Un soir parmi tant d'autre! [Privée Aelita Stones]

[HJ j'espère que tu aimes les longs post ^^]

Julien était dans la bibliothèque entre deux rayons, le regard parcourant les étagères remplit d’un savoir infini pour le pauvre enfant, il marchait lentement vêtu de sa tenue vestimentaire, sa cravate était un peu défaite de son emprise permettant à Julien d’être un peu plus décontracter après une journée de cours assez longue. Sa chevelure de couleur blanche lui tombait légèrement devant le visage, lui donnant un air mystérieux et charmeur, cachant par la même occasion son visage neutre, de marbre ainsi que ses yeux de couleur saphir qui était à cet instant perçant. Il semblait un ou plusieurs ouvrage en particulier afin d’approfondir sa culture général. Au bout d’un moment il se rapprocha d’une étagère et pus saisir un livre en se mettant sur la pointe des pieds.

Il vérifia que c’était bien ce qu’il chercher en lisant le titre avant de faire demi-tour et de partir en direction d’une des nombreuse table présente dans cette bibliothèque ou il avait posé son sac qui était déjà bien chargé. Il mit le livre dans son sac avant de le fermer et de se diriger vers la bibliothécaire afin qu’elle lui donne la permission de repartir avec tous ses livres emprunter. Elle le gratifia d’un petit sourire, elle l’appréciait beaucoup étant donné que pour son âge il emprunter beaucoup de livre et passer son temps à étudier. Il n’avait rien d’autre à faire mis à part étudier, alors plutôt que de s’ennuyer à rien faire, il plongeait sa vie entre deux pages.

Il mit son sac par-dessus son épaule avant de partir en direction de la salle commune des serdaigle afin de pouvoir travailler en paix comme tous les soirs depuis qu’il était à Poudlard. Chaque soir il répétait le même parcours, empruntant le même chemin, les mêmes couloirs, il rencontrait les même portrait qui le saluez sans pour attendre une réponse de la part du garçon. Julien était peut être jeune et intelligent il n’en restait pas moins une personne indifférente au reste du monde, il était froid avec les autres, enfin…presque tout le monde, il était poli et aimable avec les personnes qui n’était pas immature.

Depuis qu’il était dans cette école il se sentait en quelque sorte revivre, il avait trouvé en quelque sorte une autre facette de la vie, et cela le rendait en quelque sorte heureux, mais il gardait cela derrière sa carapace comme bon nombre d’autre chose.

Il entendait ses propres pas résonner dans les couloirs silencieux et sombre, il avait avant d’aller manger à la grande salle observait le coucher de soleil comme il le faisait tout les soirs. Certain aurait pus croire que Julien suivait un train train, mais pour lui c’ était tout sauf un train train, car pour lui, chaque lever de soleil et chaque coucher de soleil était unique, jamais similaire, toujours différent, plein de vie et de souffrance. Chaque livre qu’il ouvrait était différent, rempli d’un savoir et d’une culture différente. Plus il lisait et plus grandissait, peut être un peu trop vite pour lui, mais il n’avait rien d’autre à faire que cela.

Au bout d’un moment il arriva devant un tableau assez grand, qui représentait une licorne, majestueuse qui n’attendait qu’une seule chose…le mot de passe afin de pivoter et de laisser la place à Julien. Il donna rapidement le mot de passe étant donné que tous ses livres étaient lourds à force sur son épaule. Comme prévue le portrait pivota sous un petit bruit agréable à l’oreille si on savait l’écouter et l’appréciait, sinon pour d’autre ce n’était rien de plus qu’un bruit de tableau qui frotte contre le bois, mais pour Julien c’était le bruit de la magie, le déclenchement d’un système magique.

En entrant dans la salle commune, il sentit une chaleur enivrante lui fouetter tout le corps et l’envahir, la salle commune était magnifique à ses yeux, de couloir bleu saphir ou claire, les couloirs était différente mais surtout du bleu et cette couleur se marier parfaitement à celle de ses yeux. Il remarqua également que la salle commune était un petit peu rempli, les élèves discutait entre eux, certain jouer à un jeu de carte qui explosait pour une raison que Julien ignorait mais qui rendait l’adversaire plein de crasse, ce qui était assez comique. Il y avait également un attroupement de fille qui papotait et glousser entre elles, certaines fille de ce groupe était affreusement moche avec la tonne de maquillage qu’elle ce mettait sur le visage, elle ressemblait plus à un pot de peinture plutôt qu’à une vrai personne, entre un tableau de Picasso et une de c’est jeune fille il n’y avait pas de grande différence, si ce n’est que Picasso c’est de l’art et la jeune fille, c’est du travail bâclé.

Par contre il y avait des jeunes filles très charmantes qui n’avaient pratiquement pas de maquillage et qui mettait en valeur leur teint naturel, c’était ce genre de chose qui plaisait à Julien, une jeune fille simple mais il restait pourtant indifférent. Après avoir fait le tour de la salle commune il se dirigea vers un coin de la salle qui était jamais remplit, un coin isolé où Julien allait tout le temps, personne n’y allé et Julien se demandait bien pourquoi, mais il ne s’en plaignait pas, sa l’arrangeait même.

Il posa son sac lourd par terre et vit que sur la table rien n’avait bougé, il y avait toujours ses livres ainsi que ses parchemins enroulé, c’était en quelque sorte son bureau et personne ne venait tout chamboulé, il se doutait que certain premier année venait copier ce qu’il écrivait dans ses devoirs mais cela ne le dérangeait pas, du moment qu’il ne mettait pas en désordre son petit coin à lui il les laissaient faire. Il ne demandait pas grand-chose, juste la tranquillité. Il ignorait les autres et les autres l’ignoraient, enfin presque tout le monde, certaines filles lui demandait de sortir avec elle, mais lui refusait catégoriquement au risque de leur faire du mal…

Il sortit de son sac ses livres ainsi que sa plume et ses parchemins qui était remplit de note qu’il avait pris aujourd’hui, s’installant derrière la table. En ressortant ses note il se rappela la mauvaise journée qu’il avait passé, surtout en défense contre les forces du mal, ils avaient dû passer devant un épouventar et Julien avait eut peur à ce moment, car sa vrai peur était mis au grand jour, il avait du faire face à sa plus grande peur et cela devant tout le monde, il se rappelait parfaitement de l’épouventar devant lui qui chercher une quelconque forme jusqu’au moment ou elle devint une cage avec dedans Julien, c’était sa plus grande peur, une cage, être enfermé pour toujours sans avoir quelque chose, il aimait la solitude, mais pas à ce point, il avait à cet instant baissé les yeux, il avait presque pleurer devant cette image de lui-même, mais heureusement pour lui le professeur l’avait secouru et c’était interposé, il n’avait pas eut le courage d’affronter sa propre peu, celle de vivre en cage, il ressortit de ses souvenir afin de relire rapidement ses notes prises en plein cours de sortilège sachant pertinemment qu’il s’entraînerait pour la défense contre les forces du mal plus tard.

Citation :

Sortilège de levitation.

Qu’est un sortilège ?

Les sortilèges sont une forme d'ensorcellement consistant à envoûter un objet pour qu'il agisse d'une façon qui ne lui est pas propre. (En résumé on l’enchante) Dans un certain sens, si un enchantement n'est pas une métamorphose, il s'agit sûrement d'un sortilège. Un sortilège peut causer une modification de couleur. Il peut faire léviter un objet ou même le faire voler à travers les airs. Les sortilèges peuvent faire rire une personne, la faire danser ou même créer une bulle d'air respirable autour de sa tête. Dans tous les cas cités, l'objet ou la personne ne changent pas vraiment, ils agissent juste d'une manière inattendue. (Hmmm, En résumé un sortilège ou enchantement permet de faire ce que l’on veut de l’objet ou la personne désirée.)

Sortilège de lévitation :
Le sortilège de lévitation sert à faire léviter des objets… (Pour moi si l’on peut faire l’éviter des objets on peut également faire l’éviter une personne et cela peut devenir intéressant selon la situation…à ne pas oublier !!)

Formule : Wingardium Leviosa (Très certainement un mot latin, faire des recherche sur la signification du mot, cela pourrait être pratique pour la suite…)

Il reposa son parchemin parmi les autres avant de chercher un livre en particulier parmi les autres dans la pile qui était à ses côtés. Il le prit avant de l’ouvrir et de chercher la page adéquat parlant du sortilège en lui-même, Julien aimait beaucoup comprendre les sortilèges en leur centre. Cependant il essayait de deviner comment le sortilège de lévitation pourrait lui servir d’une manière quelconque, il était en train de faire preuve de logique et de mystère, pour certain élève et surtout pour les plus âgées c’était un sortilège basique qui ne servait à rien, et c’était ce qui pour Julien en faisait une arme, car l’adversaire ne s’attend pas à recevoir un sortilège de la sorte.
Il prit un livre ou il écrivait beaucoup de chose pour son compte personnel, qui était précieux à ses yeux et commença à y écrire une idée brillante.

Citation :

Si en plein duel on lance le sortilège de lévitation sur l’adversaire, celui-ci sera très certainement surpris de me voir lancer un sortilège aussi débile et banal et cela aura un effet de surprise et il ne tentera pas de l’éviter, ce qui fera ma force, il s’élèvera dans les airs, voulant retrouver la terre ferme, il ne fera plus attention à moi pendant quelques secondes, ce qui peut me permettre de faire tout autre chose…

Il reposa sa plume avant de rouvrir son livre et de commencer sa lecture. Il dévorait les explications avec délice, cependant au bout d’un moment une voix le sortit de sa lecture, il du malgré lui lever les yeux vers cette personne… Au début il avait sentit un parfum enivrant des que l’odeur avait envahit ses narines, c’était le parfum d’une fille car il n’était pas fort ni piquant, mais plutôt doux et donne presque envie de le boire, il sus rapidement que la personne devant lui était une jeune demoiselle.

[HJ 1723 mots]

Aelita avait fait une petit balade dans le parc avant de rentrer dans la salle commune, il fallait qu’elle réfléchisse à certaine chose. Elle voulait parler à Malefoy, mais n’avait pas encore eut l’occasion de le voir dans les couloirs. Elle s’inquiétait aussi de ne plus voir Blaise, mais elle pensait qu’elle le verrait au bal de Noël. Le jeune Serdaigle, n’était pas démoraliser pour autant, elle pensait que tout ce qui lui était arrivé ses derniers temps était du passé de toute façon et que ça l’avait fait grandir un peu plus vite que les autres jeune fille. Aelita se sentait bien et était heureuse enfin de compte, elle avait retrouvé une certaine stabilité grâce à Miles.

Elle huma l’air pour retenir toutes ses fragrances qui s’en dégagé, puis elle décida de rentrer dans le château. Elle croisa Nick-Quasi-Sans-Tête, mais ne lui dit rien et lui non plus d’ailleurs, il sembla troublé. Il faut dire avec ce qui c’était passé à Halloween, tout le monde est encore quelque peut sous le choc, heureusement Dumbledore avait fait réparer assez vite le tableau pour que la Grosse Dame puisse reprendre sa place. Aelita apercevait fréquemment le chevalier du Catogan roder prés d’elle sûrement pour lui parler, elle trouvait qu’il formait un joli couple.
Aelita monta une nouvelle volée de marche, la dernière avant de rentrer dans sa salle commune, elle vit qu’il y avait beaucoup de monde à l’intérieur de celle-ci.

*Heureusement, que j’ai prit mon temps pour rentrer dans la salle, un instant de calme me fait toujours du bien*, pensa-t-elle, alors qu’elle se sentit poussée vers le mur, des bras l’encadrèrent, elle regarda alors celui qui la tenait prisonnière. Michael, dit-elle en souriant au troisième année.

Celui-ci fit une moue et se retira, comprenant sans doute par avance que la jeune fille n’en avait rien à faire de lui. Et pour cause, maintenant elle était avec un charmant Serpentard de 4ème année, mais personne ne se doutait qu’ils étaient vraiment ensemble, Aelita voulait garder cela secret du moins pour le moment. Elle vit des jeunes filles la regarder un moment puis détourner la tête pour reprendre le conversation, Aelita savait qu’elles parlaient d’elle mais elle s’en fichait.

La jeune Serdaigle souhaitait plus que tout aller se reposer dans son dortoir et y faire ses devoirs sans être dérangée. Elle ne voulait qu’une chose fuir le bruit qui régnait dans la pièce, elle ne supportait plus cela, c’était peut-être dû au fait qu’elle soit avec Miles. Elle s’approcha pour se faire des tables de travails, elle se rappelait quand troisième année, elle se mettait souvent là pour lire lors de ses insomnies, en deuxième année rien avait vraiment changé.

Cette année, elle avait toujours des insomnies mais elle ne descendait plus, elle restait dans son lit et se contentait de réfléchir. Alors qu’elle passait prés de la dernière table elle y vit un jeune homme installé à faire ses devoirs, elle ne le connaissait pas et il semblait être concentré. Aelita sourit, car c’est comme si elle se revoyait deux ans plutôt. Aelita ne su pas pourquoi, elle faisait ça, mais elle prit une chaise et s’installa à la table du jeune homme, elle trouva une petite place, car celle-ci était très fournie, en livre et en parchemin. Elle prit donc, le livre qu’elle souhaitait étudier dans son sac et en commença la lecture pour ne pas perturber le jeune homme. Elle l’observait qu’elle fois, relevant juste les yeux de temps en temps, elle le trouvait assez mignon pour un première année, elle sourit à cette pensée puis elle replongea dans le livre qu’elle trouvait fascinant.

[606 mots^^]

Julien était toujours en train d’écrire sur son parchemin quand au bout d’un moment il sentit à nouveau se parfum enivrant, envoûtant au fond de ses narines, il ferma les yeux se délectant de cette senteur qui lui faisait perdre ses sens, il adorer le parfum de certain fille, qui était doux et gaie. Il avait la tête baissé vers son parchemin, ses cheveux cacher son visage par endroit, empêchant à quiconque de voir qu’il avait les yeux fermer et qu’il se délectait de cette senteur. Au bout d’un moment il rouvrit les yeux. Il jeta un rapide coup d’œil à travers ses mèches de cheveux blanc pour y voir une jeune demoiselle assise en face de lui, le visage plongeait dans un livre assise sur une chaise quelconque.

Il baissa rapidement les yeux, se replongeant dans sa lecture, il faisait ses devoir rapidement, les trouvant facile, cependant il lisait plus qu’il n’écrivait, s’enrichissant de leur savoir, il pouvait se perdre des heures entre deux livre, il les trouvait parfait, silencieux et remplit de savoir. La salle commune se vidé petit à petit, la rendant plus calme, on pouvait cependant encore distingué des élèves discutait entre eux ainsi que les conversations des grands tableaux présent en ce lieux chaleureux.

Au bout d’un moment il releva la tête fixant droit devant lui, il réfléchissait, à quoi ? Il n’en savait rien lui-même, mais il réfléchissait, sa plume chatouiller son menton doucement, ou plutôt le caresser avec une grand lenteur, c’était sa façon de réfléchir quand il travaillait. Cependant au bout d’un moment il sentit le regard pesant de la demoiselle installer à ses côtés et tourna alors son regard vers le sien. Une chose l’intriguait…pourquoi elle c’était installé ici et pas ailleurs, pourquoi le regarder elle de cette manière.

Il posa sa plume au milieu de son encrier avec douceur afin de ne pas manquer sa cible et ainsi mettre de l’encre partout sur ses parchemins qui était réuni sur cette même table qu’il occupait en cet instant précis. Il se passa une main dans les cheveux, les rabattant en arrière, les mettant derrières ses oreilles, à ce moment il révéla son visage, seulement cacher par deux ou trois petites mèches de couleur blanches. Dévoilant son visage neutre, de marbre, presque froid, son visage était surtout remplit d’indifférence.

Il avait les jambes croisées, c’était sa directrice de l’orphelinat qui lui avait conseillé de faire cela, disant que c’était une manière beaucoup plus convenable et surtout agréable à regarder plutôt que d’avoir les jambes complètement écarté comme le font la plupart des garçon.. Il croisa également les bras et observa la jeune fille qui lisait paisiblement. Il la détailla, de bas en haut, il ne pus s’empêcher de la trouver charmante.

‘’Puis je me permettre de vous posez une question gente demoiselle !’’ Dit Julien d’une voix neutre en disant sa phrase en tant qu’une affirmation et non une question, étant donné qu’il demandé en quelque sorte le droit de posé une question, il l’aurait justement fait sans la permission. Il remarqua au bout d’un moment qu’il avait toute l’attention de la jeune fille sur lui et qu’il pouvait poser sa question.

‘’Pourquoi une charmante demoiselle tel que vous, vient lire ici en compagnie d’un première année ?’’ Demanda julien de manière poli mais toujours avec un ton d’indifférence.

[hj 557]

Aelita était toujours entrain de lire son livre sur les Potions, matière à laquelle elle s’intéressait beaucoup vu qu’elle aimait la façon si particulière qu’avait le professeur Rogue de donner son cours. Même si le professeur ne supportait pas la jeune Serdaigle depuis bientôt trois ans, la jeune fille avait toujours pour lui une admiration sans borne. Elle aimait le voir rôder dans les couloirs la nuit alors qu’elle faisait sa ronde, hélas ce n’était plus possible pour elle.

La jeune Serdaigle avait donc la tête plongée dans son bouquin entrain de lire un passage sur les anti-poisons. Quand le jeune homme en face d’elle, lui demanda si il pouvait lui poser une question, Aelita leva alors les yeux de son bouquin. Elle y mit un marque page à l’intérieur et posa son livre sur la table, elle croisa ses mains par-dessus et attendit sagement qu’il formule sa question.

*Charmante ? Il me trouve charmante*, se dit Aelita en évitant de pouffer de rire pour ne pas vexer le première année.

Aelita se dit qu’elle allait lui répondre froidement que c’est parce que la place était libre et qu’elle avait envie de lire, mais comme il avait été charmant envers elle, elle se dit pourquoi ne pas continuer le jeu après tout.

Parce que vous aviez l’air d’un jeune homme charmant et que j’avais envie de faire votre connaissance voilà tout, dit-elle en le regardant droit dans les yeux.

Le jeune homme avait de très beaux yeux, ce qui n’échappa pas à Aelita, mais elle reprit son livre et faisant semblant de rien, elle poursuivit sa lecture. L’art de la potion demandait beaucoup de concentration pendant les cours, mais elle en perdait, car elle ne cessait de penser au professeur. Ce qu’elle aimait pardessus tout c’était le fait que sa longue robe de sorcier provoque se frottement caractéristique pendant ses déplacements dans la classe. Elle aimait aussi ses mains, au long doigts fins, elle s’imaginé souvent les sentirent sur les siennes alors qu’il lui enseignait l’art des potions dans son bureau. Aelita était encore perdue dans ses pensées en lisant le livre de potions, elle ne cessait de penser à tout cela. Aelita se rendit compte alors que le jeune homme ne c’était pas présenté à elle, il avait juste fait allusion à son année. Elle reposa donc une fois de plus le livre sur la table en n’omettant pas d’y glisser un marque page, qu’elle avait fait elle-même et qui représentait une rose stylisée.

Au fait, charmant jeune homme, je m’appelle Aelita Stones et je suis effectivement plus âgée que vous vu que je suis en 3ème année, lui dit-elle en lui souriant.

Elle souriait aussi bien intérieurement qu’extérieurement, elle se demandait surtout ce que le jeune homme avait en tête pour la dévisager de la sorte. Elle repoussa alors une mèche de ses cheveux vers l’arrière, comme si il s’agissait d’un geste normal, mais elle ne faisait jamais ce geste. Elle sentit alors les fragrance de son parfum lui arriver jusqu’au narine et comprit, elle sourit dans son fort intérieur mais ne dit absolument rien.

[517 mots]

Julien était toujours en train de la fixer, de l'observer au travers de ses mèches de cheveux blancs, avec ses yeux de couleur saphir, il l'a détaillé de haut en bas enfin, une partie de son corps était caché par la table ainsi que par les nombreux parchemins et livres entreposés sur cette petite table. Elle était vraiment charmante, même à son jeune âge Julien savait reconnaître la beauté naturelle, sans pour autant en tomber amoureux ni fou, il ne faut pas abuser non plus.

Cependant Julien fixait un endroit précis de la jeune fille, ses yeux, ils étaient d'une magnifique couleur, envoûtante, enivrante, accompagné par la senteur délicate de son parfum, tel une mélodie. Il était presque en train de lire une histoire à travers ses yeux, ses pupilles, il trouvait que les yeux des autres était la plus belle partie du corps, révélant bon nombre de secret que l'on désiré conserver secret.

Il remarqua cependant son sourire, presque ironique tout cela car il avait fait preuve de courtoisie et de politesse et pour le simple fait d'être un première année elle se permettait de rire de lui. Il resta cependant de marbre, indifférent à sa réaction.

''Je vous prierez de ne point confondre courtoisie et ironie, mademoiselle!'' Dit Julien qui avait comprit qu'elle se moquait légèrement de lui en pouffant doucement.

''De plus je ne crois pas que charmant, soit le terme approprier qui puisse réellement me définir gente demoiselle.'' Rajouta Julien en l'observant toujours en train de lire son livre qui semblait passionnant.

''Ravie de faire votre connaissance, pour ma part je me nomme Vogel, Julien Vogel, pour vous servir…enfin, façon de parler'' Répondit Julien avec un léger signe de tête vers le bas, comme une petite révérence envers la charmante fille qui se trouver en face de lui…

Suite à cet échange Julien se repensa à ses devoirs, dans son monde hors du commun que beaucoup d'autre avant lui avait parcouru avec délectation, mais pour lui c'était tout autre chose, une chose qu'il gardait enfoui ou plus profond de lui, derrière sa carapace d'impassibilité, derrière son masque d'indifférence, derrière un barrage qu'il c'était forger pour une raison que lui seul comprenait.

Julien redressa la tête en remettant sa plume au niveau de son menton et de la faire bouger de droite à gauche avec une lenteur qu'il lui était réserver, il réfléchissait encore une fois à un problème, fixant un point invisible droit devant lui, en l'occurrence sur la jeune fille. Au bout d'un moment il remarqua une chose qu'il n'avait point remarquer au tout début de leur leurs rencontre, elle avait de grande cernes sous ses yeux, peut être du à la fatigue mais Julien savait qu'elle devait être vraiment fatigué.

Il ne put s'empêcher de faire une légère remarque à l'attention de la jeune fille.

''Insomnie mademoiselle?'' Demanda Julien, même si c'était une question quelque peu indiscret il l'avait posé, avec une voix neutre, de toute façon il avait une protection, elle ne pouvait distinguer son émotion derrière cet armée de cheveux devant son visage…enfin c'est ce qu'il espérait…


[HJ 515 MOT]

Julien essayé de se faire passer pour un jeune homme courtois et galant, mais Aelita avait connu un vrai gentleman et elle ne l’oublierait sans doute jamais. Il avait été son seul ami, un véritable ami, qui vous écoute et vous réconforte sans vous poser la moindre question embarrassante. Seulement Aelita avait fait une erreur, la pire de toute, elle avait trahis le jeune homme, en lui faisant croire qu’elle avait des sentiments pour lui. Elle aurait voulu, tout changer, mais le passé est le passé et on ne peut pas le changer malheureusement. Pendant qu’elle replongeait dans sa lecture, le jeune Serdaigle lui adressa à nouveau la parole, il lui dit de ne pas confondre courtoisie et ironie.

Je ne me trompe guerre entre les deux, dit-elle en soupirant, je sais distinguer un jeune homme bien élevé et de bonne famille, d’un jeune homme qui se donne un genre pour séduire les jeunes filles qu’il croise… Dois-je vous dire ce que je pense de vous ou est-ce assez clair ?, lui demanda-t-elle en le regardant droit dans les yeux.

Aelita ne voulait pas être méchante, ni blessante, mais le jeune homme l’excédé un peu dans son comportement, elle qui avait été punie si souvent pour ne pas s’être montrée polie envers quelqu’un. Alors que le jeune homme qu’elle avait en face d’elle semblait jouer un rôle, cela lui faisait bouillir le sang dans ses veines. Il lui dit encore, une phrase qui renforça son opinion sur ce qu’il était, il lui dit son nom qu’il était ravis de la rencontrer puis lui dit qu’il était là pour la servir, mais il se rattrapa en lui disant que c’était juste une façon de parler.

Encore la preuve que vous ne faites que jouer a être un homme du monde, dit-elle d’une voix douce et sans amertume, un jeune homme bien élevé n’aurait jamais dit que c’était une façon de parler, lui dit-elle avec un léger sourire peint sur le visage, c’est cela qui fait succomber la plus par des jeunes demoiselles, mais le baratin, moi je m’en moque. Je n’aime pas les manipulateurs dans votre genre, lui dit-elle en posant son visage sur ses mains qu’elle avait croisée au préalable.

Elle remarqua que le jeune homme ne cessait de la regarder, elle lui sourit donc et croisa ses jambes sous la table, non sans frôler celle du jeune homme. Elle passa sa langue sur ses lèvres roses, ensuite elle ferma lentement ses yeux, quand le jeune homme repris la parole, en lui demandant si elle faisait des insomnies.

Je dors assez peu, mais je ne fais pas d’insomnie, mais ce que je fais de mon corps ne vous regarde pas, mon cher Julien, lui dit-elle d’une voix sensuelle avec un petit sourire en coin.

Julien fut très décut par la réponse de la jeune fille, ou plutôt de son commentaire, il espèrait un peu mieux venant de sa part, mais bien entendu elle ne savait rien de lui, elle ressemblait un petit peu à une serpentard à faire référence au mot famille.
Julien resta cependant calme, avec tout de même la ferme intention de mettre les point sur i!
''Je ne vous permet pas de parler de famille avec moi madmoiselle, vous ne me connaissez pas, et encore moins mon passé, alors je vous prierez de ne point juger les gens à la vavite...quand à ce que vous pensez de moi?? Je m'en moque royalement.'' Répliqua Julien avec de l'indifférence dans la voix.

Julien était vraiment déçu, elle le jugeait sur la surface et non sur l'intérieur, elle ne faisait que le juger sur ce qu'il était en extérieur, rien de plus.

''Mais qui vous dit que quelqu'un m'à élevé? Quand à ce qui concerne la gente féminine, y'a bien assez de pimbéche qui sont pret à vous servir comme une esclave avec un simple sourire...Mais si vous ne désirez point avoir de conversation soutenu et civilisez avec un pauvre orphelin qui n'a reçut aucune éducation de jeune homme courtoie...c'est votre problème, et votre corps ne m'attire en aucun manière, alors veuillez cessez votre petit manège, avec votre langue et tout ce qui va avec...'' Rajouta Julien en la fixant dans les yeux, il en avait marre qu'on le juge n'importe comment, il n'était pas triste, il avait fait son deuil depuis bien longtemps. Cependant il baissa la tête, retournant dans ses devoirs, ignorant royalement la jeune fille en face de lui.

[HJ Trop fatigué pour en écrire plus, navré!!]

Aelita avait touché un point sensible du jeune homme et maintenant elle savait qu’elle ne l’attirait pas, donc elle ne voyait plus d’inconvénient pour faire de sa connaissance.

C’est vrai monsieur Vogel, je ne connais rien à votre famille et encore moins sur votre passé, mais cessé donc vos bonnes manières voulez-vous ? Lâchez vous avec moi et si vous ne voulez pas ici, venez avec moi dans un endroit tranquille, ne vous en faites pas je ne ferais plus rien avec mes lèvres, ni avec la moindre partie de mon corps. Si vous me montriez un peu comme vous êtes réellement, dit-elle en se levant et en pointant son index sur le cœur du jeune homme, là. Je suis sûr que vous êtes quelqu’un d’exceptionnel, monsieur Vogel seulement vous vous cachez derrière ces bonnes manières. Vous êtes orphelins, mon pauvre ami, lui dit-elle en reprenant sa place et en s’asseyant elle regarda les alentours la salle était moins bondée que quand elle était rentrée.

Elle se rassied et elle reprit son livre en pensant que le jeune homme ne voudra jamais lui reparler, elle soupira, puis leva les yeux au ciel.

Je suis désolée, lui dit-elle en le regardant, je ne voulais pas me montrer grossière ou impolie, mais j’ai eu tellement de problème que je me méfie, c’est tout et c’est toi qui paye, dit-elle en prenant son livre et en se levant, tu n’avais pas besoin de cela, j’en suis navrée.

Elle se leva et parti en direction du dortoir des filles.