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| Attente interminable |PV : Rayder| | |
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Invité
Ξ Sujet: Attente interminable |PV : Rayder| Mar 30 Déc - 17:33 | |
| Libre enfin. Je venais de passer trois mois enfermé dans le manoir familial. La cause ? Ma mère du subir une opération du cœur, et comme une catastrophe n’arrive jamais seule c’était exactement au même moment où nos domestiques ont décidé de partir. La poisse. Et mon rôle dans tout cela ? Aider ma mère à la maison car si mon père l’avait fait, le manoir serait définitivement raillé de la carte, et puis dans tout cela il ne faut pas oublier les deux monstres qui me serrent de frères. Alors pour la bonne cause, j’ai négligé ma scolarité et ma sainte horreur du ménage. Comme je le dis toujours, ma bonté me perdra un jour. J’ai enfin appris à passer le ballet, un exploit que dis-je un événement mondial. Entre deux paniers de linge salles, j’ai eu le temps de sortir et de revoir les filles qui formaient avant mon ancienne bande. Le nombre de personne qu’on à pu terroriser, c’était le bon vieux temps. On était trois, et mes anciens petits camarades qu’on en soit pas plus. Sans grande surprise j’étais la tête pensante, or de question qu’une fille qui ne sait pas que la France est un pays et non une ville, ose me donner quelconque ordre. Mais j’ai changé et elle aussi d’ailleurs, enfin pas dans la bon sens. Une d’elles ma dit que j’étais resté la même, ce n’était pas un vrai compliment, j’ai failli la tuer. J’ai changé ! J’ai appris à être comment dire, un peu sympathique et en plus de cela je sais cuisiner . . . des pâtes, mais c’est déjà beaucoup il ne faut pas croire, d’ailleurs je suis la seule personne qui est capable de faire cramer des pâtes.
J’ai oublié les cries de mon père quand il a apprit que j’étais à serdaigle. Ce n’est pas qu’il ait honte de moi bien au contraire, j’étais son unique fille sa fierté. Mais il avait perdu un paris contre ma mère. Et oui, mon père avait parié que je serais chez les serpents. Suis-je si méchante que cela ? En revanche ma mère n’avait pas cité de maison mais elle avait « tout sauf les serpentards. » Il ne faut pas sous estimer l’intuition maternelle. Donc ma mère avait gagné, et ça, mon père n’en était pas très fier, il ma dit à plusieurs reprisent « Comment une peste peut être chez les Serdaigles ? » Mon père avait eu vent de mes actions, et puis ce n’était un secret pour personne, on va dire qu’il préférait plus en rire. C’est dans des moments comme cela que je vois que mon père n’a jamais vraiment regardé mon bulletin, il devait sûrement croire que les petits chiffres à côté c’était un code secret. En parlant des Serdaigles, ils ne m’aiment pas vraiment, pour diverses raisons enfin actions seraient plus précises. Et puis, je ne supporte pas ce silence de mort dans la salle commune tous entrains de travailler combien de fois j’ai hurlé « Vivre, vous connaissez ? » A croire que j’étais la seule qui était normale. Et puis je ne parle même pas des professeurs, rogues me fait toujours aussi peur au point que je travail ultra bien dans son cour de peur de me faire coller. Sinon le reste et bien ça se passe.
Aujourd’hui est un grand jour, ma première sortit depuis bien longtemps, enfin je veux dire en dehors de la propriété des Alicebury. Je suis pire qu’heureuse, j’ai l’impression que c’est Noël. Pour cette sortit mon père a prévu de m’emmener faire un tour vers les boutiques du chemin de Traverse. Passage obligé au Pink Délirium, une de mes boutiques préférées. Je ne suis pas partit les mains vide bien sûr, ce serait mal me connaître. Et puis la vendeuse en avait marre que je goutte à tout, enfin elle croyait surtout que je faisais mon quatre heures alors que je gouttais pour me décider. Les sorcières d’aujourd’hui, plus aucune confiance moi qui suis l’innocence incarnée. ( hum hum ) Entre temps, mon père m’avait laissé pour faire quelques course, il me donna rendez vous au café quand j’aurais terminé et je cite « de me goinfré comme une morfale » tant de terme gênant à l’égard de ma personne. Je n’eus pas le temps d’approuver qu’il était partit aussi vite, me laissant en plan avec mon sac remplie de chose ultra calorique. Un sourire de deux kilomètres trônait fièrement sur mon visage, que c’est bon d’avoir de l’argent. Je me dirigea vers le café qui était vide, entre deux, un homme se trouvant entrain d’essuyer une table m’analysa de haut en bas comme un scanner. Il se redressa et il me dépassa d’exactement deux têtes, je n’étais nullement impressionné. Il avança vers moi et il dit avec une voix usée par touts les paquets de cigarette qu’il a du fumer :
« Petite, tu fais quoi ici ? »
Je ne suis pas petite ! C’est lui qui est trop grand. Ni une ni deux je lui répondit vexé :
« J’attends quelqu’un. En quoi cela vous concerne ?! »
Je ne lui laissa pas le temps de répondre, sa réponse m’importait peu. Je déplaça vers la table du fond, me calant contre la banquette collée contre le mur. Les murs étaient en bois, et la faible lumière que propageait les lampes donnait une atmosphère chaleureuse, à l’inverse du serveur qui était aussi froid que les pavés de la rue. Le temps passa et mon père n’était toujours pas là. Sans vraiment comprendre, le ciel se déchira dans un bruit sourd, me faisant sursauter au passage. Géniale il manqué plus qu’il pleuve. Histoire de me remonter le moral j’ouvrit mon sac et je commença à manger un caramel, qui bien sûr se colla dans mes dents. Je n’ai pas de chance aujourd’hui. La lutte fut acharnée mais, mes dents eurent raison de cet insignifiant bonbon. Mon père n’était toujours pas arrivé. C’est par manque de distraction que mes yeux commença à se fermer d’eux-mêmes et que je commença à m’endormir sur la table. Le café était vide, enfin je pense. .. |
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Ξ Sujet: Re: Attente interminable |PV : Rayder| Mer 31 Déc - 17:19 | |
| Rayder se balada librement dehors. Quelle merveilleuse journée nuageuse à souhait! Point de soleil impertinent pouvant le nuire. Le temps était lourd, il promettait de dégénérer en quelque chose de pire. Il s'habillait pourtant en conséquence, bien que le froid ne le gênait guère. En plus de ses vêtements noirs, il portait son long manteau noir ainsi que sa cape sombre. Il ne prévoyait pas d'enfourcher sa moto, il pouvait donc s'offrir le loisir de porter toute cette multitude d'habits. Laisser ses cheveux se faire malmener par le vent lui plaisait bien plus que les laisser souffrir du poids de sa capuche.
Il allait et venait dans les rues, se contentant de regarder les vitrines de l'extérieur… pour une fois, il n'était point obligé d'y entrer afin d'y trouver un petit refuge temporaire. Aujourd'hui il pouvait garder la tête libre sans avoir à rentrer dans une boutique.
Le vampire avançait avec beaucoup de plaisir. Bien que tout ceci fussent bien plaisant, il ne pouvait non plus vaquer en toute innocence dans les rues. Les rues, bien remplies, n'étaient pas le meilleur endroit pour faire des rencontres de groupes réduits avec qui entreprendre une discussion. Il préférait la solitude ou discuter avec une personne ou deux… Interagir avec plus de personnes de façon prononcée relevait du défi. Non! Peu de personnes c'était mieux. Si sa nature était révélée par inadvertance, il parviendrait toujours à fuir d'un sorcier ou de deux. D'une troupe… cela relevait de la bravoure.
Le jeune homme se décida pour entrer dans un café choisi au hasard. Il ne faisait pas nuit, il parviendrait à éviter les poivrots et les chercheurs d'embrouilles. Une bonne occasion de dépenser de l'argent pour rien dans une boisson qu'il ne pourrait pleinement savourer car aucune boisson de sorcier ne saurait étancher sa soif si celle-ci se présentait un jour. Mais il était vrai que s'il ne dépensait pas quelques piécettes dans une quelconque boisson, on trouvait sa présence des plus étranges…
Il entra et, en se dirigeant vers le bar, surprit une discussion entre le patron et son serveur. Ils discutaient d'une enfant endormie dans la salle qui semblait attendre une personne, mais ne consommait rien, s'était endormie un petit moment sur une table que ne pouvait donc pas être occupée par des clients plus rentables. Quel manque de tact venant de la part d'hommes! Il signifia sa présence aux deux manants en toquant du poing sur le bar.
- Gentlemen! Je souhaiterais commander deux chocolats chauds. Vous n'aurez qu'à les apporter à ma table lorsqu'ils seront prêts.
Le jeune homme déposa ses espèces trébuchantes devant le patron et s'installa sans le moindre bruit en face de l'enfant endormie. Cette pauvre petite fleur devait mourir de fatigue, il ne sentait pas le courage d'avoir l'affront de la réveiller. Elle serait le Phlox Violet, la fleur à qui on associe la tendre rêverie. Puisse ses songes être aussi doux que la fleur qu'il venait de lui associer dans son esprit.
Du coin de l'œil, il perçut l'arrivée des chocolats chauds. Décidément ce serveur ne semblait pas faire dans la délicatesse. S'il le laissait s'approcher encore un peu plus, ses côtés bourrus et disgracieux risqueraient de réveiller l'innocente enfant. Il le voyait très bien poser les tasses dans un geste brusque en cognant légèrement la table. Le sorcier préféra se lever, le décharger de son fardeau et se rasseoir avec la même aisance, en tentant toujours de ne pas troubler le sommeil de la personne qui partageait sa table. Il approcha doucement une tasse devant l'inconnue et en posa une autre devant lui. Il n'était pas pressé de la boire. Il pouvait tout aussi bien la boire bouillante ou gelée sans que cela le gêne… il n'était plus aussi sensible aux écarts de températures depuis sa mort. Il préféra patienter que la demoiselle soit parfaitement reposée.
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Ξ Sujet: Re: Attente interminable |PV : Rayder| Lun 5 Jan - 16:12 | |
| Je n’étais pas vraiment consciente de ce qui se passait au tour de moi. A moitié endormie, j’étais berçais par le bruit des chaussures du serveur sur les dalles froides. La voix d’un jeune homme se fit entendre, je n’ai pas vraiment compris ce qu’il disait mais, sa moi était mélodieuse, rassurante et chaude. Soudain, je vis apparaître dans mon esprit : un grand jeune homme, deux yeux comme des saphirs et de long fils d’ors en guise de cheveux. Je vis ces bras s’ouvrirent, prêt à m’accueillir. Sans comprendre, je fonça vers lui. J’étais sur qu’il avait été créé pour moi sur mesure, il représentait mon idéale, ma perfection, l’intouchable. Au moment où mon corps s’élança dans les airs, mes mains touchèrent que de la fumés, et la douce illusion disparue. Je vis le sol se rapprocher de mon visage, j’angoissais, me préparant à une chute digne de ce nom, je fermis les yeux et me réveilla en sursaut, la tête contre le bois froid de la table et la douche odeur du chocolat chaud embaumant mes narines.
Mon cœur battait trop vite à mon goût, et ma vue ne c’était pas encore ajusté à la lumière ambiante. Je pus distinguais une silhouette en face de moi et je dis avec une voix légèrement enrouée :
« Papa t’en à mis du temps. Ne crois pas te faire pardonner avec un simple chocolat chaud »
Je releva quelques mèches qui c’étaient mis devant mes yeux. M’étirant un coup et frottant mes paupières encore lourde de sommeille, je pus voir enfin mon père, enfin ce n’était pas mon père. En tout cas je ne connaissais pas cette personne, je recula m’enfonçant dans la banquette inconfortable, un peu effrayé certes. L’air avait du mal à pénétrer dans mes poumons. En attendant que je me remette de cette découverte, je regarda à qui j’avais à faire ou l’honneur tout dépend comment on voit les choses. C’était un jeune homme comme celui de mon rêve, il n’avait rien de vraiment féroce mais on m’a toujours dit de se méfier des apparences. Il avait devant lui une tasse de chocolat chaud encore un peu fumant. Il ne me fallut que quelques secondes pour faire le lien entre la voix, le chocolat chaud et lui. Arrivant à respirer normalement, je m’avança vers ma tasse, l’inspectant sur toutes les formes cherchant une quelconque trace ou autre qui m’indiquerait « danger » Apparemment rien d’anormale. Je me remit face à mon interlocuteur, essayant de sourire juste histoire d’être polie. Je saisis la tasse chaude avec mes deux mains, l’esprit encore embrumé j’avais peur de faire une catastrophe. La chaleur qui émané de celle ci me fit frissonnait de bien être, je bus une gorgée, et le liquide marron réchauffa ma gorge. Dans un soupir de bien être, je posa ma tasse et dis avec une voix un peu plus réveillée :
« Merci pour le chocolat »
Une question évidente m’apparu. Est ce que je le connaissais ? Je fis défiler dans ma tête les portraits de tous les amis proches de la famille, et pourtant son visage ne me disait toujours rien. J’attaqua par les petits amis de mes cousines, je continua par les enfants illégitimes pour ensuite terminer avec les fils des commerçants. Son visage restait inconnu dans mes fichiers. En proie à un mal de tête, je commença à me frotter les tempes. J’ai du négliger une personne, mais la quelle ? Je fixais mon chocolat, et histoire de me concentrer encore plus, je fit tourner ma cuillère dedans. Ah, cela m’énervait quand je ne trouva pas. Je poussa un soupir d’agacement, rendant les armes après tout, je n’étais sans failles. Je m’apprêtais à poser la question qui me faisait surchauffer depuis deux minutes. Je fixa mon regard dans le sien, m’appuyant un peu sur la table pour le voir de plus prêt et je demanda :
« Dis-moi, on se connaît ou pas ? Car j’en ai pas vraiment l’impression »
J’inclina la tête de gauche à droite, l’inspectant sous toutes ses formes.
[ 680 mots ]BILL |
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Ξ Sujet: Re: Attente interminable |PV : Rayder| Mer 7 Jan - 20:24 | |
| Le sorcier regardait l'enfant avec un regard doux et protecteur, presque fraternel. Elle semblait si jeune, si petite, fragile et attendrissante dans sa rêverie. L'innocence se rendait-elle compte que c'était le fait qu'elle soit éphémère et précieuse qu'elle attirait l'envie des loups? Le temps s'écoulait, les gens bougeaient, le merveilleux fleurissait à l'extérieur comme le pire… et pourtant toutes ces choses glissaient sur elle. Elle ne se rendrait jamais compte directement qu'elles aient eu lieu à moins qu'on les lui compte. Le Bien comme le Mal ne venait pas la troubler en cet instant… et ne viendrait pas le faire tant que le vampire veillerait à la quiétude de son repos. Sa jeune Phlox Violette pouvait ainsi savourer pleinement sa rêverie, personne ne viendrait la déranger.
Pourtant sa sérénité se troubla et elle eut un petit mouvement brusque. Sa parenthèse de quiétude venait de se briser. Elle fit mine de se réveiller et ses paroles attestèrent que son esprit ne s'était pas encore focalisé sur la réalité ambiante puisqu'elle le confondit avec son père et l'avertit qu'elle ne le pardonnerait pas avec un simple chocolat chaud.
- J'espère bien! affirma la voix du jeune homme avec douceur.
Comment osait-on faire attendre une demoiselle au point qu'elle finisse par s'endormir sur la table d'un café, seule. La faute était plus sévère lorsqu'on parlait d'un être issu de sa chaire! Les temps, qui courraient, semblaient obscurs. Ce n'était pas le meilleur moment pour délaisser un trésor aussi précieux qu'une fille issue de son sang. Rayder avait un peu de mal à appréhender la situation exacte dans laquelle se trouvait le monde des sorciers. Après tout, les ténèbres ne cherchaient pas vraiment querelle à un vampire, mais il rendait compte que les créatures les moins recommandables se réunissaient. C'était toujours mauvais signe. Qui plus est, il savait que Celui-Dont-Il-Ignorait-Le-Nom était de retour. Ce sujet était sur les lèvres de tellement de gens que son ouie sensible avait pu percevoir ce fait.
Il s'aperçut qu'elle venait de se rendre compte de sa méprise en s'enfonçant dans la banquette avec un air plus que surpris, quasiment une peur passagère. Un voile de tristesse passa sur son visage, mais il l'effaça aussitôt pour reprendre son sourire avenant et tendre. Il était bien plus grand qu'elle et elle ne le connaissait pas. Elle aurait certainement cette réaction avec n'importe quel sorcier ou moldu. Du moins c'était de cette manière qu'il préféra se rassurer. La demoiselle accepta tout de même l'offrande qu'il lui avait faite puisqu'elle entama la boisson chaude, puis le remercia.
- Tout le plaisir est pour moi, petite fleur. Vous pouvez même avoir le mien si vous le désirez, je pense que vous avez plus besoin que moi de vous réchauffer.
Le jeune homme avança doucement sa tasse en sa direction. En fait, il était bien ravi de s'en débarrasser de façon utile. Le chocolat n'avait rien de nourrissant pour lui, il ne constituait même pas un apport d'énergie. De plus, depuis sa mort, il n'était plus trop sensible aux écarts de température, les seules raisons pour lesquelles il n'est pas en maillot de bain en cette période de l'année: primo, il aurait l'air ridicule dans cette tenue alors qu'il était à des kilomètres de la plage; secondo, parce que les gens auraient tôt fait de se rendre compte qu'il y avait baleine sous caillou avec lui. Non, cette boisson ne présentait aucun avantage. Il était toujours heureux, lorsqu'il partageait une table, de donner à son voisin la boisson qu'il achetait afin de ne pas paraître étrange dans ce monde de consommation qu'étaient les bars et les cafés.
L'enfant le détailla un moment, semblant en même temps fournir un effort de réflexion. Il finit aussi par se demander s'il avait eu un geste malheureux qui amènerait à s'interroger sur lui, la réalité de son être ou ses intentions. Aussi fut-il presque soulagé lorsqu'il apprit ce qui tracassait la jeune fille.
Son nom n'était pas un mystère. En fait si un peu. Il ne donnait jamais son vrai nom et donnait celui de Jones, un nom tellement répandu que personne ne s'embêterait à tenter de retrouver sa plausible famille. Il était toujours ravi de le donner aux dames. C'était une impolitesse de ne pas le donner en premier, mais c'était une impolitesse doublée d'un manque de tact que d'imposer son nom à une dame. Aussi entre deux mots choisissait-il toujours le moindre, préférant s'excuser d'un possible oubli plutôt de se montrer rustre envers le beau sexe.
Il se leva pour s'approcher de la banquette de son interlocutrice et posa un genou à terre. Il approcha sa main de la sienne et l'amena vers lui pour l'effleurer de ses lèvres dans un baisemain dans les règles de l'art. Le vampire a sa main sous celle de l'enfant afin de l'amener à lui, si celle-ci ne désire pas le laisser faire, elle a juste à relever la main. Il lui adressera alors un simple sourire courtois afin de notifier que son geste ne le blesse pas. Après tout, il ne forçait la main de personne.
- Je me nomme Jones, Rayder Jones. Je ne crains que nous n'ayons pas été présentés l'un à l'autre avant, charmante demoiselle. Mais si le ravissant Plox violet, dont la signification vous sciait à merveille, désirait se présenter, je veillerais à ne jamais vous faire l'affront d'oublier votre nom.
Le jeune homme releva son regard vers elle, attendant patiemment qu'elle décide de son sort: continuer ainsi dans l'ignorance de son nom ou lui accorder le privilège de le connaître?
MOTS: 926
Désolé, on ne compte pas les créatures/les adultes. Mais merci ^^ |
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Ξ Sujet: Re: Attente interminable |PV : Rayder| | |
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