C'était par une journée ensoleillée. Oui, encore une. En effet, il faisait de plus en plus chaud, de plus en plus beau et chaud. On sentait vraiment que les vacances, les aurevoirs, les examens et tout le tralala de la fin de l'année approchait à grand pas. Aly' avait hâte aux vacances, ça c'est sur, c'est comme tout le monde quoi. Mais questions examens et adieux, ce n'était pas son point fort. Bien qu’elle en ait jamais fait, cela ne lui plaisait pas trop de devoir dire aurevoir à ses amis, et à son école, bien qu’elle n’aime pas trop les études.
En ce matin de week-end, Aly’ était en pleine forme, bien qu’elle n’ait presque pas dormi la dernière nuit. Il était huit heures du matin lorsqu’elle se réveilla. La plupart des filles de son dormir dormaient encore, la Gryffondore n’ayant pas l’habitude de faire la grasse matinée. Alyson se leva donc hors de son lit, puis se dirigea vers ses vêtements, à seulement quelques pas de l’endroit où elle dormait. La Gryffy’ enfila une simple paire de jeans, de jolis petits souliers, ainsi qu’un t-shirt jaune et un pull turquoise qu’elle enfila par-dessus. De toute façon, plus tard dans la matinée, elle savait qu’elle aurait à l’enlever, la chaleur étouffante l’attaquerait bientôt. Après avoir jeté un léger coup d’œil dans le miroir, histoire d’être présentable, Aly’ se rendit à la Grande Salle, histoire de manger un p’tit quelque chose. Miss Morris n’avait pas vraiment faim, mais il fallait bien qu’elle mange quelque chose.
Ayant maintenant terminé, la p’tite Gryffy’ sortit à l’extérieur du château, saluant les gens qu’elle connaissait au passage. Sentent les doux rayons du soleil frôler son visage, Aly’ était maintenant aux anges. En effet, le soleil, c’était ce qu’elle appréciait le plus au monde. Enfin, presque. C’est ainsi qu’elle marcha, puis s’adossa contre un arbre, attendant je ne sais quoi. Puis, elle entendit un bruit derrière elle, m’enfin, derrière l’arbre. Elle se leva donc en vitesse, brandit sa baguette criant un gros « Roaw! » à la personne qui, selon elle, l’espionnait de l’autre côté de l’arbre.