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 Rien ne sert de courir... (Pince versus Bones)

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Ξ Sujet: Rien ne sert de courir... (Pince versus Bones)   Rien ne sert de courir... (Pince versus Bones) EmptyLun 30 Nov - 1:42

Suite à quelques péripéties ( https://hp-hogward.actifforum.com/bureau-du-professeur-flitwick-et-de-son-assistante-f86/scene-de-jalousie-susan-et-peut-etre-filius-t10188.htm#311996 ), Irma Pince courait donc comme une dératée dans les couloirs, serrant contre son cœur deux baguettes, et poursuivie par Susan Bones, assistante du professeur Flitwick.

Dans un premier temps, la bibliothécaire exultait littéralement d'avoir subtilisée à la mécréante sa baguette, toutefois elle déchanta rapidement. Irma Pince avait de fiers outils sur lesquels elle savait pouvoir compter: une solide mémoire, une culture conséquente, une rigueur inégalée... las, les talents sportifs n'en faisaient pas partie et une vie dans l'ombre calme des bibliothèques n'avait pas prédisposée Irma à des prouesses telles que battre au 100 mètres une donzelle dans la force de l'âge, motivée qui plus était par la perte de sa baguette. Susan se rapprochait dangereusement...

Keuf. Keuf. Irma n'était pas spécialement âgée, comme le semblaient croire les crétins les élèves qui lui parlaient fort parfois comme on le fait à sa grand-mère sourde de 90 ans. Elle était plutôt entre deux âges, terme vague s'il y en eut, et devait plutôt à la sévérité de son visage et à l'aspect desséché de son corps étiolé le vieillissement précoce de son aspect.

Toutefois, Irma sentait qu'elle faiblissait. Elle avisa alors les deux baguettes qu'elle emportait. Elle en brandit une au dessus de chacune de ses épaules cagneuses pointues de ses épaules disais-je, et fit (coup double) le sol se couvrir derrière elle d'une épaisse couche de glace (sortilège informulé X 2) sur lequel Susan fit soudain du surplace en courant parce que ça glissait.

Ha ha ha. La vie d'Irma avait peut-être été jusque-là trop austère.
"Que nous sert l'Etudier
Sinon de nous ennuyer
Et soin dessus soin accroître
A nous qui seront peut-être
Ou demain ou ce soir
Victime de l'Orque Noir
De l'Orque qui ne pardonne
Tant il est fier à personne?"
(Ronsard, "Odes")

Soudain (CLIC), un déclic se fit jour dans l'esprit d'Irma (qui était remise de sa chute, elle avait la tête dur, les lapins ne volaient plus, ai-je omis de le préciser?). Un déclic donc: QUI avait le double de baguettes, le double d'âge, le double d'expérience et de sortilèges à disposition? POURQUOI et par quelle aberration était-ce Irma qui fuyait devant Bones? Irma s'arrêta net. Twisted Evil Fit demi-tour, et courut en sens inverse en direction de cette morue assistante.

Susan, pur réflexe en voyant la furie foncer sur elle, tourna les talons, et les deux femmes coururent, la vieille en pleine maturité poursuivant cette fois la jeune sur la glace, ce qui les plaçait tout de même l'une comme l'autre en équilibre précaire.
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Susan Montgomery-Bones
Susan Montgomery-Bones
Directeur Poufsouffle

Parchemins : 1823
Âge : 35 printemps (21 juin 1980)
Actuellement : Professeur de sortilèges
Points : 0


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RELATIONS:
SORTS & ARCANES:
GALLIONS EVENT: 2
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Ξ Sujet: Re: Rien ne sert de courir... (Pince versus Bones)   Rien ne sert de courir... (Pince versus Bones) EmptyLun 30 Nov - 16:23

Alors que Susan s'efforçait de rattraper Irma, il lui vint à l'esprit que, si les copies déchiquetées n'avaient pas suffi à la faire renvoyer, cette course poursuite se chargerait bien d'alourdir la liste de ses méfaits. Elle avait piqué la baguette d'un élève, elle poursuivait la très vénérable bibliothécaire et en plus - Ouh Bon Dieu ! - elle avait laissé la porte du bureau de Flitwick grande ouverte. Honnêtement, au stade où elle en était, elle pouvait tout aussi bien lever "sa" baguette pour lancer un sort dans le dos de Madame Pince, non ? Oui mais voilà : Susan était une Poufsouffle. Une vraie. Et une Poufsouffle n'attaquait pas en traître un adversaire, si terrible fût-il futil aha. Tant qu'Irma ne se déciderait pas à agir à la loyale, Susan était condamnée à la poursuivre à travers les couloirs, en priant pour que MacGonagall - ou pire, Flitwick - ne leur tombe pas dessus. Notez, au moins, s'ils intervenaient, elle n'aurait plus à s'exploser les poumons dans une course infernale ! Car si Susan avait l'avantage de la jeunesse, les années d'études ne l'avaient pas plus préparée que la bibliothécaire au sprint de la mort. La rouquine était d'ailleurs toute rouge et elle semait derrière elle des dizaines de petits confettis, tel le Petit Poucet revanchard.

- Mada... Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Elle avait pensé tenter quelque chose comme : "Je sais qui a déplacé les livres de Lasornette !", dans l'espoir que la fibre bibliothécaire d'Irma la sommerait de s'arrêter net pour entendre les révélations que Susan avait à lui faire, mais elle n'en eut pas le temps.
Irma avait visiblement nettement moins de scrupules qu'elle à se montrer déloyale ! Avant même qu’elle n’ait eu le loisir de réaliser ce qui lui arrivait, Susan dérapa (de manière pas contrôlée du tout) sur une immense plaque de verglas et elle ne dut sa survie qu’au tableau de «Patabouerg, roi Troll Patachon». La rouquine s’accrocha désespérément au cadre de la peinture pour ne pas se retrouver les quatre fers en l’air tandis qu’un affreux rictus de perplexité effrayée déformait ses traits.
Non mais franchement ! Maintenant, Pince ajoutait la dégradation de l’école à la liste de ses méfaits. Les méfaits de Susan. Pas ceux d’Irma. Car dans l’esprit de la jeune femme, il était très clair que jamais Flitwick ne témoignerait contre sa belle douce et MacGonagall, quant à elle, préférait certainement innocenter une bibliothécaire sortie du même moule austère qu’elle plutôt qu’une jeunette encore assistante.

*Si je tenais le petit malin qui me l’a mise dans cet état…* songea-t-elle sombrement, tout en s’efforçant de retrouver son équilibre.

Susan lâcha précautionneusement le tableau et commença à pédaler sur la glace pour avancer… De deux centimètres à la minute. Arg ! Mais elle ne la rattraperait jamais à moins de glisser tout au long de la bande de glace, tel le pingouin maladroit qui vient de s’auto-crochepatter. Malheureusement, cette solution signifiait également de détruire sa dignité et elle avait mis trop de temps à acquérir le respect des élèves pour prendre le risque de briser des mois de travail en l’espace de deux secondes. Oui, parce que c’est toujours au moment où on aimerait être seul qu’un témoin inopportun se trouve sur votre chemin. Or, supprimer un témoin gênant, ça fout du sang partout, c’est dégueulasse et ça abîme le tapis. En plus, il paraît que les parents d’élèves tiennent à leurs gamins. Ce qui prouve bien qu’ils ne sont pas obligés, eux, de les supporter à longueur de journée.
Bien entendu, elle pouvait également faire fondre la glace d’un incendio bien lancé. Cela étant, cette solution ne semblait pas meilleure. En effet, la glace fondue allait tremper le couloir ce qui n’arrangerait pas sin cas ! Sans compter qu’on risquait de la taxer de grosse irresponsable, à produire du feu dans un couloir. Rhâ ! Pourquoi est-ce qu’ils n’avaient pas appris à changer un tableau moche en luge, en cours de métamorphose, hein ? Bouh, MacGonagall, bouh !

Fort «heureusement», Susan n’eut pas à résoudre ce cruel dilemme. Car si tu ne vas pas à Madame Pince, Madame Pince ira à toi. Hiiiiiiiiiiiii ! La vieille folle lui fonçait dessus avec plus de haine dans les yeux que le taureau lambda qui voit l’innocent lapin lui brouter son herbe. Hiiiiiii ! Elle allait mourir ! Dans un moment de panique pure, Susan fit demi-tour (de manière assez originale et plutôt raide puisqu’elle ne voulait pas tomber) et entreprit de courir en sens inverse. Elle avait moins de glace à parcourir qu’Irma mais la folie de cette dernière semblait lui donner des ailes.

*Hiiiiii ! Mais c’est pas vrai ! Mais c’est pas vrai ! A l’aide ! A l’assassinat ! Professeur Flitwick, M’sieur Rusard, venez retenir votre copine !*

Même feu Colin Crivey n’avait pas fait preuve d’un tel acharnement ! Et pourtant, lui, elle lui avait pété les dents au quidditch ! Il vint alors à l’esprit de la rouquine que jamais, non, jamais, Colin aurait fui l’adversité. Honte à elle, ancienne membre del’AD, qui avait combattu en juin dernier contre les mangemorts, oui, honte à elle, de s’enfuir devant une vieille femme totalement toquée et visiblement prête à tout pour l’éliminer ! A cette pensée, Susan stoppa net. Il était inutile de courir. Il fallait en finir maintenant ! Déterminée, Susan se retourna de nouveau pour faire face à Madame Pince :

- Bon, c’est fini, oui ? demanda-t-elle avec toute la fermeté dont elle était capable, comme si elle s’adressait à un enfant particulièrement récalcitrant.

En avant vers la mort, la gloire, ou les deux.
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Ξ Sujet: Re: Rien ne sert de courir... (Pince versus Bones)   Rien ne sert de courir... (Pince versus Bones) EmptyLun 30 Nov - 22:01

Irma faisait des moulinets des bras en essayant de courir sur cette fichue glace. Ses chaussures à talons n'étaient pas exactement adaptées à l'exploit. Ce que c'est que d'être féminine et dans quels dangers ça nous place, les mâles n'en ont pas idée.

D'ailleurs ce qui devait arriver arriva et Irma chut (du verbe choir) en avant sur la glace incroyablement dure et peu confortable. La joue sur la glace, les bras et baguettes inutiles coincées sous son corps rigide, les genoux sur la glace et le popotin le céant en l'air, elle continua de glisser vers Bones, emportée par son élan.

Le plus pénible tandis qu'elle cheminait ainsi fut sans doute de sentir que sa jupe s'était relevée sur son dos, exhibant un vêtement plus intime, que Pince n'avait pas pour habitude de montrer à qui que ce soit. Essayant de se rappeler quelle culotte elle avait mise ce matin-là, force lui fut de constater que c'était celle blanche dix années auparavant et raffistolée. Une culotte qu'elle aimait bien parce qu'elle était confortable, large, avec des grands élastiques là. Dire que Bones aurait vu sa culotte avant Fifi...

Sa glissade s'arrêta juste devant les chevilles de Bones, qui eut la courtoisie de ne pas l'attaquer pendant qu'Irma se relevait péniblement en essayant de prendre un air digne.
"Oui. Bon. Donc. Heu. Je crois être en possession de votre baguette.", fit Irma nonobstant le fait qu'il était difficile de nier qu'elle la lui avait chipée empruntée sans recquérir son accord formel. Elle la lui remit comme si elle en avait toujours eu l'intention, puis lui demanda poliment:

"Heu, hum, je souhaitais savoir... quelle est la nature de vos relations avec le professeur Flitwick? Vous comprenez, je demande ceci uniquement par souci de, hum, préserver les bonnes moeurs de notre prestigieuse école, où il serait certainement mal vu qu'une assistante ait un comportement dévoyé outrageux révoltant qui ne réponde pas aux normes de la plus stricte bienséance!"


Que dévouée était la bibliothécaire à son école! Elle-même en aurait bien versé une petite larme émue, mais elle attendait la réponse de Bones avec anxiété. La peste allait-elle avouer?
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Ξ Sujet: Re: Rien ne sert de courir... (Pince versus Bones)   Rien ne sert de courir... (Pince versus Bones) EmptyMar 1 Déc - 13:36

Si les joues de Susan avaient été rouges durant sa course, ce n'était rien comparé au magnifique écarlate qui avait germé sur son visage dès que Madame Pince avait commencé à glisser sur la glace. Oh Merlin. Madame Pince était tombée ! Pire ! On voyait sa culotte ! Et quelle culotte ! On sentait que le malheureux couvre-fesses en avait vu des vertes et des pas mûres. Et je ne parle pas des vergetures. La bouche grande ouverte, les yeux écarquillés, la rouquine regardait avec un air d'horreur fascinée le postérieur de la bibliothécaire. Gloups ! Si après ça Irma ne l'éviscérait pas littéralement sur place, c'était qu'elles avaient toutes les deux été transportées à BisounoursLand.

*Peut-être que si je faisais semblant de regarder ailleurs genre j'ai rien vu du tout...* songea-t-elle, sans pour autant parvenir à détourner les yeux de l'affreux spectacle qui s'offrait à elle. Pas de doute, après cela, elle allait en prendre pour cinquante ans de thérapie !

Mais la Poufsouffle avait de la chance dans son malheur déjà parce que pour l'instant, personne n'avait vu sa culotte Mon Petit Poney : au lieu de lui briser les chevilles en lui rentrant dedans, la vieille femme bibliothécaire vint finir sa glissade à quelques poils de nez des souliers de la rouquine. Huuum... Un bon coup de pied bien placé et paf, elle pouvait lui casser le nez là... "Ouuups, pardon Madame ! Je vous ai fait mal ? Je ne vous avais pas vu... Houlà, ça pisse bien le sang, dites donc... Mais a-t-on idée, à votre âge, de faire de la luge... Non, vous approchez pas, ma robe est propre, merci..."
Susan inspira profondément et serra un peu plus fermement la baguette réquisitionnée : cette fois, si Irma esquissait le moindre geste hostile, elle lui crèverait les yeux ! Au nom des copies déchiquetées !

*Ouais, c'est ça, relève-toi doucement... Doucement j'ai dit ! Et maintenant, tu te rends ou je tire sans sommation ! Aha ! On fait moins la maligne, hein !*

Les sourcils froncés, la mine déterminée, Susan surveilla d'un oeil circonspect la bibliothécaire tandis qu'elle se remettait tant bien que mal d'aplomb. Ouais ! Et elle pouvait toujours courir pour que Susan lui tende une main charitable ! Elle le connaissait, le coup du "Tiens, tu me tends la main, ben je te fais tomber !" On ne l'y reprendrait plus, à vouloir se montrer charitable !
Toutefois, alors que la Poufsouffle se préparait déjà à affronter Irma dans un duel à mort celle de la bibliothécaire, de préférence son adversaire lui tendit sa baguette. Pardon ? Mais ce n'était pas le script, ça ! Etait-ce une ruse digne d'un Serpentard pour endormir sa méfiance afin de mieux frapper ? Prudence, prudence...
De nouveau, la rouquine gratifia Pincette d'un coup d'oeil perçant avant de récupérer prudemment sa baguette. Irma était-elle réellement revenue à la raison, ou bien préparait-elle un nouveau coup foireux ?

La petite assistante n'eut cependant pas le temps de s'appesantir sur la question, car déjà Irma renchérissait, comme si rien de tout cela ne venait d'avoir lieu, et l'interrogeait - tel le Barnaby du dimanche soir - d'un air faussement détaché. Susan faillit en cracher ricaner tant la question lui paraissait ridicule et, avouons-le, franchement déplacée. Tout ça pour ça ? Bon diou, et dire qu'elle avait pensé que son entrée dans le monde adulte signait la fin des adversités amoureuses tordues !
Fort heureusement, la Poufsouffle se souvint à temps qu'elle avait affaire à une Madame Pince particulièrement redoutable lorsqu'elle était contrariée, et elle parvint à conserver tout son sérieux. D'ailleurs, la vision des parchemins déchirés, qui venait de lui traverser l'esprit, ne pouvait que l'y aider. Aussi répondit-elle d'un ton volontairement calme, comme si elle craignait de réveiller un volcan endormi :

- Mais... Madame Pince... Vous devez savoir que je suis son assistante. Je sers de cobaye pendant les cours suis là pour repasser les chaussettes apprendre à devenir un bon professeur, et le professeur Flitwick m'apprend les ficelles du métier et des caleçons. Mais vous savez bien, Madame, que je suis une fervente défenseuse de la bienséance. Souvenez-nous, Sydney Fawcett et moi traquions la dépravation, durant nos années à l'école... Vous pouvez demander à Seth rajouta-t-elle, dans l'espoir d'achever de convaincre cette parano de Pincette.

*La vache, elle en tient une sacrée couche, en fait !* réalisa-t-elle, avant d'adresser un sourire candide à Irma.
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Ξ Sujet: Re: Rien ne sert de courir... (Pince versus Bones)   Rien ne sert de courir... (Pince versus Bones) EmptyLun 7 Déc - 21:26

Irma toisa l'abominable vermine qui souriait d'un air faux absolument pas convaincant. Tsss... apprendre à être un bon professeur. Depuis quand une graine abîmée donne-t'elle un arbre somptueux? Si toi tu es une future enseignante de valeur, alors moi je suis, tiens, une girafe!

Irma raidit inconsciemment son long cou dans une attitude qui lui était familière, pencha la tête de côté, l'air songeuse, puis souriant de toutes ses dents (grrrrr, pour mieux les montrer), au risque de faire se fendiller sa peau sèche point trop habituée à ces démonstrations; elle dit:


-"Soit ! Je vous crois. Aussi, une demoiselle de votre âge ne voudrait pas mourir si jeune; j'aurais du m'en douter. Twisted Evil "


Elle prit le temps de regarder l'effet qu'avaient eu ses paroles sur le visage avenant et pas du tout ridé - quelle injustice! - qui lui faisait face, et dans les yeux candides si le message était passé, avec la diplomatie qui était coutumière à Pince.

Puis, elle ajouta:


"Continuez donc de prendre soin des tâches de confiture sur ses gilets que vous confie le professeur Flitwick. Mais tenez-vous sur vos gardes: je n'aime pas qu'on l'approche de trop près et je veille...

En ce qui concerne l'état de son bureau, je vous laisse le soin de tout remettre en état... c'est votre travail après tout. Twisted Evil Vous aurez la gentillesse pour que nous restions amies vous et moi de ne pas mentionner auprès de qui que ce soit -j'insiste: auprès de qui que ce soit - notre léger différend d'aujourd'hui."


Irma sourit encore, et sentant venir une autre crampe dans le creu qui lui servait de joue, elle préféra tourner les talents. L'incident était terminé. Pour aujourd'hui. Mais Irma avait bien l'intention de ne pas lâcher la donzelle. Elle disposait de suffisamment de sortilèges déclinés dans les centaines de milliers d'ouvrages de la bibliothèque, pour pouvoir surveiller discrètement cette... assistante et voir ce qu'elle entendait par l'usage de son métier. Irma serait comme son ombre, désormais...

S'éloignant de son pas rapide, sec et nerveux; Irma laissa Susan au travail qui l'attendait: nettoyer le bureau... et trouver une bonne explication pour les copies.

A suivre...
Twisted Evil
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