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| université de Londre (colle) | |
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Halloween Strue
Parchemins : 919 Âge : 34 ans Actuellement : Infirmière Points : 0
Ξ Sujet: université de Londre (colle) Jeu 24 Juil - 15:07 | |
| Pendant le mois de juillet, l'université de Londre organisait des conférences ou des cours de rattrapage pour les étudiants qui avaient raté leurs brevets.
Tout le monde pouvait s'inscrire en payant les cours de rattrapage, donc on trouvait plein de monde de différentes ethnies et de rang de la société, aux étudiants fan ou bien forcés de participer pour réussir dans six mois leur brevet ou encore des gent qui s'intéressaient par simple hobby aux sujets donnés.
Halloween se trouvait devant les grandes portes de l'université, avec dans les mains un horaire et un plan, sa mère l'avait inscrite pour l'occuper intelligemment, comme si suivre des cours sur le réchauffement de la planète était quelque chose d'utile pour une sorcière adolescente, à la recherche d'aventure, du grand amour et surtout à combattre voldmort..
Mais elle se trouvait bien là et elle n'avait pas le droit de manquer aucun cours sinon c'était une punition bien assez désagréable qui l'attendrait probablement au retour chez ses grands-parents.
Elle se dirigeait lentement en suivant avec concentration le plan, elle arriva à la salle de cours, qui en traversant la porte ressemblait bien plus à une salle d'opéra qu'à autre chose, des milliers de chaises collées à chacune qui faisaient une demi-lune en face d'une petite scène ou se trouvait un tableau noir de trois mètres et un petit bureau, elle remarqua que plusieurs personnes avaient pris place et qu'un monsieur d'un certain âge était déjà en train de donner le cours.
Un silence de plomb régnait dans la salle et quand la porte se ferma, elle fit un bruit bien nette, le monsieur se fit couper dans son cours et se retourna avec une craie dans la main et leva la tête sur la personne qui venait si brusquement l'interrompre dans son dialogue, les étudiants qui étaient présents la fixait avec des regards de reprochent, les autres personnes écrivaient à la va-vite les dernières notes dites oral et ne s'occupait pas de l'élément perturbateur.
Pendant ce temps le professeur avait c'était avancé à son bureau avait posé sa craie et tenait maintenant une liste dans la main droite, la main gauche était occupée à remettre en place les lunettes qui portaient.
Il leva la tête sur Halloween et dit d'une voix grave et autoritaire.
olor=magenta]]"Je suppose que vous êtes miss Strue"dit il en la fixant [/size]
Halloween se sentait un peu remise en place et en même temps jugé par cet homme.
elle marmonna confuse " oui c'est moi, monsieur.."elle jeta vite un coup d'oeil au plan pour voir le nom du monsieur
" Monsieur whiteproot"dit elle d'un ton peu convainquant
L'homme qui la fixait toujours la reprenna assez vite et l'ordonna de s'asseoir.
"Ici miss je me nomme professeur whiteproot et non monsieur assiez-vous "dit il en lui montrant une chaise libre pas loin d'elle au troisième rang en dessous.
Halloween de répondit pas et se dirigea vers la chaise en question.
Halloween se fit tout de suite interrogée par l'homme qui semblait ne pas comprendre comment une môme de quinze ans pouvait suivre un cours d'un degré d'un brevet.
" miss Strue pouvez-vous me résumer brièvement l'historique du réchauffement climatique "demanda t-il soudainement
Halloween qui était occupé à prendre son bloc-notes et un stylo dans son sac, leva brusquement la tête gênée.
Elle le regarda bêtement avant de retrouver sa petite langue de vipère, elle se força de lui répondre d'une voix légèrement tranchante qu'elle ne pouvait pas le réciter.
"Je ne peux pas mons... professeur je n'en sais rien"dit elle en le fixant
Le monsieur sourit avant de répondre du tac au tac.
[size=12]" Demain essayer d'être à l'heure comme cela vous pourriez sûrement réciter le début du cours"dit il en se tournant vers leur reste de l'assemblée [/size]
" Quelqu’un pourrait réciter le début du cours à miss Strue si vous plait " dit il en retournant vers le tableau, craie à la main.
Une jeune étudiante leva la main et le professeur lui donna la permission de commencer son récit.
"Le réchauffement climatique, également appelé réchauffement planétaire ou réchauffement global [1], est un phénomène d'augmentation de la température moyenne des océans et de l'atmosphère, à l'échelle mondiale et sur plusieurs années. Dans son acception commune, ce terme est appliqué au changement climatique observé depuis environ vingt-cinq ans, c'est-à-dire depuis la fin du XXe siècle. La plupart des scientifiques attribuent à ce réchauffement global une origine en grande partie humaine. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) est chargé d'établir un consensus scientifique sur cette question. Son dernier et quatrième rapport, auquel ont participé plus de 2 500 scientifiques de 130 pays différents[2], affirme que la probabilité que le réchauffement climatique soit d'origine humaine est de plus de 90%[3]. Cette thèse est néanmoins encore contestée par une minorité de scientifiques.
À l'intérieur des grandes fluctuations climatiques qu'a connues la Terre, on trouve des variations plus brèves et plus limitées en intensité. Ainsi, au cours du dernier millénaire, on a pu voir apparaître une période chaude aux Xe et XIe siècles appelée « optimum climatique médiéval » : c'est l'époque où les navigateurs vikings découvrent et baptisent le Groenland (littéralement «Pays vert») et fondent des colonies à l'extrême sud de l'île. De même, l'époque des Temps Modernes (1550-1850) connut une période de refroidissement que les historiens appellent le « petit âge glaciaire ». C'est au cours de cette période plus froide que l'on retrouve les hivers les plus rigoureux, notamment le terrible hiver 1708-1709[6]. Selon les reconstitutions de températures réalisées par les climatologues, la dernière décennie du XXe siècle et le début du XXIe siècle constituent la période la plus chaude des deux derniers millénaires (voir graphique). Notre époque serait en effet plus chaude de quelques dixièmes de degrés par rapport à l'optimum climatique médiéval."fini t elle en souriant
Elle termina sur une slave d'applaudissement des autres étudiants et un remerciement du professeur.
"merci dola, pour se récit sans fausse note comme toujours"dit il en souriant
Halloween ne pouvait se retenir de penser au fond d'elle que cette étudiante moldue ressemblait à Aelita, un vrai moulin à parole, dévoreuse de bouquin. |
| | | | Halloween Strue
Parchemins : 919 Âge : 34 ans Actuellement : Infirmière Points : 0
Ξ Sujet: Re: université de Londre (colle) Jeu 24 Juil - 15:10 | |
| Le profeseur prévena les étudiants de bien prendre note du prochain passage en raison que c'était quelque chose d'important pour le brevet.
" miss et monsieur le prochain passage vous devriez prendre des notes, c'est dans vos examens " dit il en se mettant à réciter ses notes d'une voix portant, mais soporifique quand même.
"Les mesures terrestres de température réalisées au cours du XXe siècle montrent une élévation de la température moyenne. Ce réchauffement se serait déroulé en deux phases, la première de 1910 à 1945, la seconde de 1976 à aujourd'hui. Ces deux phases semblent séparées par une période de léger refroidissement. Ce réchauffement planétaire semble de plus corréler avec une forte augmentation dans l'atmosphère de la concentration de plusieurs gaz à effet de serre, dont le dioxyde de carbone, le méthane et le protoxyde d'azote.
L'élévation de la température moyenne du globe entre 1906 et 2005 est estimée à 0,74°C (à plus ou moins 0,18°C près), dont une élévation de 0,65°C durant la seule période 1956-2006[7].
Plusieurs changements ont été observés dans le monde qui semblent cohérents avec l'existence d'un réchauffement climatique planétaire. Il faut cependant noter que le lien entre ce réchauffement et les observations faites n’est pas toujours établi de façon sûre. En France c'est l'ONERC qui coordonne les observations.
Le climat. Selon le troisième rapport du GIEC, la répartition des précipitations s'est modifiée au cours du XXe siècle. En particulier, les précipitations seraient devenues plus importantes aux latitudes moyennes et hautes de l'hémisphère nord, et moins importantes dans les zones subtropicales de ce même hémisphère. D'autres experts estiment toutefois les données actuelles trop rares et incomplètes pour qu'une tendance à la hausse ou à la baisse des précipitations puisse être dégagée sur des zones de cette ampleur [9]. On observe également depuis 1988 une diminution notable de la couverture neigeuse printanière aux latitudes moyennes de l'hémisphère nord. Cette diminution est préoccupante car cette converture neigeuse contribue à l'humidité des sols et aux ressources en eau [7]. La fonte de portions de banquise. Plusieurs études indiquent que les banquises sont en train de se réduire. D'une part des observations satellites montrent que ces banquises perdent de la superficie dans l'océan Arctique [10]. D'autre part, un amincissement de ces banquises, en particulier autour du pôle nord, a été observé [11]. D'après les équipes scientifiques travaillant sur ce sujet, cette diminution est due au réchauffement planétaire. Le Groenland a vu ses glaciers se réduire de 230 à 80 milliards de tonnes par an de 2003 à 2005, ce qui contribuerait à 10% de l'élévation du niveau des mers [12]. La réduction de l'étendue moyenne de la banquise arctique depuis 1978 est de l'ordre de 2,7% par décennie (plus ou moins 0,6%), son étendue minimale en fin d'été diminuant de 7,4 % par décennie (plus ou moins 2,4%) [7]. En Antarctique, 3 500 km2 de la banquise Larsen B, (l'équivalent en surface des deux tiers d'un département français), se sont fragmentés en mars 2002, les premières crevasses étant apparues en 1987. Cette banquise était considérée comme stable depuis 10000 ans [13].
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| | | | Halloween Strue
Parchemins : 919 Âge : 34 ans Actuellement : Infirmière Points : 0
Ξ Sujet: Re: université de Londre (colle) Jeu 24 Juil - 15:11 | |
| Le recul des glaciers de montagnes. À de rares exceptions près [14], l'ensemble des glaciers montagnards étudiés sont en phase de recul. Les glaciers de l'Himalaya reculent rapidement et pourraient disparaître dans les cinquante prochaines années, selon des experts réunis à Katmandou pour une conférence sur le réchauffement climatique le 4 juin 2007. Les températures dans cette région ont crû de 0,15 °C à 0,6 °C tous les 10 ans au cours des 30 dernières années. De nombreux travaux [15] documentent ce recul et cherchent à l'expliquer. Un tel recul semble tout à fait cohérent avec un réchauffement du climat. Mais[réf. nécessaire] cela a déjà existé par le passé : par exemple le recul actuel de la mer de Glace à Chamonix découvre des vestiges humains du Moyen Âge, preuve que le glacier a déjà fondu davantage que de nos jours à une période historiquement proche. De même[réf. nécessaire], l'étude détaillée de certains glaciers montre que de nombreux facteurs interviennent, comme les précipitations ou le phénomène El Niño, qui ne sont pas nécessairement directement liés au réchauffement planétaire actuel. Il faut enfin souligner la quasi-absence de données sur les glaciers himalayens. Par exemple, il n'existe de données fiables que sur 50 glaciers indiens, sur plus de 9 500[16]. Les pratiques agricoles. Le climat, et en particulier les températures, ont un effet sur la date des récoltes agricoles. Dans de nombreux cas les dates de vendanges sont régulièrement avancées, comme en Bourgogne [17]. De plus ces phénomènes peuvent être décrits sur plusieurs décennies car ces dates de vendanges ont été consignées dans le passé et archivées. De tels documents sont utilisés pour déterminer les températures à des périodes où les thermomètres n'existaient pas ou manquaient de précisions. Un réchauffement climatique depuis le XXe siècle est clairement décrit par l'étude de ces archives.
Cyclones, typhons. Une étude[18] publiée en 2005 et remise en question depuis par une seconde étude, montre que l'intensité des cyclones aurait globalement augmenté entre 1970 et 2004 alors que le nombre total de cyclones aurait globalement diminué pendant la même période. Selon cette étude, il est possible que cette augmentation d'intensité soit liée au réchauffement climatique, mais la période d'observation est trop courte et le rôle des cyclones dans les flux atmosphériques et océaniques n'est pas suffisamment connu pour que cette relation puisse être établie avec certitude. La seconde étude publiée un an plus tard montre quant à elle que l'intensité des cyclones n'aurait pas augmenté de façon significative depuis 1986[19]. Aires de répartition. Plusieurs équipes de chercheurs ont observé une modification de l'aire de répartition de différentes espèces animales et végétales. Dans certains cas, en particulier lorsque cette aire se déplace vers le nord ou vers de plus hautes altitudes, le réchauffement climatique planétaire est parfois proposé comme cause de ces modifications. Par exemple, l'extension actuelle de l'aire de répartition de la chenille processionnaire du pin pourrait être due au réchauffement climatique [20]. Élévation du niveau de la mer Le réchauffement des océans et l'élévation du niveau de la mer. On observe un réchauffement des océans, qui diminue avec la profondeur. On estime que les océans ont absorbé à ce jour plus de 80% de la chaleur ajoutée au système climatique [7]. Ce réchauffement entraîne une dilatation thermique des océans et une montée du niveau de la mer. Différentes données obtenues à l'aide de marégraphes et de satellites ont été étudiées. Leur analyse suggère que le niveau de la mer s'est élevé au cours du XXe siècle de plusieurs dizaines de centimètres, et qu'il continue à s'élever régulièrement [21]. Cette élévation du niveau de la mer peut aussi être observée indirectement par ses conséquences sur l'environnement, comme c'est le cas au Nouveau-Brunswick " disait il en marchant de droit à gauche, en tenant le livre d'une main et tout en écrivant des trucs au bureau de l'autre de temps quand il s'arrêtait devant le tableau
"Selon la grande majorité des scientifiques, le réchauffement climatique est largement attribué à un effet de serre additionnel, dû aux rejets de gaz à effet de serre et principalement les émissions de CO2, à cause des activités humaines. Les concentrations actuelles de CO2 dépasse de 30% celles de l’ère préindustrielle, et celles de méthane sont deux fois et demi supérieures. L’origine humaine des gaz à effet de serre est avérée par leur concentration élevée au-dessus des zones très peuplées de l’hémisphère nord, et par leur analyse isotopique qui met en évidence leur origine fossile [7]. Des experts du GIEC ont confirmé le 2 février 2007 que la probabilité que le réchauffement climatique soit dû à l’activité humaine est supérieure à 90% [3]. Leurs conclusions sont tirées des résultats d’expériences avec des modèles numériques. En particulier, l’augmentation de la température moyenne mondiale depuis 2001 est en accord avec les prévisions faites par le GIEC depuis 1990 sur le réchauffement induit par les gaz à effets de serre. Enfin, un réchauffement uniquement dû à l’activité solaire n’expliquerait pas pourquoi la troposphère voit sa température augmenter et pas la stratosphère [7]" disait il en stoppant sa marche et en faisant un pause pour recommencer de plus belle
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| | | | Halloween Strue
Parchemins : 919 Âge : 34 ans Actuellement : Infirmière Points : 0
Ξ Sujet: Re: université de Londre (colle) Jeu 24 Juil - 15:12 | |
| "L’hypothèse d’un lien entre la température moyenne du globe et le taux de gaz carbonique dans l’atmosphère a été formulée pour la première fois en 1894 par Svante Arrhenius. Mais c’est en 1979, lors de la première conférence mondiale sur le climat, à Genève, qu’est avancée pour la première fois sur la scène internationale l’éventualité d’un impact de l’activité humaine sur le climat ,L’effet de serre est un phénomène naturel. Ce phénomène piège une partie du rayonnement infrarouge émis par la Terre vers l’atmosphère terrestre. Ceci est du aux gaz dits « à effet de serre », qui augmentent ainsi la température de la basse atmosphère (troposphère). Ces gaz sont essentiellement de la vapeur d'eau, et une infime partie est d’origine humaine. Sans cet effet, la température de surface de la Terre serait en moyenne de 33 °C plus faible, soit -18 °C. Actuellement ce phénomène naturel se renforce car la quantité de gaz à effet de serre a augmentée ces dernières années, en particulier le CO2, naturellement en très faible concentration dans l’atmosphère par rapport à la vapeur d’eau ou au diazote (N2). Cela a pour conséquence de déséquilibrer le bilan radiatif de la Terre. Cette augmentation des quantités de gaz à effet de serre est due à la combustion de matière carbonée fossile. Cela a été prouvé par l’étude isotopique du carbone dans l’air.
Selon les conclusions des scientifiques du GIEC dans leur rapport de 2001[24], la cause la plus probable de ce réchauffement dans la seconde moitié du XXe siècle serait le « forçage anthropique », c’est-à-dire l’augmentation dans l’atmosphère des gaz à effet de serre résultant de l’activité humaine. Il est prévu que le réchauffement planétaire se poursuive au cours du XXIe siècle mais l’amplitude de ce réchauffement est débattue. Selon les hypothèses retenues et les modèles employés, les prévisions pour les 50 années à venir vont de 1,8 à 3,4 °C." ¨
Halloween c'était redressée de toute sa splendeur, elle écoutait attentivement cette homme qui lui avait appris que c'était les moldus et les sorciers qui étaient la cause des problèmes de la terre. C'était imaginable, mais pourtant vrais.
"Pour les climatologues regroupés au sein du GIEC[33] (IPCC en anglais), l'augmentation des températures va se poursuivre au cours du XXIe siècle. L'ampleur du réchauffement attendu le plus probable est de 1,8 à 3,4 degrés Celsius.
Les incertitudes quant à l'ampleur du réchauffement attendu ont deux sources :
les incertitudes liées aux modèles ; et les incertitudes sur le comportement de l'humanité au cours du XXIe siècle. Afin de prendre en compte ce dernier paramètre dans leurs prédictions, les climatologues du GIEC ont utilisé une famille de 40 scénarios d'émission de gaz à effet de serre détaillés dans le SRES (Special report on Emission Scenarios, Site Web en anglais). Dans certains scénarios, la croissance de la population humaine et le développement économique sont forts, tandis que les sources d’énergie utilisées sont principalement fossiles. Dans d’autres scénarios, un ou plusieurs de ces paramètres sont modifiés, causant une moins forte consommation des énergies fossiles, et une moins forte production de gaz à effet de serre. Les scénarios utilisés comme hypothèse de travail pour l’élaboration du troisième rapport du GIEC (2001) ne prennent pas en compte l’éventualité d’une modification intentionnelle des émissions de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale. Les incertitudes liées au fonctionnement des modèles sont mesurées en comparant les résultats de plusieurs modèles pour un même scénario, et en comparant les effets de petites modifications des scénarios d’émission dans chaque modèle.
Les variations observées dans les simulations climatiques sont à l'origine d'un éparpillement des prévisions de l'ordre de 1,3 à 2,4 degrés, pour un scénario (démographique, de croissance, de « mix énergétique mondial », etc.) donné. Le type de scénario envisagé a un effet de l’ordre de 2,6 degrés sur le réchauffement climatique simulé par ces modèles et explique une bonne partie de la marge d’incertitude existant quant à l’ampleur du réchauffement à venir.
Les prévisions d'augmentation de température pour l'horizon 2100 données par le GIEC (SPM du AR4 2007) s'échelonnent de 1,1 à 6,3 °C. Les experts du GIEC affinent leurs prévisions en donnant des valeurs considérées comme « les meilleures estimations », ce qui permet de réduire la fourchette de 1,8 à 4,0 °C. Et en éliminant le scénario A1F1, considéré comme irréaliste, l'augmentation de température serait comprise entre 1,8 et 3,4 °C." finit il
Il dit quelques trucs sans grand importance pour Halloween. Elle se précipita en dehors quand le professeur leur donna congé pour aller raconter à sa mère, ce qu'elle avait apprit.
(hj: voila fini la colle bonne lecture ) |
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