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 Résumé du Cours de Sortilèges n°1, Les Limites de la Magie

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Ξ Sujet: Résumé du Cours de Sortilèges n°1, Les Limites de la Magie   Résumé du Cours de Sortilèges n°1, Les Limites de la Magie EmptyMer 22 Juil - 14:31

Résumé du Cours de Sortilèges et Enchantements n°1 :
LES LIMITES DE LA MAGIE.



Intrigue :

Arrivée des Elèves en Cours de Charmes.

36 rentrées. Cela fait 36 rentrées à Poudlard que vit notre petit professeur Flitwick, toutes aussi différentes les unes des autres, mouvementées, tranquilles, acerbes, opprimées, surveillées, contrôlées, ou complètement farfelues, comme c’est le cas de celle-ci, qui s’annonce riche en nouveautés. Aussi, le cours de charmes ne tarde-t-il pas à démarrer sur les chapeaux de roues, alors que les élèves arrivent par petits groupes et se mettent à bavasser joyeusement. Haven Clarks, nouveau préfet des Gryffondors, se voit mystérieusement interpellé par la jeune Laura Thinkingen, alors que la jeune Ethele Val se précipite vers les places du fond, en ruminant contre cette nouvelle et étrange « assistante du professeur ». En effet, Susan Bones, ex-poufsouffle, s’est découverte une passion pour l’enseignement, et c’est elle qui assistera le vieux Flitwick dans ses cours, mais de quelle manière, ça, personne ne le savait. Allait-elle le faire asseoir dans un coin de la classe avec un kit pour faire pousser des verrues, parce qu’il faut avouer que si le feu est allumé, le chaudron commence lui à se vider pour le pauvre bougre, ou alors serait-ce l’inverse, serait-elle la première victime d’un esclavage d’un nouveau genre ? Suivant de près la jeune Serdaigle, Emma Carter entre dans la classe de sortilèges, précédée par Sophie Kirte, toutes deux s’installant en silence, alors qu’arrivent, oui monsieur, deux Serpentards, l’un, Mark Benz s’intéressant tout particulièrement à la jolie Emma, l’autre, Siegfried Léthé, complotant contre le vieux Flitwick et son assistante.
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Ξ Sujet: Re: Résumé du Cours de Sortilèges n°1, Les Limites de la Magie   Résumé du Cours de Sortilèges n°1, Les Limites de la Magie EmptyMer 22 Juil - 14:36

Résumé :

Professeur Flitwick : Après un rêve complètement farfelu et chevaleresque, comportant entre autre la victoire écrasante de la noble et grande maison Flitwick sur les affreux Serpentards, il est temps pour notre cher professeur de prendre la direction de sa salle de cours, après des péripéties quelque peu extravagantes durant le déjeuner, comportant certaines histoires de toast volant et autre disparition de porridge. C’est avec joie qu’il reprend ses cours, attendant avec impatience la venue de son assistante, Susan Bones, et de ses élèves pour un cours sensationnel !

Haven Clarks et Laura Thinkingen : Premier arrivé, le célèbre Haven Clarks, nouvellement nommé préfet de Gryffondor, file s’asseoir après avoir salué comme il se doit le vénérable Flitwick. Impatient de s’activer les neurones et d’agiter sa baguette en tous sens, une note mélancolique vint nuire à son enthousiasme matinal, à propos de cette affaire complexe et terrible entre Mrs Rowle et lui-même, et puis de son amour de toujours, Cherise Rowle. Il sortit soudain de sa torpeur lorsqu’une jeune Gryffondor, seule et elle aussi mélancolique, ayant perdu au cours de la bataille de Poudlard l’un de ses seuls amis, Colin Crivey, et éreintée d’avoir du se cacher, d’avoir du vivre dans la méfiance et la prudence de chaque instant, lui adressa la parole. Il s’agissait bien entendu de la fidèle Laura Thinkingen, pleine de gratitude pour Flitwick, qui lui avait fourni de faux papiers, et qui, après s’être longuement interrogée sur la confiance qu’elle pouvait ou non accorder à Haven, lui demanda d’une voix douce si elle pouvait avoir une conversation avec lui à la fin du cours. {En Attente d’activité de la part d’Haven}

Emma Carter, Mark Benz, Mike Con’Rad et Théophile Mandrake : Emma Carter, un peu stressée d’assister au cours de l’empoisonneur Flitwick, maître ès assassinats par gâteau au chocolat transgénique, est l’objet de bien des convoitises. D’un côté, Mark Benz, un jeune Serpentard tombé sous le charme d’Emma, bégayant vaguement et très gêné, s’enfuyant après une ode ratée derrière un rouge honteux, de l’autre, le terrible et faraud Mike Con’Rad, assuré, paradant, se donnant en spectacle en interpellant le maître des sorts, qui ne tarde pas à prendre place juste à côté de celle qu’il a rencontré dans l’infirmerie et croisé à nouveau dans les couloirs. C’est avec étonnement qu’Emma accueille les compliments incompréhensibles de Mark, vite chassés par l’arrivée triomphale de Mike, et l’arrivée pour la moins pimentée de Blodwyn, pourchassée par un Peeves déchaîné. Mais comment ils font tous pour être de bonne humeur, se demandait la jeune Serdaigle. Tous ont pris place au milieu, pas trop près du bureau professoral, histoire que leurs premières tentatives, si elles étaient trop foireuses, ne parviennent pas ni aux yeux ni aux oreilles du professeur Flitwick. Emma ne tient pas à voir la petite lueur d’encouragement dans les yeux de son professeur virer à un océan d’indifférence profonde pour une Serdaigle incapable de faire apparaître un cheval devant elle dès la première tentative.

Cette peur de l’échec n’est pas sans lien avec la rude concurrence qui anime les rapports entre Sophie Kirte et Mike, qui reste vaincu par la blairelle à la cervelle bien remplie, alors qu’un prototype de Mike version plus âgée débarqua dans la salle : Théophile, le désormais célèbre boute-en-train entrain de finir un bon magazine au fond de la classe, et brillant ensorceleur. Des paroles échangées à propos des vacances, une arrivée au moins aussi bruyante que celle de Mike, digne héritier, des présentations nécessaires entre Emma et Théophile, et un dernier sujet pour le moins étrange rythment cette joyeuse bande : Susan Bones, ex-Poufsouffle, fait son apparition dans la salle de classe, ouvertement terrorisée, aussi mal à l’aise que l’on peut l’être. Mais qu’est ce qu’elle vient faire ici, celle-là, Flitwick n’a quand même pas besoin d’une assistante ! {En attente d’activité de la part de Théophile et Emma}.

Ethele Val, Enry Stanley et April Coelen : Aussi loin que possible de l’enthousiasme que manifestaient les autres élèves en pénétrant dans la salle de classe de sortilèges, Ethele Val était, elle, profondément désolée et énervée. D’abord quelle idée d’inventer un cours où il fallait être concentré, non mais je vous jure. Force étaient de son accablement les notes de cours semblables à des brouillons écrits à une heure tardive après une journée épuisante, mais aussi des éternels « Miss Val, vous faîtes brûler les sourcils de votre camarade » lors des cours sur la lévitation. En plus, se ridiculiser avec un bout de bois stupide qui ne comprenait rien devant une assistance aussi nombreuse que persifleuse, mon dieu, l’humiliation par excellence. Et puis il y avait cette Bones, « assistante du professeur », qui allait à tous les coups s’exclamer qu’elle devrait retourner en 1° année et qui se moquerait ouvertement de ces piètres performances, que ce soit par un petit rire sec et doucereux, ou bien par un grand éclat de rire et un exposé en dix points de pourquoi Ethele Val était si lamentable en cours de sorts.

La jeune April Coelen, victime malheureuse d’une des nombreuses représentations tout public de Mike Con’Rad, vint extirper la Serdaigle de ses ruminantes pensées, s’asseyant à côté d’elle, mais le silence retomba vite entre les deux camarades : et pour cause, l’agacement et la tension d’Ethele semblaient produire, aussi loin du métaphorique que possible, de véritables volutes de fumées noires d’incendies. Non mais quelle impolitesse, ces Poufsouffles, c’en était trop pour ce noble cœur discipliné qui rappela promptement à l’ordre ce groupe bien trop chahuteur. Une préfète parmi eux, en plus ! A peine stressée (du genre je ne sers pas du tout ma baguette comme un étau, mais non, voyons !), elle voulut lancer un regard glacial à une Bones jusqu’alors parfaitement ignorée (« qui me parle, je n’entends rien, lalala »), qui se transfigura en un sourire aussi proche que possible d’un encouragement, ponctué d’un clin d’œil. Cet air de chien battu sur le visage de Bones n’était pas sans lui rappeler son propre malaise en société, et semble mettre à mal sa théorie de Bones est la pire des pimbêches sur Terre.

Heureusement, pour faire passer le goût des banderoles « Susan est la meilleure » *et pourquoi moi je n’en ai pas des « Ethele est la meilleure » d’abord ?*, tel un ange descendu du ciel, Enry Stanley fit son apparition, après avoir été retenu par la bibliothécaire. Après un périlleux périple pour parvenir dans le Saint des Saints, alias le département des Enchantements, et plus particulièrement la classe de Sortilèges, comprenant embouteillages et autres dédales de couloirs, le jeune et beau Serdaigle se précipita vers Ethele, ravi de n’avoir rien manqué du cours. Malheureusement, les places immédiates à côté d’Ethele sont déjà prises, seule solution, s’asseoir sur le même rang qu’elle et lancer d’un ton guilleret : « Salut Ethele ». Gloups, on dirait qu’il n’est même plus dépressif, le gamin, songea Ethele, à demi heureuse de la manifestement curative discussion au bord du lac, rageant contre ses voisines empotées, les gougnafiers de derrière, et ce cours qui se transformait en dernier salon de thé à la mode, bref, en mode petite vieille bougonne. Il me snobe, pensa la chevelure rousse, atterrée de l’attitude d’Enry, alors qu’elle cherchait désespérément une petite attention sympathique à l’égard de ce grand Serdaigle introverti : et quelle meilleur sujet de discussion que le cours de sorts… {En attente d’une réponse d’Enry, April n’est pas intégrée à l’action : il faut y remédier}.

Siegfried Léthé et Susan Bones : Installé à côté d’un de ses amis, Siegfried profitait d’un recoin sombre pour déblatérer moult calomnies envers le pauvre et inoffensif professeur Flitwick, médisant sur sa taille, sa nouvelle fonction de Directeur adjoint, et puis aussi sur bras gauche (Susan oblige…), ladite « assistante du professeur », Miss Bones. La pauvre allait, si l’on en croit les bavardages moqueurs des deux Serpentards, souffrir dès son premier cours d’un bizutage sans précédent dans l’histoire de Poudlard (déjà que Flitwick n’avait pas d’autorité…).

A croire que Siegfried avait bu du Félix Felicis avant de venir en cours de sortilèges, Susan, hantée par des cauchemars où elle se rate lamentablement devant une assistante malencontreusement transformée en crapauds, prête à retourner à Poufsouffle (le supplice =P), est littéralement tétanisée au milieu de la salle, stressant sec et proprement. Heureusement, un groupe de Poufsouffle absolument fans de Susan ne tardèrent pas à entrer dans la salle, banderoles de soutient en berne, bien que l’assistante en question balise dur sur les différents scénarios catastrophes qui s’offraient à elle (« Alors, Bones, test 1 : les boulettes de parchemins. A trois, vous devez résister à une classe déchaînée qui organise la troisième guerre mondiale en cours de sorts. Trois ! BOUM ! Bones ? Bones, vous m’entendez ? »). Acheter un dragon de compagnie à Hagrid pour faire peur aux élèves récalcitrants (« Apprends ! » « Roooooar ! » « Apprends ! »), ou une plante carnivore particulièrement effrayante (« Ca, c’est Bethsabeth » « Bonjouuuur Bethsabeth ! » « Bethsabeth n’a PAS mangé sa tonne de chaire fraîche ce matin, et nous avons toute une leçon à faire sur la disparition partielle » « Ah, et bien, heu, ouuups, j’ai la grippe A *kofkofthreu* »), l’imagination déchaînée de la pauvre assistante est bientôt dérangée par un autre cas non moins inquiétant : Flitwick, heu, je voulais dire Siegfried ! Car le vicieux cobra n’hésite pas à piquer là où ça fait mal, en vrai Valmont, un éloge mordant qui dissimule une affreuse mise en garde et avant goût piquant : Susan va connaître son malheur, plus d’ailleurs qu’elle ne saurait l’imaginer ! Keep your finger crossing, dear Fufan !
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