Allongé dans l'herbe

J’arriva dans le par cet la seule chose que je trouva à faire c’est de me laisser tomber dans l’herbe.

*Dois-je quitter Clara ? Et qu’on soit malheureux comme les pierres chacun de notre côté ?*, me demandais-je en posant mes mains sur mon visage, *dois-je être un bon petit Serpentard, fier et digne comme un brave petit toutou qui suit sans arrêt son maître, non très peu pour moi*, me dis-je en souriant.

*Je ne suis pas comme eux, je suis différent, je leur fais peur, Drago me craint plus que tout autre chose*, pensais-je en souriant, *il croit que si il aime, il sera un monstre, alors que c’est le contraire, c’est les monstres qui ne peuvent aimer…, l’amour est tellement vaste, tellement puissant. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas amour ?*, demandais-je en regardant le ciel.

*Je suis sûr que même Salazar Serpentard a aimé un jour*, me dis-je en souriant.

Pendant que j’étais entrain de penser à Clara, je ne m’aperçu pas de la présence de quelqu’un d’autre dans le parc, jusqu’à ce que celui-ci me marche sur les abominaux.

Tu ne pouvais pas te coucher ailleurs que sur mon chemin? me lança-t-il en me jetant un regard noir.

Je me leva alors d’un bon et le regarda à mon tour droit dans les yeux.

C’est toi qui devrais faire attention où tu vas weasel, lui dis-je en le regardant droit dans les yeux, ta place est dans la forêt interdite avec toute ta famille de belettes !, lui dis-je en le foudroyant du regard.

A moins, que vous ne soyez encore trop pauvre pour vous payer un arbre, assez grand pour vous et toute votre famille ?, lui demandais-je en le regardant droit dans les yeux.

Rentre vite chez toi, Rony ta maman t’appelle sûrement, écoute…, dis-je en tendant l’oreille.

Je le regardais entrain de prendre des couleurs au fur et à mesure que ça colère montait en lui, j’avais ma main sur ma baguette au moindre de ses mouvements.

Oh la belette est en colère, lui dis-je sur un ton ironique.

Puis en voyant qu’effectivement le jeune homme ne semblait pas dans son assiette, je décidai de reprendre mon sérieux ainsi que mon visage de Serpentard, c'est-à dire que je ne laissais transparaître aucunes émotions.

Malefoy t’a encore embêté ? Où est-ce la petite amie de Potter qui te mets dans un état pareil ?, lui demandais-je en le regardant.

Je regardais le jeune homme roux attentivement, il avait une robe de sorcier un peu grande pour sa taille et rapiécée à différent endroit. On ne pouvait pas manquer que sa famille se débrouillait comme il pouvait.

*Quelle idée aussi de faire tant d’enfants*, me dis-je en levant les yeux aux ciels.

J’ai la langue fourchue c’est logique pour un Serpentard non ?, lui demandais-je en le regardant, prendre encore quelque rougeur si cela était possible.

Pour une fois, que je voulais me montrer un tant soit peu aimable avec un membre de la famille de Ginny, celui-ci m’agressait au plus au point. Et en plus il était borné, comme la plus part des Gryffondor me direz vous.

Bien comme ça nous sommes deux à ne pas savoir ce que Malefoy fait de ses journées, lui dis-je en le regardant, on ne se débarrasse pas aussi facilement de moi , lui dis-je alors qu’il me disait d’aller me faire voir ailleurs.

Il se mit à marcher et alla s’installer sous un arbre, je le suivis du regard puis je le suivis pour prendre place à ses côtés.

Tu appelles ton meilleure ami Potter, c’est nouveau ça, lui dis-je en regardant droit devant moi, alors si ce n’est pas Miss-Je-Sais-Tout, qui te mets dans cet état, ni Malefoy, qui est-ce ?, lui demandais-je en me retournant vers lui.

Le plus jeune des fils Weasley consentait à me parler, pourtant je n’étais pas la personne la plus indiquée pour lui et il ne semblait pas se méfier plus que ça. Drago n’aurait pas hésité à l’amener dans un piège, mais je n’étais pas de cette nature. Si je n’avais plus d’ami à Serpentar et bien soit j’allais m’en faire d’autre.

Tu capitule vite Weasley, lui dis-je en riant, alors c’est bien Granger qui te mets dans cet état, au risque de te paraître rabat joie , je crois qu’elle a raison, le professeur Rogue ne vous porte déjà pas dans son cœur. Inutile donc d’attiser sa colère, lui dis-je en le regardant.

Je voulais te taquiner un peu, mais comme tu ne sembles pas d’humeur je n’insiste pas, lui dis-je en le regardant, je ne veux pas te parler à tout prix, comme tu veut si bien le croire, lui dis-je en souriant.

Je regardais le jeune Weasley avec stupéfaction et faillit éclater de rire en entendant, je ne savais pas les Serpentard aussi peu vif d’esprit.

Je ne suis pas un Serdaigle, pardonne-moi, lui dis-je d’un air faussement offusqué, je ne pensais pas que les Gryffons étaient aussi bête que les Poufsouffle !, lui dis-je avec mépris.

Je leva un sourcil d’incompréhension, il osait me poser des questions, mais pas n’importe lesquels des questions qui firent mouches.

Moi? Tu t’intéresses à ma vie maintenant Weasley ?, lui demandais-je en le regardant, je suis venu me relaxer dans le parc pour penser à autre chose qu’à une bande de personnes qui n’éprouve aucun sentiments… Ne me confond pas avec Malefoy !, lui dis-je avec mépris, je ne suis pas encadré par des toutous moi !, dis-je en lui jetant un regard noir.

Ronald le regarda droit dans les yeux. Qu'est ce qu'il était bête, celui là! Pensa le Jeune Weasley. Blaise était quelqu'un d'étrange par rapport aux autres Serpentards mais il avait quand même beaucoup de points communs, notamment celui de répliquer à chaque fois que son interlocuteur lui parle.

- Je ne suis pas un Serdaigle, pardonne-moi, lui dit Zabini d’un air faussement offusqué, je ne pensais pas que les Gryffons étaient aussi bête que les Poufsouffle !, lui ajouta le Serpentard avec mépris.

- Je ne savais pas que les Gryffondors étaient des acharnés du travailles... Nous confondre avec les Poufsouffles est une grossière erreur pour un Serpent.

Il se demandait réellement ce qu'un Serpentard pouvait bien faire seul dans le Parc. C'était pourquoi il lui avait posé cette question. Mais le Jeune Zabini lui répondit avec mépris alors que lui même ne cessait de poser des questions au Gryffondor.

- Moi? Tu t’intéresses à ma vie maintenant Weasley ?, lui demanda Blaise en le regardant, je suis venu me relaxer dans le parc pour penser à autre chose qu’à une bande de personnes qui n’éprouve aucun sentiments… Ne me confond pas avec Malefoy !, lui ajouta t il avec mépris, je ne suis pas encadré par des toutous moi !, finit ce dernier avec un regard noir.

- Tu peux me lancer autant de regard noir que tu veux ça ne me fera pas flancher... Les Gryffondors sont réputés pour être téméraires alors même si je vais devant de grands ennuies, je ne laisserais pas tomber...

* Enfin, ça dépend de quelle danger... *

- ... Alors réponds à ma question, Zabini. Parce que je me demande si tu ne serais pas là par rapport à une certaine histoire d'amour...

Il y était allé par pur hasard. Il ne savait pas du tout pourquoi il avait posé cette question. Pourquoi avait il choisit celle là? Parmis tant d'autres? Ron avait choisit celle là car c'était la première qui lui fut venu à l'esprit.