*Jonathan était enfin arrivé a Poudlard pour sa première année en tant qu'élève de cette somptueuse école de Magie. Il avait quitté l'orphelinat moldu lorsqu'il eut prit connaissance de la lettre et de ses fournitures, il savait que, depuis toujours, il aurait été contacté par la Magie elle même. Après avoir bouclé ses valises, vidé un peu d'argent familial pour les fournitures, et acheté ce qui avait été nécessaire, il avait quitté Londres avant de rejoindre le Poudlard Express.*
*Arrivé a l'école, il avait rejoint les premières années, et lors de sa répartition, avait été accepté parmi les fourbes Serpentards. Chose qui lui irait comme un gant au vu de ses gouts et de ses pensées anti moldues et autres collaborateurs avec les sans magie. Suivant les autres nouveaux, il prit exemple sur un élève plus grand en appelant un elfe de maison. Jonathan lui montra les valises.*
- "Occupe toi de mes affaires, minable !"
*L'elfe acquiesçât sans mot dire, geignant légèrement, portant les valises dans le dortoir des premières années. Jonathan en profita alors pour se tourner vers les autres membres de sa maison. Se mettant dans un coin, il observait, robe de sorcier fermée, regard inquisiteur. Il dévisagea les nouveaux comme lui. Un gamin roux pleurait car il voulait sa maman, deux autres qui avaient l'air complètement perdus dans ce nouvel univers, quatre autres qui jouaient avec leurs baguettes comme avec des épées. Jonathan soupira, il savait que la plupart n'avait pas encore une maturité assez élevée, ce qui était dommage dans un certain sens. Comment des gamins pouvaient t'ils endossé cette responsabilité qui leur incombaient de faire gagner des points a leur Maison sans briser leur comportement infantile ? Cela était illogique. Les enfants font toujours des bêtises, et cela pourrait nuire a l'image des élus de Serpentards. Jonathan resta dans un coin, il regarda quelques élèves qui allèrent se coucher mais lui resta encore un peu. Il commençait a bien aimer cette salle commune. Lugubre, sombre et surtout inhospitalière, ce vert mêlé au noir glaçait le sang, inspirant la peur, la peur ... Ce pouvoir presque ultime, en faisant peur, on s'octroyait la vie des personnes terrorisées. On faisait d'eux ce qu'on voulait. Tandis que Jonathan réfléchissait, une genèse commençât a s'écrire, celle d'un garçon au passé tourmenté qui allait peut être devenir quelqu'un de réputé dans cette école ...*