Alex raccompagne sa Dame

Nous arrivions donc Alexander et moi, dans les couloirs de l’école, il faisait un peu froid mais c’était supportable, nous étions quand même au printemps. J’étais toujours accrochée à son bras n’osant pas le lâcher de peur de défaillir en vérité. Il me proposa alors de me dire un poème, étant de nature très curieuse je n’ai pu refuser cela.

Oui, j’en serais ravie mon cher ami, lui dis-je en lui souriant.

Je posa alors ma joue contre son bras et laissa ma main glisser jusqu’à son poignet, j’avais besoin de chaleur, donc j’en profité. Et ainsi, je pourrais mieux l’écouter, me dis-je en cette instant, pour ne pas perdre ma contenance en pensant que j’avais besoin de lui et de sa présence, pour me rassurer.

[HJ < je poste sous Myrielle tout en pnjisant Alex]

Myrielle était dans l'ombre des couloirs, cachée par la nuit, silencieuse et sur ses gardes.

Elle avait suivit Shinku jusqu'à la salle sur demande et avait vu Aelita y rentrer à son tour, durant tout le temps où ils étaient à l'intérieur elle avait attendu, elle voulait savoir la nature de leur rapport pour pouvoir mieux accomplir sa mission.

A rester debout aussi longtemps elle commencait à avoir mal au dos, mais elle restait toujours aussi immobile malgré cette situation inconfortable. Au cas où ils la repererait elle avait revetue une tenue en lycra noire qui lui collait à la peau et elle avait entourée ses cheveux d'un foulard noir lui aussi car ils étaient trop reconnaissable et voyant. Elle trouvait qu'elle en faisait un peu trop pour une simple querelle mais c'était une demande de Malefoy... elle devait prouver à tous qu'elle valait mieux que ces gros bras sans cervelle de Crabble et Goyle.

Elle eu la nausée quand elle entendit Alexander Shinku réciter un poème d'amour, qui en plus devait être de lui.

Alexander : alors voici...
"Le soleil ce soir sur couche
Comme tout les jours
Et je vois sur ta bouche
Un frisson comme la fin d'un amour.

Permets moi encore cette familiarité,
Ô douceur mue par la vie,
Car passer la main dans tes cheveux dorés
Laisse dans mon âme une charmante mélodie.

Tes yeux si profondément bleus
Ont charmés un coeur malade,
Ton sourire a dû séduire même les dieux,
Et je deviens fou à faire avec toi cette ballade.

Je voudrais pouvoir te dire mon amour
Mais tu n'es pas prête à l'entendre ma jolie,
Ton soleil s'est éteint à la fin du jour,
Alors je me contente pour toi de la place d'ami."

Myrielle grimace dans son coin et comme ils s'éloignent, elle part en silence du côté inverse. Elle était maintenant sûre que Shinku faisait partis de ses proies...


[Partie]

J’écoutais avec attention Alexander, je trouvais que le poème était fort beau et me demanda si il était vraiment de lui.

Est-ce un poème de votre composition ?, lui demandais-je par curiosité, tout compte fait peu, importeil est très beau, merci de me l’avoir récité, lui dis-je en lui souriant.

Je n’avais pas fait réellement attention au poème, mais j’écoutais la douce et mélodieuse voix d’Alexander, qui me transportait. J’aurais aimé être dans la même maison que lui, pour lui demander de me parler, jusqu’à ce que je m’endorme. Sa voix était tellement apaisante qu’elle agissait sur moi, comme une potion calmante.

Alexander savoura le baiser sur la joue auquel il répondit par un baiser un peu plus appuyé qu'à l'habitude sur le dessus de la main de la jeunne fille. Puis lentement sa main glissa sur le sienne jusqu'à ce que le bout de ses doigts ne touche plus les siens.

- Ne vous en faites pas ma Dame, passer à nouveau une soirée avec vous serait un plaisir et je m'en fais à l'avance une joie.

Il la salua bien bas et s'éloigna, comme il était à Poufsouffle il ne devait aps entendre le mot de passe. Il s'arreta au bout du couloir et se retourna, elle était toujours là, il se demanda si elle allait regarder dans sa direction... Lui allait attendre qu'elle disparaisse tout à fait avant de retourner dans sa salle commune, dans son dortoir, et dormir du sommeil des justes après cette soirée des plus agréables.

[Dortoirs]

Je lui souris en réponse à la phrase qu’il me dit, puis je le regardai s’éloigner en caressant légèrement la main qu’il m’avait frôlée. Alexander était vraiment quelqu’un de doux, je me demandais si finalement, je n’allais pas succomber. Mais Drago revint aussi vite dans mes pensées et ses baisers si doux et si passionnés me revinrent en mémoire, mais pas seulement, je sentais également ses douces lèvres. Je soupirai à cette pensée, à chaque fois que j’étais proche d’un garçon, il me revenait en pensée et il était plus présent que jamais.

Je regardais toujours Alexander les yeux perdu dans le vague quand je le vis se retourner, il voulait s’en doute attendre que je sois en sécurité dans ma salle commune. Je donna alors le mot de passe et m’enfonça dans ma salle commune, je n’avais pas envie de rentrer et pourtant il le fallait.

[Salle Commune]