la suite du parc- la revenante ( pv erwan)

ils étaient en fin à l’abrit de cette tempète sans nom, mais quand Halloween se retourna sur l’inconnu pour lui répondre à sa question et aussi pour lui demander qui était miss saore ou je ne sais quoi comme drôle de prénom, qu’elle fit dégoûter en voyant un rat sur l’épaule de Pouffy. Elle lui fit remarquer avec franchise.

«tu es au courant que tu as une espèce envoie d’extermination sur ton épaule »dit elle en parlant du rat

Elle trouvait cette bestiole dégoûtante et sa queue ressemblait plus à un verre de terre géant non gluant qu’à autre chose, elle recula de dégoût, et aussi pour éviter que cet animal lui saute dessus d’un coup, c'était on jamais il serait en manque de tendresse.

Elle avait de la peine à détacher ses yeux de cette boule de poile trempée au os et qui la fixait des petite billes noires qui donnaient le frisson.

Elle se souveina qu’elle avait vu une chose sur l’épaule du jeune homme que qu’il lui avait répondu d’un ton simple que cette miss je ne sais quoi, elle se douta que cette boule était miss je ne sais quoi.

« Je suppose que c’est miss saore ou je ne sais quoi »dit elle en faisant avec un mouvement avec sa main

Elle répondit avec une certaine froideur au Pouffy.

« Je me prénomme Halloween Strue , élève à serpentard en deuxième année et toi tu es « dit elle en le regardant droit dans les yeux.

Erwan ne comprenait pas vraiment la jeune fille avec qui il se trouvait en ce moment même. Elle semblait parfois très froide, distante et hautaine, puis d’autres fois, très douce et gentille. Souffrait-elle de troubles de la personnalité au point de se montrer différentes toutes les cinq minutes ? le jeune sorcier n’en savait rien, la seule chose qu’il savait, c’était qu’elle était bien étrange mais qu’il ne changerait pas d’attitude avec elle pour autant ; peu lui importait la réaction des autres, il restait toujours égal à lui-même, c’était peut-être ce qui le rendait assez particulier, mentalement parlant.

L’intonation de la petite montrait bien son dégoût face à Miss Soare, et une telle attitude envers ses yeux l’agaçait toujours, qu’avaient donc les filles avec Miss Soare ? A chaque fois elles hurlaient, ou réagissaient négativement. Cette jeune élève était un exemple. Il y avait eu aussi Katheline qui avait hurlé et lui avait sauté dessus, prise d’une soudaine panique. Seule Merryl avait réagi parfaitement. Elle avait demandé à la prendre dans ses bras, lui avait parlé comme si elle savait qu’elle comprenait tout, ou presque tout. Le jeune sorcier changea doucement alors, prenant la ratte de son épaule et la séchant avec soin dans un bout de tissu éponge qu’il avait toujours ans sa poche pour la jeune ratte.

L’attitude de la petite avait vraiment changé tout à coup. Ses traits, s’il l’avait vu auraient uniquement montré du dégoût et de la haine, mêlés à une once de crainte peut-être ? Erwan, cependant restait de marbre, ses traits étaient froids, il était peut-être très poli et très doux, il y avait toujours une chose qu’il haïssait plus que tout : qu’on s’en prenne aux êtres qui lui étaient chers. Sa maman, Miss Soare… Merryl…

La jeune élève se présenta enfin à lui, d’un ton hautain et fort désagréable. Pour qui se prenait-elle ? Il était presque persuadé que si elle apprenait qu’il était de sang pur et fils d’un noble anglais, son attitude changerait beaucoup vis-à-vis de lui. Voilà la raison pour laquelle il haïssait toutes ces différences sociales, hiérarchiques, ce favoritisme qui était bien trop présent.

Elle s’appelait Halloween, comme la fête ? Halloween Strue. L ne fut guère étonné par sa maison, étant données ses réactions par rapport au poufsouffle. Elle était vraiment stupide. Elle le remercier, le rejetait pour se jeter dans ses gras, l’embrasser et enfin le rejeter de nouveau. En fin de compte, il s’agissait en quelque sorte d’un cycle… Il était vrai que les filles fonctionnaient en cycles, mais d’ordinaire, leurs sauts d’humeurs ne se faisaient pas en de si courts intervalles. Le roumain se redressa, posa son rat par terre et se présenta à son tour :

« Je me nomme Erwan Snedlditetikasi mademoiselle Strue ; je suis enchanté de faire votre connaissance, bien les circonstances ne soient pas les meilleures. Mais j’ai comme le pressentiment que cet enchantement n’est point partagé. »

Son ton était plus ou moins neutre. Son visage laissait paraître un léger sourire qui pouvait porter à confusion entre sincérité et ironie. Ses traits étaient bien difficiles à cernés, le tout essentiellement à cause de ses yeux, ce regard vide, ne fixant rien, ne bougeant pas.

[538 mots]

Après un moment de silence qui commençait, vraiment à l’agacer, il lui répondit avec toute la politesse d’un pouffy, Halloween se demandait vraiment pourquoi tous les pouffy étaient obligés de leur répondre toujours avec cette politesse et ses mots si nobles ? Halloween avait remarqué, qu’il n’avait pas vraiment apprécié qu’elle s’attaque à sa ratte et aussi qu’il ne comprenait pas trop bien son changement d’attitude, mais soit, elle était franche, donc il devait supporter cette franchise, si dérangeante des fois et cette double personnalité qui revenait des fois. Elle regarda essuyer son animal de compagnie avec une pate, il ne voulait pas encore prendre un sèche-cheveux et une brosse et lui faire un brusching à sa ratte , temps qu’il était ?!?! mais quand il la posa sur le sol, Halloween ne quitta pas d’une minute cette mini saucisse à quatre pattes, non elle n’avait pas peur, mais elle en voulait pas que cette chose s’approche d’elle.

Elle lui répondit en regardant la chose de cette froideur coutumière des serpentard.
« Enchanté de même monsieur Snedlditetikasi » dit elle d’un ton polis, mais froid.

« Dites moi si je pense juste, vous me trouvez étrange, stupide et prétentieuse »dit elle en relevant cette fois-ci son regard sur lui.

« et vous devez aussi pensez que je suis tout a fait à ma place chez les serpentar »dit elle pour finir.

Elle le regardait, elle en était sur il devait penser cela, Mike avait pensé pareil d’elle, sauf il lui avait dit sans vraiment lui dire.

« Il faut se méfier des apparences « dit elle en le regardant
« Je ne suis pas celle que vous croyez, je parais froide et hautaine, mais c’est qu’un masque »dit elle en souriant

« C’est pour éviter d’avoir des ennuis aussi, désolé aussi pour avant,je ne sais ce qui m’a prit de vous embrassez et aussi de ce changement de comportement froid ,souriant froid souriant »dit elle en gesticulant

« C’est tout moi quand je n’arrive pas à cerner la personne « dit elle en lui souriant franchement

Elle s’avança vers lui et lui tandis la main.

« Cette fois-ci jure je vous sourire et il aura plus de changement de comportement »dit elle en rigolant

*c’est sur il va me prendre pour une folle*

(hj. c'est sur cette fois-ci, je fais passer mon perso pour une grande folle :lol!: )

[Mais non mais non^^]

La première chose qu’Erwan nota dans les dires de la jeune fête du mois de novembre, nommée aussi Halloween, était qu’elle avait su retenir son nom de famille et le prononcer sans la moindre hésitation ni même le moindre problème de prononciation. Vraiment étonnant, de telles situations étaient bien rares de nos jours… Enfin en Angleterre surtout, car personne en Roumanie n’avait jamais eut la moindre hésitation sur son nom de famille, les anglophones avaient un vocabulaire si limité aussi, il fallait bien l’avouer, ils se contenter de choses si simples, toutes semblables et différentes en même temps.

La sorcière enchaîna alors rapidement des phrases, toutes ayant plus ou moins un sens lorsqu’on les prenait séparément, mais si on considérait l’ensemble, elle semblait dire n’importe quoi de façon bien étrange. Le garçon réfléchit un instant à la meilleure façon de s’exprimer afin de ne point blesser la jeune fille aussi bizarre soit-elle :

« Je ne sais dans quel ordre vous répondre mademoiselle, je vais cependant m’efforcer de conserver un semblant de sens dans mes propos. Pour commencer, sachez que je n’ai pas de préjugés chez les maisons, je sais juste que jamais les serpentards ne m’ont apprécié, pourquoi ? En toute franchise je n’en ai pas la moindre idée. Peut-être suis-je trop terre à terre ? Peut-être suis-je trop étrange ? Peut-être parce que ma mère est pauvre et que je suis Roumain ? Mais qu’en serait-il s’ils savaient qui est mon géniteur ? Je pense que leur attitude changerait en bien des points. Je pense cependant que cette rancœur est uniquement due à ma maison et non pas à mon handicape. Sachez cependant que le fait d’être haït par des gens vous pousse parfois à ressentir cette même haine envers eux sans vraiment les connaître, j’avoue avoir une certaine aversion envers les serpentards, mais pas eux uniquement. Ceux que je n’aime pas sont ceux qui se permettent de défiler, se pavanent alors qu’en réalité, ils ne sont rien sans leur argent. Les matérialistes sont les seuls que je n’apprécie pas. Vous ne m’avez cependant pas l’air de faire partie de ces gens là. En l’occurrence, je pense que les serpentards ne sont pas tous matérialistes et stupides, donc il n’y a pas de honte ou de regrets à avoir pour se trouver dans cette maison. Et puis après tout, pourquoi ne seriez-vous pas allée à serdaigle ? Vous ne semblez pas bête du tout. Je crois que je commence à divaguer mademoiselle. Sachez juste que je ne vous considère pas en tant que serpentarde, mais uniquement en tant qu’Halloween Strue, jeune fille intelligente et assez étrange tout de même, veuillez me pardonner si ce terme vous offense. »

Les derniers propos de la jeune demoiselle firent sourire l’aveugle. Bien qu’il ne voit pas les sourires, il les sentait dans les intonations, dans les voies de ses interlocuteurs, et il sentait chez elle un vrai sourire, joyeux et confus en même temps, il lui répondit alors :

« Je suis certain que vous avez un merveilleux sourire et vous me voyez ravi de vous savoir en meilleur état qu’il y a peu. Et puis, après tout, si vous êtes de nature changeante, vous n’y pouvez pas grand-chose. Contentez vous donc de rester vous-même, les gens vous accepteront ou vous refuseront, amis ceux que vous aurez à vos côtés seront des personnes dignes de confiances. »