Rencontre salvatrice [PV Ange] (Fini^^)

Les cachots vastes repères voir même très vaste repères de serpent. Voila deux mois et demi que Wyatt était arrivé à Poudlard…et c’était un plan flécher qu’on aurait du lui donner à l’entrer. Il cherchait fatalement sa salle commune, comment se faisait il que les cachots soit aussi grand. Il avait pourtant prit soin de noter mentalement, à quoi ressemblait le tableau qui donnait accès à la salle…mais il ne le trouvait nulle part. D’habitude il s’arrangeait pour s’y rendre avec quelqu’un mais il avait oublié son écharpe et devait se rendre du coté, du lac…il était donc descendu seul et c’était…Perdu.

Le blondinet regarde à droite : un long couloir sans fin et sans porte, à gauche : pareil et devant et derrière lui pareil….il était tombé sur un croisement qui menait nul par si ca se trouve, il allait prendre à droite et allait revenir pas le couloir de gauche actuel. Il pesta mentalement, quel fléau cette école…pourquoi avait-il changé d’école ? Ah oui sa stupidité et sa blague idiote. Il était tout de même fier de lui, il avait réussit a fait sortir son père de ses gons au point qu’il en avait prit des décisions radical. Il se souvenait encore de sa tête dans le bureau de son ancien directeur et rit tout seul au milieu de nul pars. Les yeux de son père avaient était révulsés tellement l’homme avait été ulcéré par sa nouvelle bêtise. Il se rappeler qu’il l’avait trainé dans les couloirs de Durmstang pendant un long moment en hurlant à tout vas qu’il l’avait prévenu…Et qu’il ne savait plus quoi faire de lui et de son imbécilité.

Une expression moldue disait tous les chemins mènent à Rome, alors le jeune homme se décida à aller tout droit, il finirait surement par trouver ce qu’il cherchait ou au moins reconnaitre un coin ou au mieux retrouver la classe de potion, delà il savait à peut prés ou aller. Qu’est ce qu’il ne donnerait pas pour un parcours flécher. Il s’avançait dans le couloir, il faisait sombre et froid comme toujours dans les cachots au moins ca ne changeait pas trop de son ancienne école. Il finit par trouver un autre croisement qu’il n’avait pas encore passé du moins il l’espérait secrètement. La, la lumière était un peu plus vive, et de loin il repéra quelque chose qui bougeait.

Surement un élève pas que l’a silhouette en avait la taille. Plus il s’avançait plus il distinguait nettement qu’il s’agissait effectivement d’un élève, enfin d’une élève pour être exacte. Une jolie petite brune de sa maison qu’il avait déjà croisée plusieurs fois dans la salle commune. Il l’avait trouvé très jolie la première fois et cela n’avait pas changé. Il s’avança vers elle peut être aurait elle l’amabilité de l’aider à trouver la salle commune. Il pour ainsi en profiter pour discuter un peu avec elle et la connaitre un peu plus…enfin si celle-ci n’était pas trop de mauvaise humeur.

« Dis peux tu m’indiquer la salle commune ? »

Journée habituelle. Journée d’un ennui oppressant. Comme d’ordinaire, Ange s ‘était levée tôt le matin parmi le souffle régulier de la respiration de ses camarades de dortoir encore perdues dans les brumes délicates de leurs rêves. Comme d’ordinaire, elle avait pris avec elle ses vêtements et ses affaires de toilette, pour ensuite se retrouver sous le jet d’eau brûlant d’une douche. Se savonner, se rincer, se sécher, se brosser les dents, s’habiller… Une chaîne d’actions successives formant une routine inévitablement agaçante. C’était ce qui faisait qu’un jour pouvait être ennuyeux au plus haut point. Comment éviter cela cependant ? C’était donc ça la vie ? Dormir, se réveiller, manger, travailler, manger, dormir,… Et ainsi de suite. Voilà à quoi se résumait l’existence minable d’un homme. Se tuer à la tâche pendant toute une jeunesse pour quoi ? Pour ne rien vivre d’intéressant au final. Bien sûr, il y avait les chanceux qui pouvaient se permettre les grands frissons, les grandes joies de la vie, faire ci et ça, aller ici ou là, là bas le mois prochain sans doute, avec lui et elle, peut-être pas elle finalement… Une routine incessante qui n’arrangeait rien à l’humeur déjà fort peu engageante de la jeune Serpentard. Personne n’osait venir lui parler, personne n’osait venir l’enquiquiner. Tant mieux mOn Dieu, elle se réjouissait de l’intelligence soudaine dont les élèves qui l’entouraient pouvaient faire preuve. C’était tout de même rassurant quant à l’être humain. Cela prouvait que personne ne pouvait être TOTALEMENT idiot. Heureusement, il existait toujours cette petite voix raisonnable dans notre petite tête pour mieux nous guider dans nos choix et actes. En ce moment, cette petite voix se manifestait surtout sous un certain instinct de survie. Tout le monde se méfiait de tout le monde et c’était pitoyable. Pitoyable à quel point les notions d’une soit disant solidarité et amitié pouvaient s’envoler aussi rapidement que le ressac d’une mer enragée. Une soit disant amitié… Les gens étaient des caméléons qui changeaient d’attitude envers les autres fort vite en fonction des évènements qui se déroulaient. Les gens étaient comme l’océan ; bleu quand le ciel était dégagé, grisâtre et zébré lorsqu’une tempête déchaînée nous menaçait de sa venue imminente. Les gens étaient lamentables. Lamentables mais intéressants tout de même. C’est étonnant comment telle ou telle situation pouvait jouer sur le comportement de certaines personnes. Etonnant oui. Et c’est ainsi que le vrai visage de personnes qu’on croyait connaître est dévoilé au grand jour. Il suffit d’un infime détail… Bon c’est vrai que l’infime détail était tout de même Voldemort et ses disciples. N’empêche… C’est là qu’on s’aperçoit que l’honnêteté n’existe pas vraiment, à quelques exceptions près. Là, d’un coup, paf ! Plus rien. On se retrouve seul et on n’a plus d’amis. L’Homme pouvait se montrer tellement hypocrite. Ça en devenait écœurant, vraiment. Trop mièvre, trop factice. Un film à l’eau de rose, fin tragique et un roman des plus inintéressants. Parce que oui, la jeune Serpentard voyait la vie comme un livre ou un film. Un film en noir et blanc et dont le son restait pertinemment inexistant. Un bouquin dans lequel les pages étaient déchirées ici et là, usées par le temps et gorgées de secrets encore inconnu aux yeux de l’être humain. Sa vie à elle était un drame. Un vrai film dramatique qui commençait mal, se déroulait mal, et finirait sans doute mal. Un livre que personne n’aurait envie de lire. La couverture serait que trop peu engageante. D’ailleurs, il serait illisible. Voilà ce qu’était Ange, insaisissable, indéchiffrable, sombre, incompréhensible et solitaire. Solitaire comme elle l’était en cet instant même d’ailleurs. Là, dans la pénombre peu rassurante des cachots. Peu rassurant pour qui n’était pas à Serpentard. Un petit Poufsouffle ferait certainement une crise cardiaque en se promenant ici. Quant à notre petite poupée de glace, elle aimait ces lieux. Ils étaient souvent calmes, les élèves ne s’attardaient pas généralement, ils préféraient rejoindre la salle commune. Il faisait froid, très froid… Elle restait cependant insensible à cette sensation désagréable. Elle pensait à autre chose. À quelqu’un de plus important qu’un peu de fraicheur. À quelqu’un qu’elle avait tant aimé, et qui avait disparu trop vite… Elle ne s’était jamais sentie vraiment seule, cependant, la solitude commençait à la ronger depuis que Sean était mort. Au moins, elle savait que quelqu’un l’attendait quelque part. Que quelqu’un pensait à elle et tenait à elle. Qu’elle avait une personne à qui écrire et en qui avoir une confiance absolue. Juste un frère qui était pourtant toute sa vie. Rah nan… Ne pas y penser, et puis ça ne servait à rien de se lamenter. Oui. Elle devait avancer. Montrer à son père qu’il pouvait toujours rêver pour qu’elle sa rapproche de lui faute d’une tristesse trop importante. Jamais. Ignoble, il tire un espoir du désespoir de ce petit ange noir égaré. Odieux personnage ne s’approchera plus jamais de cette petite fille à moins de dix mètres. Du moins valait-il mieux… Cet homme était écœurant, repoussant… Enfin. La jeune fille secoua la tête pour chasser ces sombres pensées de son esprit embrumé. Elle se sentait étrangement bien en cet endroit. Elle n’aurait su vraiment dire pourquoi. Ce n’était pas important de savoir le pourquoi du comment tant qu’elle était aussi sereine. Un calme apaisant régnait et les faibles lueurs éclairant les cachots qui dansaient sur les murs étaient hypnotiques. Elles se reflétaient vivement dans les immenses yeux châtaignes de la Serpentard, telles de petites étoiles éternelles dans un océan obscur. Elles scintillaient et dansaient sans ne plus s’arrêter. Danser, danser… Des rires cristallins retentirent contre les parois des cachots et vinrent désagréablement taquiner les oreilles de la jeune Davis. Il ne manquait plus que ça…

« Non mais tu te rends compte ?! IL m’a demandé… IL m’a proposé d’aller au bal avec LUI !!! Il est trop cra-quant.
- De ce côté-là, je n’ai pas à me plaindre moi non plus ! Mike est LE garçon LE PLUS mignon de Poudlard et c’est avec MOI qu’il ira au bal.
- Mike ? LE plus mignon ?! Il ne faut pas exagérer ma cocotte, le plus beau c’est DRA-GO ! J’aurais telle-ment voulu qu’il ME choisisse.
- On peut toujours rêver. Et puis Pansy n’est jamais très loin, prête à mordre qui s’approchera trop près de sa proie…
- Elle me fait pitié… Et tu sais… Oh ! Tiens ! Qui voilà. Davis.

Ange les toisa avec un mépris non-dissimulé. Le fait que ces deux filles appartiennent à la même maison que la sienne ne changeait rien à son comportement distant et antipathique. Les deux demoiselles la fixèrent un petit moment, n’étant visiblement pas décidée à poursuivre leur chemin. Quoi ?! Qu’attendaient-elles ? Que lui voulaient-elles donc ? Une photo’ peut-être ? Qui sait… Elles éclatèrent soudainement de rire, le regard moqueur. Complètement atteintes, c’était effarant… Notre petite poupée resta de marbre face à cette évidente provocation. Elle les plaignit intérieurement d’être tant dénuées d’intelligence. Ce n’était pas de leur faute après tout, les pauvres. Elles finirent enfin par se remettre en route, s’engageant dans la direction qui les mènerait sans aucun doute vers la salle commune des jeunes serpents. Notre petite sorcière crut en entendre une s’amuser du fait qu’elle serait sûrement seule au bal, et qu’il serait très agréable de la voir très laide dans une robe de soirée sans personne à son bras qui plus est. Ange soupira. Pourquoi l’Homme… Non, plutôt comment l’Homme avait-il pu évoluer de la sorte ? C’était… stupéfiant, honteux. Ces pimbêches osaient lui assurer qu’elle était laide alors qu’elles se cachaient sous une tonne de peinture. Elles n’avaient pas l’air de comprendre non plus que la brunette faisait partie des personnes qui se fichaient littéralement de ce bal comme de la marque de shampoing qu’utilisait le bon vieux professeur Rogue. Que nenni, la comparaison était encore que trop faible. Le bal, le bal, le bal… Les filles n’avaient que ce mot à la bouche. Toutes espéraient trouver un sublime cavalier et devenir princesse l’espace d’une soirée. En cette période, les jeunes hommes étaient considérés comme de vulgaires morceaux de viande plus ou moins appétissants. Les belles sorcières devenaient gloutonnes. La gourmandise est un vilain défaut. Et puis, à force d’abuser de bonnes choses, on finissait par s’en lasser bien assez vite. Ange n’avait pas ce problème de cavalier, il était évident qu’elle n’irait pas à ce bal, inconcevable qu’elle y aille. D’ailleurs, aucun garçon ne semblait enclin à inviter cette fille ironique, froide et dangereusement ennuyeuse. Elle ne l’était pas, elle le paraissait. Nuances. M’enfin, elle avait hâte que ces festivités prennent fin bien qu’elle ne serait pas de la partie. L’animosité, l’excitation, les préparations… Tout ça commençait à l’agacer sérieusement. Chaque fille voulait être la plus belle, elles étaient toutes très repoussantes, du moins, celles qui étaient gluantes de fond de teint et autres coquetteries. D’autres avaient un charme naturel qui les rendait tout bonnement sublime. Les garçons quant à eux feignaient la désinvolture, mais on le savait toutes… Qu’ils étaient aussi nerveux que lors des examens de fin d’année. Ils seraient tous très élégants, tenue décontractée sans l’être de trop. Musique, musique, musique… C’était la seule chose qui pourrait la traîner jusqu’à ce bal. Noël approchait, trop vite. Finalement, elle se demandait si elle ne ferait pas mieux de rentrer chez elle pour ces vacances, uniquement celles-ci. Juste histoire d’accepter l’argent que son géniteur lui offrirait pour s’acheter cet appareil photo’ duquel elle était tombée amoureuse durant cet été. Elle l’avait aperçu dans la vitrine d’un magasin moldu. Aussi, depuis, elle rêvait de l’avoir. Elle voulait s’essayer à un nouvel art, autre que le dessin ou l’écriture. La photographie. Un moyen magnifique de s’exprimer. Capturer les moments uniques d’une vie pour se rappeler plus tard… Se souvenir, en rire ou en pleurer. Graver les images de l’existence sur une simple pellicule. Elle était décidée. Cet appareil, ce bijou en valait la peine. On n’a rien sans rien. Elle devait faire ce sacrifice. Rien que le temps de tendre la main et de prendre l’argent. Tant pis pour sa fierté. Tant pis. Elle voulait… Elle DEVAIT évoluer. Pour Sean, pour elle, pour montrer à son stupide géniteur ce dont elle était capable. Sa fille, sa petite fille dont il ne serait jamais fier en tant que père. Il ne l’était pas, il ne le serait jamais. Cette ordure. Un sourire narquois vint étirer les fines lèvres carmines de la jeune sorcière, une étincelle de triomphe malsain et de vile malice brillant dans son regard encore voilé il y a quelques secondes. Elle allait se servir de cet infâme personnage qui lui servait de paternel. Pour une fois dans sa vie, elle allait donner de l’importance à de l’argent. Celui-ci aura une douce saveur de vengeance. Elle frémit à cette simple idée. Elle n’en resterait pas à là. Non… Il fallait qu’elle réfléchisse…
« Dis peux-tu m’indiquer la salle commune ? » La jeune Serpentard tourna un regard peu amène vers son interlocuteur. Il venait de la sortir de songes importants, elle détestait cela. Elle le détailla pendant bien une trentaine de secondes. Un jeune homme de sa maison évidemment. Elle tenta de mettre un nom sur ce visage familier. Bien sûr, elle l’avait déjà croisé. Whyatt Stones. Un nouveau débarqué fraîchement cette année. Si sa mémoire était bonne, il arrivait de Durmstang. Difficile de garder son identité secrète quand près de la moitié des filles de Poudlard bavaient sur son passage. Il était pas mal convoité [ Miam de la viande fraîche xD ] et elle avait du mal à comprendre pourquoi. Il était certes des plus charmants, mais c’était un garçon comme les autres. Ils étaient tous pareils. Et les filles n’étaient pas bien meilleures. Enfin. Alors comme ça, il ne réussissait pas à se repérer… Un chemin ça s’apprend, ou alors si on a la mémoire courte, on en fait un plan. Manque de bol, il venait de tomber sur la vipère la moins encline à aider qui que ce soit sur cette noble planète. Elle resta tout simplement appuyée contre le mur froid du couloir dans lequel se trouvaient les deux adolescents. Si elle l’ignorait, il resterait sûrement ici. Or, elle voulait être seule.

« C’est étrange, je ne m’en souviens plus. »

Ainsi, il continuerait sans doute ses recherches, loin d’elle, loin de cet endroit et quelqu’un finirait bien par avoir la gentillesse et l’extrême générosité de le renseigner. Ce quelqu’un ne serait pas Ange Davis. La gentillesse, la générosité ? Elle ne connaissait pas et ces mots ne faisaient aucunement partie de son dictionnaire. Elle ferma les yeux, prête à se perdre à nouveau dans les brumes de ses pensées.

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Il ne bougea pas en attendant sa réponse. De toute façon il pouvait imaginer qu’elle ne lui répondrait pas c’était comme ca dans cette maison mais bon il ne dirait rien parce que lui aurait carrément passé son chemin sans même prêter attention à la question. Mais Ange c’était tout de même arrêter. Il l’observa, elle et ses cheveux bruns un peu en bataille, son sourire en coin narquois, une dégaine bien à elle. Il sourit à son tour, de son petit sourire en coin et moqueur. Il n’était pas facile de venir dans une nouvelle école et encore moins de faire des connaissances, en plus il ne s’y sentait pas vraiment bien et préférait la solitude des couloirs ou du parc plutôt que de fréquenter sa maison ou sa salle commune.

Mais le calvaire c’était la grande salle, bien trop de monde, et de bruit. Bref mieux vaut être seul que mal accompagner, non ? Elle lui dit que bizarrement elle ne s’en rappelait plus. Il rit discrètement, elle se moquait de lui, il la trouva charmante. Cette fille ne se laissait pas faire, elle était sournoise, manipulatrice et froide. Donc elle lui plaisait….et pourtant il était du genre difficile et n’aimait pas s’attacher aux gens, au il n’était pas attacher à la jeune fille il ne la connaissait pas mais s’il ne faisait pas attention cela risquait d’arriver. Et il ne voulait pas s’encombrer mais il aimait jouer et quoi de plus naturel à son âge de jouer avec une personne du sexe opposer, le seul hic ne pas s’attacher…..mais bizarrement ce n’était pas gagné avec elle, elle avait donné une bonne trop bonne impression à Wyatt et plus elle se montrerait méchante plus il s’attacherait (qui a dit maso ?)

« Ah bon ca m’étonne pour quelqu’un la depuis au moins trois ou quatre ans…..mais peut être que tu as une mémoire de poisson rouge ? Tu as pensé à changer de cerveau. »

Il garda son sourire de toute façon comment pourrait il en être autrement, sa morosité c’était changer en une soudaine envie de la connaitre…peut être était il bien maso. Il repensa qu’on était proche de noël, aller savoir pourquoi un père noël lui traversa l’esprit surtout que c’était compte bien moldu qui était fait pour faire patienter les enfants jusqu’au lendemain histoire que les parents est la paix en attendant. Qui disait noël disait bal comme dans toute les écoles, c’était une « tradition plutôt idiote à laquelle les élèves féminins surtout prenait par avec un "certain plaisir. Puis qu’il était nouveau et qu’il connaissait personne et surtout parce qu’il n’aimait pas trop se mêler à la foule, il c’était dit qu’il n’irait pas mais la jeune fille en face de lui n’était pas du genre à aller au bal et cela le fit sourire un peu plus. Il avait une idée et il ne lui laisserait pas vraiment le choix.

« Bien mademoiselle Davis devant cet entrain je me dois de te dire que je t’attends à 20h le soir du bal dans le hall ….et ne soit pas en retard. Bon je vais bien finir par la retrouver …Cette salle commune. »

» Pas un ange (PV)
» L'Ange Blessé [PV]
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» D'une poupée à un ange [3]
» D'une poupée à un ange [bis]