Sortie nocturne

Assise sur une poutre, dans le dortoir, Ely fixait une petite fenêtre. Au dehors, on pouvait appercevoir un carré de ciel noir d'encre, signe que la nuit regnait. Le voile épais et blanchâtre qui enveloppait le paysage ainsi que les petites eclaboussures s'écrasant avec un petit bruit mat sur la vitre temoignait que la pluie tombait drue. Des eclairs zebraient le ciel en jetant une lumière vive et brève sur les alentours. Des grondements reguliers venaient troubler le clapotis des gouttes sur les feuilles mortes. Assise sur sa poutre, le tête dans les combles, faisant amie-amie avec les araignées, Ely contemplait le magnifique spectacle. Elle adorait le nuit, c'était...son élément, ou du moins, tout comme. Elle aimait également ce temps, orageux et pluvieux, ele trouvait cela grisant car cela representait, pour elle, un symbole de liberté et de fraicheur, comme pour passer à autre chose. L'odeur sauvage que degageait la végétation mouillée, les illuminations quasi-ireelles des eclairs sur la campagne...

Des pensées un peu moins idylliques que le panorama la sortirent de sa contemplation. Si elle était reveillée, en pleine nuit, c'était pour une raison. Efffectivement, même si elle s'endormait rarement tôt, à 4h00 du matin, elle était souvent endormie dans son lit. Cependant, un rêve assez desagréable l'avait réveillé.

rêve on:
Ely marchait d'un pas vif dans ce qui semblait être une forêt. Son visage poussièreux et maculé d'une terre rèche était strié de larmes brûlantes coulant en un flot continu qui ne se tarrissait pas. Ses vêtements étaient déchirés et sales, laissant nus ses épaules, ses bras, une grane partie de ses jambes et de son dos. Toutes les parties visibles de son corps frêle étaient recouvertes de profondes griffures et maculé d'un sang sombre et épais qui n'était pas le sien. Ses lèvres éclatées et gercées la faisait souffrir. Maintenant, elle courrait. La nuit noire ne l'aidait pas à distinguer ce qu'il y avait autour d'elle, cependant, elle pouvait appercevoir les ombres menaçantes des arbres imposants, les brousailles entremêlées en un labyrinthe inextricable et des épines s'enfonçaient dans ses pieds nus. Elle continuait de pleurer et ses blessures des saigner abondement. Elle atteint bientôt une petite clairière et s'écroula, à genoux, au milieu de celle-ci. Elle pleurait toujours autant, mais c'était de joie. Son sang clair et fluide se mêlait à celui qui ne lui appartenait pas. Elle ouvrait la main et la lame rouillée qu'elle tenait à l'interieur tomba avec un bruit mat dans l'herbe, dont les brins se trouvèrent éclaboussés de minuscules goutellettes rougeâtre. Un rire démoniaque lui échappa, la tête levée vers la lune. Elle était emplie de haine mais satisfaite. IL l'avait violée, IL avait abusé d'elle toute son enfance, Il l'avait battue, harcelée...Elle s'était vengée. Il ne la ferait plus jamais souffrir. Son geniteur...ne la ferait plus jamais souffrir car elle venait de l'envoyer dans l'autre monde. Un rire sardonnique sortit de sa gorge, se cassa; elle s'évanouie
rêve off

Ce rêve la reveillait souvent, ces derniers temps et elle n'arrivait tout simplement pas à le contrôler. Toujours assise en tailleur sous les combles, Hallowenn tendit l'oreille et laissa echapper un long sifflement, aïgu et plaintif. Seul la respiration regulière et quelques legers ronflements, signe d'un profond sommeil, lui répondirent. Rassurée, elle s'accroupi sur son siège de fortune et, d'un bond leste, se retrouva debout sur le parquet du dortoir qui grinçait douloureusement à chacun de ses pas, aussi legers soient-ils. Elle enfila avec rapidité un jean et un debardeur, sauta dans ses chaussures puis se dirigea d'un pas elastique vers la porte du dortoir, qu'elle entrouvrit legerement. Un coup d'oeil à droite et un autre à gauche suffirent pour lui confirmer ce qu'elle savait déjà: le couloir était desert.

Elle prit ses chaussures à la main et se mit à marcher pieds nus dans les couloirs de pierre. Le murmure du vent entre les dalles ainsi que la température déjà glaciale qui ne cessait de chutter demontraient qu'au dehors, l'orage s'était accentué mais elle continua de marcher. Elle se retrouva bientôt dans la pièce rassurante qu'était la volière et s'assit sur le rebord de la fenêtre sans vitre, au dessus du vide plutôt impressionant. Mais cela ne lui faisait pas peur. Au dehors, la tempête se dechainait mais elle reussi à entrappercevoir une ou deux étoiles. Un lueur de haine illumina son regard lorqu'elle se demanda si IL pouvait la voir, de là-haut.

Jimmy monta de nouveau les marches de la volière car il avait maintenant pris gout à aller en haut de la tour et regarder à l'horizon, mais cette fois-ci, une jeune fille très belle était là.Il s'avança et regarda son uniforme pour voir qu'elle était a Serpentard.

*Pourquoi je tombe toujours sur des Sepylière!Mais elle est peut-être mieux que Halloween!*

Il marcha encore un peu pour s'approcher d'elle et il la regarda.Elle avait de très beaux cheveux noir.

-Bonjour...Vous semblez très seul.

Il s'assit alors sur le bar d'une fenêtre en attendant qu'elle lui répondre.Il regardait les hibou et se disait qu'il était maintenant déjà moins dégêner avec une personne.Mais avec plusieurs personnes, il ne savait pas encore comment ça allait se passer.

[HJ:Très court je sais!]

Ely fut tirée de ses pensées d’une façon peu orthodoxe. En effet, un jeune garçon venait de lui adresser la parole, sans autre forme d’approche particulière. Et Ely détestait cela. En effet, elle ne comprenait pas pourquoi certaines personnes ressentaient le besoin quasi-obsessionnel de parler, d’approcher et d’apprendre à connaître tous les gens qu’elles croisaient. Pourquoi certaines personnes se sentaient obligées de se consacrer chaque jour à mieux aider son prochain et à suivre comme des moutons les troupeau bêlant qu’était devenu le monde, jusque dans l’école prestigieuse qu’avait jadis était Poudlard. Elle jeta un regard morne et exaspéré sur la robe du jeune garçon et put constater qu’il était à…Gryffondor. Elle aurait du s’en douter. Un pensée lui traversa furtivement la tête ; si les verts et argent s’entendaient si mal avec les Gryffondors, ce n’était pas seulement parce qu’il avait existait une rivalité entre le grand Salazar Serpentard et Godric Gryffondor. Non, cela allait un peu plus loin que cela tout en restant parfaitement simple. Les occupants respectifs des deux maisons avaient tout simplement des caractères beaucoup trop différents pour pouvoir s’entendre. En effet, les rouges et or étaient tellement loyaux qu’ils en devenaient aveugles et mous et trop fleure bleue pour arriver à quoi que ce soit. Leurs réparties équivalaient celles d’un nourrisson naïf et craintif et leur soit disant courage n’était mis à profit que pour des causes dites « nobles ». Ely avait, depuis sa plus tendre enfance, décidée de ne jamais se fier aux préjugés. Cependant, l’insigne accroché aux robes des apprentis sorciers habitants cette école dépassait de loin n’importe lequel des préjugés ; car le choixpeau savait lire au plus profond des êtres. Et le résultat se lisait aux différents insignes. C’est pourquoi Ely, qui malgré ces pensées avait gardée un regard froid et distant le posa, plein d’un mépris non dissimulé sur le jeune audacieux ou, plus simplement, le profond idiot.

Elle ne parla pas tout de suite, le laissant comprendre à quel point son erreur avait était grande de l’aborder. Peut-être avait-il crut faire une bonne action en venant au secours d’une personne seule, les cheveux voletant au dessus d’un vide sidéral mais c’était justement cela que Ely lui reprochait. Elle commença, d’une voix parfaitement calme et sereine mais où tout le dédain qu’elle ressentait suintait :

« Oui, effectivement, je suis seule et ce n’est pas pour rien. J’étais très bien avant ton arrivée et c’était un choix de ma part de rester isolée. »

Elle fit une petite pose, se demandant si elle continuait à parler. Elle aurait très bien put s’arrêter là, sous prétexte que le jeune rouge et or ne valait pas la peine que Ely lui accorde son attention mais elle continua tout de même :

« Si tu es venu ici pour envoyer un hibou, fait le. Je ne comprend pas pourquoi vous, les Gryffondors, avaient cette manie d’aller aborder les gens qui ne cherchent qu’un peu de calme et de sérénité ! »

Elle rejeta la tête en arrière et quelques unes de ses mèches noires effectuèrent une jolie courbe avant de retomber sur son dos. Elle reprit son air froid et distant, n’accordant pas plus d’attention au jeune homme sans importance qui s’était permis de pénétrer dans sa solitude.

« Oui, effectivement, je suis seule et ce n’est pas pour rien. J’étais très bien avant ton arrivée et c’était un choix de ma part de rester isolée. »

*Hum...Conseille n°1, ne plus jamais aborder les Serpylièrre.*

Il se remit debout et approcha de la jeune fille.Il la regardait droit dans les yeux.

-Si tu voulait être si seul,tu n'avais qu'à rester dans ta salle commune, et ensuite danas ton dortoir au lit.

« Si tu es venu ici pour envoyer un hibou, fait le. Je ne comprend pas pourquoi vous, les Gryffondors, avaient cette manie d’aller aborder les gens qui ne cherchent qu’un peu de calme et de sérénité ! »

-Non je n'était pas venu ici pour envoyer une lettre mais pour venir regarder l'horizon et en même temps tomber sur une personne à qui je pourrai faire connaissance, mais je vois que se n'est pas ton cas.De plus, cet tour est pour tous!

Il se retourna et regarda vers la fênetre en riant dans sa tête espérant avoir réussi a la faire frustré!Il avait maintenant pris goût à mettre en colère les Serpillière.

Un sourire sarcastique s'étala sur les lèvres de Ely, qui restait d'habitude d'une froideur et d'une neutralité déconcertante. Mais à, le sarcasme et le mépris l'habitait toute entière. Quand elle disait que les rouges et or avaient peu de répartie...celui-ci en était tout simplement la preuve en image. Et c'était consternant, à la limite du risible. Seulement, cela ne donnait pas du tout envie de rire à Ely. De se faire remballer comme cela lui donnait surtout envie de sortir sa baguette pour jeter un sort qui grillerait le malotrus sur plcae; cependant, elle n'en fit rien. Premièrement, car elle ne connaissait pas de sort assez puissant pour cela (elle n'était qu'en première année, après tout) et deuxièmement, car elle savait depuis toujours garder le contrôle de ses nerfs et que, tant qu'il ne la provoquerait pas en duel, elle ne ferait rien de ses projets meurtriers. Pour le moment, elle observa d'un regard goguenard le jeune rouge et or, qui semblait s'être enorgeuilleurdit par cette réponse sans présence d'esprit aucune. En effet, il se contentait de répondre du tac au tac à des réponses que Ely avait déjà formulées et par des clichés tellement connus que seul un froncement de nez méprisant en avait résulté chez Ely... Et il croyait l'avoir vexée avec ça...mais il se prenait pour qui. Bizarrement, Ely et le jeune imbécile étaient tous deux en première année mais elle se sentait plus grande que lui...

Elle reporta un regard glacial et méprisant sur le jeune homme, qui s'octroyait le droit de regarder d'un air lointain et presque absent par la fenêtre. Il semblait tellement fièr de lui et de ses réponses pleine d'une intelligence apparement absente chez ce jeune cas que cela aurait presque fait pitié...si Ely avait de la pitié à accorder à qui que ce soit. Malheuresement, ce n'était, n'avait jamais été et ne serait jamais, au grand jamais le cas. Elle avait aussi décidé d'ignorer une des attitudes du garçon, particulièrement puériles; en effet, elle consistait tout simplement à la regarder dans les yeux, sans baisser une seule fois le regard. Il avait surement pensé que cela allait lui donner une élèment de puissance, de posséssion, qu'il allait être maitre de la situation...mais il avait omis un tout petit détail. Lorsque l'on se fait dominer, on ne regarde pas les gens, cela peut passer pour de la soumission; et Ely le dominer largement, même assise au bord dune fenêtre.Tout d'abord, elle lui lança, toujours calme:

" Je vais t'apprendre une chose, quand j'ai envie d'être seule, je vais où je veux. Et les petits insolents come toi viendrait même me chercher jusque dans mon lit, comme tu m'as si gentiment recommandé d'aller m'y coucher. De plus, je ne laisse pas les êtres insignifiant dont tu fais partit régir ma vie et me dicter leurs lois."

Elle se tut, en proie à un dilemne. En effet, le jeune moucheron faisait semblant de ne pas entendre ce que disait Ely, ce qui l'agaçait au plus haut point. Sa voix redevint galciale et un poil doucereuse:

"Quand je parle à quelqu'un, je préfère que celui-ci me regarde. Sinon, cela peut passer pour du mépris et je doute que tu puisse te premettre de me regarder de haut. De plus, comme tu l'as si bien dit pour une fois, cette tour est à tout le monde et j'ai le droit de ne vouloir parler à personne, et encore moi à des gens comme...toi. Donc, je t'en pris, observe ton horizon mais cherche toi quelqu'un d'autre prêt à supporter tes jacassements icessants, puériles et insignifiant."

En ayant finit avec la petite personne de ce méprisable rouge et or, elle sortit un livre du sac qu'elle avait posé par terre et se plongea quelques instants dans sa lecture, n'attendant pas specialement de réponse de la part du garçon. En effet, il n'y avait plus rien à redire et cela lui convenait comme cela.

Jimmy pensait à ce que la jeune fille lui avait dit.

" Je vais t'apprendre une chose, quand j'ai envie d'être seule, je vais où je veux. Et les petits insolents comme toi viendrait même me chercher jusque dans mon lit, comme tu m'as si gentiment recommandé d'aller m'y coucher. De plus, je ne laisse pas les êtres insignifiant dont tu fais partit régir ma vie et me dicter leurs lois."

Mais qu'elle mouche l'avait piqué? Il lui avait recommandé seulement d'aller au lit.Elle voulait le faire fâché et seulement les parole qu'elle disait, elle se pensait beaucoup plus haute que lui. S'il le fallait, il allait sortir sa baguette et il avait déjà penser au sortilège qu'il lancera.Une autre Sepillière qui aime bien rire de lui.*Ils sont tous pareil.*Se dit-il. Il se retourna et regarda l'horizon sans lui répondre, ça ne vaut même pas la peine. Mais celle-ci rajouta qu'elle que chose.

"Quand je parle à quelqu'un, je préfère que celui-ci me regarde. Sinon, cela peut passer pour du mépris et je doute que tu puisses te permettre de me regarder de haut. De plus, comme tu l'as si bien dit pour une fois, cette tour est à tout le monde et j'ai le droit de ne vouloir parler à personne, et encore moi à des gens comme...toi. Donc, je t'en pris, observe ton horizon mais cherche toi quelqu'un d'autre prêt à supporter tes jacassements incessants, puériles et insignifiant."

Mais pour qui qu'elle se prend?*J'ai le droit de regarder où qu'il veut. Elle ne veut pas lui parlé mais quand elle parle, il faut que je regarde madame!*

-Hum...Tu dits que je doit te regarder quand tu parle mais tu ne veut pas que je te donne des ordres. Bien moi non plus je n'en veux pas de tes ordres, je regarde où que je veux. Si tu ne tenais tant pas à me parler tu aurais pu me dire'' Désoler, je n'ai pas le moral à parler aujourd'hui'' et ça l'aurai réglé pleins de problème. Je vais y aller je dérange trop madame.

Sur ce, il se retourna et partit vers la porte. Mais il sortit très discrètement sa baguette magique et se remémora le sortilège que la consoeur a madame, Halloween Strue, lui avait lancer.*Tarantallegra,Tarantallegra,Tarantallegra* Sans se retourner, Jimmy lui parla.

-En même temps je m'appelle Jimmy Ollissay des fois que tu ai besoin de le savoir et toi?.TarantallegraIl prit une pause et se remit à parler.Bonne chance, tes pieds tu ne peut pas les contrôler car il danse tout de seul en cause du sortilège que j'ai envoyer. Je vais peut-être t'épargniez si tu me dit ton nom. Mais j'ai bien dit peut-être mais au moins sa te donne des chances. Je ne partirai pas, je trouve sa bien trop drôle de te voir danser comme ça. Au moins, tu peut encore parler et bouger tes mains!Mais je voit ta baguette là!Wingardium LeviosaMerci pour la baguette!Je ne la brisera pas, je te la redonne si tu me dit ton nom.

Il riait bien de trop. Une Sepillière qui n'a plus de baguette et plus de contrôle sur ses jambes!Lui qui riait au pas de la porte en la regardant danser.

-Au bal de Noël l'année prochaine, tu veux venir avec moi, tu est une très bonne danseuse.Tu feras attention la prochaine fois, j'ai un visage a 2 faces!

Sur ce, il se rassit sur le bar...

[hj: tu n'as pas le droit de décrire mes propres réactions. Donc, tu peux decider de me lancer un sort mais ce n'est surement pas à toi de decider si je le reçois ou non. Donc en l'occurence, je pense que le "wingardium leviosa" n'est pas de mise puisque si ça se trouve, je ne suis même pas encore en train de danser... voila, voilà, donc, dommage mais une Serpy ne peut se permettre de se faire ridiculiser ainsi alors...xD]

Ely écouta sans grand enthousiasme les jacasssements de ce jeune homme. Son regard , toujours d'un froideur palpable, passait de sa petite tête d'ange à sa baguette, qu'il tenait serrait dans ses mains, apparement un peu moites. Un petit rictus sarcastique déforma la bouche d'Ely, toute ocupée à se demander si le rouge et or avait vraiment peur d'elle. Car, bien qu'elle soit à Serpentard et surement un peu plus instruite que lui, elle ne devait pas avoir une puissance de sort phénoménale. Et les critères pour faire parti de la maison des griffons était d'être courageux et loyal?? En ce moement, Ely remettait serieusement en question le véridique qu'offrait l'insigne et un pensée aussi saugrenue qu'inutile lui traversa l'esprit. Peut-être avait-il tout simplement honte de sa maison et s'était arrangé pour avoir un insigne d'une autre maison, plus à son goût. Vu la personnalité du personnage qui lui faisait face, c'était une hypotèse ne pas éliminer trop vite...

Ely' repporta son attention sur le jeune rouge et or; à son visage crispé et son air de prince offusqué, elle devina avec une satisfaction malsaine qu'elle avait vexé le cher petit. Elle se demanda comment des êtres si differents que les Serpentards et les Gryffondors (ou même les Poufsouffle et les Serdaigles) pouvaient se cotoyer sans qu'il n'y ait pas de morts...Comment?? Cela était un peu compliqué à expliquer, en fait et Ely' ne voyait aucune réponse évidente, à part si on rentrait dans une psychologie complexe. Elle ne pensait pas que cela soit grâce à la direction fabuleuse de ce cher directeur actuel, même si elle ne niait en aucun cas qu'il était un trés grands sorcier et faisait parfois du bon travail. Peut-être était-ce juste parceque cela était comme cela depuis des années mais elle en doutais également fortement. Car, vu les personnalités de chacuns des verts et argent et de quelques rouges et or, les règles n'étaient pas ce qu'il y avait de plus important et faire comme tout le monde était souvent le cadet des soucis des interessés...Alors oui, il était compliqué de répondre à cela. A part par une ultime solution, encore hypotèse un peu branlante mais qui aurait surement pu être une explication plausible...Les maisons, ou plutôt, leurs habitants, reglaient ensemble leurs compte, en face à face anonyme et discrets, lors de petits affrontements comme celui plutôt doux qu'elle était en train de vivre, exteriorisant ainsi toute l'animosité qu'il existaient entre eux...pour au moins une petite journée, parfois un peu moins...(ça va, j'arrête ma psy'xD).

Toujours était il qu'en face de Ely se tenait un jeune garçon, pas plus âgé qu'elle, et même un peu plus petit en taille qui prenait des airs de personnes royales offensées lorsqu'elle même lui disait tout simplement ce qu'elle pensait et ce qu'elle avait sur le coeur. Et cela, elle ne le supportait que très difficilement, pour ne pas dire pas du tout. En effet, elle avait beaucoup de mal avec les gens qui ne disaient qu'à moitié ce qu'ils pensaient, de peur de blesser leur interlocuteur...mais justement, Ely' n'avait pas peur de cela et elle en était fière. Pourquoi ce serait elle gênée alors qu'un petit impoli était venu l'interrompre pour parler de n'importe quoi alors qu'il avait très bien vu qu'elle étaiy profondément plongée dans ses pensées?? Pourquoi? Ca pouvait également être ça, blesser les gens, ne pas respecter leur intimité; et c'est ce que le jeune garçon venait de faire.

Elle fut tirée de ses pensées, sans importances cette fois, par la voix du jeune homme. Elle haussa un sourcil sceptique quand à son argumentation pas très...explorée. "Et toi tu me dis ceci, et toi tu le fais même pas. Et moi aussi je fais ça, et moi aussi je fais çi..." Il ne manquait pus que le tirement de langue boudeur et un "d'abord" provocateur et le jeune rouge et or retombait dans les jeux puériles d'un enfant de cinq ans. C'en était...pitoyable. Quand il eut finit sa petite tirade, le jeune garçon s'en fut comme si de rien n'était, alors qu'Ely devinait très bien ce que lui avait couté cet immense effort, si l'on pouvait qualifier cela comme ça...C'aurait été écrit sur son front que cela n'aurait pas été si flagrant...

Cependant, lorsqu'il s'éloigna d'un pas trop naturel pour faire croire quoi que ce soit, Ely' glissa sa main dans sa poche; elle n'avait pas confiance. Et cela ne tarda pas. Le jeune homme lui dit d'un ton de banale conversation comment il se nommait et lui demanda sur un ton badin ce qu'était son propre nom...suivit immédiatement d'un sortilège qu'elle ne connaissait que trop bien. Ce jeune imprudent avait omis de penser qu'elle avait peut-être eut une soeur et trois cousins (peut-être...). Son réflèxe ne se fit pas attendre et elle esquiva de justesse le sortilège qu'il lui avait lancé, avant de pointer sa propre baguette en direstion du visage de son...adversaire? [hj: à partir de là, je ne suis plus ton Rp car tu ne peux pas décider de mes réactions, comme je l'ai dit au dessus... ]Elle laissa éhapper, d'une voix où le mépris était plus encré que jamais:

"Je vois que tu ne mérite pas ta place chez les rouges et or. Car, même si je les méprise au plus haut point, les plupart on au moins le sens de l'honneur...ce qui semble cruelement te faire défaut. En général, lorsque l'on s'ttaque à quelqu'un, c'est en face, et non dans le dos comme un vulgaire enfant, que tu semble être résté. Ou sinon, cela se nomme de la lacheté...J'éspère pour toi que c'est plutôt la première solution car l'enfance, on en sort forcement un jour alors que la lâcheté coule dans les veines..."

Ses yeux restaient glacials et sa voix parfaitement neutre, bien que, si on avait pu mesurer la haine qu'elle resentait pour la faire retomber sur le moucheron qui lui servait d'interlocuteur, il en serait mort foudroyé. Un sourire goguenard étira sa bouche et elle continua:

"!!mh..Quand à mon nom, je m'appelle Ely Davinson. C'est pour cela que tu as fait ton cinéma? Je pense qu'il faudrait mieux que tu te calmes, car avoir quelques Serpentards sur le dos alors que l'onvient juste d'arriver, ce n'est pas ce qu'il y à de plus bénéfique. Et je ne parle pas de moi...Ta petite histoire avec cette Halloween s'est très vite répandue..."

Elle s'accorda une pause et un moue de pronfond sceptisme vint gacher son visage, d'ordinaire si joli. Elle se demandait pourquoi cette larve avait attérit à Poudlard...quel gachis. Sur ce,, et d'un ton du plus naturel elle lança:

"Expelliarmus!"

Elle avait appris ce sort grâce à son cousin, qui avait l'année dernière participé au club de duel dirigé par une certain Gilderoy Lockart...

+ de 500 mots

Le jeune rouge et or avait fait une terrible erreur. La jeune fille l’avait insulté car il ne devrait pas être dans la maison de Gryffondor car il ne veut pas commencer un combat. Il avouât qu’il avait fait une erreur. Mais celle-ci avait quand même éviter tout ses sortilège et lui avait envoyer un sortilège. Un sortilège de désarçonnement, qui avait envoyé sa baguette dans les air. Mais il était vis-à-vis de la porte et celle-ci retomba alors à l’extérieur, mais elle était passée par-dessus le mini balcon et elle faisait maintenant une chute d’une très haute tour.

-Si ma baguette est cassée, tu me le payera très cher!De plus, je ne vois que ce n’est pas tellement mieux madame qui veut immédiatement me désarçonner pour ne pas faire de bagarre, ça ressemble a un comportement de Poussoufle. Je ne m’en vanterai pas non plus! J’aurais également les gens que je veux dans mon dos. Je contrôle ma vie et je ne suis pas un petit gamin comme tu le penses. Toi tu à l’air d’une personne âgé qui évite la bagarre pour ne pas t’attirer les foudres!

C’était quoi son problème a cette fille, Jimmy se le demandait sérieusement, il se retourna et partie alors vers la porte et il descendit les nombreuses escaliers de la tour. Arrivé en bas complètement il chercha sa baguette et il la retrouva dans les herbes. Heureusement pour lui elle n’avait rien! Il la prit et ne pris même pas la peine d’aller revoir la jeune fille de Serpentard, il retourna vers le château. Il regardait la tour pour voir si la jeune ne le suivait pas ou qu’elle prévoyait lui jeter un sort. Il traversa le parc qui était silencieux et il arriva dans le château qui était également silencieux. Il monta les marches du hall et partie vers la tour nord pour aller dans sa salle communes se coucher. Il arriva alors devant le portrait de la grosse dame et il vit qu’elle était endormie.*Qu’est-ce que je fait maintenant?* se demandait-t-il.*Mais oui, l’autre jour à la bibliothèque, j’ai vu un livre qui parlait de l’invisibilité, et qu’on pouvait se rendre invisible mais cela était bien difficile. Mais j’ai quand même essayé et j’avais réussi à faire disparaître mes pieds. Je vais essayer pour tout mon corps.*Il prononça la formule dans un chuchotement. Et il se retrouva invisible, non plutôt il était camoufler comme un caméléon. Jimmy ne savait pas un sortilège de plus que celui-ci qui n’avait pas rapport à son niveau. Il se mit alors a marcher et il se redirigea vers le parc. Il remonta dans la tour pour voir si la jeune Serpentard était toujours là. Si oui, il allait se faire réapparaître et réparer son erreur en lui proposant de se battre, sinon, il allait retourner de bard et essayer de réveiller la grosse dame pour entrer dans la salle commune. Il monta les marches pour voir s’il était encore là, il arriva dans la porte et…

[501 mots]

Ely' regarda la baguette de...comment avait-il dit s 'appeler? Ah...Jimmy exécuter une courbe parfaite avant de tout simplement prendre, par un hasard risible, la direction de la fenêtre. Ely', toujours baguette en avant, regretta un instant son geste...On ne pouvait dire qu'elle le regrettait au sens propre mais, pour la première fois depuis bien longtemps, elle se sentait assez...misérable, oui, c'était le mot approprié. Effectivement, ce jeune Gryffondor l’avait attaquer par derrière, dans le dos…c’était peur-être d’une lâcheté déconcertante et à la limite de la consternation mais elle c’était amusée, comme une gamine à le désarmer. Elle avait perdue une dignité qui lui était chère et se demanda un instant comment elle avait pu tomber si bas. En même temps, si elle ne l’avait pas désarmé, qui sait ce qu’il aurait été capable de faire pour arriver à ses fins, et elle avait déjà failli tester les conséquences que cela pouvait engendrer, étant donné son apparente peur de l’affrontement. De plus, elle ne voyait vraiment pas où était le problème ; elle lui avait simplement fait comprendre, d’une manière peut-être pas tellement sympathique mais pas au sommet de a méchanceté non plus, qu’elle aurait aimé qu’il la laisse tranquille et qu’il dégage. Elle ne voyait là dedans aucune nécessité de se battre. Elle l’avait désarmé pour plus de sécurité, même si elle était presque convaincue qu’il ne pourrait certainement rien lui faire. De plus, ils étaient tous deux en première année, et même si elle était un peu plus avancée en matière de magie que certains de ses camarades de cours, ils n’auraient rien pu se faire de bien méchant. Lorsqu’elle avisa la tête que faisait le jeune rouge et or, elle leva un sourcil, sceptique. Son geste n’était pas si dramatique que cela et, si il craignait pour sa baguette, elle aurait très bien put le rassurer. Bien qu’elle ait effectuée une chute de la plus haute tour du château, celle-ci était, à ses pieds, bordée de la même herbe grasse que celle plantée dans le parc. Et, placée comme elle l’était, Ely pouvait sans peine apercevoir la fameuse baguette, indemne et sans la moindre égratignure, perdue dans l’herbe, comme si elle avait était volontairement posée là, n’attendant que son propriétaire. Décrochant son regard de la baguette, elle le fit glisser sur Jimmy, apparemment en proie à un sérieux dilemme, semblant se demander si il allait d’abord chercher sa baguette ou faire comprendre à son interlocutrice ce qu’il pensait par une réplique cinglante, dont il savait pertinemment que cela ne l’attendrait pas. Apparemment, il choisi cette deuxième solution et lui balança, comme à son habitude, une réponse sans queue ni tête de petit garçon vexé , bafouillant d’indignation. Elle écouta patiemment, maintenant l’air profondément ennuyé. Même son regard, d’ordinaire si glacé avait cédé la place à un regard teinté d’un profond ennui. Elle lui répondit d’une voix à la limite de le neutralité :

« Si ta baguette est cassée, tu iras pleurer dans les bras de ta mère qui t’en rachèteras sûrement une…et au passage, n’oublie pas de préciser que tu m’as lâchement attaquée…Ensuite, le mot bagarre ne me semble pas le plus approprié, vois toi-même pour toi, cela te permettras d’utiliser un peu ta propre tête, au lieu de reprendre des sermons et réplique volées à tes ancêtres…Ensuite, attaquer dans le dos, c’est toi et ta conscience que cela regarde, mais n’oublie jamais que la vengeance est un plat qui se mange froid et que tu pourrais un jour en pâtir. Pour finir, je n’évite pas les conflits et ne cherche aucunement à me justifier, c’est simplement que je n’en vois pas l’intérêt ici, surtout si c’est pour me faire battre…dans le dos »

A peine eut-elle finit que le jeune garçon était déjà parti en coup de vent, apparemment agacé, ou simplement inquiet pour sa précieuse baguette. Finalement, elle était arrivée à ce qu’elle désirait, à savoir la paix. Elle se recala sur son bout de fenêtre, se replongeant dans la contemplation du vide, sans plus penser à ce qui n’avait été qu’un incident, et encore…Cela devait faire une dizaine de minutes qu’elle été ainsi, savourant avec délice ce pur moment de solitude lorsqu’elle sentit un présence, derrière elle. Elle avait rangé sa baguette et ne prit pas la peine de la saisir. Car, à par si c’était ce Jimmy qui était de retour pour de nouveau l’attaquer dans le dos, ce dont elle doutait fortement, elle ne voyait vraiment pas en quoi s’inquiéter. Elle se retourna pour apercevoir le visage du nouveau venu, mais personne ne se montrait. Pourtant, elle sentait une présence, autre que celle des hiboux dans la pièce et scruta le mur, un froncement de sourcil imperceptible gravé sur son visage. Elle réussi à percevoir un mouvement flou sur le mur mais se dit que cela devait être son imagination et n’y fit pus attention. Elle se retourna, prit un livre dans son sac et commença sa lecture.

826 mots

Jimmy était toujours invisible. La jeune serpillière l’avait regarder mais n’avait fait comme si de rien n’était, du moins, c’est ce qu’elle avait fait paraître. *Vaut mieux que j’y aille et que je la laisse seul.* Jimmy se retourna et partit alors. Il descendit les marches et retourna au château sans aucun obstacle. Il arriva devant la grosse dame et murmura le mot de passe. Celle-ci se réveilla et ouvrit la porte sans savoir qui rentrait. Il resta un peu devant la cheminée et regarda le beau temps dehors. Il ouvrit la fenêtre et s’accota à son tour sur le bord de la fenêtre.* Je vais bientôt partir d’ici pour une été complète! Je vais m’ennuyer à la maison!* Il se retourna et aperçu un chaton sur le canapé!Il se leva et alla le flatté. Celui-ci ronronna fort. Mais tout a coup, un hibou entra dans la salle commune et il reconnu le hibou qu’il avait envoyer il y a quelque jour!C’était la colocataire de son oncle qui lui écrivait!

Cher Jimmy,

Comment ça va? Moi ça va super bien et merci pour ta lettre. Je ne savais pas que tu avait un hibou maintenant!Chez nous tout va bien. J’ai réussi à pouvoir rester au pays encore 2 ans au moins! J’ai hâte que tu reviennes, je t’attends pour cet été! J’ai déménagé, j’ai resté dans la même ville mais par contre, je suis maintenant dans un appartement à 2 chambres car la maison coûtait trop cher! Je viendrai te trouver sur la voie 9 ¾ quand tu arrivera! À cet été!

Bisous, Jack xxx

Il était bien content! Jack lui écrivait! Ça lui faisait bien au cœur et il alla se coucher content!

» __ sortie nocturne __[PV]
» Nocturne
» Expédition nocturne
» Traque nocturne *pv*
» Promenade nocturne [PV]