit même.

Un temps de réflexion, et il s’écria :

C’est bon, j’ai trouvé où je dois appliquer le sort. Passons
aux choses sérieuses maintenant.

Il sortit à nouveau sa baguette de la poche intérieur de son blouson.
Il fit quelques geste précis accompagné de ceci :

E-PI-SKEY !!!

Le sort sortit de la baguette de Jesse, tel de l’eau bénite
éteignant des flammes ardentes. Il
sentait que lui même, l’efficacité du sort. Il
stoppa le sortilège au signe de Miss Turpin. Il rangea sa baguette à son
endroit habituel et se releva, et demanda à Lisa :

Vous ai je soulagée très chère ? Non, sincèrement, est
ce que sa t’as fait du bien ?

Puis il se retourna vers Juliet en attendant la réponse de Lisa,
et lui demanda à nouveau si elle souhaitait que Jesse lui applique le sort
qu’il venait de faire sur Lisa.


[ 610 mots ]

[Sorry, j'étais un peu surpassée, cette semaine ^^]

Waoh. Tout ce remue-ménage pour une simple maladresse de la petite Juliet ! Il y avait de quoi se sentir coupable, fautif, même... Et c'était peut-être ce que voulait certainement lui faire comprendre Lisa, la grande fille de cinquième année. Quand celle-ci l'interpella, Juliet ne comprit tout d'abord pas qu'elle s'adressait à elle. Il faut dire qu'elle n'avait pas l'habitude qu'on l'appelle par son nom de famille, si bien qu'elle avait presque tendance à l'oublier. En fait, elle ne l'utilisait que pour le marquer sur ses devoirs à rendre et pour se présenter, or dans ce dernier cas, c'était plutôt de l'automatisme, ce qui peut expliquer pourquoi elle ne comprit pas tout de suite à qui Lisa parlait. Et quand l'information atteint enfin son cerveau, elle fut interloquée, certes, mais pas de la manière dont on s'y attend.

* Comment me connaît-elle ? *

On aurait pu penser que la question "pourquoi m'appelle-t-elle par mon nom de famille ?" aurait été une question intérieure plus logique, mais la petite avait déjà oublié qu'elle s'était présentée avec son prénom et son nom de famille. Non, la petite se torturait l'esprit à essayer de comprendre comment Lisa pouvait connaître son nom de famille...
Bien sûr, c'était évident que le fait de faire partie de l'équipe de Quidditch devait y être pour quelque chose, mais Juliet avait tendance à oublier cela et à penser que de toute façon personne ne s'intéressait à une petite comme elle, ou alors c'était en temps qu'énergumène détraqué.
Mais de toute façon, cela ne servait à rien de s'attarder sur un point de détail comme cela (c'était peut-être un des défauts les plus récurrents de la petite Serdaigle), d'autant plus que les deux autres jeunes personnes étaient en train de se mettre d'accord pour appliquer un sortilège que Jesse prétendait connaître pour soigner les brûlures. Quelles brûlures ? Juliet ne sentait rien qui lui faisait mal... Ah ouiiiii, c'était sûrement le fait de s'être pris du thé sur les cuisses... Bah, Juliet avait déjà trouvé sa solution, elle avait enlevé son pantalon rapidement, ce qui avait permis à la brûlure de ne pas s'imposer puisque la peau était maintenant au contact de l'air froid plutôt que du tissu brûlant. Son pantalon en boule sur les genoux, Juliet se contenta d'observer la scène qui s'étalait devant ses yeux, c'est-à-dire Jesse en train de lancer son sort sur Lisa, tout en regardant autour d'elle pour voir s'il n'y avait pas de professeurs prêts à les réprimander, notamment Ombrage... C'était vrai que quand on est professeur de Défense contre les Forces du Mal et qu'on apprend aux élèves à se défendre en lisant un bouquin, on ne doit pas forcément apprécier que les élèves sachent se servir de leur baguette, surtout en dehors des cours ! (Cela pourrait être dangereux pour le Ministère, vous comprenez...)
Enfin, tandis que le sortilège paraissait avoir des effets efficaces, notre petite se torturait l'esprit... Non, ce n'était plus à cause de cette histoire de nom de famille... En fait, elle était sûre que quelque chose lui avait échappé dans la scène qui s'était passée, depuis le matin-même. Oui... Il y avait eu quelque chose qui aurait dû lui faire "tilt", mais elle n'arrivait pas à voir ce que c'était. Et pourtant, elle en était sûre. Je peux vous dire que c'est vraiment énervant, ce genre de chose, quand on est certain d'avoir quelque chose sur le bout de la langue, mais qu'on n'arrive pas à voir ce que c'était...
Et puis, quand le garçon se tourna vers elle pour lui proposer ses services, tout se remit à sa place ! Si bien qu'au lieu de répondre à la question du garçon, la petite s'écria :

"Oooh, mais... Tu t'appelles Barkley... Comme Olivia ?"

Evidemment, ce n'était pas la réponse attendue... Mais comme de toute façon, Juliet n'était pas en train de se tordre de douleur, cela pouvait constituer une réponse en soi, non ? Non ? Bon, d'accord... Si on ne peut plus s'exprimer que par la parole, alors...
La petite se résigna à répondre correctement à la question qui lui était adressée :

"ça va, depuis que j'ai enlevé le pantalon, je n'ai plus mal." dit-elle d'une petite voix en fixant ce fameux pantalon roulé en boule sur ses genoux, qui n'étaient pas non plus complètement découverts puisqu'elle avait sa robe de sorcier par-dessus.

Elle adressa un petit sourire à Jesse, puis ajouta après un autre petit regard furtif vers la table des professeurs :

"A mon avis, il vaut mieux que tu ranges ta baguette, car Ombrage ne va peut-être pas croire que tu avais de bonnes intentions..."

Elle avait dit cela sans montrer explicitement son arrière-pensée, même si celle-ci pouvait se deviner par son regard qui venait de se poser sur le pantalon de Lisa qu'elle avait déboutonné quelques minutes plus tôt...

Jesse avait toujours sa baguette à la main, la jeune miss Knigntley l’interpella pour lui faire remarquer qu’elle connaissait une autre personne se nommant Barkley. Et oui comme vous l’avez sûrement remarqués, Jesse était lui aussi de la famille Barkley comme sa digne sœur Olivia. Il avaient été séparés à l’âge de deux ans, si ce qu’on lui avait raconté était la digne vérité. Leurs parents étaient morts ou les avaient abandonnés, il avait jamais voulu choisir entre ces deux possibilités. Il savait seulement qu’Olivia Barkley était sa fausse jumelle. La seule famille qu’il lui restait, ou du moins qu’il connaissait. Il répondit alors à la jeune Juliet :

Euhh… Oui, c’est vrai. Tu connais Olivia ? Enfin bon, tu as raison. C’est ma sœur, ma jumelle, ma fausse jumelle… J’ai quitté Durmstrang pour la rejoindre, je croyais n’avoir aucune famille. Enfin, je pensais être seul. Mais un jour j’ai reçus une lettre comme quoi j’avais une sœur à Poudlard. Je l’ai contacté et j’ai aussitôt quitté mon ancienne école magique. Sa fait de ne plus être seul, enfin, je n’étais pas seul… Enfin, bref. Voilà.

Jesse s’était un peu mélangé les pinceaux, il n’avait pasl’habitude de parler de lui. Puis, elle répondit à sa question, elle n’avait pas besoin de son sort, tant mieux, c’est qu’elle ne s’était pas fait mal. Puis, elle lui conseilla de ranger sa baguette, il lui fit un sourire et lui répondit :

Ne t’inquiète pas Juliet, je faisais pas de mal. ^^

Puis, il fit un sourire à Lisa, il comptait retourner à sa place initiale quand il entendit quequ'un l'interpeller:

Jeune homme !

Jesse se retourna vivement, toujours la baguette à la main.Tiens, quand on parle du loup. Un professeur se trouvait devant Jesse, mais impossible de nommer ce professeur, Jesse était nouveau et ne connaissait que le directeur, Albus Dumbledore, avec qui il avait longuement parlé suite à son arrivée en cour d’année. Alors Jesse répondit :

Oui, qui y a t-il ?

Le professeur n’avait guère l’air aimable. Il lui jeta ceci à la figure :

Ici, c’est moi qui pose les questions. Quel impertinent ! Qui êtes vous et que faites vous avec votre baguette ?

Jesse se sentit attaqué, il rangea aussitôt sa baguette dans son blouson et jeta un regard de détresse vers les deux jeunes filles. Puis, il regarda à nouveau le professeur et ajouta :

Veuillez m’excuser, je ne souhaitais pas vous manquer de respect, encore pardon. Euhh… Je suis Jesse Barkley, un nouveau à Poudlard. Je viens de Durmstrang, enfin bon… Je ne faisais rien de particulier avec ma baguette.

Le professeur piqué au vif, s’exclama avec des yeux d’un noir charbon et perçants :

Vous vous payez ma tête monsieur Barkley ! Je vous ai vu utiliser votre baguette… Ah, mais c’est vous le fameux élève de Durmstrang,
Albus m’a parlé de vous. Si je puis me permettre, vous commencez mal jeune homme. Je vous conseille de me dire ce que vous fabriqué !

Jesse ne savait pas comment réagir, il baissa la tête et dit :

Je n’ai rien fait de mal, j’utilisais ma baguette afin de guérir une blessure. C’est tout, je vous assure !

Le professeur le fixant toujours avec son air supérieur, lui déclara :

Nous avons une infirmerie pour dans ces cas là. Ne venez pas jouer les fouteurs de troubles avec vos sortilèges à la noix !

Jesse ne savait plus quoi faire, plus quoi dire. Il avait vraiment besoin d’aide… Mais enfin, qui était ce professeur ???


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[ hj: donnez une identité à ce professeur, celle de celui à qui il vous fait penser le plus. Je vous fais confiance, pas toujours marrant d'être nouveau xD ]