A la sortie du train, Nathanaël arriva enfin devant le fameux château de Poudlard. Il était enfin arrivé dans son nouveau chez-soi, là où il allait passer sept années de sa vie à étudier afin de devenir un bon sorcier. Il resta sur le peleron à regarder le paysage aux alentours. Heureusement pour lui, un petit porche au-dessus de sa tête le protègeait de la pluie qui avait commencé à tomber quand il était sur les eaux, dans la barque avec les autres premières années.
Il regarda les autres élèves se précipitaient pour pouvoir se mettre à l'abri dans le hall de l'école. Apparement ceux-ci ne devaient pas vraiment aimer la pluie. Il jetta un dernier regard sur le paysage qui était comme couvert par un voile à cause de la pluie. Celà avait toujours le don de faire comme une illusion d'optique. La nature en était recouverte, pour celà il fallait savoir l'observer attentivement.
Un première année qui allait rentrer vint le voir pour lui dire assez gentiment qu'il allait tomber malade s'il restait ici, dehors sous la pluie. Celui-ci partit bien vite par la suite, comme s'il était en sucre et craignait de fondre sous la pluie.
* Bah, j'aurai tout le temps d'aller admirer les jardins demain * pensa-t-il en lançant un dernier regard sur les jardins mouillés, ... à cause de la pluie.
Il finit par entrer dans le grand hall du château, trempé de la tête au pied. Ses cheveux étaient tou mouillés et des goutelettes coulaient le long de sa joue mais il n'y prêta pas attention. Il regarda les autres élèves parlaient entre eux ou plutôt crier vu le bruit qu'ils fesaient. C'était surement dû au fait que le hall était grand et haut, ainsi l'écho marchait parfaitement. Il prêta alors un peu plus attention aux murs qui l'entouraient. Ceux-ci étaient recouverts par divers tableaux qui étaient tous magnifiques et bien faits. Dans un coin, il y avait des sabliers. Il se demadna bien à quoi ceux-ci pouvaient bien servir.
Il resta là, en plein milieu du Hall de Poudlard, entouré par des personnes qu'il ne connaissait pas mais ne faisait pas de premier pas. Ce n'était pas par mépris bien au contraire, il était juste un peu méfiant et timide ce qui l'empêchait assez d'aller vers les autres, préférant les observer de loin, tout seul dans son coin. Ca avait toujorus été comme celà, c'était les autres qui venaient vers lui mais peut-être que tout ceci allait changer cette année ... qui savait ... sûrement pas lui.