MATCH #6 POUFSOUFFLE <VS> SERPENTARD

Or, il arriva qu’en des temps lointains – en 1564 pour être précise – la Reine Elisabeth décida en son Conseil (lequel se trouve être un conseil privé depuis le règne d’Henri VIII, père indigne de ladite Elisabeth) que l’exportation des canons devait être interdit. Pourquoi ? (me direz-vous, impatients de savoir). Parce qu’en 1564, l’Angleterre – qui vient de restaurer la religion anglicane après près d’une décennie de catholicisme à la Bloody Mary – se sent en danger, isolée entre une Espagne ultra-papiste, une France que les guerres de Religions commencent à déchirer et ce pour quarante ans, une Ecosse catholique et une Irlande qui – quoiqu’officiellement possession de la couronne anglaise – reste très réticente à la religion Réformé (c’est un euphémisme. L’Irlande au XVIème siècle, c’est la Révolte permanente. Mais nous verrons tout ceci dans un prochain post. Ou pas, en fait). A cet isolement du Royaume anglais s’ajoute, en outre, les premières tensions avec l’Espagne de Philippe II via les Pays-Bas espagnols que la Régente Marguerite (représentante de l’autorité espagnole à Anvers) a fermé aux navires anglais en 1563 (prenant pour prétexte la peste qui ravage la garnison anglaise installée à Havre depuis 1562, Le Havre que le Grand Condé – huguenot s’il en ait – a donné aux anglais afin qu’ils puissent l’échanger contre Calais à la couronne française. Tout le monde suit encore ?). Or, commercialement parlant, les Pays-Bas espagnols sont le premier débouché des tissus anglais. Bref, pour faire face à une potentielle coalition catholique conduite par les espagnols, Elisabeth (que le Pape n’a pas encore excommuniée) s’efforce de développer les ressources militaires de l’Angleterre.
Puis l’eau a coulé sous les ponts. Et, alors que les moyens de transports se perfectionnaient et que
l’embryon d’un vaste marché mondial pointait le bout de son museau industriel, la Couronne, jugeant la loi d’Elisabeth obsolète, l’annula purement et simplement pour signer des accords commerciaux avec la France. L’Angleterre cessa alors de produire ses propres canons pour les importer de France Ainsi, alors qu’en 1564, l’Angleterre s’assurait l’auto suffisance militaire, au XVIIIème siècle, elle se mettait sous la dépendance de la France, véritable hérésie – soit dit en passant – pour nous contemporains, qui connaissons la suite de l’Histoire (la grande comme la petite d’ailleurs), de la Révolution jusqu’à la IIIème République.
Et voilà comment (tadam), en cette fin d’année scolaire de l’an de grâce 1996, la jeune Susan Bones se trouvait bien désemparée. Car elle aurait bien eu besoin d’un canon made in England pour pulvériser une bonne fois pour toute les Serpentard (Rogue compris). Ce qui accélèrerait la fin du match (Poufsouffle, vainqueur par KO, et sans avoir besoin d’attendre que le vif d’or daigne se montrer). Mais malheureusement, le temps qu’elle remplisse un bon de commande à l’Etat Français et que ladite commande se trouve honorée, le match serait clos depuis longtemps. Ou alors ils seraient tous morts de faim, public compris, à force d’attendre le vif d’or. Dans tous les cas, Susan se retrouverait avec un canon dont elle ne saurait que faire («Tiens, bonne fête maman !» «Oh ! Un canon ! Merci ma chérie mais… Je crois que j’aurais préféré un collier de nouilles, héhé !»).

Faute de canon – saleté de mondialisation, va ! – Susan devrait se contenter de sa batte, qui, quand on y songeait, pouvait être une arme d’autant plus redoutable qu’elle était homologuée par le comité international du Quidditch (contrairement au canon. Une honte !). La rouquine raffermit donc avec détermination sa prise sur la Sacro-Sainte batte et lorgna d’un œil patibulaire un des joueurs de Serpentard – elle n’avait pas pris la peine de retenir leur nom. Un tel honneur n’était pas pour eux ! – qui volait à quelques mètres d’elle. toi t’es mort

(Réponse : Enry Stanley, dans les couloirs, le mardi 22 avril à 16h37. Enry réalise qu’Heaven s’est amusé avec lui et qu’elle lui préfère Siegfried, ce qui l’insupporte. Il vient de voir Heaven dans les bras de Siegfried et se sent profondément blessé tout en sachant que c’est là le caractère d’Heaven et qu’il ne peut rien faire pour aller contre.)

(Bloque : Heaven, tiens ! Pour Enry !).

Vingt à zéro pour les Pouffys, génial! Le match commençait bien, plus de crampes, bien sûr, toujours le stress, mais malgré que ce soit son deuxième match, Halwen pensait qu'il était normal d'être stressée, tout le m=onde l'était... Non? Halwen espèrait bien que si, après tout une seul sur l'équipe à l'être, c'était... Bizarre. Le souaffle revint par chez elle et elle réussit une deuxième fois à l'envoyer, hélas, il revint direct à la charge et les Serpents marquèrent, mince! Halwen songea qu'il fallait qu'elle se reprenne, si son équipe gagnait, ce serait plus que génial, ce serait... Géant! Elle n'aurait qu'à étudier pour ses Buses et l'année serait parfaite! Oui parfaite! Elle vit du coin de l'oeil le souaffle passer de mains en mains, les Cognards être lancé à chaque coin du terrain. Halwen regrettait vraiment son post de Batteuse, malgré le fait que Gardienne soit génial, elle aurait voulu plus se déplacer, frapper, lancer, viser... Du coin de l'oeil, elle vit Elizabeth lancer le souaffle mais hélas rater les anneaux, mince!

* Ne me dites pas que la chance est en train de tourner vers ses... Serpents?!*

Et pourtant. Il fallait se reprendre! Halwen attrapa le Souaffle juste à temps, regarda qui était dans le coin et libre, visa et lança vers Elizabeth, seule Poursuiveuse dans son champs de vision et accessible...

{Bonne réponse de Suzan (après avoir cherché pendant 20 minutes )
30-10 pour les Pouffys
Tout le monde peut répondre
Dans Harry Potter et la coupe de feu, qui transforme la coupe en Portoloin? Bien précis...}

EDIT Remus :
Eli bloquée pour un tour
Heaven bloquée pour deux tour
Score : 20 à 0

Un économiste dont nous tairons le nom a dit, il y a de cela quelques année «Le jour où l’Afrique se réveillera, nous la renverrons se coucher.» Dans le même genre, Susan Bones, spécialiste du pastiche, pouvait déclarer : «Le jour où Serpentard cherchera à gagner, Poufsouffle brisera son rêve». Euh, ou pas, en fait. Car il est certainement bien plus aisé pour un G8 tout puissant d’écraser un continent déchiré par la violence et la misère que pour une poignée de Poufsouffle de vaincre un groupe de Serpentard égal en nombre et au moins aussi uni. Mais surtout, il faut gardeeeeer le souriiiiiiire ! (quitte à se prendre un cognard dans les dents. Le sourire confiant peut-être un très bon moyen de déstabiliser l’adversaire). Mais de Poufsouffle ou de Serpentard, qui était le rêveur ? Lé réponse à la fin du match.
Quant à Susan, elle surveillait d’un œil anxieux l’avancée du match. Plutôt pessimiste dans son genre de situation, il lui semblait que Serpentard dominait techniquement parlant. Pourtant, les gentils blaireaux n’avaient pas ménagé leur peine, dans les dernières semaines. Les entraînements s’étaient enchaîné, tant et si bien que Susan était souvent rentrée dans sa salle commune aussi fourbue que si elle venait de courir plusieurs jours d’affilé. Il aurait été dommage que de tels efforts ne paient pas. Mais l’un dans l’autre, les Serpentard ne devaient pas non plus être en reste, question entraînement…
Susan grimaça et secoua brièvement la tête pour en chasser cette affreuse pensée. Puis, prenant un peu de hauteur, elle se concentra à nouveau sur les cognards, en s’efforçant de ne pas tendre l’oreille aux commentaires piquants que Lee Jordan débitait, en contrebas.

(Réponse : Barty Croupton Junior, sous l’apparence de Maugrey Fol Œil, alors qu’il s’est porté volontaire pour mettre la coupe au centre du labyrinthe)

(Bloque : Siegfried)

Yes! On reprennait du poil de la bête comme qui dirait. Halwen ressentait un autre sentiment que le stress maintenant, l'envie, la joie, et... La fierté, elle devait l'avouer. Trente à dix pour les jaunes et noirs, Suzan venait de marquer deux buts, c'était bien, mais les Serpentards semblaient... Ne pas vraiment s'en apercevoir, on aurait dit que ça ne leur faisait pas grand chose. Comme si... Ils allaient faire une grosse contre attaque, retourner leur chemise comme aurait dit le père d'Halwen. Elle s'abaissa un peu sur son balais, le genre de posture qu'elle prenait pour accélérer ou pour éviter un Cognard, mais bon, là, ce n'était pas la même chose, quoi que... Eh oui, le dénommé Cognard arriva vers Halwen, celle-ci à cause de la pluie, ne le vit qu'à la dernière minute. Elle fit un piquet, mais le Cognard heurta le bout de son balais ainsi que sa jambe, ignorant la douleur cuisante que l'impact avait produit, elle releva son balais et se remit en place. Elle prit sur elle pour ne pas pousser un cri de douleur, ça faisait vraiment mal.

*Note: après le match, direction l'infimerie*

Bien sûr, hors de question pour elle d'abandonner ses compagnons de maison avec les Serpentards et sans gardien! Hors de question! Cognard ou pas. Mais heureusement, bientôt, tant qu'elle ne bougeait pas trop la cheville, la douleur ne fût pas si terrible. Tant mieux, il serait plus facile pour elle de maintenir le jeu comme cela!

{Bonne réponse de Suzan!
40-10 pour les Pouffys
Tout le monde peut répondre
Dans Harry Potter et la chambre des secrets, qui est invité chez les Dursley lorsque Dobby à la "bonne" idée de "préparer" un gâteau?}

Edit Susan
20/0 pour Poufsouffle.
Heaven bloquée pour un tour. Siegfried bloqué pour deux tours.

Et le match commençait comme tous les autres… Adam, qui n’avait pas de vif d’or à rechercher, et pas de souaffle à poursuivre, pouvait aisément écouter les scores. Cependant, il s’en fichait un petit peu. On lui avait attribué une tâche : viser les Poufsouffles autant que possible. Ainsi, après avoir touché une première fois, un des poursuiveurs adverse, le quatrième année repartit voleter autours de ses coéquipiers, comme le faisaient la gardienne avec ses buts. Pour le moment, il n’y avait rien de trop alarmant. Cependant, si ça continuait comme ça, et que Chandlers attrapait le vif d’or avant Kostovak, ils perdraient lamentablement le match. Pfff. Le jeune garçon vola donc près d’Heaven Clarks, qui avait le souaffle, et lança un regard noir –le même que d’habitude, en fait-, aux poursuiveurs en jaune omelette qui lui collaient trop à l’arrière traits. Oiseaux stupides… Avec un air de profond dédain, le jeune Serpentard fit un brusque virage en épingle, et tapa dans le premier cognard qui était à sa portée, visant un des poursuiveurs qui se trouvait derrière lui… Avec un clang métallique, la balle toucha quelque chose. Serpentard ou Poufsouffle ?

[ Mr et Mrs Mason ]
[ vise Harris ]

C'était lui? Ce... crétin de Serpent qui l'avait touché? Adam Sallers?! Non, mais! Ayant trop vite parlé, sa cheville l'élanca encore pendant un bon moment, mais Halwen s'en fichait royalement. C'est à cette partie du match qu'Halwen aurait vraiment voulu être Batteuse, pour pouvoir botté le train à Sallers qui lui avait envoyé ce Cognard, pas un Serpentard pour rien celui-là... Pfff. En plus, il ne savait pas viser, à moins que ce soit fait exprès -ce qu'elle doutait- c'était les Poursuiveurs derrière lui qu'il aurait du viser pas elle!

*Moi, pauvre Gardienne innocente, décidément, il faudrait que je pose ma démission! Ca a trop de risques!*

Mais elle changea tout de suite d'avis, comment aurait-elle pu laisser tomber ce sport si... fabuleux? Elle en jouait -souvent seule mais bon- depuis qu'elle savait monter sur un balais, une vraie passion dévorante. Elle se demanda furtivement comment elle avait pu s'en passer jusqu'à ses onze ans, mais là n'était pas vraiment la question. En fait, il n'y avait qu'une question qui trônait dans son esprit.... Quoi que non, il y en avait deux. La première était, comme toute l'équipe, imaginait-elle, les Pouffys gagneront-ils ou pas? Et en deuxième, si cette satanée douleur ne pouvait pas rentrer chez elle?!
Elle soupira d'agacement, les points étaient peut-être en faveur des Pouffys, le match ne commencait pas très bien pour elle...

{Bonne réponse d'Adam!
40-20 pour les Pouffys
Tout le monde peut répondre / Elizabeth bloquée pour deux tours
A la fin d'Harry Potter et la chambre des secrets, que dit Dumbledore pour convaincre Harry qu'il est dans la bonne maison (rapporter les paroles)}

Edit Susan :
20/0 pour Poufsouffle.
Siegfried bloqué pour un tour. Elizabeth pour deux.

Dans un conte de fées, Susan aurait fait la princesse un peu niaise (voire même beaucoup) qui s’habille toujours en rose et qui craint de se salir si jamais elle monte à cheval derrière le prince charmant. Ce qui, soit dit en passant, n’est pas bien pratique pour les projets de mariage après baiser réanimateur suite à un avalage de pomme un peu trop rapide (la pomme, un fruit très dangereux…).
Dans un conte de fées seulement. Dans la vraie vie, Susan était peut-être niaise, mais elle n’avait pas peur de se salir. Et pour l’heure, elle se sentait très fière d’elle… Pensez donc, elle était parvenue à anéantir (oui, enfin, presque. Elle leur avait fait un peu mal, quoi !) deux sanguinaires défenseurs avec sa petite batte ! Certes, Rogue allait la tuer lors du prochain cours de potion, mais en attendant, elle était à l’abri. Ou pas en fait. Car il était aussi fort possible que Rogue sorte sa baguette et l’achève à distance d’un sortilège bien maîtrisé. Même pas besoin d’un Avada Kedavra… Il suffisait de la faire tomber de balai. A moins de développer des capacités félines étonnantes, elle avait peu de chances de survivre à une chute de cette hauteur.
Susan lança un coup d’œil anxieuse au gradin des professeurs au centre duquel trônait Ombrage, horrible petite tache rose qui ressemblait à une grosse araignée au milieu de sa toile… La vision n’avait rien de très rassurant, d’autant moins qu’il était de notoriété publique qu’Ombrage adorait les Serpentard… Merlin ! Mais que diable allait-elle donc faire dans cette galère ?

(Réponse : «Seul un véritable Gryffondor pouvait trouver cette épée dans le Choixpeau magique, Harry, dit simplement Dumbledore. »)
(Bloque : Adam.)

Pour un premier match en compagnie de l’équipe titulaire des Serpentards, Adam s’en sortait plutôt bien. Il était parvenu à toucher deux des élèves de la maison de Chourave, et s’en félicitait au plus haut point, même s’il ne souriait toujours pas. L’air toujours lassé et hautain, le jeune Sallers tenta de regarder vers les tribunes des verts et argents. Il ne voyait pas sa tendre et chère cousine, et se demanda si elle avait daigné venir la voir. Il ne lui avait rien dit de spécial à ce propos : il ne souhaitait pas qu’elle vienne en s’ennuyant, mais il ne voulait pas non plus qu’elle l’ignore sublimement. Après tout, c’était sa cousine… m’enfin. Jetant plutôt un petit coup d’œil vers un autre côté des tribunes des vipères, il aperçu une jolie chevelure blonde. A cette distance, et à tout hasard, il aurait dit qu’il s’agissait de Flora Darkflower. Délicieuse jeune fille…
Mais bref. Le quatrième année remarqua tout juste à ce moment, un cognard qui fonçait avec hargne vers Raphaël Gibson – le seul Serpentard qu’il avait eut envie de défendre depuis le début du match, en fait -, et renvoya l’indésirable vers un blaireau situé à quelques mètres de là…

[ "Envoyé à Gryffondor, acheva Dumbledore. Ecoute-moi, Harry. Il se trouve que tu possèdes beaucoup de qualités que Serpentard appréciait chez ses élèves. La faculté de parler le Fourchelang, l'ingéniosité, la détermination... un certain dédain pour les règlements... Et pourtant, le Choixpeau magique t'a envoyé à Gryffondor. Tu sais pourquoi? Réfléchis. (... )
Exactement, dit Dumbledore avec un grand sourire. Ce qui te rend très différent de Tom Jedusor. Ce sont nos choix, Harry, qui montrent ce que nous sommes vraiment, beaucoup plus que nos aptitudes.
(...)
Si tu veux la preuve que tu appartiens vraiment à Gryffondor, Harry, je te suggère d'examiner ceci d'un peu plus près.
(...)
Seul un véritable Gryffondor pouvait trouver cette épée dans le Choixpeau magique, Harry, dit simplement Dumbledore. ]
[ vise Scotts ]
[ Mais mince, gaffe au récap, quoi -_-". Un batteur ne fait pas gagner de points à son équipe ! ]

Frédérique fit son entrée avec les autres sur le terrain de Quidditch avec les belles et fières couleurs de sa maison : Serpentard. Elle en avait eu mal au ventre toute la journée de la veille tellement elle y avait pensé. Maintenant qu’elle y était, après la douleur, la peur avait pris place à son ventre. Elle tenait sa batte bien serrée dans sa main. Elle n’avait pas le droit à l’erreur. C’était son premier match et elle savait que si elle donnait un excellent résultat de ses performances, elle pourra rester dans les joueurs titulaires. On ne le lui avait pas dis explicitement, mais elle était à l’essai. Le Vif d’Or était déjà lancé. Le match commençait. Elle s’élança un peu en retard. Mais elle était Batteur. On ne lui demandait pas de la rapidité, mais de la précision. Justement un Cognard avait le malheur de traîner non loin d’elle. Elle allait à sa rencontre et tapa déjà dedans…

[Réponse :
Dumblebore : "Ecoute moi Harry, il se trouve que tu possèdes beauocup de qualité que serpentard apprécie chez de élèves. La faculté de parler fourchelang, l'ingéniosité, la détermination... Un certain dédain pour les reglements... et pourtant, le choixpeau machique t'a envoyé à Gryffondor. Tu sais pourquoi ? Réfléchis."
Harry : "Il m'a envoyé à Gryffondor car j'ai demandé à ne pas aller à Serpentard."
Dumblebore : "Exactement. Ce qui te rend très différent de Tom Jedusor. Ce sont nos choix, Harry, qui montrent ce que nous sommes vraiment, beaucoup plus que nos aptitudes."]

[Bloque Alexander]