Suite du parc (priorité à Ron)

Alehandra ne c’était pas posé la moindre question en prenant la main de Ron pour l’entraîner hors de la volière pour s’éclipser des deux Serpentard. Elle sentait celle du jeune homme trembler, il n’avait sûrement pas froid mais il devait trembler de rage suite à ce qu’il c’était passé dans cette volière. Alehandra ne voulait plus penser à cela, elle voulait rentrer s’asseoir dans la salle commune et ne plus penser à rien d’autre qu’aux cours du lendemain. Ils allaient passer le tableau quand elle sentit une réticence vis-à-vis du jeune homme elle se retourna alors et il lui dit qu’il ne croirait pas que ça serait bien vu si les autres s’apercevaient qu’ils rentrent main dans la main, aussi tôt qu’il eut dit cela le visage de la jeune s’empourpra.

- Je suis désolée, je n’y avais pas pensé, dit-elle en baissant les yeux. Les Serpentard, je m’en fiche et je crois qu’Harry nous fait assez confiance pour ne pas en tirer des conclusions…, enfin du moins je l’espère, dit-elle en détournant le regard et en desserrant sa main de celle de Ron.

Mais, juste avant qu’elle lu enlevé définitivement, il la porta à ses lèvres donnant un baiser sur celle-ci. Elle resta un moment sans rien dire les yeux grand ouvert puis tira sa main plus violement qu’elle ne l’avait voulu. Alors que la jeune fille allait parler c’est lui qui le fit et lui dit de le pardonner pour les ennuis qu’il lui avait causés.

- Tu es un ami Ron, il est donc normal que je te pardonne, lui dit-elle avec un léger sourire. Et puis, n’en parlons plus les Serpentard vont le faire bien assez tôt pour ça, dit-elle en passant le tableau et en allant rejoindre les fauteuils confortable devant le feu ouvert de la salle commune.

La jeune fille n’aimait pas les Serpentard car ils n’arrêtaient pas de persécuter Harry mais, apparemment il n’était plus le seul à être leur cible. La jeune Gryffondor savait que sa cousine avait elle aussi eut affaire à eux, mais elle ne pensait pas qu’il était comme ça.

*Œil pour œil et dent pour dent, ça doit être ça leur devise*, se dit-elle en soupirant.
La jeune fille n’en pouvait plus elle se demanda même si elle aurait le courage de monter pour rejoindre son dortoir. Elle sentait qu’elle avait besoin d’une bonne douche avant d’aller se coucher et d’avoir une bonne nuit de sommeil.

- Le devoir de Potions ! dit-elle soudainement tirée de sa rêverie, je ne l’ai pas encore fait ! dit-elle en se retournant vers Ron.

Elle espérait qu’il lui dise que demain ce n’était pas lundi et qu’on était mercredi ou un autre jour de la semaine. Ou qu’il n’était pas si tard qu’elle le pensait et qu’elle pouvait encore le rédiger, elle n’aimait pas particulièrement le professeur Rogue mais il fallait tout de même faire ses devoirs. Avec tout ce qu’il c’était passé en une après-midi, elle était complètement déphasée et elle ne savait plus le jour ni l’heure qu’il pouvait être.

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511 mots

HJ : désolée pour le retard

DONE

Alehandra, la jeune Gryffondor petite amie de Harry Potter avait retiré sa main assez sèchement après un parfait baise-main de son compagnon d’un soir : Ron Weasley. Elle admit que, comme le suggérait le garçon, les affreux Serpentard allaient commenter l’incident de la volière et faire des gorges chaudes sur les mésaventures du couple. Lorsqu’elle supposa que Harry les connaissait suffisamment tous les deux pour faire la sourde oreille aux commentaires, Ron avait approuvé plus pour plaire à Alehandra que par conviction. Si Harry avait vent de leur balade nocturne… il ne laisserait pas l’incident clos. Il était très capable de croire à un détournement délibéré d’affection alors qu’en fait Ron n’avait agi que par… bon cœur. La demoiselle était si triste et solitaire, il n’avait pas pu s’empêcher d’essayer lui redonner le moral. Que les yeux d’Alehandra le fasse fondre, ben… tant pis ! Elle était avec Harry et cela seul comptait.
Maintenant, au pied du portrait de la grosse dame, Alehandra parut soudain paniquée. Aucun rapport avec les événements précédents, non ! Elle pensait au cours de potions. Elle avait perdu la notion du temps et priait pour que le lendemain ne soit pas un lundi. Hélas, si !
Ron battit des cils et avoua :
Si ! On doit remettre un travail sur la potion d’aiguise-méninges demain ainsi qu’un condensé sur les antidotes connus. Tu n’as rien fait ?

L’air effaré de la jeune rouge et or le convainquit du mini drame. Ron se gratta la tête – sale habitude impossible à contrecarrer lorsqu’il était tracassé – et dit :
J’ai… travaillé le sujet. Je sais que je ne suis pas un pro des potions mais… j’ai travaillé. Si tu veux, je te file mes notes.

Alehandra le regardait avec des yeux ronds. Ron qui étudiait ? Voilà qui était nouveau. Il ne s’exaspéra pas mais tint à mettre les choses au point :

Ma mère tient beaucoup à ce que son dernier fils, moi en l’occurrence, brille cette année… et les suivantes. Je lui ai promis de faire de mon mieux pour ne pas la décevoir, alors… je travaille autant que je peux. Tout le monde se moque de mes efforts mais je tiens à ce que ma mère soit… fière de moi. Je peux, ici, à l’instant même te le prouver. Pour la potion d’aiguise-méninges, que l’on fabriquera avant peu il faut du jus de citrouille auquel on ajoute des scarabées à piler soigneusement, ensuite, on met des racines de gingembre coupées de façon strictes puis il faut doser correctement de la bile de tatou. Pour les antidotes, on doit parler de la potion de désenflage et du bézoard ; tu sais cette pierre que l’on trouve dans l’estomac des chèvres.

Il observa la jeune fille qui, manifestement, n’en revenait pas des sciences étalées.
Entrons, dit Ron. À cette heure, nous devrions être tranquille, ils sont tous couchés. Je me doute que tu préférerais une douche et ton lit, mais… Rogue n’aime pas les devoirs bâclés ou retardés. Si tu as des remarques ou corrections à émettre sur mes notes, je suis preneur.

Le garçon éclaira encore la demoiselle sur les raisons de ses récentes connaissances :

J’ai aussi étudié par la force des choses. J’ai dû me farcir de nombreux livres à la bibliothèque afin de gagner de quoi payer un cadeau à une fille de Serdaigle. Ce fut tout une aventure. Si tu veux, je te la raconterai mais le travail d’abord, non ?
D’un geste, il l’invita à se présenter au portrait qui pivota sous le mot de passe du jour.

[597 mots]

DONE

Alehandra entendit alors son compagnon de fortune lui dire que le devoir sur la potion d’aiguise méninges était à remettre le lendemain matin. Le jeune homme lui demanda si elle n’avait rien fait et son air contrit, lui fit comprendre que non. Il lui dit qu’il avait travaillé sur le sujet ce qui la fit sourire mais pas pour les bonnes raisons.

*Il c’est reprit en main, c’est bien*, pensa-t-elle en songeant à Hermione qui devait être contente de voir Ron travailler au lieu de lui demander ses notes.

Le jeune homme lui dit que ce n’était pas un pro mais qu’il avait travaillé et que si elle voulait, il allait lui passer ses notes.

- Tu es vraiment adorable Ron mais, quitte à avoir une mauvaise note j’aimerais autant le faire moi-même si ça ne te dérange pas, lui dit-elle en lui souriant. J’aurais refusé aussi si Harry me l’avait proposé, dit-elle en lui faisant un clin d’œil. Et si, Hermione aussi m’aurait accordé d’y jeter un seul coup d’œil, lui dit-elle en souriant.

Le jeune Gryffondor lui raconta alors pourquoi il était tellement attaché a faire ses devoirs ses derniers temps. Il lui expliqua même la manière de préparer la potion d’aiguise méninge pour avancer ses dires.

- Je te crois Ron ! lui dit-elle en lui souriant.

Ils entrèrent alors dans la salle commune et Ron continua a parler et a dire qu’elle préférerait s’en doute aller prendre un douche et se reposer mais que Rogue n’apprécierait pas d’avoir un devoir en retard.

- Tu sais Ron, ça va te sembler peut-être bizarre mais, je n’ai jamais considéré ta famille comme des débiles profonds, dit-elle avec un léger sourire. Attends avant de riposter, dit-elle en posant son index sur les lèvres du jeune homme, tu es quelqu’un de très intelligent qu’en tu t’en donnes la peine. Je ne suis pas la seule à penser ça de toi, il y a beaucoup de jeunes filles qui le savent mieux que moi. Mais, il n’empêche que de demander de l’aide de temps en temps à une tierce personne comme, voyons voir… Hermione ne te ferait pas de mal et ça flatterait un peu plus son ego, lui dit-elle après avoir retirer son index pour pauser la paume de sa main sur l’épaule du rouquin. Mais, je vais aller me laver et me coucher maintenant, je travaillerais sur ce stupide devoir demain matin à l’aube si il le faux, mais je l’aurais fini, sur ce bonne nuit Ronald, dit-elle en l’embrassant sur la joue avant de monter dans le dortoir des filles.