Chaudes Larmes [Andgy]

Elizabeth était à l'extérieur du chateau. Elle avait préféré quitter la salle commune des Poufsouffle pour lire sa lettre. Elle ne voulait pas avoir de réaction involontaire devants ses amies et avez prétexté à Wendy et à Susan qu'elle devait aller à la volière. Elle avait reçu la lettre de ses parents un peu plus tôt dans l'après midi et avait longtemps hésité à l'ouvrir. Elle hésitait d'ailleurs encore. Les parents d'Elizabeth lui avait écrit il y avait déjà deux semaines pour lui annoncer une nouvelle qui n'avait pas du tout réjouit la jeune première année. Ils leur avaient dit que la grand mère d'Elizabeth avait été ammenée à Ste Mangouste. Ils n'avaient rien rajouté de plus. Ils ne lui avaient même pas dit pourquoi elle avait être hospitalisée, ce qu'elle avait eu et si c'était grave. Rien, ils ne lui avaient dit que ça en lui rajoutant une petite phrase à la toute fin de la lettre. Elle disait que si elle voulait avoir des nouvelles de sa grand mère, elle n'avait qu'à lui écrire pour savoir ce qui n'allait pas car c'était elle la seule juge de ce qu'elle voulait dire ou ne pas dire. Elizabeth Harris avait donc écrit à sa grand-mère pour lui demander ce qui n'allait pas. Une semaine après, elle n'avait toujours pas répondu. Elizabeth était d'autant plus inquiète car elle ne savait rien sur l'état de sa grand-mère et la non réponse de sa lettre lui faisait encore plus peur qu'autre choses. Elle s'imaginait les pires scénarios possibles car le fait de ne pas savoir était encore pire qu'une mauvaise nouvelle...

Elizabeth avait donc demandé à tout ses frères et soeurs à Poudlard pour voir s'ils étaient au courant. Aucun des 13 n'étaient au courant et Elizabeth se demandait bien pourquoi ses parents s'obstinaient à ne rien leur dire. Après quelques jours d'attente de réponse, elle ne pouvait plus tenir. Elle pris un morceau de parchemin, une plume et se lança dans la rédaction d'une mini lettre à l'adresse de ses parents. Elle leur disait que grand-mère n'avait toujours pas répondue et que quoi qu'elle leur ai dit au sujet d'Elizabeth, elle voulait être au courant. Elle ne pouvait pas être plus claire que ça. Etant très proche de sa grand-mère, Elizabeth se disait que s'il lui était arrivé quelques choses de grave, elle ne voudrai pas que sa petite fille soie au courant de son état. C'était bien ce qui rendait Elizabeth encore plus anxieuse. S'il lui arrivait quelques choses, Elizabeth ne pourrait pas le supporter et ce serait vraiment un drame pour elle. Il ne lui restait plus qu'elle comme grand-mère. Ses trois autres grand-parents étant morts quand elle était jeunes, elle ne s'en rapellait quasiment pas. C'était sa grand-mère qui avait toujours préféré Elizabeth à tout les autres frères et soeurs Harris, bien qu'elle les aimaient aussi énormement. Elizabeth essayait, tout en marchant tranquillement sur le grand pont, de se rapeller tout les moment passés avec elle. Mais Eli ne voulait pas se souvenir de tout les moments passés avec elle. Ce qu'elle voulait, s'était en vivre d'autres et ne pas que la vie de sa grand mère s'arrete si brutalement sans qu'elle n'ai rien vu venir... Et puis qui sait, se disait Elizabeth dans sa tête, peut être qu'elle avait été à Ste Mangouste seulement parce qu'elle s'était fait piquer par une plante véneineuse ou quelques choses de moins grace que ça. Peut être une morsure... Peut être même une morsure de Loup-garou! Oh mon dieu, ça serai vraiment affreux si sa grand-mère devenait un loup garou. Elle espérait qu'il y avait des traitements pour cela. Peut être une potion, ce serai plus plausible... Mais il fallait qu'elle la prenne tout les combien cette potion? Tout les jours? Tout les heures?

Elizabeth s'imaginait les pires scénarios du monde à cause de ses parents qui n'avaient rien voulus lui dire dans leur lettre. Elle leur en voulait vraiment pour ça et espérait que celle ci contienne des élèments plus réjouissants. Mais elle ne voulait pas l'ouvrir de suite. Avant elle voulait s'imaginer tout les scénarios possibles pour ne pas être choquée en lisant cette lettre. Au fur et à mesure qu'elle penssait, Elizabeth avançait de plus en plus vers où? Ca elle ne le savait même pas. Elle venait de voir la cabane de Hagrid et avait continuée sans passer devant mais en montant plus haut. Elle se demandait ce qui avait bien pu lui arriver. Oui c'est ça, surement une plante véneineuse ou même pas, peut être rien du tout. Ses parents lui écrivait peut être d'ailleurs pour lui dire qu'elle était sortie et que tout allait bien. Elle marcha, marcha et vit un grand arbre du coin de l'oeil. Elle tenait la lettre avec ses deux mains et hésitait à l'ouvrir. Elle pouvait attendre un peu, elle était en vacances et n'avais rien d'autres à faire. Hormis des révisions mais elles attendraient. Elle continua à marcher tranquillement tout en fixant la lettre, indécise. Tout à coup, elle entendit un grand bruit à coté d'elle. Un bruit de fracas, un bruit à la fois sec et terriblement effroyable. Dans un premier temps elle cria et dans un second temps, elle regarda ce qu'il y avait. Elle vit une branche particulièrement énorme qui était tombée juste à coté. Elle faisait au moins un mètre de diamètre et était tombé à quelques dizaines de centimètres de la jeune Poufsouffle. Au début, Elizabeth croyait qu'elle était tombée et l'avait manquée de peu mais quand elle vit que la branche était encore reliée à un arbre, elle compris très rapidement que non. La branche se souleva et vint se replacer comme toute les autres qui était aussi grosse qu'elle. Elizabeth compris enfin. L'arbre était bel et bien en vie et avait essayé de l'écraser. Elle courut donc le plus loin possible de l'arbre et quelques secondes après, elle entendit un grand fracas derrière elle. La branche venait à nouveau de tomber derrière elle mais cette fois, elle était à l'abris. Elle s'arreta à une dizaine de mètre, voir plus, de l'arbre et se laissa tomber sur un rocher. Elle avait les mains qui tremblaient et son cours battait la chamade. Ca aurait été bete de mourir comme ça et surtout maintenant, sans avoir eu le temps d'ouvrir la lettre. Elle se décida donc à l'ouvrir...

Ses mains tremblaient toujours et Elizabeth avait du mal à déchirer l'envellope. Elle y parvint enfin après plusieurs secondes. La jeune fille sortit la lettre de l'envellope et l'ouvrit. Elle commença à lire en avalant un peu de salive. Le début de la lettre était banal. Toute les formules de politesse habituelles, bonjour Elizabeth, comment ça vas?, etc... Elle ne voulait néanmoins pas louper un passage donc elle préférait tout lire en détails. Ce qu'elle lu ensuite la refroidit instantannement. Ses parents lui faisait savoir que sa grand mère avait été victime d'un cambriolage. Elizabeth commençait à imaginer le pire. Sa grand-mère vivait seule et face à un cambrioleur sorcier, elle avait très peu de chance de s'en sortir sans rien. Ses parents lui dirent ensuite que que les cambrioleurs étaient d'eux et que grand mère avait voulue se défendre en sortant sa baguette. Elizabeth imaginait une fois de plus le pire. Deux cambrioleurs armés de baguettes et sa tétu de grand mère qui voulait se battre. Eli avait hérité c'est sur de sa faculté à être tétue en toute circonstance et à faire ce qui lui semblait le plus juste. Elle aussi était passée par Poufsouffle. Les parent d'Elizabeth semblaient distiller les informations au compte à goute pour ne pas lui annoncer une mauvaise nouvelle d'un coup. Avant de continuer, ils lui dirent que sa grand mère avait tenu à ce qu'ils ne disent rien à leur plus petite fille et que c'était à elle de la tenir au courant de ce qui lui arrivait. Malheusement elle n'avait pas eu la force de prendre la plume pour lui rendre compte de son état actuel. Elizabeth respira profondement, prete à lire la suite. Ils lui dirent que le cambriolage avait mal tourné et que la grand mère d'Elizabeth avait jeté un sortilège de confusion aux voleurs pour pouvoir allerter les secours. Malheusement, le sortilège manqua sa cible et les cambrioleurs furent plus rapides. Ils lui envoyèrent deux sortilèges de stupéfixion en plein poitrine. Les parents d'Elizabeth ajoutèrent qu'à son age, ça pouvait lui être fatal... Elizabeth n'en pouvait plus. Elle éclata en sanglots. Se moquant du bruit qu'elle faisait puisqu'elle était seule à l'extérieur, elle laissa éclater sa tristesse. Ses parents venaient de lui dire que sa grand mère pouvait mourir. C'était ce qu'il ne fallait surtout pas dire à Elizabeth et la tenssion qu'elle accumulait depuis la première lettre explosa en cet instant. Elizabeth était une sensible et tout ce qui pouvait toucher à ses proches et à ceux qu'elle aimait la rendait extremement concernée et affreusement malades pour eux quand ils avaient un problème...

Elizabeth pleura encore et encore se disant que sa grand-mère ne pouvait pas mourir comme ça, pas sans l'avoir vu une dernière fois. Elle décida une chose qu'elle choisis sans réfléchir. Il fallait qu'elle aille la voir pendant que tout allait bien car si elle partait comme ça, sans lui avoir dit au revoir, elle s'en voudrait toute sa vie. Elle réfléchis et ne voyait aucun inconvénients à partir maintenant. Elle relus la lettre une seconde fois, dans l'espoir d'avoir mal lu, mais hélas tout ce qu'elle avait lu était bel et bien vrai. Elle continua de pleurer tout en penssant comment elle pourrait résoudre ce problème. C'est là qu'elle se rapella d'une chose qui allait tout changer et compliquer gravement les choses. Dans quelques jours avait lieu un match de Quidditch qui opposait Serdaigle à Poufsouffle. Un match que les Jaunes et noirs et devaient absolument pas perdre pour d'un, avoir une chance de ne pas finir dernier, et de deux, pour ne pas assurer une victoire à Serdaigle. Elle y avait longtemps réfléchis et ce match était encore plus important que le précédent qui les opposaient à Serpentard. L'issue de la coupe se jouait sur cet unique match et les Poufsouffle ne s'était pas entrainés 4 fois par semaine pour rien. Tout les joueurs étaient motivés et voulaient la victoire. En plus Elizabeth venait de se rapeller que Jesse ne pouvait pas participer au match. Il ne restait que le nouveau arrivant Allister, certes doué, mais pas assez à l'aise sur un balai pour concurencer les Serdaigles, surtout s'ils étaient d'eux. Alors seul, Elizabeth n'imaginait même pas. Eli pleura de plus belle, ne sachant que faire devant cette situation qui la surpassait...

Elizabeth Harris avait deux choix ce jour là. Partir à Ste Magouste pour voir sa grand-mère qui était souffrante et peut être sur le point de s'éteindre et ainsi laisser tomber son équipe de Quidditch en ne les laissant qu'avec un poursuiveur et prendre le risque de perdre définitivement la coupe de Quidditch ou bien, rester à Poudlard pour le match, se donner au maximum comme pour les Serpentard en espérant qu'il n'arrive rien à sa grand-mère le temps du match sinon elle serait décédée sans avoir vu sa petite fille pour la dernière fois. Le dilemme était immense et le choix revenai injustement à une fille de première année, seulement agée de 11 ans. Pour elle la pression était trop grande et elle fondit une fois de plus en larme. On voyait le spectacle désobigeant d'une petite fillette agée de 11 ans, qui pleurait seule prêt d'un arbre tueur.
Elle était face à un cruel dilemme et c'était elle seule qui pouvait choisir, qui devait choisir même. C'était elle seule qui avait l'entière responsabilité et personne d'autres. Il fallait qu'elle prenne une décision mais elle n'était hélas pas encore en état de réfléchir. Elle venait d'apprendre que sa grand-mère allait peut être décéder prématurement et ça la jeune élève de Poufsouffle ne pouvait pas l'accepter. Elle qu'elle aimait tant, elle ne pouvait pas la quitter sans lui dire au revoir, c'était inconcevable... La jeune fille avait le visage dans ses mains et maintenant elle commençait un peu à sécher ses chaudes larmes. La moindre penssée pouvait la faire replonger et elle ne voulait pas. Elle voulait avoir les idées claire pour prendre une bonne décision. Elle pris la lettre mais en la pliant pour la ranger dans l'envellope, elle tomba sur le mot fatal et éclata une fois de plus en sanglots. Elle se sentait vraiment ridicule et heureusement qu'elle était seule. Si quelqu'un la voyait dans cet état lamentable, il se demanderait ce qui pouvait bien lui arriver. Elle cachait sa tête dans ses mains pour ne pas se montrer à un éventuel arrivant et surtout pour étouffer le cris de ses pleurs. La pauvre petite était très sensible et très émotive et la moindre émotion pouvait la chambouler. Mais ça, ce n'était pas ce qu'elle apellait une petite émotion et elle avait donc de bonnes raisons de pleurer à chaudes larmes. Comme elle le disait toujours, il vallait mieux évacuer tout ses larmes pour évacuer avec toute les émotions qui étaient trop nombeuses à l'intérieur. Elles étaient mieux dehors que dedans comme elle disait, mais là, elle n'avait pas trop la tête à se parler toute seule. Elle entendit néanmoins un bruit de pas...

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Evachée sur l’un des nombreux fauteuil de la salle commune des Gryffondors, la petite américaine dénommée Andgy Kortigas – pour plus d’informations sur son identité, veuillez composer le 0 830-830-000 - fixait avec intensité un vulgaire bout de parchemin . Vulgaire ? Pas tant que ça … Pour être franche, il s’agissait d’une lettre que sa tante lui avait envoyé directement de Salem . Cette lettre contenait des informations plus ou moins déplaisantes. La rouge et or avait appris –par l’intermédiaire donc de sa tante- que sa très chère cousine passait désormais ses temps libre à la pratique de magie noire . Celle-ci ne s’en était pas arrêtée là ! D’après les propos de sa tante, Maria { cousine donc d’Andgy}avait pratiqué une potion qu'elle avait concocté sur un élève de première année. Il avait eu de grave problème respiratoire et il avait passé presque une semaine à l'infirmerie. Quelle conduite exemplaire vous ne trouvez pas ? ^^ M’enfin, de toute façon, tout foirait à Salem ! ..
Soupirant bruyamment, la rouge et or se décida enfin à quitter son fauteuil pour aller se promener dans le château puisqu’elle n’avait strictement rien à faire, mise à part le fait de terminer ses devoirs … M’enfin bon ce n’était pas très important aux yeux de la lionne ^^. Aujourd’hui il neigeait et Andgy comptait bien en profiter. Enfilant ses gants et tout l’tralala qui allait avec, elle dévala les escaliers qui menaient au hall d’entrée qui était aujourd’hui fort peuplé. Sans qu’elle ne la voie venir, une boule de neige s’écrasa avec force sur son visage . Lâchant un « aieuh » tout en essuyant sa tête à l’aide de ses deux mains, elle comprit enfin ce qui s’passait exactement … Une bandes de petits gamins, s’étaient amuser à transporter de la neige à l’intérieur du castle pour en balancer à la gueul* des autres élèves . Rajustant férocement sa cravate , la jeune américiane s’approcha dangereusement des auteurs de cet abominable fait !

« Pas de batailles de neige dans le château ! Je retir …. » lança-t-elle avant de se faire brutalement couper la parole par l’un de ses imbéciles .

« Sauve qui peuuuuuut ! La preféte taréee de Gryffondor est lààààààààààààààààààà ! »

Tout se déroula en une fraction de seconde . Les élèves apeurés par la présence d’Andgy, se dispersèrent dans tous les côtés pour lui fausser compagnie . Quelle avait-été la réaction de la petite lionne ? … Rien, sauf une immobilisation totale du corps . Elle, tarée ? Nannnn x) Elle avait juste un sens de l’humour plus développé que les autres . OuI juste un sens de l’humour plus développé . Se rassurant intérieurement, la jeune lionne quitta les lieux pour rejoindre les toilettes des filles . Arrivée à destination, elle se dirigea vers les lavabos, tourna l’un des robinets et s’empressa de mouiller son visage pour se séparer définitivement de la neige qui lui collait au visage . Ceci étant fait, elle contempla ensuite son visage devant un miroir {j’vous assure elle n’est pas narcissique^^ } pour vérifier que son visage était bien propre . Parfait ! Tandis qu’elle remettait correctement son bonnet qui avait légèrement glissé vers le côte droit , quelque chose d'immatériel traversa son crâne. Cette sensation forte désagréable fit frissonner la jeune fille de tout son long. Elle se retourna vivement derrière, mais rien. Le regard de nouveau devant elle, la jeune gryffondor comprit le secret de son tourment; Mimi Geignarde.

Sous le choc, elle fit un pas vers l'arrière, les yeux bien ronds, bien surpris. Pas qu'elle ignorait la présence de tous ces fantômes. [On aurait à se poser plusieurs questions si tel était le cas] Mais bien parce que jamais elle n'avait eu à subir un face à face aussi brusque avec quelqu'un. Et ne s'y attendant pas du tout, la surprise fut extrême!

Mais la jeune fille tenta aussitôt de se calmer. De quoi avait-elle l'air en ce moment? D'une pauvre folle qui ne contrôle pas ses réactions…Heureusement que les toilettes étaient inoccupés, son teint aurait sûrement virer rouge pivoine sous la présence d’une quelconque personne. Tant bien que mal, elle réussit à se calmer.

"Fais attention à toi. La mort peut arriver à n’importe quel moment … Même aux toilettes ! " lança Mimi de son habituel air rêveur .

" Ah euh…Eh bien…Oui, ça se peut… " Bafouilla Andgy au fantôme, sans trop savoir quoi répondre. « J’dois te laisser … à bientôt ! » ajouta-telle avant de prendre ses jambes à son cou .

Qu’est-ce qu’elle pouvait être bizarre cette Mimi ! Nan mais vraiment, ca l’amusait tant que ça de foutre la trouille à tout l’monde ? Franchement … ! Après avoir rebrousser le chemin jusqu’au hall d’entrée, Andgy jugea bon de se rendre au saule cogneur pour l’apercevoir couvert de neige {même s’il y avait peu d’chances, étant donné qu’un simple contact avec ses branches le rendait complètement malade j’vous jureuuuh !} . Son odyssée arrivait à terme, la jeune américaine se laissa tomber sur un rocher , suffisamment distant du saule cogneur pour ne pas se faire écrabouiller . La neige était si douce, qu’elle ferma les yeux pour se laisser enivrer par celle-ci . Trop occupée à se faire bercer par le temps, la rouge et or sursauta lorsqu’elle entendit des pleurs étouffés. Ecarquillant stupidement les yeux , la jeune deuxième année succomba à la tentation . Elle se leva gracieusement et se dirigea vers la source du bruit qui la mena un peu plus loin . Là, une jeune fille de première année, sanglotait en silence . Qu’est-ce qui a pu la mettre dans un tel état ?.. Là n’était pas le problème, cette file avait besoin d’être consoler ! Andgy, prise de désespoir, s’afféra donc à s’tâche . Elle s’approcha lentement de la fille avant de se laisser tomber près d’elle.

« Hey !! Qu’est-ce qui s’passe ? »

Youhooou ! C’était vraiment ridicule comme approche m’enfin bon …

{Pas tip top mon post comparé au tien <__< Sorry }

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[HJ: Ne t'inquiètes pas, c'est parfait!]

La jeune Poufsouffle était donc en train de pleurer à chaudes larmes, non loin du saule cogneur. Cet imbécile d'arbre venait juste d'essayer de la tuer mais à part ça, elle allait bien . Enfin presque. Elle penssait encore et toujours à sa grand mère mais cette seconde, elle fut interromie par une voix douce et féminine. La voix de la fille lui demanda ce qui se passait. Elizabeth releva son visage pour voir à qui elle avait affaire et que accessoirement, la jeune fille la reconaisse aussi. Eli la reconnu immédiatement même d'aussi prêt. C'était la préfete des Gryffondor. Elle avait l'air très gentille et rien que le fait qu'elle soie venue jusqu'à elle, prouvait qu'elle l'était. En revanche, Elizabeth avait honte. Elle était en train de pleurer comme une idiote et c'était certainement ses pleurs qui avait allerté la jeune rouge et or. Elizabeth se sentit ridicule de s'être laissé aller ainsi et répondit maladroitement à la charmante jeune fille.

- Heu... Rien, désolée...

Eli se rapella que les deux jeunes filles étaient ensembles au cours de Hagrid, ou plutôt à l'atelier de Soin au créatures magique du professeur Hagrid mais Andgy ne l'avait surement pas reconnu étant donné qu'elle se cachait le visage. Et puis même si elle s'était montrée, il était possible que Andgy ai oublié Elizabeth de toute manière. La jeune Poufsouffle n'était pas une figure importante de Poudlard et on l'oubliait souvent vite fait. Eli avait beau essayer de penser à la jeune fille et à ce qui l'entourait mais elle ne faisait que penser à ses malheurs. Elle avait froid, elle venait de se faire écraser par un arbre géant, sa grand-mère était à Ste Mangouste et elle ne savait pas si elle devait aller la voir ou plutôt rester à Poudlard et disputer le match de Quidditch qui les opposaient à Serdaigle. C'était pour elle un tout qui s'accumulait et elle voulu se lacher et laisser tout exploser en pleurant, peut être que ça lui ferait du bien. Mais en même temps elle devait se retenir pour ne pas paraitre idiote devant une élève de Gryffondor et en particuler devant la préfete. Malgré tout ses efforts, Eli ne put s'empecher de pleurer une nouvelle fois de manière absolument incontrolable. Elle voulu s'expliquer auprès de son amie pour qu'elle comprenne un peu ce qui lui arrivait.

- Et bien tout d'abord... j'ai froid. J'ai faillit me faire écraser par le saule cogneur il y a un peu moins de dix minutes, ma grand-mère est à Ste Mangouste parce qu'elle s'est pris deux sortilèges de stupéfixion dans la poitrine à cause de deux voleurs qui ont voulus la cambrioler et je ne sais pas si je dois aller la voir à Ste Mangouste ou disputer le match de Quidditch qui nous oppose à Serdaigle parce que mon équipe compte sur moi et que si je ne participe pas au match, Poufsouffle se retrouvera avec un poursuiveur, qui débute en plus... Je ne sais pas du tout quoi faire...

Elizabeth lacha un autre sanglot. Elle était face à un choix cornélien et elle doutait que la préfete des Gryffondor puisse l'aider en quoi que ce soit. Heureusement qu'elle au moins était une fille honnete et droite parce qu'une rouge et or qui ne penssait qu'à elle, aurait suggérer de participer au match pour gagner le match contre Poufsouffle et ainsi ne pas faire perdre à Gryffondor tout espoir de ne pas finir dernier. Car en effet, si Serdaigle gagnaient ce match, les Gryffondor serait en bien mauvaise posture pour la coupe. Et puis de toute façon, Elizabeth n'avait pas la tête à penser stratégie et elle était preneuse pour toute les opportunités qui lui étaient bonnes. Elle espérait que la jeune préfete puisse l'aider d'une quelconque manière...

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