Quand une vérité traîne trop longtemps... [PV]

Cela faisait trois mois qu'Eliot avait fait la rencontre de la jolie demoiselle Arya. Noël approchait de plus en plus puisqu'il restait une semaine d'école et le bal était pour en fin de semaine. De plus, il n'avait pas trouvé de partenaire. Il n'osait pas inviter Arya parce qu'il s'imaginait qu'elle y allait sûrement avec quelqu'un d'autres... Si vous ne connaissez pas réelllement Eliot, il a plutôt tendance de ne ne rien faire. Alors, vous remarquerez qu'il a souvent les occasions ratés si on veut dire comme ça.

Il l'a voyait souvent, ils passèrent des moments géniales, cette préfète était spéciale à ses yeux, puisqu'elle était souvent apprécié par sa personnalité, de plus, être préfète, elle est aimé par tout le monde. Quand il se met à converser, il ne pouvait se rendre à l'évidence qu'il était encore très amoureux depuis sa première rencontre. Mais comme il était un garçons gêné et surtout, il ne voulait pas passer pour un mec super pressé de lui déclarer son amour à une fille dont il était follement amoureux. Il ne s'est jamais mis en couple et ne savait pas quand serait le meilleur temps de lui dire. Il pouvait penser en cours sans jamais trouvé de réponses, de plus, il avait demandé à Sibelle même ça qu'elle en pensait. Elle n'en savait pas. Elle non plus elle n'est jamais sortie avec personne même si elle n'a les yeux que pour Jones. Ces derniers temps, en sa présence, il la trouvait étrange, mais il finissait toujours par se dire que c'était son imagination...

Bon passons sur le moment présent, il avait une envie pressante de se rendre au toilette, il coura alors dans les couloirs, monta les escaliers, il venait sortir d'une activité qu'il s'était inscrite depuis le début de l'année. Il aimait faire de la musculature et terminer ses pompes qu'il avait commencé avant la fermeture de la salle. Curieusement, ses pompes faisaient penser à la conversation avec la jeune demoiselle, Arya Yougnblood... Tout en se forçant sa musculature, il se riait à lui même. Il avait même hâte de le terminer et de l'a rejoindre. Il prit sa douche en vitesse et voilà que l'envie le prenait. C'est alors comme je vous disais, qu'il courait dans tout Poudlard pour se rendre à la toilette pour assouvir ses besoins. Aussitôt terminé, il alla se laver les main, c'est pendant qu'en se retournant vers la sortie, qu'il vit que Arya se tenait la.

Holà suis-je trompé d'étage et que c'est les toilettes mixtes?

Il scruta les alentours de la toilette et ne pouvait confirmer s'il s'était trompé de couloir.

Mais, ça me fait plaisir de te voir!

Il souriait, comme à l'habitude. C'était vrai qu'il était content de l'a voir devant lui. Il trouvait qu'elle était un peu nerveuse, voir qu'elle bougeait beaucoup. Hum? Que se passe t'il?

Arya? Quelque chose ne va pas? Tu peux me le dire tu sais? Je suis la pour toi...

Il conclua qu'elle était même étrange, elle n'avait pas l'habitude d'être comme ça. Il décida de lui prendre sa main. À son contact, il senti qu'elle tremblait dans la sienne. À l'a voir agir, il commençait à s'inquiéter de plus en plus. Son amie était anxieuse et il ne savait pas pourquoi.

Arya? Vraiment, dis moi ce qui se passe, je commence à m'inquiéter pour toi....

Vraiment, si elle ne lui disait pas maintenant, il ne saurait quoi faire. Allait t'elle pleurer?Elle s'est faite de la peine par quelqu'un? Le rôle de préfète était de trop pour elle?

Est-ce que parce que ton rôle de préfète, tu n'en peux plus?

Seigneur que les filles sont compliqués se résolu de dire. Il attendait patiemment qu'on lui réponde, parce que la, il allait se rendre fou à force de voir la jeune fille qui tremblait dans sa main...

[641 mots]

Le bal de Noël approchait à grand pas. L'avant dernier pour Arya, si tout se passait bien. Surtout, ça voulait dire que quatre mois s'étaient déjà écoulés et que d'ici pas longtemps, elle serait en septième année. Merlin, que le temps passait vite aux yeux de la jeune demoiselle, toujours occupée. Ses cours et devoirs, sa tâche de Préfète, le temps passé avec Eliot et ses amis, etc. faisaient qu'elle n'avait pas vu défiler les jours et les semaines. Elle n'avait d'ailleurs pas plus pris le temps de chercher un cavalier pour le bal même si au fond d'elle-même - et en surface aussi, d'ailleurs - elle savait très bien avec qui elle voulait y aller.

Malheureusement, et malgré tout le temps qu'ils avaient passé ensemble, Eliot ne semblait pas pressé de l'inviter et, à certains moments, Arya se demandait si elle ne se trompait pas sur les sentiments que le jeune homme éprouvait à son égard. Peut-être avait-elle échoué et n'était-ce qu'une franche et tendre amitié ; et pourtant, la Serdaigle pensait bien qu'il y avait quelque chose de plus, quelque chose qui mettait du temps à sortir, visiblement. A priori, elle ne pouvait cependant pas le forcer, à moins de faire elle même avancer les choses.

C'est ce qui se tramait dans la tête d'Arya alors qu'elle se rendait aux toilettes dans l'espoir de se décharger d'un surplus de jus de citrouille avalé au petit-déjeuner. Quelle ne fut pas sa surprise, alors, d'y trouver 1) un homme, 2) justement celui auquel elle était en train de penser à ce moment précis. Et encore, penser est un euphémisme quand on connait la nature de ces pensées. Rien de particulièrement étonnant, donc, pour le lecteur attentif, à ce que la demoiselle oublie bien vite son objectif premier et soit un peu perturbée par cette apparition commandée par le destin, il faut croire. Car oui, Arya en avait assez d'attendre ; elle voulait être fixée sur son sort et, le cas échéant, pouvoir passer à autre chose.

- Non, dit-elle d'une toute petite voix, c'est les toilettes des filles.

Arya aurait pu rougir du compliment d'Eliot qui disait qu'il était content de la voir si elle n'était pas aussi perturbée. Heureusement, le Poufsouffle sembla soudain avoir envie de prendre les choses en main et il s'avança vers elle, craignant sans doute qu'elle ne souffrît de quelque mal soudain qui aurait expliqué sa présence aux toilettes. La jeune femme ne s'était en tout cas pas préparée à ce qu'il lui prenne ainsi la main, l'air inquiet. Arya sursauta, puis leva les yeux vers lui.

- Ca va, murmura-t-elle doucement.

Et soudain, poussée par quelque irrésolution, elle s'approcha encore un peu plus d'Eliot puis pencha sa tête vers celle de son ami, ses lèvres avançant lentement vers celles du Poufsouffle. Et puis enfin, les deux bouches se rencontrèrent, brièvement puisque déjà, Arya se retirait pour planter son regard dans celui d'Eliot, encore un peu intimidée. Elle avait pris les devants et ne le regrettait pas ; a priori, elle n'avait pas été repoussée mais tout de même, restait à voir la réaction du Poufsouffle qui pourrait ne pas être celle qui était attendue.

Il se sentait alors visé quand elle lui répondait que c’était en fait la toilette des filles. Nom de dieu, il s’était trompé salle. Il n’avait pas réellement prit le temps de regarder devant la porte puisque l’envie était quasi présente, que s’il ne prenait pas ses devants, il allait…. Vous devinez je crois… Alors il n’avait pas porté attention. Même qu’il n’y avait pas de décoration non plus qui pouvait porter attention et remarquer que c’était une salle de fille qui ne seraient pas au goût des garçons…

Ah! Flûte!

Il passa sa main dans ses cheveux blonds, il en était visiblement gêné. En règle générale, il ne faisait pas ce genre d’imbécilité. Mais pour une vessie pleine, c’est en faite une autre histoire…

Puis, le moment magique se déroulait en cet instant précis. Dès que la main se posa sur celle de la fille dont il est amoureux. La jeune fille téméraire prenait un risque pour s’approcher d’Eliot. Il sentit alors son corps proche du sien. Il en avait des chaleurs (~~il est un homme tout de même, il n’a pas la même hormone sur les filles, on s’entend hein? PAFFF~~). Il se retenait pour ne pas lui brusquer, puisqu’il la laissait faire. C’est alors qu’il vit ses yeux bleus qui fixèrent intensément dans les yeux bruns de celui-ci. Elle avait le don de lui rendre fou qu’il se mordilla ses lèvres. Il ne voulait qu’une chose, l’embrasser voilà. Il ne se fait pas prier longtemps, puisque celle-ci prenait ses avances. Elle s’approcha alors au visage du jeune homme et elle lui donna un baisé sur les lèvres du jeune homme. Il réagissait avec beaucoup de retenu : Parce qu’en ce moment même, il l’aurait prise dans ses bras et de l’embrasser sauvagement. ~~En n’allant tout de même pas là déshabiller~~. Il avait l’honneur sur la gente féminine toute de même! Ce fut même bref puisqu’il n’avait même pas eu le temps de fermer ses yeux pour l’apprécier. Quand ce fut terminé, il en avait le souffle coupé. Il essaya de reprendre ses esprits, mais en toute sincérité, il était l’homme le plus heureux de la terre. Point barre. On ne peut pas dire autre chose que ça. Il était heureux qu’il éclate de rire tout en tentant de prendre des respirations normales.

C’est… Ouf… Wow…

Il mit ses mains sur ses joues et répondit à son geste. Les pulsions du jeune homme était rapide, ne lui laissant pas malheureusement pas à Arya de se préparer à ça. Il plaqua ses lèvres contre la sienne et l’embrassa avec tendresse. Leur baisé au moins, aura durée un moment. Ce qui faisait plaisir à Eliot, puisqu’il pouvait apprécier ce moment d’intime tout en fermant ses yeux. Il goutait les lèvres chaudes de cette demoiselle. Bref, c’était un moment extraordinaire qu’il passait. Puis, le début à toujours une fin, qu’il se retira avec regret de ce contact. Il ouvrit alors ses yeux pour replanter ses yeux à la prunelle bleue d’Arya. Le sourire sur ses lèvres, il avait apprécié ce délice détendre entre lui et elle.

Si tu savais… Si je le pouvais, je t’aurais embrassé dans le train. Tu…Tu… me perds tout mes moyens. J’y pensais tout les jours, toutes les nuits Arya. Si on aurait attendu, j’aurais devenu fou… Mais je voulais le faire au bon moment pour que tu ne me prennes pour un idiot que je ne voulais que pour… pour le sexe. Je n’ai jamais été amoureux comme ça, alors j’ai attendu tout simplement par amour pour toi, mais j’aurais donc du…

Il ne finissait pas sa phrase qu’il prit les mains d’Arya, les glissa entre ses doigts, il fit reculer la jeune fille pour qu’il puisse mettre le dos de la préfète délicatement le mur. Il avait dans son visage, ses yeux qui brillaient, car, il ne cessait pas de l’admirer. Il plaça alors ses mains autour de sa taille et lui donna un baisé délicate sur son front.

Tu es belle Arya, je ne peux que te demander si tu voudrais être ma cavalière pour le bal de Noël? Tu serais encore plus magnifique en robe…

En attendant sa réponse, il caressa le visage avec le revers de la main. Dieu qu’elle a un joli minois! Comment est-ce possible de ne pas être amoureux fou d’elle? Avec toujours de son charme naturel, qu’il fit un sourire un coin…

[734 mots]

Eliot eut l'air quelque peu estomaqué par l'acte d'Arya auquel il ne s'était pas attendu mais tous les signaux semblaient au vert: non seulement, comme je l'ai déjà dit, il ne l'avait pas repoussée mais en plus cela semblait lui faire plaisir. Certes, il y avait peu de risques que le contraire soit vrai mais tout de même, Arya avait senti monter en elle une boule au moment de s'écarter. N'allait-il pas sortir en courant, ou bien dire quelque chose de vexant à son encontre pour l'avoir embrassé dans permission? Ou sans signe indiquant qu'il le voulait bien, à défaut d'autorisation expresse. Non, définitivement, la réaction d'Eliot était de celles qu'on pouvait attendre ; ce qu'il fit ensuite étonna en revanche un peu plus Arya.

Loin, en effet, de la passivité dont il avait fait preuve jusqu'à maintenant, ce fut Eliot qui prit l'initiative d'embrasser Arya de nouveau, plus longuement que la demoiselle n'avait eu le courage de le faire. C'était plaisant, cela dit. En revanche, ce qui suivit l'était beaucoup moins - en tout cas, c'était brusque de la part d'Eliot et la Préfète de Serdaigle eut un moment d'hésitation lors duquel elle rougit. Mais avant qu'elle n'ait pu dire quoi que ce soit, Eliot avait saisit ses mains et la repoussait contre le mur. C'est à ce moment que la jeune femme se souvint dans quel lieu ils se trouvaient.

- Hum... on devrait peut-être aller autre part, il y a des lieux plus romantiques...

Romantiques ou pas, elle s'en fichait au fond mais une chose était sûre: rester dans les toilettes n'était certainement pas la meilleure des solutions. Et en parlant de ça, mieux valait qu'Eliot n'oublie pas pourquoi il y était entré, avant qu'Arya ne l'embrasse. La demoiselle ne savait pas à quel point le jeune homme était atteint mais il ne s'était visiblement pas attendu à la voir alors...

Tout ça ne semblait cependant pas être la préoccupation première d'Eliot qui lui demandant, non sans lui avoir fait un gentil compliment, si elle voulait bien être sa cavalière au bal. Question idiote: même si Arya n'avait pas voulu l'embrasser devant tout le monde (et à cet égard les toilettes de Poudlard n'étaient certainement pas le meilleur endroit, il pouvait y avoir une peste en train d'écouter dans l'une des cabines), elle ne voyait pas le moindre problème à aller au bal avec lui. Au contraire, il serait stupide d'y aller seule, avec quelqu'un d'autre ou de ne pas y aller du tout. La réponse fut donc toute naturelle:

- Ben oui, évidemment.

En revanche, le contexte, toujours le contexte, commençait sérieusement à peser sur Arya: il fallait vraiment qu'ils aillent autre part, les toilettes n'étant pas le lieu adéquat pour... quoiqu'ils aient envie de faire. Elle s'esquiva en souriant.

- Tu avais quelque chose à faire, je crois. On se retrouve dans un quart d'heure, au parc?

Et, sans rien ajouter ni laisser à Eliot le temps de répondre, Arya sortit des toilettes, échappant ainsi à son a priori petit ami. Un peu rouge et le cœur battant la chamade, elle se dirigea le plus vite qu'elle le put vers la tour de Serdaigle. Il fallait qu'elle se remette de ses émotions avant de retrouver Eliot.

[541 mots]
[TERMINE pour Arya]

Eliot passait en clair un moment génial avec Arya. Il avait souhaité depuis longtemps cette rencontre. Bien sur, qu’il n’avait pas entendu pour l’embrasser pour lui répondre à son tour. En prenant le visage de la jeune demoiselle, et qu’il posa ses lèvres sur la jeune demoiselle, il vit qu’elle était surprise. Il émit alors d’un sourire, il ne pouvait ne pas le faire puisqu’il trouvait mignon la réaction que celle-ci faisait.

En mettant cette belle demoiselle blonde sur le mur, elle lui avait dit qu’elle voudrait aller dans un lieu romantique. Un endroit romantique? Que voulait-elle dire par là? Il faut dire qu’il n’a jamais eu de petite amie. Alors, il se demandait en quoi elle faisait allusion. Mais bon, il fallait jouer le jeu et faire semblant qu’il comprenait.

« Oui, bien sur! »

Il comprenait que la situation dans une salle de bain n’était pas un endroit très romantique. De plus, il était dans une toilette pour dame, ce qui s’avéra gênant encore plus. Mais il était en présence de la préfète, donc il en oublia ce malaise… Il passa la conversation sur le bal de Noël ou il lui demandait d’être sa cavalière. De toute façon, il n’y avait pas eu de demande et aussi il pensait de ne pas s’y rendre si Arya avait agit différemment. Il reçu alors sa réponse positive. Il en était encore plus excité. Il allait au bal avec une belle fille et qui est non sans le moindre sa petite amie. Il allait s’amuser ferme là-bas. Il en était sur.

« Super, je suis content que tu le veuilles. »

Il avait un large sourire. Il n’y avait rien qui pouvait le rendre malheureux. Il avait maintenant une petite amie qui allait l’en prendre soin, lui faire passer de bon moment. Il espérait alors qu’il soit le copain idéal à ses yeux. Il le fallait bien, parce qu’il avait l’intention de l’a gardé. Peut-être qui sait, la femme qui allait lui donner des enfants, ça si c’était si elle en voulait bien sur. Peut importe sa décision, il allait l’a respecté. Il ne voulait que son bonheur. Voilà point final!

Mais la tournure le prit par surprise sur le jeune homme, elle lui demandait de le rejoindre dans le parc dans un quart d’heureé

« euh! Oui d’accord, j’y serais avec plaisir! »

Puis sans prendre son reste, elle partit sans dire un mot de plus. Encore sonné par ce qui venait passer, il sortit à son tour de la toilette et regarda de gauche et à droite, s’il y avait du monde autour. Il ne voula visiblement pas se faire moquer parce qu’il s’était trompé de toilette. Ouf! non, personne en vue. Il marcha d’un pas rapide pour mener vers la tour de Poufsouffle pour reprendre ses émotions. Il était totalement heureux qu’il voulait crier sa joie, mais il se retenait de le faire. Maintenant, il devait attendre un petit moment avant de se rendre au Lac mais, il avait bien hâte de l’a retrouvé!

[506 mots]

TERMINÉ POUR ELIOT!

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