La fin d’une histoire … [Jimmy][Fini]

Klaralye était là, dans la volière, à une heure un peu trop tardive aux goûts des professeurs. Mais, faire perdre des points à sa maison était, présentement, le dernier de ses soucis. Les larmes coulaient sur ses joues rosies par le vent qui s’engouffrait dans la volière. Elle sentait le regard des hiboux fixer sur elle, mais ça aussi c’était le dernier de ses problèmes. Elle essuya les larmes qui fessait reluire ses yeux et elle relut par la 2Oième fois sa lettre…

Cher Jimmy,

Tu dois trouver étrange que je t’écrive une lettre tandis qu’on se voit tous les jours à l’école. Mais tu vas comprendre quand tu vas avoir finis de la lire mon message …
Tu as sûrement remarquer que j’étais un peu distante ces temp-ci. La raison est toute simple, j’avais besoin de temps. Du temps pour réfléchir, pour faire le point sur moi-même, sur mes sentiments, sur nous deux.
Après mûr réflexion, je crois qu’on ferait mieux de rester de simple ami, rien de plus…
Je t’apprécie vraiment, t’es une personne exceptionnel! Mais, j’ai l’impression que nous deux, on es pas vraiment fait pour être ensemble…
J’espère que tu comprends et que tu vas me pardonner.

Amicalement,
Klaralye

Un sanglot la secoua et elle recommença à pleurer. Elle se trouvait nul de lui envoyer une simple lettre mais, elle n’aurait jamais eu le courage de lui dire en face. Elle était supposé d’être courageuse, n’était-elle pas à Gryffondor ? Mais, dans ces choses la, son courage semblait totalement la quitter et refuser de revenir … Quelle Gryffondor fessait-elle !

Elle fixait le morceau de parchemin, incapable de distinguer les lettres. Son regard était embrouillé par les larmes. C’était peut-être elle qui avait pris la décision de terminer leur relation mais ça lui fessait quand même de la peine, même beaucoup de peine. C’était la première fois qu’elle se sentait comme sa… Son cœur menaçait d’exploser, les larmes coulait sans qu’elle puisse les arrêter, elle était toute tremblotante … Elle détestait l’amour.

Elle roula l’enveloppe et l’attacha d’un ruban rouge. Elle n’avait pas été capable de choisir qu’elle couleur serait le mieux adapter alors elle avait choisis le rouge, comme Gryffondor… Elle siffla 2 coups rapides et Candye vint se poser sur son épaule. Elle lui mordilla le lobe d’oreille, ce qui réconforta un peu la jeune rouge et or.

« La prochaine fois que Jimmy vient à la volière, tu lui donneras ça. D’accord ? »

Une lueur de compréhension s’alluma dans son regard. Elle mordilla une seconde fois l’oreille et pris son envol pour aller se percher sur le plus haut perchoir. Klaralye ne lui en voulait pas, elle l’avait quand même réveillé en pleine nuit. Elle le regarda quelques instants et résigna à partir. Elle ne voulait pas déranger ces pauvres petites bêtes une minute de plus.

Elle essuya les larmes qui coulaient encore dans son visage et partis, espérant que la réaction de Jimmy ne soit pas trop … enfin, elle allait le savoir assez vite …

[5O5 mots]
Ok

Il était huit heures, un matin qui pleuvait énormément. Jimmy regarda alors dehors et ne voyait absolument rien sauf le bruit de la pluie qui s'arrivait contre les carreaux de la fenêtre. Jimmy resta là, à regarder la pluie, le regard dans le vide. Il pensait à sa chère La'lye, qui était de plus en plus distante avec lui. Il trouvait cela bizarre mais essayait de l'ignorer mais il ne pouvait pas l'oublier. Elle passait à côté de lui avec un léger regard rapide accompagner d'un petit bonjour ou salut. Ça rendait Jimmy tellement triste qu'il voulait à tout prix oublier cela. Lui qui l'aimait comme un fou. Il se disait bien souvent que l'amour était si beau mais si compliquer. Il sursauta légèrement par un ronflement de son voisin de droite, ce qui le remit dans la réalité. Il regarda sa montre et s'aperçu qu'il était seulement 7h54. Il pourrait bien aller voir les hiboux à la volière et les nourrir. Il se leva, s'habilla, fit rapidement son lit et quitta le dortoir en silence. C'était un samedi alors pas de cours aujourd'hui ni demain et tous ses devoirs étaient fais. Il avait un week-end libre. Il se rendit joyeux malgré la pluie dehors jusqu'à la volière et rentra dedans. Aussitôt, un hibou venait la picoter en lui montra une lettre. Il lut dessus qu'elle s'adressait à lui. Il détacha la lettre de la patte du hibou et celle-ci retourna sur son perchoir. Quand à Jimmy, il ouvrit l'enveloppe et survola rapidement le parchemin comprennent que c'était de Klaralye et il y avait à des places le papier un peu replié. Il lut alors la lettre qui lui était destiné.

Citation :

Cher Jimmy,

Tu dois trouver étrange que je t'écrive une lettre tandis qu'on se voit tous les jours à l'école. Mais tu vas comprendre quand tu vas avoir finis de la lire mon message ...

Tu as sûrement remarquer que j'étais un peu distante ces temps-ci. La raison est toute simple, j'avais besoin de temps. Du temps pour réfléchir, pour faire le point sur moi-même, sur mes sentiments, sur nous deux.

Après mûr réflexion, je crois qu'on ferait mieux de rester de simple ami, rien de plus...

Je t'apprécie vraiment, t'es une personne exceptionnel! Mais, j'ai l'impression que nous deux, on est pas vraiment fait pour être ensemble...

J'espère que tu comprends et que tu vas me pardonner.

Amicalement,

Klaralye

Jimmy relu le parchemin une deuxième fois et ses yeux se remplirent d'eau et des larmes coulèrent sur ses joues. Il n'en croyait pas ses yeux. Son coeur battait tellement fort, il était serré, tellement fort qu'il avait l'impression qu'il allait éclater au prochain battement. Il était en colère et triste. Il se mit à penser que c'était de sa faute, il n'était pas assez romantique pour elle ou peut-être qu'il n'était pas assez présent pour Klaralye, mais bien vite, sa tristesse se transforma en colère. Il relu les certains passages comme « Je t'apprécie vraiment, t'es une personne exceptionnel » ou « J'espère que tu comprends et que tu vas me pardonner ». Elle pensait vraiment que Jimmy allait la pardonner, mais Jimmy est une personne rancunière malheureusement et ne pardonnera pas Klaralye avant un bon deux mois minimum. Il évitera son regard à chaque fois et ne lui portera même plus attention. Il déchira la lettre qu'il envoya par une fenêtre et pleura encore. Il avait emmené son sac au cas où il écrierait une lettre pour Jack mais finalement, ça sera pour Klaralye. Il sortit un parchemin et une plume et se mit à réfléchit, toujours en pleurent sa tristesse mélanger avec sa colère.

* Qu'est-ce que je pourrai bien écrire, pour la faire pleurer, c'est tout ce qu'elle mérite. Malgré que je l'aime encore et je sais que je l'aimerai pour un bon bout de temps, je ne lui pardonnerai pas cela avant longtemps. Je pourrai bien écrire « Bonjour chère La'lye, je te souhaite bonne chance avec ton nouveau chum! » Oui, ça sera trop bon. Elle ne mérite même pas sa place chez les Gryffondors, elle n'est même pas courageuse de me le dire en pleine face. C'est pour cela qu'elle était plus distante, elle aimait quelqu'un d'autre et ne voulait pas lui parler, car elle était gênée! *

Il écrivit alors croche et très mal sur le premier parchemin. Il en reprit un autre, le dernier, mais écrit encore très mal avec des gouttes d'eau de ses yeux dessus. Il prit alors le dos du dernier parchemin pour lui écrire finalement et peu lisiblement.

« Chère Klaralye,

Tu pourrais au moins venir me le dire en pleine face et avec plus de courage! Tu ne mérites pas ta place chez les Gryffondors! De plus, bonne chance avec ton chum!!! »

Il attache la lettre au hibou qui lui avait donné la lettre de Klaralye. Il avait été méchant, mais elle le méritait. Il partit alors de la volière.

[706 mots sans la citation ]
Ok

Klaralye avait été fragile durant toute la journée. Elle n’avait pas beaucoup dormis, pensant à la lettre qu’elle avait postez hier soir, ou ce matin, c’est comme vous voulez. Elle n’était pas sortie de la chambre de bain, s’attirant les foudres de ses copines de dortoir. Mais Andgy avait compris ce qui se passait, vu qu’elles en avaient parler, et elle avait calmer le jeu en allant demander aux filles de troisièmes années si elle voulait bien partager la salle de bain avec eux. Par chance, elle avait accepté.

La’lye avait sauter le petit déjeuner. Son ventre criait famine mais elle sentait qu’elle ne saurait pas capable d’avaler la moindre chose. Elle avait le cœur serrer et les poumons en feu, ce qui la fessait souffrir à chaque respiration. Les larmes coulaient abondamment dans son visage, elle était tout simplement incapable de les arrêter. Le jeune sorcière avait complètement perdu toute notion du temps, elle ignorait il était quel heure. Peut-être 1heure de l’après-midi, 6heure du soir ou 3heure du matin ? Elle s’en foutait complètement. Elle tourna le robinet pour s’éclabousser le visage quand quelqu’un toqua doucement à la porte.

{Andgy} « Kla’, tout va bien ? »

L’inquiétude se lisait facilement dans la voix de la jeune gryffondor, mais Klaralye ne le remarqua même pas. Elle était tellement plongée dans ces pensées, elle avait peur. Peur de la réaction de Jimmy. Peut-être qu’il allait vouloir la battre ? Non, ce n’était pas Jimmy. Il serait sûrement en colère mais, sa devrait passer avec le temps … en tout cas, Klaralye l’espérait de tout son cœur.

{Andgy} « Je sais que t’es là, réponds moi stp. »

Klaralye essuya son visage complètement rougi. Comme elle devait être affreuse à voir dans cet accoutrement. Mais, sa aussi elle s’en foutait complètement. La chose seule qui l’obsédait était Jimmy. Mais, elle ne regrettait pas sa décision. C’était mieux ainsi. Il méritait beaucoup mieux qu’elle. Elle se décida à entrouvrir la porte et se cacha derrière pour être certaine que Andgy ne la voit pas.

{Andgy} « Je t’ai apporter un morceau de baguette française. Je sais que tu aimes beaucoup. »

Elle le passa par l’ouverture de la porte. Klaralye se résigna à le prendre et le déposa sur le comptoir du lavabo. Elle n’avait pas très faim mais, a la vue du pain, elle avait commencer à saliver comme jamais. Elle reprit sa place derrière la porte et garda le silence. Elle était très reconnaissante à Andgy de lui apporter à manger et de s’inquiéter de son état. Mais, elle n’avait pas le cœur à prononcer un seul mot.

{Andgy} « Je vais te laisser, je sais que dans ses situations, on a besoin de solitude. Mais si t’as envie de parler, je devrais pas être loinne. »

Elle attendit des pas s’éloigner et la porte du dortoir claquer. Elle était à nouveau seule. Seule. C’était sûrement la seule chose qu’elle méritait. Elle recommença à pleurer silencieusement. Elle se demandait si Jimmy avait lu la lettre. Elle aurait du demander à Andgy si Jimmy avait l’air triste, ou plus joyeux, on sait jamais…

Elle se rinça encore une fois le visage. Elle avait le teint cireux. Un vrai cadavre. Elle regarda le morceau de pain mais elle n’eut pas le courage de croquer dedans. Son estomac pourrait attendre encore un peu. Elle sortis de la salle de bain et jeta un coup d’œil à son cadran. Il indiquait 6heure3O. Les gens devaient encore être à la Grande Salle. Habituellement, tout le monde tardait pour blablater un peu les samedi soirs.

Elle descendit dans la Salle commune, ou par chance il n’y avait pas grand monde. Seulement quelques filles de 7ième année qui discutait près du feu. Klaralye ne leur accorda pas la moindre importance et sortis de la Salle commune. Elle jeta un coup d’œil dans les corridors, pour voir si il n’y avait personne. Ce n’était pas complètement désert mais, sa aurait pu être pire.

Elle commença à avancer, plutôt soulagé que la volière soit quand même assez proche de la salle commune des lions. Puis, plus elle approchait, plus elle sentait les larmes couler sur son visage. Comme elle devait paraître … aaahhh! Un grognement de colère s’échappa de sa bouche et elle commença à courir. Pourquoi ? Aucune idée, pour se défouler sûrement, évacuer ses sentiments. Qu’importe la raison, elle se sentait soulagé. Ses cheveux battaient violement derrière elle, les images défilaient rapidement devant ses yeux.

Elle arriva en un temps record à la volière. Elle referma la porte derrière elle. Quand elle entendit quelqu’un se racler la gorge. Elle se retourna et se trouva face à face avec Fanny, une serdaigle avec qui elle avait quelques cours mais avec qui elle n’avait jamais discuté…

{Fanny} « T’a décider de nous enfermer ici ou bien je peux y aller ? »

Elle lui fit un grand sourire. En temps normal, La’lye aurait ris de bon cœur et l’aurait laisser passer. Mais aujourd’hui, elle garda un visage sans expression et lui réouvrit tout simplement la porte. Fanny sortis en remerciant la jeune gryffondor, apparemment étonner par l’expression de Klaralye. Elle qui était habituellement si jovial et gentille avec tout le monde, là elle avait eu une réaction digne d’un serpentard. Peut-être qu’il était toujours comme ça parce qu’ils étaient triste ? M’enfin, elle restait quand même polis, elle était seulement un moins bavarde…

Elle n’eut pas le temps de refermer la porte qu’un hibou se déposa sur son épaule et commença à lui mordiller le lobe d’oreille. Elle se retourna et aperçut Candye avec un morceau de parchemins entre les serres. Le cœur de Klaralye se serra. La lettre était de Jimmy. Elle le sentait. Elle le savait. Elle recommença à pleurer silencieusement. Elle détacha doucement la lettre de la patte de son hibou, qui resta sur son épaule tout en frottant sa tête contre la sienne. Candye savait qu’elle n’avait pas le moral et elle était très reconnaissante qu’elle fasse son possible pour la réconforter.

La’lye ravala ses larmes et ouvrit le morceau de parchemin. C’était bel et bien l’écriture de Jimmy. Elle la reconnaîtrait parmis dans centaine de lettre. Les larmes qui brouillaient sa vue l’empêchèrent de lire clairement la lettre. Elle dût fermer les yeux quelques instants, reprendre son sang-froid et ravaler ses larmes. Elle les réouvrit et fit une première lecture de sa lettre.

C’était impossible … Ce n’était pas Jimmy. Il n’était pas aussi méchant, aussi cruel … Elle la relie une deuxième fois. C’était bel et bien lui, c’était le seul à faire ses lettres de cette façon … Elle se sentit engourdis de partout et un énorme sanglot montait dans sa gorge... Elle réessaya de le ravaler mais trop tard, elle éclata en sanglot. Elle était incapable de se retenir plus longtemps. Elle avait vraiment du lui faire de la peine pour qu’il lui écrive autant de méchanceté. Les ronds humides qui perlaient le parchemin et qui embrouillait à quelques endroits les lettres.

Elle hésitait à lui écrire une seconde lettre ou bien aller lui parler en face. Après tout, il la traitait quand même de lâche, de honte pour les Gryffondors. Les larmes coulèrent de plus belle sur ses joues. C’était donc sa ? C’était sa avoir un chagrin d’amour ? C’était atroce, elle ne voulait plus jamais le revivre … c’était peut-être elle qui avait pris la décision, mais elle souffrait quand même. Ce n’était pas facile, pas du tout du tout.

Elle se releva et alla regarder par la grande fenêtre qui permettait au hibou de rentrer et sortir à leur guise. La vue n’était pas vraiment belle, le ciel est gris, menaçant d’exploser à tout moment. Le ciel représentait bien l’état d’âme de la jeune gryffondor, à un détail près. Les éclairs, ils étaient déjà en train d’éclater. Et, vous pouvez me croire, il fessait des ravages. Une vraie catastrophe…

{Klaralye} « Je suis désoler, vraiment… »

Les larmes continuaient de couler silencieusement. Elle était même rendue folle, elle se chuchotait des choses à elle-même … Elle prit une profonde respiration et fit enfin son choix. Elle allait lui réécrire une lettre. Mais pas pour s’excuser et faire preuve d’une lâcheté immonde. Elle lui proposerait un rendez-vous pour qu’elle puisse s’expliquer. Elle n’avait pas du tout envie de rester en mauvais terme avec lui.

Elle donna un coup d’épaule pour que Candye aille reprendre sa place sur son perchoir. Elle aurait voulu l’emporter avec elle mais le règlement l’interdisait, malheureusement. Elle serra la lettre dans ses mains et sortis de la volière. Elle allait écrire la lettre dans son dortoir, plus précisément dans les toilettes de son dortoir. Elle jeta un dernier coup d’œil au ciel qui semblait se s’assombrir à une vitesse hallucinante. Elle n’avait pas envie d’être comme sa, et elle se débrouillerait pour que tout sa soit régler le plus vite possible …

{Part 1/2}
{1.489 mots}

Ok

Klaralye était revenue dans sa salle de bain. Elle sentait un peu mauvais et le morceau de pain attendait toujours sur le comptoir sagement. Il y avait encore son oreiller près de la toilette et la poubelle remplis de papier mouchoir. Elle soupira et se laissa tomber sur le parquet, glacial comme son cœur en ce moment… Elle avait pris soin de prendre un morceau de parchemin, son encrier et sa plume. La belle plume que Jimmy lui avait offert en cadeau…

Elle respira un bon coup pour ravaler ses larmes. Ce n’était pas le moment de pleurer, il fallait qu’elle soit courageuse. C’était une gryffondor après tout et elle ne voulait plus faire déshonneur sa maison. Elle ouvrit le morceau de parchemin encore neuf et le déposa sur le livre qu’elle avait pris à la hâte pour avoir un point d’appuie quand elle allait écrire. Elle ouvrir son encrier et trempa sa plume dedans.

Qu’est-ce qu’elle pourrait bien écrire? Quelque chose de sensé, qui a un minimum d’allure. Elle soupira et gratter sa plume sur son morceau de parchemin. Elle laissa sa main écrire seule. Le mieux était d’écrire ce qu’elle pensait vraiment, le plus profond de ses pensées. Et puis, c’est en étant le plus honnête possible que les choses allaient s’arranger, si elle pouvait s’arranger un jour …

Bonjour Jimmy,

J’ai constaté que tu n’avais pas digéré ma lettre, et je ne t’en blâme aucunement. J’aurais réagis de la même façon. Mais, j’aimerai beaucoup qu’on puisse s’expliquer, en face à face.
Je comprendrais si tu ne voudrais pas me revoir, c’est parfaitement compréhensible, mais j’aimerai beaucoup qu’on discute tous les deux, je crois qu’on a beaucoup de chose à mettre au clair.
J’attends ta réponse, pour savoir si tu veux qu’on se voie bientôt pour s’expliquer.

Klaralye

Elle n’avait pas mentionné les méchancetés qu’il lui avait balancées dans sa lettre, préférant attendre de le voir en face, s’il acceptait bien entendu. Les larmes recommencèrent à couler dans sur ses joues et alla s’écraser sur sa lettre. Elle n’avait pas le cœur de recommencer à l’écrire alors elle décida de lui envoyer tel quel. Sa ferait que prouver qu’elle n’était pas idem à cette situation. Elle était aussi mal, même peut-être plus que Jimmy et elle n’avait pas la force de le cacher. En fait, elle n’avait plus aucune force. Elle n’avait pas mangé de toute la journée et pleurer lui avait volé toutes ses forces.

Elle sentit ses yeux fermer tous seul. Il devait être 7heure, 7heure30 environ mais elle se sentait comme si il était 4heure du matin. Son corps était faible, ses esprits embrouiller, ses poumons en feu et son cœur qui n’arrêtait pas de menacer d’exploser d’une seconde à l’autre. Elle jeta un coup d’œil à la baguette de pain, toujours sur le comptoir. Elle l’attrapa et croqua dedans. Elle mâcha machinalement le pain qui ne semblait avoir aucun goût et l’avala. Son estomac sembla se taire un peu mais, elle n’avait aucune envie de continuer de manger son pain. Elle le laissa tomber dans la poubelle pour aller se planter devant la glace. Elle s’aspergea de nouveau le visage et ressortis de la salle de bain.

Malheureusement, toutes les filles étaient rassemblées sur le lit de Keira et elles parlaient toutes à voix basse. Dès qu’elle sortis, les filles se tût, la regardant d’un air anxieux. Elle leur fit un petit sourire en coin pour les rassurer mais il se transforma en une affreuse grimace. Enfin, c’était l’intention qui comptait. Elles ne lui posèrent aucune question. Klaralye leur en fût extrêmement reconnaissante. Elles étaient vraiment géniales ces filles.

Elles sortis du dortoir des filles pour traverser la Salle commune. Elle ne prêta aucune attention aux personnes qui y était, c’était sans aucune importance. Elle voulait seulement se rendre à la volière, donner la lettre à Candye, pour qu’elle ait la porter le lendemain matin à Jimmy, durant l’heure du déjeuner. Elle s’engouffra dans le portrait et partis en direction de la volière.

Elle remercia une deuxième fois le seigneur de l’avoir faites aussi proche de sa salle commune et elle accéléra la cadence pour y arriver le plus vite possible. Elle avait tous son temps mais elle n’avait pas envie de croiser des personnes qu’elle connaissait et qui lui demanderais ou elle avait passer la journée. Et surtout, elle ne voulait pas croiser Jimmy, surtout pas avec l’allure qu’elle avait. Elle savait que tous les regards étaient tournés vers elle mais, c’était secondaire pour l’important. En d’autres mots plus directs, elle s’en foutait royalement. Les gens penseront ce qu’il veule, ça ne lui dérangeait aucunement!

Elle ouvrit la porte de la volière et fût soulager qu’il n’y est personne. On pouvait presque dire qu’elle était chanceuse dans sa malchance… Elle pris de grande respiration et siffla un bon coup. C’était comme ça qu’elle appelait sa chouette quand elle ne venait pas lui dire bonjour quand elle rentrait dans la volière. La jeune gryffondor attendu quelques instants mais elle ne venait toujours pas. Elle était sûrement partie à la chasse ou quelque chose comme ça. Elle haussa les épaules et tendit la main vers une grande chouette hulotte qui appartenait à l’école. Elle accrocha le parchemin à sa patte. Elle se racla la gorge pour prendre la parole pour la deuxième fois aujourd’hui et expliqua à la chouette sa mission.

{Klaralye} « Tu pourrais aller porter cette lettre à Jimmy Ollissay demain matin ? C’est un blondinet à Gryf … »

Klaralye n’eut pas le temps de finir sa phrase que le hibou lança un cri strident. Il savait c’était qui. Klaralye avait toujours été fasciner du comment ils fessaient pour savoir ou habitait chaque personne et qui il étais. Mais bon, elle était un peu trop fatiguer pour y penser. Son cerveau semblait aux ralentis, elle n’avait plus toute sa raison.

Le hibou reprit sa place sur son perchoir et cacha sa tête dans son aile gauche. La’lye lui caressa la tête pour le remercier et quitta la volière. De toute façon, l’heure limite pour traîner dans les corridors allait arriver bientôt et elle ne voulait pas faire perdre des points à sa maison. Elle sortit de la volière en fessant claquer la porte. Elle sursauta. Elle était vraiment à fleur de peau …

Elle partis en direction de sa salle commune. Elle croisa Juliette qui sembla s’inquiéter de sa situation. Mais, Klaralye fût soulager qu’elle ne lui demande pas pourquoi. Elle était amie avec Jimmy, peut-être lui avait-il déjà racontée la situation… Enfin, elle se contente d’un signe de tête envers la jeune serdaigle et elle continua son chemin vers la salle commune, ou elle arriva et grimpa directement sans, encore une fois, jeter le moindre regard à qui y étais.

Quand elle arriva dans le dortoir, les filles étaient encore en train de discuter, mais elle semblait avoir changer de sujet pour quelque chose de plus joyeux. Elle leur fit un signe de tête et alla dans sa commode prendre son pyjamas. Un chandail 3fois trop grand pour elle qui lui arrêtait au genou, rien de bien spécial. Elle alla se changer dans la salle de bain et en ressortis. Elle se planta devant les filles.

{Klaralye} « J’aimerai beaucoup essayer de dormir alors, ne faites pas trop de bruit svp. »

Elle avait dis tout sa d’un ton neutre. Elle ne devait pas paraître très sympathique mais, elle n’avait pas envie de discuter. Elle espérait de tous cœur que les filles ne commence pas à lui poser toute sorte de question. Par chance, elle se contenta d’un signe de tête et elles sortirent du dortoir en lui souhaitant de faire des beaux rêves. Elle acquiesça d’un signe de tête et se dirigea vers son lit. Elle tira les couvertes, tira les rideaux en baldaquin et se coucha. Elle commença à pleurer en silence. Son oreiller commença à être humide mais, avant qu’il soit complètement trempé, elle s’endormit d’un sommeil profond. Elle devait prendre des forces pour demain, pour confrontez Jimmy …

{Part 2/2}
{1.341}

Ok

Jimmy avait passé son samedi à se morfondre dans son coin. Il n'avait pas d'humeur a parlé à personne et répondait toujours en grognent ou en étant bête. Il n'avait pas rencontré Klaralye, tant mieux se disait-il. Il ne voulait pas la voir, il la détestait. Mais pourquoi, simplement parce que Klaralye ne voulait plus de lui. Le dimanche suivant, il se réveilla normalement. Il s'accusait cette fois-ci. C'était tout de sa faute et elle avait raison de ne pas vouloir un gars comme lui. Jimmy se détestait à présent et regrettait terriblement le message qu'il avait envoyé à Klaralye hier. Il lui réécrira un moment aujourd'hui pour s'excuser. Elle ne méritait pas cela et il ne fallait pas qu'il la perdre en tant qu'amis. Jimmy l'aimait encore, mais ça lui fera encore plus mal si elle devenait son ennemi. En plus, ils jouent ensemble au Quidditch alors il fallait absolument que cela se règle s'il voulait avoir une bonne équipe!

Alors, le dimanche matin arriva et Jimmy se réveilla, il n'avait aucune expression sur son visage. Il n'était peut être pas débordant de joie, mais au moins, il n'avait plus de peine et n'était plus en grande colère comme hier. Il quitta le dortoir des garçons de deuxième année et alla déjeuner vers 8h30. Après environ une trentaine de minutes, le courrier arriva, mais ce qui étonna Jimmy, c'était qu'il avait du courrier. De Klaralye en plus. Il détacha l'enveloppe, mais ne l'ouvrit pas tout de suite de peur de réagir très mal à cette nouvelle lettre. Il vit Klaralye un peu plus loin de lui et il doutait qu'elle le surveillait du coin de l'oeil. Il se leva après une dizaine de minutes et monta à la tour de Gryffondor où qu'il lut la lettre de Klaralye.

Citation :

Bonjour Jimmy,

J'ai constaté que tu n'avais pas digéré ma lettre, et je ne t'en blâme aucunement. J'aurais réagis de la même façon. Mais, j'aimerai beaucoup qu'on puisse s'expliquer, en face à face.

Je comprendrais si tu ne voudrais pas me revoir, c'est parfaitement compréhensible, mais j'aimerai beaucoup qu'on discute tous les deux, je crois qu'on a beaucoup de chose à mettre au clair.

J'attends ta réponse, pour savoir si tu veux qu'on se voie bientôt pour s'expliquer.

Klaralye

Jimmy se mit alors à réfléchir. La voir le lendemain qu'elle l'avait laissé était vraiment une bonne idée ? Il examina le parchemin et pu voir qu'il l'avait extrêmement blessé avec son message. Elle avait pleuré et le coeur de Jimmy se resserra. Comme il était sensible et il détestait ça. Il ne voulait pas de ce caractère stupide. Il se détestait vraiment aujourd'hui. Il réfléchit encore et encore. Il n'arrivait pas à prendre une décision. Après une heure passé. Il se mit à écrire un message sur un morceau de parchemin.

« Chère Klaralye

Je ne veux pas te revoir tout de suiteé car je ne crois pas que ça me fera du bien. Malgré tout je t'aime encore comme le premier jour même plusé mais je veux seulement te dire que cette rencontre me fait hésiter. Peut-être dans une semaine ou deux, mais pas maintenant.

Jimmy Ollissay »

Jimmy relut la lettre pour savoir si elle était correcte, mais il la trouvait moche et horrible. I renversa le fond de sa bouteille d'encre dessus et le parchemin était maintenant noir. Il le fit flamber grâce à un sort et jeta les débris dans la poubelle. Il reprit un autre parchemin et griffonna un nouveau message que Klaralye méritera mieux.

« Chère Klaralye

Pour commencer, je te présente mes plus plates excuses. C'était tellement horrible ce que j'ai dit, car j'étais tellement en colère et je me suis laissé emporter. Tu mérites ta place à Gryffondor et de plus une belle place dans l'équipe de Quidditch. Ensuite, je voudrais te dire que j'ai longuement hésité sur le fait de te revoir. Finalement, je me suis dit que j'accepte, car je ne veux pas être ton ennemi et que pour le Quidditch ça irai très mal et sa briserai toute notre esprit sportive. De plus, je ne sais pas si je fais le bon choix pour mon coeur fragile que je déteste, car je t'aime encore malgré tout et pour être le plus franc possible, je veux au moins te garder comme amie, car je ne veux pas aimer une ennemie. Je te propose d'aller dans le parc ce soir. Réécris moi pour confirmer, si tu ne veux pas aller dehors pas de problème et je viendrai te rejoindre.

Jimmy Ollissay »

Oui c'était ça que voulait Jimmy. Il quitta le dortoir et se rendit à la volière. Il appela une chouette et lui dit d'aller porter ce message immédiatement à Klaralye Jenz. Il était 11h avec un peu de chance, Klaralye le recevra dans 15 minutes.

[726 mots sans la citation]
Ok

Klaralye ouvrit enfin les yeux, réveillée par des voix qui s’élevaient derrière ses rideaux à baldaquins. Elle soupira de découragement, on était dimanche matin et elle ne pouvait même plus dormir en paix ! Elle bougonna et tira rapidement ses rideaux pour apercevoir Andgy et Keira qui rigolait comme des folles. Elle leur jeta un regard noir et referma brusquement ses rideaux en se recouchant. Elle n’était plus du tout fatiguée mais elle avait envie de faire la grasse mâtiné. Elle ferma les yeux quand une image frappa son esprit. C’était elle et Jimmy en train de s’embrasser sur la piste de danse au bal de fin d’année. Son cœur remonta dans sa gorge mais, étonnamment, aucune larme ne vint lui picoter les yeux. Elle serra du plus fort qu’elle pouvait son oreiller avant de commencer à gesticuler comme une folle sur son lit. Elle ne savait pas pourquoi mais sa lui procurait une immense sensation de soulagement. Elle s’arrêta net, sortis de son lit et fila dans la salle de bain libre pour prendre une bonne douche. Elle devait l’avouer, elle ne s’était pas laver depuis 3 jour et son odeur corporelle commençait vraiment à se faire ressentir et pas seulement par elle en voyant les airs dégouté des filles lorsqu’elle passa en coup de vent devant elles.

Elle termina de se préparer au bout d’une heure et sortit de la salle de bain pour la laisser à une de ses copines de chambre, qui semblait impatiente d’aller prendre une douche. Elle déposa ses affaires sur son lit et descendit à la Grande Salle pour prendre son petit déjeuner. Elle n’avait pas mangé de toute la journée et son ventre menaçait de lui faire comprendre bruyamment. Tandis qu’elle traversait les couloirs de l’école, tous les regards était fixer sur elle et les gens ne cessait pas de chuchoter entre eux. Il prenait Kla’ pour une imbécile heureuse ou quoi ? Elle savait parfaitement qu’il parlait d’elle, il pourrait au moins avoir le culot de venir lui dire en face …

Quand elle arriva dans la Grande Salle, elle remarqua immédiatement Jimmy, qui semblait ne semblait pas vraiment être en très grande forme. Elle passa près de lui en coup de vent sans lui adresser un mot. Elle était déjà assez embarrasser comme sa. Elle alla s’asseoir avec Lavande et Rowen, qui malheureusement, était quand même assez proche de Jim’. Mais elle ne voulait pas s’asseoir seule, elle sentait que le courage allait lui manquer si elle devait prendre place en solitaire et qu’elle allait fondre en larme. Déjà qu’elle avait le cœur gros comme l’univers tout entier …
Puis, le moment que Kla’ redoutait arriva ; l’arriver du courrier. Dès que le premier hibou s’engouffra dans la Grande Salle, le regard de la jeune rouge et or plongea dans son bol de céréale. C’était des Alphabit et elle trouva tout à coup très amusant de séparer les consonnes des voyelles … Elle osa un coup d’œil mais trop tard, Jimmy partait déjà, sa lettre à la main. Les larmes monta à ses yeux et elle partit précipitamment de la Grande Salle, direction le Parc !

Elle prit d’abord la peine de monter chercher sa cape la plus chaude et un bon livre dans son dortoir. Elle en ressortit rapidement et alla s’installer sous un arbre qu’elle avait spotter depuis quelques jours. Il était bien confortable et con avait une belle vue sur l’ensemble du par cet des serres. Elle resserra son écharpe autour de son cou et commença la lecture de son bouquin. Les heures passèrent sans quel sans rendre compte, trop absorber dans son livre. Puis, quelque chose hulula dans son oreille.

Elle releva la tête et aperçut un morceau de parchemin dans la patte de la chouette. Elle remercia la chouette qui repartit après qu’elle ait prise la lettre. Klaralye commença à trembler, convaincus qu’il avait acceptée son offre. Elle respira un bon coup et ouvrit déroula le parchemin rapidement. Elle devait la lire, que lé réponse soit négative ou non ! Ses yeux parcourir rapidement la lettre, le soulagement qui se fessait plus intense à chaque seconde. Il été d’accord, il avait accepté ! Elle se leva et repartis au pas de cours vers son dortoir pour écrire sa lettre.
Elle y arriva en un temps record dans sa chambre, heureusement déserte. Elle remercia les filles dans sa tête et sortit de son sac ses affaires pour rédiger sa lettre. Elle savait déjà quoi écrire, c’était court, direct et simple !

Cher Jimmy,
Merci d’avoir accepté l’offre. Se soir, près du Saule Cogneur, à 7heure. Si tu ne peux pas, essaye de m’avertir si on se croise, m’envoyer une lettre serait trop tard.

Klaralye

Bon, ce n’était pas la lettre la plus complète qu’elle avait écrite dans sa vie mais, sa donnait le rendez-vous. Elle l’enroula de son habituel ruban rouge et repartis vers la volière, ou Candy devait l’attendre gentiment, espérant se voir accorder une nouvelle mission. Elle parcourut les corridors paisiblement quand une question lui frappa l’esprit ; Qu’est-ce qu’elle allait dire ? Oh mon dieu, elle allait sûrement bégayer comme une conne et … pourquoi elle avait fait sa ? Mais qu’est-ce qu’elle avait eu dans la tête ! Mais ce n’était plus le moment de reculer, après tout, il n’était pas méchant, ce n’était pas un chien enrager !

Avec chance, Ruby vint se poser sur son épaule et lui mordilla doucement le lobe d’oreille. Vraiment, elle n’allait jamais perdre cette manie ! M’enfin, elle lui donna la lettre et lui demanda gentiment d’aller la porter. Elle s’envola et La’lye retourna dans les dortoirs, se préparer pour sa petite rencontre…