Hi ! || LIBRE ||

Si elle était sûre pour ses parents ? Helena savait une chose, ses parents étaient des amours, deux personnes adorables qui s'aimaient follement et qui aimaient leurs deux enfants. Surtout leur fille bien sûr attendez eh ! Elle était magnifique ! #SBAAAFF# Oui bon pour être honnêtes, la jeune Gryffondor connaissait ses parents. Et ils étaient toujours heureux de recevoir les amis de Helena chez elle. Et si jamais il s'agissait de quelqu'un à problème, ils l'accueilleraient à bras ouverts ! C'était ça qu'elle aimait chez eux et son frère et elle savaient qu'ils pouvaient compter sur monsieur et madame Smith. Donc oui elle était sûre. Ils accepteraient c'était certain ! Surtout si c'était son petit ami ! En plus dès qu'ils le verraient, ils allaient l'adorer et là, ça serait encore plus géniale !

Bien sûr qu'il ne dérangerait pas ! Comme si c'était possible ! Elle serait aux anges de le voir tous les jours. Bon bien sûr, ils ne dormiraient pas ensemble hein, il ne fallait pas non plus trop en demander à ses parents parce que sinon, ça allaitde un jaser et en plus de toute façon, jamais ils n'accepteraient. Surtout qu'elle n'avait que douze ans quoi ! Pis bon, même si pour elle ce n'était pas choquant parce que dans son esprit innocent et pure, il n'y avait pas de penser de ce côté là, ben... Ca serait impossible. M'enfin il serait quand même sous son toit et ce, même si son frère se mettrait à râler bien sûr, il ne manquerait plus que ça tiens !

- Mais non ça ne serait pas effronter. Je ne fais que t'aider et ça ne dérangera pas du tout mes parents.

Helena sourit lorsqu'il lui dit qu'elle ne devait surtout pas arrêter de parler parce que c'était son air. C'était mignon de dire ça, surtout que ça semblait vraiment sincère chez lui alors c'était encore plus mignon et touchant.

- Je t'aime vraiment Friedrich.

Ils avaient l'air malin tous les deux à tout le temps se dire qu'ils s'aimaient. M'enfin bon après tout pourquoi pas hein ? C'était tout mignon et de ce fait, on ne pouvait alors que l'envier non ? Il fallait arrêter, elle avait des amis fantastiques, mais au niveau coeur, c'était encore mieux. Là, à ce stade, pour elle, c'était parfait. Tout simplement. Vraiment parfait. Elle n'aurait d'ailleurs jamais pu imaginer un petit ami mieux que lui. Et elle savai une chose, elle ne se remettrait jamais de le perdre. Elle l'aimait bordel, elle l'aimait plus que tout.

Lorsqu'il lui demanda si elle croyait qu'ils seraient vraiment d'accord, elle ne put s'empêcher de sourrie. Peut être qu'il finirait par lui dire qu'il voulait bien ! Ca serait génial vraiment ! C'était ce qu'elle voulait ! Bien sûr, en général, elle passait un agréable moment avec son frère hein. En même temps, quoi de plus normal hein ? Mais s'il y avait Friedrich, non elle le laisserait pas. Son jumeau aussi était un être qui comptait pour elle. D'ailleurs, pour tout dire, c'était un être des plus important à ses yeux. Mais elle savait faire le juste milieu.

- Ils seraient méga d'accord. J'ai une chambre d'amis Friedrich alors il n'y a aucun problème. Bon dans ma chambre, ils auraient été moins d'accord et dans la chambre d'Hayden, je t'aurais déconseillé, mais on a une chambre d'amis et c'est cool non ?

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Tous comptés
Fried - 591
Voltiflor

Il était complètement touché par son enthousiasme. A dire vrai, il aurait été un morceau de sucre et elle de la pluie, elle n’aurait eu besoin que d’une goute pour le faire fondre complètement. Il trouvait toujours l’idée à mille lieue de l’attitude qu’on lui avait appris à avoir, même s’il avait parfois du mal à s’y cantonner, mais elle semblait tellement convaincue que sa maison à elle était ouverte pour lui, qu’il n’osa pas ouvrir la bouche pour protester, faire machine arrière. Puis en y réfléchissant bien, c’était l’occasion parfaite de passer tout son temps avec elle, loin de ses soucis à lui. « Tu es un ange Helena, sincèrement. » Murmura-t-il.
Puis elle commença à lui expliquer qu’ils ne pourraient pas partager la même chambre. A l’idée même, il se mit à rougir violement et lâcha tout de suite les mains d’Helena, s’éloignant un peu sur le banc « No-no-non ! Je… C’est pas pour… Oh mon dieu ! Tu crois que… Ils penserait que je suis un pervers ! » La bouche ouverte, il bafouillait le peu de mot qui lui venaient à l’esprit, tellement ça le troublait d’avoir juste pensé pouvoir avoir la même chambre que la fille qu’il aimait. Bien sûr qu’il y avait déjà pensé, bien entendu qu’il n’avait qu’une envie, après tout, même fleur bleue, c’est toujours un mec, mais dans ce contexte, c’était totalement hors de question. « Non non, la chambre d’ami ira très bien » Réussit-il à articuler, alors qu’il avait viré au blanc pâle et fantomatique. Il tremblait presque de peur. Il avait pourtant l’habitude qu’Helena soit enjouée, mais parfois les effets étaient assez dévastateur sur le garçon.
« Je… Je vais te laisser, ma douce. Il faut que… Je vais aller écrire cette lettre… et l’envoyer. » décida-t-il. Pas qu’il veuille désormais la fuir, loin de là, mais après tout, cette lettre était une affaire entre lui et ses parents, et il devait l’écrire seul. « Tu mas beaucoup aidée, je t’en remercie énormément » dit-il en lui déposa un chaste baiser sur le coin des lèvres. Ben ouais, il avait l’air d’avoir reprit contenance, mais à l’intérieur c’était encore la tempête. Bon en fait non, il n’avait pas reprit le dessus du tout sur son agitation, ça se voyait à sa démarche, encore plus maladroite qu’avant.

Une fois rentré à son dortoir, il lui fallut encore une bonne heure pour se calmer définitivement. Il avait presque eu envie de parler franchement d’Helena dans sa lettre, et de dire que c’était avec elle qu’il voulait passer sa vie, mais il s’abstint, et ne mentionna pas son nom, même s’il sous-entendait très fortement qu’il avait trouvé quelqu’un pour lui, mieux que la fille que ses parents lui avaient proposée. Il n’oublia pas de leur dire ce qu’il pensait sur cette tradition vieille et stupide, et à quel point elle était mauvaise pour leur couple à eux, et combien elle serait encore plus mauvaise pour lui et sa sœur. Parce que oui, par égoiste pour un sous, Fried avait aussi inclus Fred dans sa lettre, en espérant ainsi pouvoir gagner chacun de ses parents. Lui toucherait sa mère, elle toucherait leur père. Peut-être ainsi changeraient-il d’avis et ne seraient pas aussi énervés que ce qu’il prévoyait.

Ou pas…