Samara était non pas descend prendre le petit déjeuné, mais elle était monter prendre son petit déjeuné. Les dortoirs étant dans les sous-sol de l’école, elle devait monter des escalier pour ce rendre à la grande salle, qui faisait office de salle à manger. Samara s’installa à la table des Serpentard, à une place libre. Il y en avait beaucoup à cette heure-ci. Samara était très matinal, elle voulait profiter de sa journée pleinement. Elle s’assit donc à une place qui n’était pas occupé, et près de laquelle il n’y avait pas de Serpentard à proximité. Samara posa les livres de cours qu’elle avait apporté avec elle, voulant les feuilleter avant les cours. Elle regarda sur la table et pris ce qui lui fessait envie, pour son petit déjeuné de cette matinée radieuse.
Un peu trop radieuse pour Samara. Samara n’aimait pas le soleil, elle allait donc passer sa journée à l’intérieur du château. A moins que le vent ne se décide à se déchaîner, pour ainsi amener les nuages et des pluies torrentielles. Samara aurait alors de quoi se réjouir. Si Samara était une jeune fille normale, elle aurait sûrement afficher un large sourire en pensant à cette idée merveilleuse. Mais ce n’était pas le cas. Aucune émotion ne s’affichait sur le visage de Samara.
Samara allait commencer sont repas, lorsqu’un hiboux entra et déposa un colis auprès d’elle. Samara regarda le colis et elle reconnu immédiatement l’écriture de sa mère. Elle en déduit que sa mère lui avait envoyé des livres à lire. Elle ouvrirait donc son colis plus tard. Et comme la dernière fois, il y aurait sûrement une lettre à l’intérieur de ses parents, à laquelle elle devrait répondre. Samara réfléchit un instant au contenu de sa future lettre. Car ses parents veulent sûrement savoir comment les études de leur unique fille se passaient. Samara soupira alors. Elle qui pensait vive un peu plus librement, sans toujours avoir ses parents sur le dos.
Samara rédigerait la lettre plus tard, pour le moment son estomac criait famine. Elle pouvait donc enfin commencer son repas. Tout en observant les élèves des autres tables qui riaient, s’amusaient. Samara, dégoûter par tant de joie et de décadence, préféra regarder son assiette.
*Comment peut-on vivre avec des êtres pareil! Cela me répugne!!*