Oublie tes soucis. PV:Abbygail Erwind (et la bibliothècaire)

Cho s'était levé très tôt ce matin là. Plus exactement, 5:15. Elle était tellement stresser ces temps-ci. Ce qui fesait qu'elle était autant sur les nerfs c'est qu'il ne lui reste plus beaucoup de temps avant de partir de Poudlard; après la fin de l'année s'en serait fini pour elle de Poudlard. En plus elle voulait avoir un bon travail plus tard donc elle travaillait très dur à l'école. Ce matin-là elle s'était réveiller tôt pour aller à la bibliothèque. Et oui, la bibliothèque était un endroit que Cho avait souvent fréquenté pendant ces 6 années passer. À présent, elle profitait de chaque moment passer à Poudlard, les personnes autour d'elle se demandait souvent pourquoi elle était aussi nostalgique. Lorsqu'elle sortit de la tour des Serdaigle elle regarda partout atour d'elle pour être sur de ne pas oublier à quel point Poudlard était magnifique. Le problème dans tout ça était que Cho s'y prenait un peu trop à l'avance, il lui restait encore quelques mois d'école. En tout cas, elle passa dans les escaliers qui menait à la bibliothèque pui passa dans le couloir le plus éclairer de Poudlard, celui qui mène à la bibliothèque.

En arrivant à la bibliothèque, elle était seule. Personne n'allait à la bibliothèque à cette heure du matin. La bibliothèque était extrêment silencieuse. Même si Cho se forçait pour entendre un bruit, il n'y avait aucun bruit. Cho allat s'asseoir à sa table préféré. Celle qui est un peu plus petite, un peu plus vieille et un peu plus loin que les autres. Cho y était toujours assise seule, mais il y avait sans doute de la place pour trois personnes. Cho déposa ce qu'elle avait amener sur la table puis elle allat dans les rangées de livres pour trouver celui qui l'interesserait. D'habitude Cho connaissait tout les livres qu'elle voyait, mais cette fois-ci elle en vu un différent, elle ne lui avait jamais degné un regard. Pourtant il était vraiment différent des autres. C'était celui que tu ne pouvais pas manquer, celui qui avait un petit quelque chose de plus que les autres. Elle le prit puis allat se rasseoir. Le livre s'intitulait: Si Poudlard t'était raconté. Ce titre était comme un autre mais Cho le trouva sans doute attirant puisqu'elle ouvrit le bouquin. Les pages du livres étaient très vieilles, elles donnaient l'impression que si l'on les touchaient elles se déchireraient. Mais elles ne le firent pas. Cho lit la première phrase de la première page: Attention, seuls les finissants de Poudlard pourront lire ce livre, il ne devra sous aucun pretexcte atterir entre les mains de quelqu'un qui ne doit pas lire ce livre car cette personne en subira les conséquences.

Cho n'avait jamais vu un livre comme celui-là. Elle aurait du le voir aupparavant. Elle continu de le lire attentivement. Il parlait de tout les recoins de Poudlard mais avec plus de détails que les autres livres sur Poudlard qu'elle avait déjà lu. Il parlait même de la salle sur demande mais n'en dennait pas l'emplacement. Il y avait vraiment quelque chose de magique dans ce livre. Cho oubliait tout ses problèmes lorsqu'elle le lisait. Elle ne pouvait plus en détacher ses yeux. Il était bien trop passionnant. Cho se demandait vraiment ce qui pourrait arriver à une personne non-autorisé qui toucherait au livre... exemple une 5e année. Cho se dit que le livre devait surement lui brûler les mains pour qu'elle lâche le livre. Elle s'imagina toutes les façons possibles que le livre pouvit punir. Elle se rendit compte qu'une bonne heure s'était écouler depuis qu'elle avait commencer à lire le livre. Pourtant ça lui avait parut 5 minutes. Avec tout ça elle n'avait même pas commencé ses devoirs, elle s'y mit aussitôt.

( 623 mots )

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Ce matin, la charmante bibliothécaire avait quelque peu perdu son calme. Elle était inquiète, car elle ne retrouvait pas un livre qui devait normalement rester rangé dans la réserve, et qu'elle craignait fort d'avoir oublié ou égaré parmi les autres livres, ceux que tout élève peut consulter sans problème. Or, il ne fallait surtout pas qu'un sorcier de premier cycle tombe sur ce bouquin, en tous cas pas au moins un septième année. En effet, les effets secondaires que provoquaient le fait de toucher les pages ensorcelées du livre nécessitaient de connaîtres des anti-sorts très avancés. Sinon...

Agitée, la bibliothécaire farfouillait dans toutes les allées, essayant avec une frénésie de plus en plus grande de le retrouver. En plus, il contenait des secrets !!! Il ne fallait pas, non il ne fallait pas que...

Irma Pince se redressa: il lui semblait avoir entendu du bruit. Pourtant, aucun élève, à part peut-être Hermione Granger avant les examens, ne venaient jamais à la bibliothèque de si bonne heure. Elle tendit l'oreille. Mais oui! C'était bien le bruit à peine perceptible de pages qu'on tourne!

A pas de loup, Madame Pince s'approcha et furtivement, regarda derrière une étagère. Une élève aux cheveux longs était plongée dans un livre. Se pouvait-il que ce soit le livre qu'Irma cherchait?

Si c'était ça, ça n'allait pas faire un pli! Elle allait le récupérer vite fait, bien fait!

Mandragore ? Mais qu’était-ce donc que la Mandragore, au juste ? Assise sur l’un des fauteuils moelleux de sa Salle Commune, Abbygael lisait un livre de Botanique qui faisait mention de cette mystérieuse plante. Manifestement, il fallait qu’elle se renseigne sur la nature de ce végétal car sinon, elle ne pourrait pas avancer dans sa lecture.
La jeune Poufsouffle se releva alors et prit son livre avec elle. Elle sortit ensuite de sa Salle Commune et se dirigea à grands pas vers la Bibliothèque, endroit où elle trouverait la réponse.

Arrivée devant la porte de bois sombre, la jeune fille toqua un instant à la porte, puis entra. Elle vit le bureau de Madame Pince, la bibliothécaire de Poudlard, vide, avec seulement une petite pile de gros livres anciens, dont l’un d’entre eux était ouvert.

Abby regarda un instant tout autour d’elle pour voir si Madame Pince était dans la salle. Soudain, elle entendit un bruit étrange, comme si quelqu’un changeait de place de nombreux livres d’un seul coup. La jeune fille s’avança alors dans les allées, et pu voir Madame Pince, plus agitée que jamais. Elle avait l’air de chercher quelque chose de très important. A la réflexion, pour notre bibliothécaire, tout livre était plus important que tout, et la jeune Abbygael ne préféra pas même imaginer ce qu’il se passerait si l’un d’entre eux avaient été égaré.

- Bonjour, Madame Pince … dit Abby en souriant gentiment.

La jeune Poufsouffle s’en alla vers les étagères de Botanique, afin de trouver des renseignements sur la Mandragore. Elle parcourut du regarde les livres qui étaient face à elle, et trouva finalement un livre où il était inscrit en lettre d’or « Mandragore et autres plantes ». Ah, voilà, elle allait très certainement obtenir des réponses à ses questions ! Elle attrapa alors délicatement le livre, afin de ne pas l’abimer et de ne pas en faire tomber un autre livre.

Revenant au niveau des nombreuses tables de bois présentes dans la pièce, la jeune fille regarda un instant pour décider de la table où elle s’installerait. Il fallait dire qu’elle avait le choix : la bibliothèque était entièrement vide en ce début de matinée. Au fond de la pièce, elle vit tout de même une élève au longs cheveux noirs, et qui était

manifestement bien plus âgée qu’elle. Elle semblait d’ailleurs passionnée par un étrange et ancien livre. Et bien, la jeune Poufsouffle n’avait qu’à aller s’installer à côté d’elle. Au fond, elle n’avait rien à perdre et cette élève lui semblait très sympathique.

Ainsi, la jeune Poufsouffle passa une nouvelle fois devant la bibliothécaire qui, maintenant, avait légèrement changé de place, et qui regardait au travers de l’une des grandes étagères de bois. Une fois à la hauteur de Madame Pince, Abby s’arrêta un instant et se tourna vers elle.

- Madame Pince, j’ai emprunté ce livre sur la Mandragore et… heu… je vais le consulter quelques instants…

La jeune fille avait songé bien nécéssaire de le signaler. En effet, elle avait l’air plutôt en forme ce jour là, et il valait mieux parer à toute éventualité…
Ainsi, Abbygael s’avança en direction de la jeune élève.

- Bonjour, je m’appel Abbygael, enfin Abby si tu préfères. Elle s’arrêta un instant puis reprit. Je suis venue chercher un livre, et je me demandais si je pouvais m’installer à côté de toi ?

[ 560 mots ]

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La salle sur demande n'est pas connue des élèves. Sauf ceux qui l'ont déjà utilisé. La salle à été construite afin d'aider les élèves. Le problème avec cette pièce est qu'elle ne différencie pas le bien du mal. Si quelqu'un veut l'utiliser pour faire du mal la salle sur demande va lui offrir ce qu'il veut.

Cho adorait ce livre. Mais malheureusement elle ne voyait rien autour d'elle. Ce livre était surement ensorcelé parce que Cho n'entendit même pas la jeune Pouffsoufle lui demander gentiment de s'asseoir à côté d'elle. Elle continua sa lecture.

Des élèves ont à toutes les époques essayé de dresser des cartes de Poudlard, il en existerait actuellement plusieurs, récentes ou remontant à plusieurs générations, mais nul ne sait qui les détient, et il est probable qu'elles sont toutes incomplètes, le château étant trop vaste et ses nombreux secrets difficiles à percer.

(Cho n'arrivait pas à voir tout ce qui était écrit. Un morceau de phrase avait été effacé)

Il y aurait à Poudlard des passages secrets menant sur l'extérieur, mais nul ne les a trouvés ou ne s'en est vanté, et ce n'est peut-être qu'une légende.

Cho continuait de lire mais voulait s'arrêter. Elle sentait une présence à côté d'elle et voulait lui dire bonjour mais le livre l'en empêchait. Cho était en train d'apprendre tous les secrets de Poudlard.

Elle continua.

Une pensine est une sorte de bassine en pierre peu profonde, dont les bords sont gravés de runes et de symboles étranges et indéchiffrables. Lorsqu'on l'utilise, une lueur argentée s'échappe du contenu de la bassine. Au fond, une substance d'une couleur argent tirant sur le blanc remue sans cesse tel un nuage.

Cho n'en pouvait plus elle se sentait envahît par le livre. Elle devait absolument ôter ce livre maléfique de ses mains.

Mais comment?

Cho allait lire quelque chose de très important, quelque chose qu’elle n’avait pas le droit de lire. Elle le sentait. Le titre et l'apparence du livre ne lui inspiraient pas grand-chose. Cho ne voulait pas le lire. Elle souhaitait ne jamais avoir vu ce livre. Si elle continuait Cho savait qu’elle ne pourrait plus débarquer du livre. Elle résistait du plus fort qu’elle le pouvait. Le livre l’aspirait. Il invitait Cho à être la gardienne du secret. Mais Cho ne voulait pas c’était un secret qui semblait trop lourd à garder pour une fille de 7e année tel que Cho.

~~(503 mots)~~

[EDIT d'Irma Pince: j'ai du modifier ce que tu lis dans le livre. Tu ne peux pas pour la vraisemblance de l'histoire y trouver tout ces détails sur la carte du Maraudeur (comment un écrivain pourrait-il la connaître? Elle est passée directement de ses rédacteurs à Rusard, puis à Fred et Georges, puis à Harry). Idem pour les Reliques de la Mort. Si un livre se trouvant dans la réserve expliquait tout ce qu'elles sont, les professeurs de Poudlard sauraient tout ça.]

Et voilà, ce qui devait arriver était arrivé: c'était bien le livre perdu de la réserve qu'avait trouvé la jeune fille. Pas de chance, vraiment; il y en avait ici des milliers, des millions à la disposition du public, et il avait fallu qu'elle tombe sur celui-là. Mais aussi, la bibliothécaire avait du le déposer sur une chaise, ou une table, et alors c'était celui-ci qui était tombé sous les yeux de l'adolescente.

Une autre élève salua Madame Pince et celle-ci lui rendit de son ton hautain mais poliment son bonjour.

Irma hésitait: si l'envoutement emportait Cho et la faisait disparaître, ma foi ça ne ferait qu'une élève de moins pour venir faire du bruit dans sa chère bibliothèque et lui gâcher la vie comme ils le faisaient tous. En même temps, Irma craignait la réaction de Dumbledore, qui ne le lui pardonnerait jamais si par malheur il apprenait qu'elle avait laissé une élève en grand péril se débrouiller sans lui porter secours. Il avait la fâcheuse tendance de tenir à la sécurité des élèves, on se demandait bien pourquoi. C'est vrai, à quoi ça sert un élève? Ca salit, ça braille, ça casse tout.

Abbygael signala qu'elle empruntait un ouvrage, et Irma acquiesça. Sûr que ça ne pouvait pas leur faire de mal d'emprunter des livres et de se cultiver un peu.

Enfin bon, Irma en soupirant compris qu'il valait mieux agir et malgré son désir instinctif de ne pas s'en mêler, elle fit son devoir et se dirigea vers Cho; prenant quand même un peu son temps car ça l'agaçait, et elle craignait aussi d'être emportée en même temps que Cho dans le livre.

Elle sortit sa baguette et lança un sort informulé. Dans un grand bruit de succion, Cho et le livre furent de force écartés l'un de l'autre et Cho tomba sur le sol en arrière. Irma espéra que Cho ne ressentirait pas trop d'effets secondaires dans les semaines qui viendraient, et qu'elle n'avait pas eut le temps d'apprendre trop de secrets.

Mais les trois sorcières présentes dans la pièces n'étaient pas quittes pour autant. Une sorte de tourbillon, tel un mini-cyclone, jaillit de nulle part autour du livre. Le vent faisait tourbillonner les cheveux des deux filles et les quelques mèches filasses d'Irma, puis des livres commencèrent à tomber des étagères, puis les meubles eux-mêmes émirent de sinistres craquements, pendant que le vent soufflait si fort dans toutes les directions qu'Irma et les deux filles devaient se retenir où elles pouvaient pour ne pas être projetées n'importe où dans la pièce.

Arrivée près de la jeune élève, Abbygael put constater que celle-ci se trouvait à Serdaigle, d’après les couleurs qu’arborait son uniforme. Elle lui sourit alors, mais elle paraissait beaucoup trop passionnée par ce qu’elle était entrain de lire, peut-être même absorbée par ce livre, au sens figuré tout du moins.

Abby se présenta alors tout en lui disant bonjour. Au fond, elle devait être très certainement passionnée de lecture, et peut-être qu’elle était arrivée à un passage qu’elle ne voulait pas lacher, alors elle devait, inconsciemment, faire abstraction du monde qui l’entourait.
En y réfléchissant un peu plus, cette jeune Serdaigle faisait une mine étrange, comme si elle lutait contre quelque chose, quelque chose de plus fort qu’elle, quelque chose de totalement… hors du commun.
A cet instant précis, la jeune Poufsouffle tourna son regard vers Madame Pince qui, s’approchant des deux élèves, avait une expression plus qu’agacée sur le visage. Malgré la démarche hautaine de la bibliothécaire, on remarquait parfaitement un brin d’inquiétude ou, tout du moins, d’appréhension.

Arrivée à côté d’Abbygael, Madame Pince sortie sa baguette, et la pointa en direction de l’élève de Serdaigle. La jeune Poufsouffle eut un mouvement de recule, se demandant ce qui allait se passer, et surtout, pourquoi notre bibliothécaire voudrait jeter un sort à une élève qui paraissait aimer la lecture… En y regardant d’un peu plus près, Abbygael put constater, avec un certain soulagement, que ce n’était pas l’élève qui était visée, mais le livre qui se trouvait dans ses mains. La jeune Poufsouffle ouvrit alors de grands yeux, se demandant ce qu’elle allait faire.

Madame Pince sembla lancer un sortilège, d’après le léger et presque imperceptible mouvement de poignet qu’elle venait d’exercer au dessus de l’ouvrage. C’est alors que le livre fut séparé de l’élève, dans un terrible et presque insupportable bruit de succion.
Abby voulut prendre un instant la parole, afin de demander à la bibliothécaire ce qui se passait mais, lorsqu’elle voulut parler, une sorte de tornade miniature fit rage dans la bibliothèque, s’échappant de l’endroit où avait été projeté le livre.

A cause du vent qui venait soudainement de se lever, on pouvait voir des livres tomber des étagères et des feuilles de parchemin se mélanger les unes aux autres. Les rafales étaient si fortes que les meubles émettaient d’affreux grincements, et des tables et des chaises commençaient à reculer dangereusement dans la direction opposée au cyclone.
Sentant que toute résistance était inutile, les trois sorcières tentèrent tant bien que mal de s’accrocher à tout ce qu’elles pouvaient.
La jeune Poufsouffle vit subitement arriver vers elle l’un des gros ouvrages qui se trouvaient sur la pile, située sur le bureau de la bibliothécaire. Par reflex, Abbygael réussit à s’accroupir de justesse par terre, juste à temps pour l’éviter, et s’agrippa rapidement à l’un des pieds de la table qui se trouvait à côté d’elle, pendant que ses cheveux se soulevaient brutalement au rythme du vent.

- Madame Pince ! Commença à dire la jeune fille, totalement effrayée par ce qui se passait. Que se passe-t-il ?!

Abbygael avait parlé assez fort pour que le bruit provoqué par les meubles et les ouvrages, ne couvre pas le son de sa voix.

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