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 Hé, j'te veux aucun mal ! [PV]

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Ξ Sujet: Hé, j'te veux aucun mal ! [PV]   Hé, j'te veux aucun mal ! [PV] EmptyLun 3 Nov - 22:41

[PV Anabelle =D
J'espère que ça te va ^^]


Cela faisait un moment que Juliet avait un peu laissé de côté ses projets concernant Chouka. Mais siii, rappelez-vous de Chouka ! Cet elfe de maison que Juliet avait vu l'année précédente dans la salle commune, et qui l'avait fascinée, et qui avait été l'objet d'une recherche intensive par la suite, mais qui était trop timide et farouche pour se laisser voir, et que Juliet avait essayé de contacter par tous les moyens (allant même jusqu'à demander à son entourage si quelqu'un pouvait lui apprendre à parler l'elfe de maison, croyant que Chouka ne parlait pas sa langue)... La petite lui avait même envoyé une lettre, mais n'avait jamais eu de réponse, bien sûr. Elle l'avait baptisée Chouka, faute de savoir son vrai nom. Bien sûr, des fois, elle l'avait aperçue, mais dès que l'elfe voyait Juliet, il s'enfuyait et disparaissait derrière un angle de mur - certainement un passage secret que la petite ne connaissait pas.
Mais la jeune bleue et bronze ne se décourageait pas. Elle voulait l'approcher, elle voulait la rassurer. Elle sentait que cette elfe de maison avait quelque chose à lui apporter, et qu'elle pouvait lui apporter quelque chose en retour. Bien sûr, elle ne pensait pas à lui offrir un vêtement, elle ne se le permettrait pas, mais elle voulait juste établir un contact avec elle, partager des choses. Comme si elle ne pouvait pas le faire avec les humains. Bien sûr, sa relation avec les humains pouvait être étrange, mais elle l'appréciait quand même, ce n'était pas ça qui la poussait à s'intéresser à une créature. En fait, elle ne savait pas trop pourquoi elle s'intéressait à cet elfe en particulier et pas un autre. Peut-être parce qu'il était farouche, justement. Et qu'elle ne le considérait pas comme une créature. Après, il ne faut pas penser qu'elle était du genre à crier sur tous les toits "libérez les elfes de maison" comme s'était entêté de faire un groupe étrange à Poudlard. Juliet avait eu vent de cette affaire par quelqu'un qui savait qu'elle s'intéressait à un elfe de maison, mais la petite s'était contentée de lever un sourcil.
"Libérer les elfes de maison ? Pour quoi faire ? Ils se sentent bien comme ça... C'est comme si on nous demandait de ne plus aller en cours. On serait plus destabilisés qu'autre chose."
La seule chose qui la gênait dans l'affaire, c'était qu'on traite les elfes de maisons comme des sous-personnes. De ce point de vue-là, elle était d'accord avec la S.A.L.E, mais c'était tout...

Mais toutes ces histoires avaient été rangées dans un coin de la tête de la jeune préfète qui s'était trouvée débordée cette année avec cette nouvelle fonction, justement. Bien sûr, elle aurait préféré continuer sa chasse à Chouka au lieu de faire des rondes, mais finalement, ce n'était pas si désagréable que cela, ça lui permettait de rester dans ses pensées sans qu'on vienne l'importuner.
Justement, la petite était plongée dans ses pensées... Elle n'était pas en ronde (s'il fallait attendre ce moment-là pour le faire, et puis quoi encore ?), elle revenait juste de la bibliothèque. Contrairement à ce que l'on pouvait penser par rapport à l'image qu'on se faisait des Serdaigle, ce n'était pas son endroit favori, loin de là. Trop de monde, trop de livres. Oui, la petite n'était pas une fan de livres... Elle ne supportait pas de se faire mener par le bout du nez dans les délires de l'auteur. Elle voulait pouvoir choisir l'issue du livre, ne pas se sentir obligée d'accepter tout ce que l'auteur voulait. Si bien qu'elle aimait plutôt commencer un livre, mais le finir... beuurk ! Beaucoup moins drôle. Elle préférait s'imaginer sa propre fin.
La petite avait donc emprunté un livre à la bibliothèque (elle n'allait pas rester là-bas pour le lire, voyons !) sans avoir l'intention de le finir. Elle avait lu les deux premières pages, et pendant tout le trajet qui la séparait de la Tour de Serdaigle (ce qui représentait pas mal de temps), elle s'amusait à essayer de deviner quel serait le thème de l'histoire. C'était le seul plaisir que lui procurait le fait de lire un livre...

Juliet passa devant les toilettes des filles, et s'arrêta net de surprise en apercevant quelque chose se précipiter dans les toilettes des garçons. Elle ne le vit qu'une fraction de seconde, mais elle en était certaine : c'était Chouka.
L'avait-elle vue ? S'était-elle précipitée dans les toilettes des garçons justement parce qu'elle avait vu Juliet ? Il n'y avait qu'un seul moyen de le savoir, justement... Le tout était de ne pas brusquer les choses.
La jeune préfète regarda à droite et à gauche, et ouvrit doucement la porte des toilettes des garçons. Si jamais quelqu'un la surprenait, elle, la préfète, dans les toilettes des garçons, cela ferait un drôle d'effet ! Mais bon, tant pis, l'occasion était trop belle pour la louper...


"Chouka ?" demanda-t-elle timidement en refermant la porte derrière elle. Il n'y avait personne à l'intérieur. L'elfe de maison s'était certainement réfugié dans une des cabines... Bien sûr... Mais ce n'était pas plus mal, comme ça, Juliet pourrait l'approcher et lui parler sans que la créature ne s'enfuie.

"Oui, c'est vrai, tu ne sais pas que tu t'appelles Chouka..." se rappela la brunette. "C'est... C'est Juliet." dit-elle doucement, le coeur battant. "Hé... j'te veux aucun mal, tu sais..."

Pas de réponse.
Mais alors que notre jeune fille se rapprochait tout doucement d'une des cabines où il lui semblait que se tenait sa protégée, la porte d'entrée des toilettes s'ouvrit. Juliet, croyant subitement voir ses espoirs d'apprivoisement s'envoler, se retourna brusquement vers l'entrée, et sans même voir de qui il s'agissait, mit son index sur sa bouche pour indiquer à la personne de faire silence, pour ne pas effrayer Chouka.
La première surprise fut de s'apercevoir qu'il s'agissait... d'une fille.
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Ξ Sujet: Re: Hé, j'te veux aucun mal ! [PV]   Hé, j'te veux aucun mal ! [PV] EmptyLun 10 Nov - 12:22

Anabelle Montgomery avait, à l’instar de tout être humain, parfois besoin d’aller aux toilettes (attention, révélation, révélation !), et ce fut poussée par cette manifestation somme toute fort naturelle, qu’elle avait quitté, quelques minutes plus tôt, la bibliothèque, pour filer aux toilettes. Elle avait sautillé rêveusement à travers les couloirs, profitant presque de cette petite pause nécessaire qui lui permettait d’abandonner, pour un moment, la dure loi de la métamorphose de Kafka. Dans un ultime petit bond, la fillette était entrée, sans même y penser, dans les toilettes des filles, où elle espérait bien pouvoir s’acquitter au plus vite de sa petite affaire acheter de la drogue à une Serpentard dealeuse.

Hélas ! C’était compter sans cette fâcheuse tendance de la gent féminine, persuadée depuis l’Antiquité (si, si, on a des preuves !) que les toilettes sont the point de rendez-vous à la mode, et ce quoi qu’on puisse bien y faire. Les adolescentes anglaises n’étaient pas en reste, ce jour-là. Avaient-elles décidé de marquer fièrement leur entrée dans le monde des femmes, les vraies, les pures – ou pas – les dures, en tenant conseil autour des lavabos ? Ou bien les lois de la nature sont-elles si bien faites que tout le monde se trouve pris des mêmes envies au même moment ? A moins qu’il ne s’agisse là d’un simple phénomène de mimétisme social : mon voisin va aux toilettes, profitons-en pour y aller aussi ? Mystère ! Mais ce qui était certain, c’est qu’Anabelle se retrouva bien ennuyée, en découvrant le petit rang de filles cancanant joyeusement et sagement aligné devant les cabines occupées tandis que celles qui avaient – les Bienheureuses ! – fini, attendaient leur copine, un peu en retrait, se lorgnant de temps à autre d’un œil circonspect dans le vieux miroir.

Ana étouffa un grognement (oh, comme c’est mignon, on jurerait Shawnie en colère !). Pourquoi, mais pourquoi se sentaient-elles obligées d’attendre leur copine à l’intérieur ? Elles ne pouvaient pas aller dans le couloir ? Et puis d’ailleurs, qu’est-ce que c’était que cette forme de solidarité à la noix qui poussait les individus à se rendre aux toilettes en troupeau ? Elles avaient peur de ne pas réussir à tirer la chasse d’eau ou quoi ?
La petite Poufsouffle esquissa une moue franchement embêtée – c’est que ça pressait ! – et commença à se dandiner d’un pied sur l’autre, dans l’espoir de calmer un peu les douleurs de sa vessie. Plus jamais de jus de citrouille en dehors des repas ! Plus jamais, c’est promis ! Elle cessa un moment de sauter pour se dresser sur la pointe des pieds (de toute évidence, la fille qui se trouvait devant elle avait une vocation de mannequin) afin d’analyser la situation. Houlà ! Allô, Houston, nous avons un pépin ! Il y avait au moins quatre filles devant elle. Et pour ne rien gâcher, les filles qui occupaient à présent les toilettes, étaient particulièrement longuettes. A croire qu’elles s’étaient noyées dans la cuvette !

De nouveau, la brunette grimaça. Elle aurait mieux fait de descendre jusqu’aux toilettes de son dortoir, à ce rythme là ! Elle poussait un profond soupir quand une idée (brillante, bien entendu) lui vint. Hé ! Pourquoi ne pas utiliser les toilettes des garçons ? Elles étaient souvent bien moins encombrées que celles des filles. Certes, les choses pouvaient être quelque peu gênantes si elle tombait nez-à-nez avec une horde de Serpentard pudiques, mais après ? Elle avait des frères et d’ailleurs, elle avait eu un très bon professeur de sciences naturelles, avant d’arriver à Poudlard. Pas de quoi la traîner dans le bureau de MacGonagall pour dévergondage ! De toute façon, elle ne pouvait plus tenir ! Alors, après avoir jeté un dernier regard à ses camarades, elle quitta, presque en courant, les toilettes qui lui avaient été attribuées par le hasard de la naissance, et fila jusqu’à celles des garçons, quelques mètres plus loin.

Il lui sembla bousculer quelqu’un au passage, mais elle ne prit pas la peine (petite malpolie ! Ouh, comme c’est mignon, on dirait Shawnie !) de s’arrêter pour s’excuser. Entrant précipitamment dans les toilettes – vides (comme quoi, la nature ne fonctionne pas de la même manière chez les filles !) – la fillette se précipita dans la première cabine qui se trouvait sur son chemin. Ouf ! Il était temps ! Lorsqu’elle se fut soulagée des (au moins) sept litres de jus de citrouille qui lui encombraient la vessie, Anabelle remis convenablement jupe et collants en place et tira la chasse d’eau.
Oh tiens ! Hé bien ça alors c’était un truc rigolo (il allait falloir qu’elle le raconte à Shawnie !) : une chasse d’eau qui parle ! Ils en avaient la chance les garçons, d’avoir ce genre de curiosités dans leurs toilettes ! Pourquoi elles n’en avaient pas, les filles ? Tant d’injustice donnait (presque) envie de virer féministe ! Euh… Mais pourquoi est-ce qu’elle continuait à lui parler même arrêtée, la chasse d’eau ?

Anabelle haussa un sourcil stupéfait et tendit l’oreille… Ah non ! Autant pour elle, le bruit provenait de l’extérieur de la cabine ! Mince ! Quelqu’un était entré à sa suite ! Que faire ? Rester cachée jusqu’à ce que l’intrus s’en aille ou courir le risque de sortir, quitte à découvrir un garçon parfaitement muet de surprise devant un urinoir ? L’image d’un Drago Malefoy tellement pris de court qu’il en faisait pipi sur ses chaussures fit pouffer Anabelle.
Ceci étant, force lui était de reconnaître que la voix de l’inconnu n’avait rien de très masculin. C’était tout au plus un seconde année. Ou alors un type qui avait oublié de muer. Ou alors… Ou alors c’était une fille qui, comme elle, n’avait pas voulu attendre trois heures qu’une cabine se libère dans les toilettes qui leur étaient réservées ? Moui… Possible… Mais alors, pourquoi perdre son temps à parler toute seule ? Avait-elle affaire à Luna Lovegood ? Tout le monde savait que la pauvre petite ne tournait pas très rond (de la part d’Anabelle, c’est un peu Sainte Mangouste qui se moque de la charité !). Enfin, peut-être pas au moins d’oublier son propre prénom, remarquez… Juliet ? Juliette Horuni ? La quatrième année qui était avec elle en danse ? Mais… Qu’était-il arrivé à sa voix ? Elle avait contracté un vilain rhume, à l’entendre !

Presque certaine de connaître l’identité de l’inconnue (qui avait maintenant gagné un «e»), Anabelle n’hésita plus et ouvrit largement la porte, déjà prête à saluer chaleureusement la Serdaigle… Ou pas. Hé ! Mais qui essayait de voler l’identité de Juliette ? Ana cligna des yeux à la manière d’un hibou effaré et mit bien trente secondes avant de comprendre qu’elle se trouvait en face de Juliet Knightley, qui était pourtant en cours avec elle, tant elle avait été convaincue de tomber sur l’autre Juliette (quelle idée d’avoir le même prénom, aussi !).

- Oh ! Salut Juliet, lança-t-elle joyeusement en se dirigeant vers le lavabo, t’es pas obligée de m’appeler Chouka, tu sais, poursuivit-elle en se lavant les mains, d’ailleurs, je n’ai pas peur de toi, conclut-elle avec un grand sourire avant de se prendre un avada kedavra en pleine poire parce que Juliet, il ne faut pas la provoquer.

(1207 mots)
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Ξ Sujet: Re: Hé, j'te veux aucun mal ! [PV]   Hé, j'te veux aucun mal ! [PV] EmptyMar 11 Nov - 18:41

Une petite tête blonde était apparue du côté de la porte d'entrée des toilettes. Quand la petite fille vit Juliet qui la regardait avec de grands yeux écarquillés, un index sur la bouche et dans position un peu étrange (du genre contorsionniste pour pouvoir rester quand même dans la direction de la cabine dans laquelle se trouvait Chouka), elle sembla prendre peur et refermer directement la porte sur elle pour aller dans un lieu plus sûr (car en plus, elle s'était trompée de toilettes). La jeune fille ne saura jamais si cette fuite avait été provoquée par son attitude ou par le badge sur sa poitrine, en tout cas, elle en fut satisfaire car comme cela, elle pourrait approcher sa Chouka sans être dérangée.
Mais au moment où elle s'approchait lentement de la porte pour pouvoir se sentir plus près de sa protégée, celle-ci s'ouvrit à la volée, manquant de percuter le visage de Juliet et de lui écrabouiller le nez par la même occasion. La petite Serdaigle fit un bond en arrière (c'était la première fois qu'elle avait un réflexe pareil !), et sembla pétrifiée sur place pendant plusieurs secondes. Au lieu de voir sortir Chouka (déjà elle avait failli avoir une crise cardiaque en voyant la porte de la cabine s'ouvrir), elle vit sortir... une jeune fille. Qu'elle connaissait, en plus... Enfin, "connaissait", c'était un bien grand mot, disons qu'elle avait parfois cours avec elle.
Mais... Cette jeune fille connaissait Chouka ? Elle était avec elle dans les toilettes ? Des garçons, en plus ? C'était leur repère, peut-être ? Est-ce-qu'Anabelle avait réussi à apprivoiser l'elfe alors que Juliet essayait vainement depuis si longtemps ?...
Tant de questions qui affluaient au cerveau de la petite qui restait toujours bouche bée devant cette jeune fille qui lui parlait maintenant d'un ton naturel en se lavant les mains. Un ton naturel... Comment pouvait-elle faire cela alors qu'elle venait de montrer à Juliet que c'était facile d'apprivoiser un elfe de maison ? Ce n'était pas naturel, c'était un exploit ! La petite tenta d'ouvrir la bouche pour essayer de comprendre, mais elle était encore tellement sous le choc que cela se résuma par quelques bribes incompréhensibles.


"Mais... Non... Imp... ossible. Que... Zvah dla... Chouka."

N'essayez pas de chercher ce que signifie "Zvah dla" et pourquoi Juliet avait prononcé ces mots, car ce serait en vain. Cela ne voulait rien dire, même pour l'imagination développée de notre petite fille. C'était des mots qui sortaient tout seul de sa bouche, tandis que le regard de notre jeune aigle se posait successivement sur la porte grande ouverte de la cabine et sur Anabelle.
Au bout d'un moment, elle se décida qu'il fallait mieux en avoir le coeur net. Elle s'approcha de la porte, toute tremblante, posa une main dessus et avança sa tête ultra-lentement (même encore plus que ultra-lentement s'il peut exister un mot pour le définir !) pour pouvoir jeter un coup d'oeil derrière. Quand elle put voir que la cabine était vide en apparence, elle ne se laissa pas démonter. Peut-être que Chouka en avait profité pour aller dans la cuvette (qui sait ?) ou passer par l'ouverture située en bas de la séparation de deux cabines (plus probable, déjà). La petite rentra néanmoins dans cette cabine-là pour regarder le trou des toilettes en se penchant bien pour pouvoir voir s'il n'y avait pas un petit bout qui dépassait (très gracieux, n'est-ce-pas ?), puis ressortit, toujours déterminée, pour regarder dans l'autre cabine. Elle fit le même train-train pour toutes les cabines, et quand elle put arriver à la constatation que Chouka n'était pas là, elle se retourna vers Anabelle, stupéfiée.


"Mais... Qu'est-ce-que t'en a fait ? Chouka ?" furent les seuls mots intelligibles qu'elle parvint à prononcer, au milieu d'un espèce de gargouillement, balbutiement et autres noms en "ent" incompréhensibles.

Puis elle se prit la tête dans ses mains, comme si celle-ci s'était soudainement mise à bouillir et que le flux des informations y circulant était trop dense et compliqué pour être supportable. En fait, elle ne comprenait plus rien, c'était clair. Elle se demandait pourquoi elle n'avait jamais pensé à demander plus tôt à Anabelle comment apprivoiser un elfe de maison alors qu'elle avait essayer de glaner des informations un peu partout, et auprès de gens qui ne semblaient pas être au courant. Même s'il n'y avait plus de trace de Chouka, cela semblait évident pour la petite qu'Anabelle s'était quand même trouvée un moment dans la cabine avec elle (pour quoi faire ? oh petites coquines ! xD) mais que celle-ci avait disparu par la suite... (après tout, ce n'était pas la première fois) Car sinon, pourquoi la jeune Poufsouffle serait dans les toilettes des garçons ? Ce devait certainement être un endroit de rendez-vous insolite...


"Mais oui, c'est pas toi qui a peur de moi, c'est elle..." ajouta-t-elle avec une petite voix désespérée.

Elle était triste. Pendant un instant, elle s'était crue si près du but.... Et c'était encore raté. Elle n'y arriverait donc jamais ! A moins qu'Anabelle veuille l'aider, lui enseigner son talent avec les créatures aussi farouches que Chouka...



[858 mots]

XXX tout comptabilisé^^
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