Les Parfaites Petites Perdues [PV]

En ce superbe samedi du mois d’Octobre, Rowen avait été forcée par le Confrérie des Préfets, à patrouiller dans les cachots. Une fois par mois, un de ses collègues devait s’y coller, et cette fois ci, tout le monde semblait s’être liguée contre elle pour que la tache lui revienne. Bon, d’accord, personne n’aimait trainer dans les cachots, parce que le lieu était sombre, humide, et malodorant. Mais bon, de là à faire bande à part et à désigner à l’unanimité notre chère Lone pour qu’elle passe son après midi dans ce lieu insalubre, ce n’était pas très sympa ! Et, avec un haut le cœur, la jeune Gryffondor de quatrième année pénétra dans l’endroit, tout en fronçant le nez, répugnée par l’odeur de renfermé qu’il y régnait -et l’odeur de Serpentard, aussi-.
Les mains dans les poches, regardant le plafond ma foi, bien peu propre, la demoiselle se demandait pourquoi il était utile de faire son tour de garde ici. C’est vrai quoi, personne ne les aimait, ces cachots !! Inutile de chercher des élèves qui, de toute évidence, ne seraient pas là. M’enfin bon, de nos temps, il ne fallait pas se poser trop de questions. Tais toi et contente toi de faire ton tour de garde, un point c’est tout. Allé, courage, tu ne vas pas mourir parce que l’odeur est affreuse, quand même !!

Marchant le long d’un long couloir en regardant les longs tableaux qui longeaient les murs très longs #SBAFF#, la fillette sortit de sa poche un bonbon enveloppé dans du papier aux couleurs criardes, qu’elle ouvrit d’un coup sec –de main de maître- et avala. Au moins, il y avait quelque chose d’agréable, dans ces cachots : pas de bruits. Donc la possibilité de manger plein de sucreries sans avoir peur de déranger quelqu’un. Quoique, ça ne lui faisait rien de se faire rappeler à l’ordre par des Serdaigles ou par Madame Pince dans la Bilbiothèque, mais se faire harceler pour partager, non merci ! Pas même avec sa sœur jumelle Sarah, avec qui elle avait toujours été très généreuse.. alors ils pouvaient se fourrer le doigt dans l’œil, et bien profond..

Manquant d’avaler ce qu’elle avait dans la bouche lorsqu’elle entendit un bruit en provenance du couloir qui bifurquait à sa gauche, la demoiselle s’approcha, se frottant les mains. Tiens ? Un élève ? Espérons que ce soit un Serpentard. Elle avait une cruelle envie d’envoyer quelqu’un moisir chez Rusard –surtout après qu’on l’ait fait sursauter-, et si ce n’était pas un Gryffondor ou un Poufsouffle –rappelons nous de l’alliance Pouffondor- elle se régalerait. Sinon bah, tant pis, ce serait le même sort, fallait pas faire de préférences. M’enfin.
Sifflotant, en longeant le mur, la quatrième année jeta un bref coup d’œil en direction de la pauvre victime sur laquelle elle comptait fondre. Clignant des yeux, elle remarqua que la cravate de la chère personne était. Rouge et Dorée.

ARGGGGGH !! Perdu !! Rowen manqua de s’arracher les cheveux, en se demandant : mais que diable faisait un des siens dans ce cachot !! C’était interdit, généralement, d’y patrouiller –et surtout aussi profondément-.. Ca allait faire mal. Mais laissant de côté son amour pour les élèves de sa propre maison, notre préfète sortit un petit carnet de sa poche droite, ainsi qu’une plume, afin de noter le nom de l’élève, la faute commise, et la punition reçue. C’était comme ça qu’elle faisait, à chaque fois. Comme les policiers qui donnaient des PV aux voitures, c’était pareil. Et puis tout aussi réjouissant, certes.
L’aîné du trio Lone interpella donc l’individu « Hep vous, vos papiers !! », tout en s’approchant, baissant la tête vers la jeune fille, cachée par ses jolis cheveux bruns :

« Heu.. »

Grand bond, soulagement !! Ah !! C’était Andgy Kortigas !! L’autre préfète de Gryffondor. Bon, ça irait, il était interdit de donner des punitions, des heures de retenues ou autres choses du genre à un de ses collègues.
Le cœur de la rouge et or qui battait à tout rompre, se ralentit très légèrement, reprenant son rythme normal. Ouf, ouf, ouf, ouf, il n’y avait pas d’autres mots. Ah !! Quelle vilaine cette Andgy !! Lui faire frôler la crise cardiaque. A son âge… -parle comme une vieille mémé ? Oo-.
Mais, bien heureuse de retrouver là la troisième année, Rowen lui donna une tape amicale dans le dos –sans lui faire cracher ses poumons parce qu’elle aurait frappé trop fort-, la jeune lionne lui demanda, un grand sourire aux lèvres :

« Tiens, tiens.. Tu es venue remplacer mon tour de garde ? C’est bien gentil de ta part… »

Puis, voyant la mine déconfite de sa camarade, un chat sur les talons, elle ajouta :

« Heu.. Qu’est ce qui ne va pas ? »

Bon, elle n’avait pas pu deviner, que sa camarade s’était perdue. Mais heureusement, elle-même savait d’où elle venait, et comment remonter dans le hall, c’était déjà ça. Quoique, elle n’en était plus très sûre.. Deux Gryffondors perdues dans un sombre cachot ? La suite, au prochain épisode…

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Alors que Rowen s’était approchée tout doucement d’Andgy, en l’abordant de manière très énergique ( à savoir, avec un joli « heuuuu… » Hésitant. OK je sors ), il y eut disons.. Une réaction très étrange de la part de sa camarade de Gryffondor. Celle-ci, qui auparavant, semblait déboussolée au possible, s’était mise à hurler comme si elle venait de rencontrer un Jack l’Eventreur en furie. Rowen, que le son surpris fortement, se boucha d’un geste vif les oreilles, ce qui n’avait servit à qu’à atténuer ( très ) légèrement, la manifestation des cordes vocales de Kortigas.
La préfète ( oui, bon, Rowy quoi ), attendit sagement que les ( ô combien chaleureuses ) retrouvailles se soient achevées, pour mettre ses mains sur ses hanches, regardant sa cadette, le sourcil levé.
Certes, tout le monde était TOUJOURS content de la revoir, mais de là à essayer de lui percer les tympans.. Que d’originalité dans la petite Andgy, je vous jure.. M’enfin, l’aînée du trio Lone s’accroupit ( et non s’accroupisit, comme certains le disent xD ), et patienta sagement le temps que sa collègue ( le temps qu’elle reprenne sa respiration + qu’elle arrive à ré aligner deux mots ) lui réponde. Elle faisait sa ronde ?
Rowen haussa les épaules, et répondit, un petit sourire en coin :

« J’effectuais un carré, plutôt… ou un rectangle.. M’enfin, ces cachots, c’est un véritable enfer !! »

En même temps, la brune ( numéro 1... soit Rowen ) agita la main comme pour se ventiler : la marche l’avait crevée, et elle voulait bien le faire comprendre à la petite poursuiveuse de l’équipe des Gryffondors ( que de points communs !! ).
Elle s’étira ensuite, en lâchant un énorme soupir –comme le font les chevaux quand ils en ont marre qu’on leur fasse des poutoux stupides- :

« Apparemment, les autres préfets se sont ligués contre moi pour que je m’y colle. Et je te rappelle que TOI tu n’as rien dit pour ma défense. »

Nouveau petit sourire, mais cette fois, en montrant ses dents de crocodiles. Ce n’était pas pour culpabiliser Andgy que la lionne avait dit ça –de toute manière ça n’y changerait rien-, mais plutôt pour trouver un sujet de conversation potable… qui, dommage, tombait à l’eau.
C’était vrai, elle avait été désignée pour faire cette ronde -carrée-. Et il était encore plus juste de dire qu’elle le faisait à contrecœur. Mais elle le faisait quand même, ce qui était chez elle, une grosse qualité. Ah, sérieusement, quel étrange spécimen…
Cependant, la rouge & or lui répondit bien vite, avec un air quelque peu bizarre, que Rowen capta bien évidemment. Elle ne savait pas pourquoi la Gryffondor s’était mise à avoir l’air gêné, mais elle allait bientôt le découvrir… Prenant donc la pose de quelqu’un qui réfléchit –si, si, c’est possible-, la petite brune se gratta le menton, se courba légèrement vers la troisième année, puis, d’une petite voix, sur le ton de la confidence, elle lui chuchota :

« J’ai remarqué quelque chose Andgy… »

Lui passant la main autours de l’épaule comme le faisaient les joueurs de football après un match entre eux, la demoiselle poursuivit :

« Lorsque tu mens, les ailes de tes narines se mettent à battre. »

Elle tapa ensuite ses deux mains entre elles, manquant de pousser un « EUREKA », chose qu’elle ne fit pas –elle a un honneur à préserver, quand même >_>’-, et ajouta :

« Et LA, tes ailes de narines viennent de battre !! TU MENS !! Vas y accouche, je suis sûre que tu n’es pas venue promener ton chat ici. Et puis qui irait se promener dans les cachots ? »

PAF !! Grillée la petite Andgy… Mais même si Rowen avait clairement vu que sa camarade mentait, elle ne savait pas quel était le fond du mensonge. De toute manière, elle aurait quand même l’occasion de voir si celle-ci disait la vérité ou non. Elle en était sûre maintenant, une Andgy qui mens, c’était comme la pustule au beau milieu du visage translucide de Mimi Geignarde : ça se voyait.
La demoiselle acquiesça néanmoins lorsque la troisième année lui proposa de rentrer –le plus tôt serait le mieux, et puis, il n’y avait personne dans les couloirs-, puis commença à partir vers l’endroit d’où elle était venue…

« Et si tu ne te dépêches pas, je te laisse ici. »

Un petit clin d’œil, les mains passées derrière le dos –j’vous assure, c’est possible-, et la fillette se remis en marche.

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{ Désolée du post court et merdique D; }

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Hahaha ! Sacré Rowen ! Toujours apte à faire de l’humour, dans n’importe quelle situation ! C’était sans doute, pour ça qu’Andgy s’était accrochée à elle ! D’humeur à toute heure allègre, Rowen avait , en outre, la capacité de nouer des liens importants à partir d’une relation mal commencée, ce qui, aussi étrange soit-il, était aussi le cas d’Andgy . Tandis que la rouge et or se relevait lentement (le sol inhospitalier des cachots commençait à lui geler les fesses) Rowen, elle, d’un mouvement de la main, se rafraichissait d’une étrange manière . Elle essayait de transmettre, à partir de ce geste, un quelconque message à l’égard d’Andgy, qui, de nature idiote ( hoéé ><) ne comprenait, bien évidement, rien . Tant pis .. ! Elle n’avait qu’à utiliser, un langage visuel , suffisamment compréhensible pour le cerveau de la lionne ! Lâchant un léger soupir, à l’unisson avec sa collègue ( simple coïncidence ?) l’Américaine entendit, peu de temps après, Rowen se plaindre du fait que les préfets, Andgy inclus, s’étaient ameutés pour qu’elle passe en revue les cachots ! Heu … what ? Andgy n’avait jamais balancé cela ! Et puis, d’abord, patrouiller dans les cachots étaient privilèges, adressés uniquement aux préfets, raisonnablement capables de faire face à maintes et maintes dangers … pourquoi s’en plaindre alors ? (cherchez pas à la comprendre, Andgy est spéciale !)

L’air songeur, elle entreprit de farfouiller sa mémoire, pour savoir quand s’était déroulée la dernière réunion des préfets et quel thème avait été abordé durant cette dernière . Pas difficile, à trouver puisque cette réunion, lui avait paru un peu plus étrange que d’habitude . Au milieu de la conversation qui s’était orienté sur je ne sais quel sujet, Rowen s’était subitement retourné vers Andgy, et lui avait demandé si son ami imaginaire, s’appelait bien Trintrin le babouin ! Naturellement, la lionne avait tout d’abord froncé les sourcils en signe d’étonnement . Elle ne se souvenait pas qu’elle avait confié un tel secret à Rowen puis, sans avoir recours aux mensonges (inutile dans cette situation) , avait hoché de la tête !

Cependant, Andgy avait omni un détail ! Elle avait oublié, que son esprit s’était égaré ailleurs pendant un moment, ce qui signifiait donc que l’abracadrant comportement de Rowen pendant cet assemblage n’était que le fruit de son ample imagination ! Après que ses mémoires soient retournés dans l’endroit prévu à cet effet ( en l’occurrence dans sa cervelle ) la rouge et or poussa un petit cri, qui exprimait sa compréhension des choses :

l Andgy l : « Ahhh mais c’est un simple quiproquo ! J’avais pas compris ça … J’pensais que tu parlais de mon … heu … rien . »

Autant qu’elle le sache, il n’était pas nécessaire que Rowen soit au courant, pour de vrai cette fois-ci, de l’existence de son ami imaginaire ! Alors, qu’elle laissait sa bouche se transformait en un sourire, histoire d’étouffer son hésitation suspecte, sur la révélation ou non de Trintrin le babouin, Rowen fit la découverte, d’une bagatelle, qui laissa, Andgy, pantois ! Elle avait repéré l’élémentaire mais efficace camouflage de la lionne, lorsqu’elle bluffait ! Cela relevait de l’inimaginable puisque personne – oui, oui, j’ai bien dit personne – jusqu’à ce jour n’avait réussi à démasquer ce ‘ déguisement ‘ . Andgy mentait comme elle respirait, ce qui faisait d’elle une, très bonne menteuse, et qui se montrait très pratique . Pour Rowen, c’était une évidence, une simplicité mais pas pour les autres ! Prise au dépourvue, elle croisa les bras et jeta un regard accusateur à son amie, qui entourait ses épaules, à l’aide de ses mains .

l Andgy l : « Ca va, ca va … j’vais tout avouer, hein ! Bon … Luciole avait envie de se balader ici, donc je l’ai suivi et ensuite, ben … m’suis paumée ! » Commença-t-elle avant de poursuivre « J’avais pas envie de t’avouer que j’m’étais perdue donc j’t’ai menti … C’est bon ? C’te va comme explications ? »

Vraisemblablement, oui car à peine, avait-elle terminé de conclure ses éclaircissements que Rowen se hâta de quitter les lieux, en la menaçant de la laisser ici, si elle ne se dépêchait pas de la rejoindre . Grognant un peu, Andgy se consentit tout de même à la rattraper . Arrivée à sa hauteur, elle jugea, bon également d’entamer une nouvelle discussion .

« Sinon, dis . Pour le bal de Noël, t’as un cavalier ? »

Héhéhé ! Est-ce que Rowen avait un nouveau prétendant dans son cœur ? Vous le saurez, dans le prochain épisode !

(769 mots}

Andgy poussa de nouveau un cri, avant de se remettre à parler. Rowen avait longuement fréquenté la petite brune de troisième année, mais ne se souvenait pas avoir autant dut souffrir lors de leurs conversations. C’était vrai ça, elle était légèrement bizarre aujourd’hui ? Avait-elle ses règles ? Rougissant, à cette pensée, la lionne ferma les yeux, en venant à la conclusion que ce n’était pas ses affaires si le cycle mensuel était de retour. Mettant donc de côté ses envies de dire clairement à sa camarade qu’elle devait arrêter de crier à tout va, si elle ne voulait pas la retrouver complètement sourde, Rowen se dirigea vers l’une des sorties possibles et imaginable des cachots. Andgy se perdait dans ses explications, mais la quatrième année leva tout de même les bras ( NARTA !! #SBAFFF# ) un air satisfait sur le visage, lorsqu’elle avoua qu’elle avait mentit. Hé hé, en plein dans le mille ! Elle était trop forte, la Rowen, très sérieusement… Surtout qu’avec la mine légèrement choquée de la troisième année, il était logique de penser qu’elle était la toute première à découvrir les ailes du nez d’Andgy ( pas qu’elle les ait fixées longuement, mais bon ).

Eclatant donc de rire lorsque sa cadette essaya de lui dire qu’elle se promenait avec Luciole, et qu’elle s’était perdue, Rowen haussa les épaules, tout en disant, très calmement :

« Tu sais, tu n’avais qu’à le dire depuis le début. Je ne me serais même pas moquée. Ces cachots sont affreux, tous les recoins se ressemblent. Tiens d’ailleurs, cette bête d’armure avec de la moisissure sur le pied droit, y’avait la même, là bas. »

Elle pointa son index dans une des directions opposée, et un silence gênant s’installa. Ca se trouve, c’était cette même armure que Rowen avait vue. Identiques jusqu’à la moindre trace de moisissure, c’était carrément impossible.
S’approchant des parois sales pour en examiner l’aspect, la préfète en vint à cette conclusion, l’air peu sûre d’elle :

« A moins que ce ne soit la même armure, donc le même couloir, donc le même endroit je ne sais plus »

Regardant de droite à gauche d’un air paniqué, mais qui se voulait rassurant ( ça veut dire, les yeux fuyants mais le sourire Colgate ), la demoiselle s’avança tout de même, marchant droit devant elle. Quand on était perdu ( ou qu’on le croyait ) la meilleure méthode était de marcher tout droit, tout droit, tout droit. Et non pas poser sa main sur le mur – sale – pour trouver son chemin. C’était parfaitement débile, d’ailleurs. Comment poser sa main sur une épaisse couche de mousse verte allait vous donner le chemin de la sortie ? Il y avait des flèches qui apparaîtraient, en clignotant en rouge ? Peu probable. Sceptique, la gamine continua donc, jetant des coups d’œil furtif de temps en temps ( on ne sait jamais quelle horrible bête aurait pu surgir. Pire encore, un Serpentard ! ), écoutant Andgy d’une oreille distraite. Ah ! Elle parlait du bal !

Si Rowen avait un cavalier ? Hum… Pas qu’elle le sache, non. Haussant donc les épaules, la fillette, d’un air plus que désinvolte, se retourna vers la troisième année, marchant à reculons :

« Ben non, c’est dans un mois. Ce serait s’y prendre trop à l’avance pour inviter quelqu’un. Et puis, personne ne m’intéresse. »

L’image d’un Michael Corner souriant d’un air bête et lui déposant un baiser sur la joue revint au galop dans la petite tête de notre préfète. Gardant tout de même son air dégagé, en se retournant pour voir où elle posait les pieds, la gamine se souvint qu’elle devait aller au bal avec lui, suite à un stupide pari. En effet, lorsqu’ils s’étaient vu pendant les vacances, à la terrasse de Florian Fortarôme, le Serdaigle lui avait lancé le défi de se pointer avec lui au bal. Suite à quoi elle n’avait pas su refuser ( ne pensez pas qu’elle s’intéressait à lui… disons plutôt que son égo n’aurai pas supporté la fuite ). Chassant cette pensée de sa tête ( elle était encore en phase « non, je suis sûre que je ne l’aime pas » ), la petite brune demanda :

« Et toi, tu y vas avec quelqu’un ? Ou il y a quelqu’un avec qui tu aimerais y aller ? »

Et voilà, tel est pris qui croyait prendre. Avec sa popularité, son physique et son statut, Andgy devait sûrement en faire baver plus d’un. Elle était dans l’équipe de Quidditch, talentueuse joueuse, était jolie, et était préfète. De quoi avoir à ses pieds une flopée de fan. Elle n’aurait plus qu’à choisir, dans ce cas. D’autant plus qu’elle était bien plus mignonne que Rowen. M’enfin. C’était impossible qu’elle y aille seule !

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@@@ tous comptés