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 Journal d'une exilée. Tosca.

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Ξ Sujet: Journal d'une exilée. Tosca.   Journal d'une exilée. Tosca. EmptyDim 8 Aoû - 18:05


Journal d'une exilée. Tosca. 2z6e8zr

Ecrire c'est aussi ne pas parler.
C'est se taire.
C'est hurler sans bruit.

Mme Dumas.


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Ξ Sujet: Re: Journal d'une exilée. Tosca.   Journal d'une exilée. Tosca. EmptyLun 9 Aoû - 0:44

Journal d'une exilée. Tosca. Iwqfiq Journal d'une exilée. Tosca. 33wsbrs

“ 24 Mai 2000, 15h30 „
" Mon dortoir, Salem."

Bizarrement, je crois que je n'ai jamais eu ma place à Salem. Ca peut paraître bien étrange dis comme ça, surtout que je ne m'en rends compte qu'aujourd'hui, alors que l'on vient de me mettre à la porte, dans le seul et unique but de me voir me mettre à pleurer peut être. J'ai toujours été quelqu'un de fort, je n'ai pas pleuré beaucoup de fois aussi. De toute manière, avec deux frères et uniquement sa mère pour trace féminine, on ne peut pas vraiment être une fifille ou ce genre de stupidité. Je n'en suis donc pas une. Et c'est peut être quand même pour ça que j'ai été renvoyé. Aujourd'hui d'ailleurs. Je suis encore dans l'école pour le moment mais je suppose que c'est seulement parce que je dois attendre le directeur maintenant. Oui, c'est lui qui me ramène. Alors petit journal, tu imagines bien que les conséquences vont être encore plus abominables, quand mes parents vont se retrouver en face du directeur, pour que ce dernier se mette à leurs dire ce que j'avais bien pu faire.

Le pire dans tout ça, c'était que mes actes découlaient d'un vulgaire pari que j'avais fait avec mes camarades. Je ne sais plus trop pourquoi, mais nous avions convenus que si je ne le faisait pas, je me retrouverai exclue. De toute façon, qu'important le sujet du gage, si je venais à perdre, et ils le savaient. Je n'avais jamais refusé le moindre défi et ce n'était clairement pas maintenant que ça allait commencer. Le problème c'était que cette fois-ci, pourtant, le plus sage aurait été de refuser. Au moins, je n'aurais pas été en train de boucler mes valises et d'écrire dans mon journal ( sur la première page en plus ) que je viens de me faire virer de Salem.

Je crois que c'est le moment idéal pour commencer à écrire dans ce cahier d'ailleurs. Non pas que je puisse vouloir ne jamais oublier ce jour, loin de là parce que les jours à venir promettaient d'être abominablement long. Non, disons que mon renvoi de Salem était le signe que j'allais changer de vie. De toute manière, j'y étais bien obligé. J'étais prise au piège. Expulsée d'une école en plein mois de mai. Vous n'imaginez pas comme c'est frustrant quoi ! Je ne sais même pas comment je suis censée faire. Dois-je aller dans une nouvelle école ? Est-ce que l'on voudra de moi ?

Et encore, ce n'est pas tant le fait que je me sois faite renvoyée qui me pose problème, c'est que malgré le fait que mes frères aient toujours été des sales mecs complètement stupides et n'obéissant à aucune règle, ils ne se sont jamais fait virer ! Alors imaginez la tête de mes parents quand je vais rentrer ! Tout ça pour une stupide blague, mais peut être que je n'ai pas choisi le bon jour, ni le bon professeur, voilà tout. Pour résumer, j'ai lancé un sort de crache-limace sur un professeur. De façon naturel et tout en plus ! Je l'ai croisé dans un couloir, alors que j'étais avec mes amis, je l'ai appelé et hop, le sort était parti. Mais il n'a pas apprécié, a filé chez le directeur et la sentence est tombée.

Oui parce que bon, il faut bien savoir que ce n'est pas la première fois que je fais ce genre de bêtise bien entendu, sinon, les choses auraient été bien trop faciles. Je suis ce que l'on pourrait appeler une jeune fille rebelle et énervante, qui ne veut jamais obéir ni rien. Et c'est vraiment le genre de chose qui tape sur les nerfs. J'ai déjà fait bon nombre de blagues dans l'école et je pense que c'était juste celle de trop. Donc voilà, je n'ai plus d'école, donc plus de courts. Je suppose que maintenant, je dois vraiment me prendre en main et qu'il faut quand même que je fasse quelque chose ! Je ne peux pas arrêter l'école à treize ans. Ce dont j'ai peur, c'est que mes parents se mettent à penser que la magie, ce n'est pas pour moi ! Et là, ça serait vraiment le drame. Genre le truc qui tue et tout ça ! Insupportable, détestable aussi. Non, je ne pourrais pas supporter. Mais après tout, ai-je le droit de me plaindre encore ?

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Ξ Sujet: Re: Journal d'une exilée. Tosca.   Journal d'une exilée. Tosca. EmptyLun 9 Aoû - 0:45

Journal d'une exilée. Tosca. 2gxid7a Journal d'une exilée. Tosca. 2818qk5

“ Même jour, 17h„
" Dans ma chambre "

Finalement, j'ai du coupé ma page de journal de manière rapide et sans prévenir, parce que la porte de mon dortoir s'est ouverte en grand sur une amie à moi. Elle avait pleuré. D'ailleurs, je n'étais pas très fière de moi et je ne le suis toujours pas d'ailleurs. J'ai un caractère dur et mes larmes ne viennent jamais. Je n'ai jamais pleuré ou alors si cela m'est arrivé, je n'en ai malheureusement plus le moindre souvenir. A la voir pleurer, comme ça, pour moi et donc, pour mon départ, je ne pouvais m'empêcher de me trouver stupide et détestable. Je ne pleurais pas moi, c'était comme si je me moquais de tout ça alors que bien sûr, c'était loin d'être le cas, mais je n'avais pas la moindre chance de le montrer, mis à part mes mots mais je n'avais aucune larme dans les yeux, c'était comme si je n'avais pas de très grande tristesse. Mais quand je lui en ai parlé, elle m'a assuré que si, cela se voyait dans mon regard. Que je ne pleurais pas mais que mes yeux étaient capable d'en faire pleurer plus d'un. Je l'ai serré contre moi, laissant donc ce petit journal de côté et nous sommes restées comme ça, à nous remémorer les années passées.

Elle a finalement dû me laisser, pour retourner en cours, et c'est pour ça que je peux à nouveau reprendre ma plume pour compléter quelque peu mes propos. Bien que je sache qu'il n'y ait plus grand chose à dire. Oh, on pourrait penser que mon écrit est celui d'une personne plus âgée, j'en ai bien conscience, mais du haut de mes treize années, j'ai une passion pour la jolie écriture, pour les mots qui s'emboîtent avec délicatesse et élégance. A quoi bon lancer les mots, les uns sur les autres et créer des phrases laides et sans véritables sens ? Je préfère écrire beaucoup, même si je pourrais peut être réduire tout cela en quelques phrases, l'écriture m'a, de toute manière, toujours permis de m'échapper. Et justement, c'est le trop plein dans lequel je me retrouve qui fait que j'ai vraiment eu besoin de commencer un journal. Aimer écrire et ne pas avoir de journal peut paraître bizarre mais je n'ai jamais paru, aux yeux des gens, être une personne bien normal de toute manière. Et je sais que ce n'est pas demain que les choses vont changer.

De nos jours, les gens se plaisent à critiquer, à juger comme bon leurs semble. On ne peut plus se permettre d'être soi même sans être obligé de subir la moquerie des gens. Et c'est d'un détestable en plus de ça... On critique la couleur de mes yeux, le rouge de mes cheveux, ma taille, ma minceur. Rien ne semble plaire aux gens. Et puis de toute manière, je m'en moque. Surtout que je me moque de déplaire à Salem maintenant. Je m'en vais.

Ca me fait mal. Mine de rien, je ne m'attendais pas à partir, vraiment pas. Je pensais que j'allais faire encore de longues années, que j'allais grandir avec mes amis et tout ça mais non, impossible puisque je suis la seule à devoir quitter les lieux. Et de toute façon, c'est normal, étant donné qu'ils n'ont rien fait. Et de toute façon, j'aurais tout subi sans rien dire. Je ne supporte pas de voir mes amis dans l'embarras, j'ai toujours préféré prendre pour eux.

Le directeur frappe à la porte. Nous allons partir. J'ai peur mais de toute façon, aucune autre solution ne s'offre à moi. Au revoir Salem, au revoir mes amis. Je ne sais pas ce qui m'attend demain.

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Ξ Sujet: Re: Journal d'une exilée. Tosca.   Journal d'une exilée. Tosca. EmptyLun 9 Aoû - 0:48

Journal d'une exilée. Tosca. 9hqkog Journal d'une exilée. Tosca. 34rvhi0

“ 24 Mai 2000, 21h30 „
" Ma chambre"

Finalement, les choses ne se sont pas passées comme j'avais pu y pensé hier. Du tout même. Mais je ne pourrais pas dire que je dis ça dans le bon sens du terme non plus. C'est tellement pire, plus abominable que ce que j'aurais pu espéré. Quand le directeur a annoncé la chose à mes parents, ils m'ont regardé comme ils ne m'avaient jamais regardé. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai senti que justement, quelque chose venait de se briser entre eux et moi. C'est peut être débile comme image mais pour autant, je ne peux m'empêcher d'y penser. Je sais que je ne susi pas la personne la plus formidable du monde, mais de là à me faire virer d'une école, je pense que mes parents n'y auraient jamais songé. Et voilà que je venais de le faire, et qu'en plus de ça, c'était le retour à la maison et tout ça. On est en mai, j'ai deux mois avant les grandes vacances, autant dire que ce n'est même pas la peine de trouver une école qui puisse vouloir de moi pour les cours qui vont me manquer.

Quand le directeur a annoncé qu'il était préférable que je cherche pour trouver une école qui me prenne en septembre, ma mère s'est mise à rire de façon amère, lâchant d'un ton froid que si je m'étais faite renvoyée, je ne pourrais plus trouver d'école et que de toute façon, si c'était pour se faire à nouveau virer, ça ne valait pas la peine. Ma mère avait toujours été la première pour me défendre, alors bien sûr que les choses se changent comme ça, ça me laissait perturbée. Je n'ai pas dit un mot, je n'ai pas cherché à me défendre parce que malgré tout, elle avait raison. Mais je voulais lui montrer que j'en étais capable. Mais je n'osais rien dire, je ne savais pas quoi faire et en plus de ça, je ne voyais pas comment je devais réagir. Mal, bien sûr, mais à quel point ? Devais-je me tourner vers la colère et la haine ? Ou vers la tristesse et la déception ? J'avais aussi l'option de l'abandon et de la lâcheté mais je n'étais pas capable de choisir cette voie-ci.

Je suis restée bloquée dans mon silence, encore et encore, n'osant pas en placer une, je ne savais pas ce que ça allait provoquer et faire profil bas semblait être la meilleure solution qui s'offrait à moi en plus de ça. Alors bon. Je n'allais pas faire autrement et de toute façon, je ne voyais pas d'autre choix possible. Même le directeur sentait qu'il y avait une atmosphère étouffante dans la maison. Il a posé une main apaisante sur mon épaule et est parti.

Ca peut paraître bizarre, mais j'ai toujours senti de la compréhension, de la gentillesse et de la chaleur, provenant du directeur à mon égard. Je pense qu'il m'aime bien. Oh bien sûr qu'il m'a renvoyé, mais on ne parle pas de la même chose dans ce cas. Si j'ai été renvoyé, c'est parce que j'ai fait bien des erreurs, et j'en ai déjà lourdement conscience bien sûr. Mais il ne pouvait pas faire autrement bien sûr, il n'avait pas eu le choix. Il ne pouvait pas faire comme s'il n'avait rien vu ni rien entendu, alors qu'un professeur était directement venu se plaindre à lui. Ca aurait été une faute professionnelle de sa part. Enfin bon, dans tous les cas, il ne l'avait pas fait, et j'étais bel et bien chez moi en plein mois de mai. J'aurais pu me montrer heureuse d'avoir des vacances plus longues, mais je sentais que l'air froid qui régnait dans la maison allait tout faire pour que le temps passe drôlement doucement.

Ce qui est énervant, quand on a deux frères sorciers, c'est quand l'un a 7 ans de plus que soi et qu'il ne vit plus à la maison, et que l'autre en a trois de plus et qu'il est à l'école. Chance que je ne peux plus avoir. Donc je suis toute seule face aux adultes, et j'ai sincèrement l'impression que je vais me faire dévorer sous peu. Et je vous prie de croire que ça n'a rien de très rassurant mais alors loin de là.

Là, je suis dans ma chambre, il n'y a pas un bruit, on dirait dans la maison. La sentence est doucement tombée en réalité. Ils ne m'adressent plus la parole. Ils n'ont plus confiance en moi et ils ont honte. Oui parce que se sont bel et bien leurs mots. Après, bien sûr, moi aussi j'ai honte après tout ça, c'est même évident et je ne peux pas faire grand chose contre ça. Il va me falloir du temps pour récupérer leurs confiances, je le sais. Mais moi, en attendant... Je vais faire quoi ?!

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Ξ Sujet: Re: Journal d'une exilée. Tosca.   Journal d'une exilée. Tosca. EmptyLun 9 Aoû - 0:49

Journal d'une exilée. Tosca. 25p61ar Journal d'une exilée. Tosca. Oh1xrc

“ 29 Mai 2000, 20h15 „
" Ma chambre "

Les journées sont longues, interminables et je n'ai vraiment rien de chez rien à raconter. Alors j'ai pris la décision de sauter quelques jours, j'avais en tête l'idée que les choses pourraient s'arranger un minimum mais ce n'est pas le cas. Je suis coincée à la maison. Depuis près d'une semaine et je n'en peux plus, je ne le supporte plus à force. En plus, je dois faire face à l'indifférence de mes parents. Et c'est ça qui, reste tout aussi difficile de supporter tout ça. J'ai d'ailleurs écrit à mon frère aujourd'hui, il a emménagé en Angleterre et prendre l'air me ferait le plus grand bien. Je vais voir s'il accepte de m'héberger quelque temps. Ethan est le roi pour désobéïr aux parents, alors s'ils veulent m'enfermer à la maison, il sera le premier à bien vouloir m'héberger je suppose. Enfin bon, on verra bien, je n'ai pas vraiment l'occasion d'aller contre ça, c'est évident. De toute manière, il faut que j'attende une réponse de sa part, je n'ai pas le choix. Et après, j'aviserais. Je ne suis pas majeure, je ne peux pas transplaner de toute manière, alors je devrais attendre. Et puis bon, au moins, s'il accepte de me prendre chez lui, je passerais un bien meilleur moment qu'ici. La seule chose que je vois, c'est ma chambre, la cuisine pour manger, les toilettes quand c'est nécessaire. Mais je ne pourrais pas supporter plus que ça, vraiment pas. Ce n'est pas humain de me bloquer la vie comme ça ! Ne peut-on pas me laisser un peu tranquille ?

J'ai été renvoyé de mon école et résultat, je n'ai plus la chance de faire quoi que se soit. Je suis enfermée chez moi, je n'ai pas la possibilité de faire plus que de lire, ou d'écrire aussi. Je n'ai pas de télé, pas de radio non plus. Ca me prend la tête, mais je suis seule. J'ai trahi la confiance de mes parents, peut être que je le mérite, je n'en ai pas la moindre idée. La seule chose que je puisse savoir, au final, c'est que je ne mérite pas qu'ils me parlent et je n'en doute pas un seul instant d'ailleurs.

Je pense que si jamais, je peux aller chez Ethan, je pourrais tenter d'entrer dans l'école de sorcellerie d'Angleterre. Poudlard, si je ne me trompe pas de nom. Tout ça pour dire que je ne suis pas sûr qu'ils me prennent, c'est vrai, mais pour autant, je ne suis pas sûr non plus d'avoir la moindre chance de faire quoi que se soit. On n'a pas toujours la chance de faire ce que l'on veut et sur ce point, c'est encore une bien belle évidence. On ne peut pas se tromper même. C'est évident. Carrément. Enfin bref, si jamais je pouvais entrer à Poudlard, ça serait super. J'aurais une nouvelle vie, une nouvelle chance de faire ce que je veux. La chance de faire tout ce que je souhaite. Ca serait le bonheur. Vraiment. Mais est-ce que l'école voudra de moi ? C'est une autre paire de manche. Ce que je sais, c'est que si je ne prends pas la peine d'essayer, personne ne le fera pour moi. Mes parents n'ont plus confiance, alors pourquoi est-ce qu'ils prendraient la peine d'essayer d'arranger les choses pour moi ? Je pense que c'est tout bonnement impossible en faite. Enfin bon, déjà, on verra si on m'accepte, si on veut bien de moi aussi. Je n'en ai pas la moindre idée. Mais le soucis, c'est que justement, si on ne veut pas de moi, je ne sais vraiment pas ce que je pourrais faire.

J'ai 13 ans, et je me demande si j'ai un avenir.

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