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| [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! | |
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Ξ Sujet: [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! Lun 24 Aoû - 19:57 | |
| https://www.dailymotion.com/relevance/search/cimetiere/video/x4hq81_eddy-mitchell-le-cimetire-des-lphan_music« Oh, le vieux au fond, ouais, toi là-bas avec la tignasse blanche, pousse toi voire que je passe, et tiens toi prêt, tu passes dès que Brian a fini de couper en morceaux la grosse Sandy », brailla un jeune au visage recouvert de boutons purulents, avec un fort accent du Yorkshire qui allait de paire avec une ravissante coupe de cheveux roux graisseuse et démodée. Plus loin, accoudé derrière une horrible colonnade poussiéreuse, un homme minuscule poussa un profond soupir qui agita ses bajoues flasques, avec l’air typique du gars complètement déconfit, pauvre bougre usé par le temps et abandonné de tous, arrangeant du bout de ses longs doigts gonflés une mèche de ladite tignasse blanche. Dès qu’il avait posé son regard perplexe sur la pauvre coiffeuse/metteuse en scène/répétiteur/serveuse misérable, et accessoirement stripteaseuse, celle-là qui allait s’occuper de son brushing, le nain fut aussi sûr de porter sur la tête un désastre capillaire que Fudge de se faire renvoyer après avoir martelé durant des mois « s’il y a un mage noir en liberté au dehors, je veux bien me faire poser des implants mammaires ». Si un jour un illuminé éméché et recouvert de suie, salopant au passage ses précieux tapis de velours déjà bien abimés par une customisation clandestine, lui avait balancé, les bras levés vers les cieux comme pour annoncer une prophétie divine, les yeux roulant dans leurs orbites : « Filius ! Maître des maîtres, vénérable et vénéré, tu finiras chanteur dans un cabaret moldu minable après que ton assistante t’ait viré ! », Le Filius en question aurait probablement répliqué avec un grand éclat de rire aussi hystérique que tonitruant, toussotant en virant au rouge pivoine, genre « je manque de m’étouffer avec une arrête de poisson et mon voisin vient de se prendre une pistache dans la narine ». Pourtant, partout autour de lui, dans cette ambiance surchargée et affreusement sucrée, ne régnait rien moins qu’un raffut incroyable, alors que Brian venait, sans aucun doute, de recoller les morceaux de la grosse Sandy, ovationné par un public déchaîné. Flitwick soupira à nouveau, alors que la vieille bonne femme adossée à une autre colonne, pile en face de lui, saucissonnée et boudinée dans une affreuse robe rose fluo à paillettes trois fois trop petite, qui laissait ressortir une affreuse bedaine adipeuse, portant une abominable coiffure fort voisine de l’amas de tentacules blondes, lui adressait un horrible sourire niais, un petit geste de la main tout aussi niais, sans parler du battement de cils carrément stupide. Le maître des sorts ferma hermétiquement ses yeux en étirant les traits de son visage en une horrible grimace, détournant aussi vite que possible son attention de la vieille gargouille rose bonbon pour la concentrer sur le grand rideau violet qui laissait rentrer à grand peine la grosse Sandy dans les loges, avec un infiniment distingué « j’crois que tu m’as pété mon furoncle sur la fesse droite avec tes couteaux à la noix ! ». Filius expira tout l’air que contenaient ses petits poumons, consultant l’heure sur sa grosse montre en plaqué argent, enfin, en métal rouillé : les aiguilles, aussi viles qu’avares d’humiliation, indiquaient minuit moins cinq, l’heure de pointe au cabaret « Chez Jeanine », coincé quelque part entre Trafalgar Square et un night club branché d’où émanait un perpétuel « boum boum » fort incommodant. 31 octobre, un deux mois qu’il essayait de tuer son désespoir en le noyant dans un cocktail détonnant d’alcool, de petits boulots comportant entres autres le récurage de toilettes crasseuses (maudits touristes français), la plonge à la cantine de la prison carcérale du coin, diverses occupations chez Jeanine, et des promenades solitaires dans les coins malfamés de Londres. 3 lettres salées, apportées par de gros hiboux, lui avaient annoncé le pourquoi du comment il devait se retirer du monde de la sorcellerie : la première, portant le sceau officiel de Poudlard, était rédigée dans un style tranché au couteau, et lui exposait comment de petits désagréments s’accumulant, comme le harcèlement de la directrice pour une « légère » augmentation, la multiplication des rapports disciplinaires de Rusard à son sujet (653 au dernier comptage) avaient entraîné son renvoi catégorique. On pouvait aussi noter, parmi les chefs d’inculpation, la levée illicite d’une armée personnelle s’adonnant au culte de la personnalité, constituée de divers groupuscules très dangereux, comme les Serdaigles, les dépressions et maladies inexplicables à répétition relevées chez les joueurs des équipes de Quidditch de Serpentard et Poufsouffle, ainsi que des cours dont le « niveau général » laissaient à désirer. Bon, « harcèlement » est un grand mot pour décrire les quelques coups frappés à deux heures du matin sur le grand heurtoir du bureau directorial, et puis les rapports de Rusard, comprenant entres autres une supposée tentative de putsch, avaient le raffinement et l’objectivité de leur propriétaire acariâtre et nauséabond. Et puis, tout de suite, qualifier une innocente association telle que la SOCF de totalitaire parce qu’il était possible que ses adhérents aient reçu des livres de chapelets dédiés à Filius… C’était tout simplement voir le mal partout, Slughorn, lui aussi, avait ses petits chouchous et se faisait offrir des ananas confits, et on ne le lui avait jamais reproché, alors comme Flitwick était plus friand de prière et de statue à son effigie que d’ananas confit… Et puis allez essayer de maintenir le niveau de vos cours génialissimes, en doute parcimonie et honnêteté, quand on vous refourguait une gourdasse farcie comme Bones ! Frémissant d'horreur alors que l’image de Bones callant son royal postérieur sur sa précieuse chaise rembourrée, triomphant triomphalement du succès indéniable de l’éviction de cette misérable crotte de gobelin, le nain fit un premier pas en avant, alors que le niveau sonore des conversations s’élevait exponentiellement dans la salle. La deuxième lettre l’informait, avec la petite écriture sémillante d’un de ces horribles médicomages-bouchers-charcutiers, que ses analyses pour la révision des 76 ans avaient révélé une maladie extrêmement rare, vive, et naturellement incurable, la réduxite, qui, selon les plus éminents spécialistes, ne lui accordait que quelques mois de souffrance infinie avant qu’il ne reste de lui qu’un dentier mal lavé. La scène était éclairée par une affreuse lumière tamisée rose bonbon, qui n’était pas sans rappeler la gargouille boudiné abandonnée quelques mètres plus loin, toute tendue d’étoffes noires accrochées un peu partout, ambiance « vieille tante célibataire revêche et tricoteuse », avec une pléthore de petites tables rondes garnies de spectateurs avides d’humiliation. Autre nouvelle réjouissante, amenée il y a 3 jours par un grand hibou duc qui avait manqué de décapiter Filius, une pseudo lettre de soutien de la part de Susan, son horrible assistante, qui derrière ses supposément désespérés « vous manquerez à Poudlard, surtout que maintenant, c’est moi qui récupère votre bureau, votre salle, votre salaire, vos objets personnels, … » résonnait comme une déclaration du genre « Tiens, tu l’avais pas vu venir celle-là, salopiaud de Flitwick », ponctué d’un petit rire diabolique. Le pire du pire était probablement le petit « PS : maintenant je suis sous directrice de Poudlard, et j’ai demandé à mon mari de détruire votre baguette, à cause de la réduxite, hein, il vaut mieux éviter les accidents trop vite arrivés ». « Et maintenant sur scène, votre révélation de la semaine, le déjà célèbre SBCT » (pour les initiés, Susan Bones la cloche tibétaine, pour les néophytes, super beau cavalier trentenaire, enfin, bon, avec les perspectives), brailla une voix enjouée, alors que Flitwick écartait d’un petit geste de sa main sillonnée de grosses veines le grand rideau violet. Saisissant un gros micro, en manquant de s’écraser lamentablement en se prenant les pieds dans le fil, le vieillard lissa son costume entièrement blanc, fit claquer sa botte gauche avec force contre la scène, et la musique retentit immédiatement, sur un air de blues terriblement lascif, douce mélodie qui sema le silence parmi l’assistance. « Y faut m’garder… Et m’emporter ! J’suis pas périssable, j’suis bon à consommer… Te presses pas, tu as tout l’temps… d’m’emmener au cimetière des éléphants ! J’suis dans l’safari partant… mourir au cimetière des éléphants ». 7h40. Le minuscule gobelin se retourna dans ses couvertures douillettes, fronçant les sourcils en grimaçant, en se demandant bien pourquoi il tenait ses bras à la verticale, une mélodie vague et langoureuse résonnant dans sa tête, avec la certitude farfelue d’avoir des bottes à hauts talons. L’habituel train-train se déroula à nouveau, inlassable machine infernale, entre le porridge discrètement volé à cette empotée de Chourave, qui, tout compte fait, s’était écrié avec un regard venimeux « C’est la dernière fois que vous touchez à mon porridge, Filius, et je m’en chargerai personnellement », en infâme Poufsouffle crasseuse qu’elle était, et les petits bruits de pas étouffés de Rusard, qui le talonnait sec, se jetant derrière une armure avec une classe infinie dès que Flitwick tournait la tête. Cette affreuse fripouille malodorante avait rédigé pas moins de 50 rapports dans lesquels il affirmait qu’il était, selon l’article 133, formellement interdit de rester plus de 30 minutes dans une salle désaffectée, salle qui n’était autre que son propre bureau. Il avait même croisé la pauvre Susan, inoffensive créature, enfin, un peu moins inoffensive depuis qu’il l’avait surpris assise à sa place, les pieds triomphalement posés sur le bureau, cirant ses ballerines éclatantes, coincée entre un placard et une statue affreusement laide, alors que Rusard procédait à un interrogatoire méticuleux et musclé qui comprenait la fameuse question 10, combien de fois Flitwick va-t-il aux toilettes par jour, ce à quoi Susan avait répondu un « Heu » peu engageant. « Cimetière des Eléphants, Poumpoumpidou-Pa », sifflotait Flitwick, en songeant, un peu soulagé, qu’heureusement, Bones n’avait pas répondu 16 fois, parce que Rusard aurait bien été capable de dénicher un article du règlement qui interdisait d’aller plus de 12 fois aux toilettes par jour. « Et bien alors, Ethele, mais c’est tout à fait raté comme sortilège d’allégresse, lança sur un ton sémillant le petit professeur, en plein milieu d’un cours de sortilèges dédié aux sorts de réjouissance. Regardez, on dirait que vous avez réussi à lancer un sortilège de cafard à votre camarade, pouffa Flitwick en montrant largement le camarade en question au bord de la crise d’angoisse, les larmes aux yeux, se recroquevillant à une vitesse sidérale. Pourtant, en vous observant de loin, je n’ai rien remarqué d’étrange, la diction, comme le geste souple, étaient là, même s’il manquait d’un peu de fantaisie dans le tout, fit le maître des sorts, examinant du coin de l’œil Ethele qui semblait invoquer la vengeance des dieux anciens contre Flitwick et, comme par magie, le nain décela rapidement la source du problème. Est-il si difficile de se concentrer sur, mettons, un ravissant sourire éclatant ? Un pas bondissant, un grand éclat de rire, des yeux pétillants d’hilarité, un visage débordant de joie de vivre et de confiance en soi ? Une simple bonne blague, du genre celle du cracmol qui cherche des noises au gobelin ? Vous savez, la bonne humeur est communicative, même en magie, et c’est là le plus important : regardez, je vous montre, s’enjoua Filius en dégainant d’un grand geste sa baguette. Eudaïmon », s’écria-t-il en agitant joyeusement sa baguette sous le nez du dénommé Korrigane, qui s’apprêtait à fondre en larmes, faisant fleurir un sourire ultra éclatant sur ce visage déprimé, alors qu’un air de totale réprobation s’affichait ouvertement sur la physionomie d’Ethele. Les habituels tracas de la salle des professeurs suivirent ceux de la salle de sortilèges, Macgonagall se plaignant encore et toujours de ses élèves incapables de métamorphoser un raton-laveur enragé mais prompt à transformer leurs voisins en fil dentaire, Chourave empestant la salle avec son maudit engrais 100% bouse de dragon, ramenant avec elle une ravissante, heu ? Et bien, effectivement, à part le mot « chose », rien ne semblait décrire… la chose, à défaut de dénomination plus appropriée, que ramena Chourave, chose bourrée de tentacules, pinces, missiles à têtes chercheuse, griffes, et feuilles étrangleuses, soit dit en passant, qu’elle déposa délicatement prêt de la pile « Les Défis de l’Enchantement », avec un sourire appuyé en direction de Flitwick. Saloperie de chose, ouais ! Préférant adopter une stratégie aussi diplomatique que possible, le minuscule professeur quitta aussi vite que lui permirent les dizaines de tentacules « malencontreusement » agrippées à la robe professorale, qui aurait pu servir de magnifique casse croute à la chose, enfin, d’amuse gueule, mais visiblement pas de plat de résistance, vu que les tentacules déçues reportèrent leur attention sur un Slughorn bien plus consistant… D’une démarche guillerette, le maître des sorts se dirigea vers la volière, avec un tas d'étranges coupons colorés, qui ressemblaient de loin à des portraits de personnalités de Poudlard, d’objets étranges, et de phrases incompréhensibles, d’après ce que pouvait en juger les pas feutrés qui suivaient en silence Flitwick, et qui l’abandonnèrent quelque part au milieu du département des enchantements, sans que Filius ne remarque rien. La tâche accomplie, la gigantesque cloche de l’école annonça 7 heures pétantes, le festin commençait déjà, inutile de dire qu’il était largement à la bourre, le directeur adjoint qui demandait traditionnellement le silence avec un regard « le premier qui parle est en retenue jusqu’à la fin de ses jours », frappant un délicat et puissant coup de cuillère en or massif sur le cristal de sa coupe qui ne tardait guère à se remplir d’hydromel. Mais bon, retard pour retard, ce serait avec vingt minutes de retard, sous les regards étonnés des élèves, avec un maquillage rapide genre « je reviens d’une course poursuite comprenant au moins 3 trolls des montagnes et loup-garou, avec une égratignure », le regard glacé de Macgonagall qui ajouterait immédiatement un « Mais où diable vous étiez-vous fourré, vous avez 21 minutes, 32 secondes et une fraction de retard, c’est inadmissible », et le regard goguenard de l’affreuse Chourave, en bonne Poufsouffle. Trottinant jusqu’à la salle commune des Serdaigles, le petit professeur s’affaira aussitôt à effectuer un peu de rangement, parce que question rangement, les Serdaigles préféraient autant laisser une demie tonne de livres ouverts et éparpillés, genre « on ne sait jamais, ça peut toujours servir », que de refermer les précieux pavés. Un coup de baguette pour égayer l’atmosphère, et des vols de chauve-souris à grandes canines surgirent de nulle part, accompagnés d’affreuses citrouilles aux airs maléfiques, le noir le plus complet accompagnant l’apparition d’un rire démentiel et glacé. Dans un dernier coup de baguette, les fauteuils se mirent en cercle, les lanternes effrayantes s’accrochèrent aux murs, et Flitwick s’effondra sur le sol après un long cri suraigu, un filet de sang s’écoulant de sa bouche, l’air horrifié conservé sur le visage du cadavre. |
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Ξ Sujet: Re: [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! Mar 25 Aoû - 23:44 | |
| C'était la nuit , il faisait sombre et noir , et la plupart des élèves dormaient , ou étaient censé le faire , et pendant ce temps , il pouvait se passer des choses , d'horribles choses , sinon pourquoi appellerai t'on minuit « l'heure du crime » ? Mais oui qu'est ce que l'heure du crime sans crime , surtout un soir d'Halloween ? Ben ouais , ça serait tout sauf marrant , même si un meurtre n'est jamais drôle . Johan dormait donc paisiblement , lorsqu'un bruit se fit entendre dans le dortoir , ou plutôt hors du dortoir , un peu comme si quelqu'un dehors avait jeté des pierres contre la fenêtre du dortoir des garçons de sixième année . Mais ce n'était pas ça , il s'agissait simplement d'un hibou , qui frappait contre la vitre avec son bec pour qu'on le laisse entrer puisque les fenêtres du dortoir étaient bien fermées et qu'il était incapable de les ouvrir lui-même .
C'est encore à moitié dans les vapes que Jo' émergea de sous les couvertures pour aller ouvrir la fenêtre au hibou , plus par obligation que par réelle envie , parce qu'il ne tenait pas à entendre ce boucan infernal toute la nuit . L'animal pénétra à la hâte dans la pièce , laissant tomber des morceaux de parchemins à terre . L'aigle les ramassa et y jeta un coup , intrigué qu'un hibou vienne distribuer du courrier à une heure aussi tardive . C'était inhabituel . Le Serdaigle commença à lire , c'était écrit à l'encre rouge : »ne pas jeter » et c'était également souligné plusieurs fois , comme il le pensait , ça devait être quelque chose d'important . L'aigle reconnu d'ailleurs l'écriture de la personne qui avait envoyé la lettre , celle là même qui accordait des optimals à Johan lorsqu'il rendait ses devoirs de sortilèges et enchantements , l'écriture de son directeur de maison .
Johan jeta un coup d'oeil aux autres morceaux de parchemin et ne compris pas , il y avait écrit le nom d'une personne , ainsi que d'autres choses plus ou moins étrange et a cette heure avancée de la nuit , le Serdaigle préféra aller se recoucher , il était bien trop fatigué pour réfléchir , et puis il pourrait toujours aller voir le professeur Flitwick le lendemain matin . Quelque temps après , Johan ne savait pas combien de temps exactement , n'ayant pas de montre a portée de main , le Serdaigle se réveilla à la hâte , il venait de faire un horrible cauchemar . Il se trouvait dans la foret interdite et se faisait attaquer par une horde de loup-garou qui se précipitaient sur lui . Ensuite , il avait entendu ce cri , qui n'était pas vraiment le sien , et s'était réveillé , en nage .
Le bleu & bronze se leva , cette fois ci , il n'avait plus du tout envie de dormir , ça non . Il serait bien allé dans le dortoir des filles , mais ça n'était pas possible malheureusement , alors il s'empara des morceaux de parchemins écrit à la hâte qu'il avait laissé sur sa table de chevet et les relut . Il ne comprit pas . Flitwick aurait il perdu la tête ? Le bleu & bronze s'habilla , il enfila un jean noir et un tee-shirt bleu puis décida à la salle commune . Il avait besoin de savoir ce qui se passe , et s'il n'obtenait pas la réponse à sa question il pourrait toujours aller faire un tour pour se changer les idées . Mais depuis quand Flitwick agissait aussi bizarrement , il devait s'être passé quelque chose , mais quoi ? C'est ce que se demandait Jo' alors qu'il descendait les marches menant à la salle commune des aigles .
Tout avait l'air en ordre en bas , même trop peut être , la pièce était décorée pour Halloween , et voir des silhouettes sombres -ce qui semblait être des chauves souris- accrochées au plafond , c'était à vous flanquer la frousse ça . Le pire , Johan le vit quand il s'approcha , et qu'il vit sous ses yeux horrifiés , le professeur Flitwick , immobile , du sang coulant le long de sa bouche . Une chose était sûre , il était bel et bien mort , et pas de mort naturelle , sinon pourquoi aurait-il envoyé ces étranges courriers juste avant ? C'était peut être même la dernière chose qu'il avait faite avant de mourir , alors oui , c'était important , et le bleu & bronze était bien content d'avoir conservé les morceaux de parchemin , qu'il avait glissés dans la poche de son jean , maintenant , il ne restait plus qu'à découvrir ce qu'ils signifiait . Meitantei Johan est arrivé les amis !
[Bon encore plein d'autres choses à dire mais pas le temps et d'autres personnes attendent que je poste pour poster alors je posterais la suite demain ^^ To be continued ... x)] |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! Mer 26 Aoû - 0:15 | |
| Halloween... Mais à quoi ça sert Halloween, toute ces … décorations futiles! Les fêtes comme celle là, ce n'est vraiment pas mon truc, genre tout le monde est content et s'amuse... En plus dans une ambiance familiale! Même pas l'occasion de faire des rencontres rapprochées... Enfin. Je préférai rapidement finir de diner pour aller me jeter au lit après toute cette mascarade qui m'avait littéralement épuisé. Je fixai des yeux la porte de la grande salle. Je me relevai, faisant quelques signes à d'autres Serdaigles pour le faire comprendre que j'allai dormir. Dans tout ce bruit de toute façon y a que les signes qui servent à quelque chose. Je bousculai quelques premières années bien trop joyeux à mon goût, ce qui m'insupporter, et voir toute ces citrouilles c'est d'un ridicule hors du commun! J'allai ouvrir la porte quand je fus stoppé net par l'arrivée de mon hiboux. Il déposa une petite lettre joliment écrite, tout droit venu de la main du Professeur Flitwick. Je l'ouvre... ou je l'ouvre pas? Bonne question... En tout cas, je vais me coucher, une fois dans mon lit, je verrai. Je montai vers la tour de serdaigle, faisant quelques détours histoire de bien marcher... Les couloirs étaient exactement pareil! Même les tableaux semblaient décorés pour l'occasion! C'est horrible, horripilant, insupportable, invivable... AU DODO! Je montai quatre par quatre les marches des escaliers, tête baissée, encore une fois je renversai un première année. Tout ça ne me ressemblait pas du tout, j'étais nerveux! Trop excité ce soir. J'allai dans la Salle de Bain, je restai sous la douche pendant de très longues minutes laissant l'eau couler sur moi, formant de petits ruisseaux qui allaient s'écraser sur le sol de la douche. J'avais du passer une longue demi heure sous la douche sans m'en rendre compte. Je fis ma toilette, recoiffai ma mèche et partit me coucher, et pour une fois, à cet heure-ci les dortoirs étaient vides, même si dans une bonne heure ce serait l'extinction des feux. Je me laisser aller à penser aux nouvelles rencontres que j'avais pu faire... aux sélections dont je n'avais toujours eu aucune réponse, à ma cousine que je n'ai encore même pas croisé, à ma bonne entente avec les gens de ma maison... Je m'endormis tranquillement.
Il devait sûrement faire très noir dehors, les lumières étaient éteintes et j'entendis les ronflements de certaines personnes, mais alors pourquoi étais je réveillai? Je me frottai le front, vérifiant par la même occasion si j'étais fiévreux, mais non rien de tout ça. Je me rappelai douloureusement de la soirée de la veille qui n'avait pas vraiment était positive pour moi. Il devait être minuit ou plus. Je scrutai la pièce de mes yeux d'attrapeur et l'aperçus, se levant et marchant. Alors c'est lui! C'est ce sal** de Johan qui m'a réveillé! Je jure qu'il me paiera ça demain matin! Je tentai de me rendormir quand ce … fit encore plus de bruit, je levai la tête et le vis ouvrir la fenêtre et prendre une lettre... qui me rappeler étrangement quelque chose... Mais oui c'est bien ça! La lettre d'hier soir! Celle que j'avais eu avant de sortir de la Grande Salle. Un grand bruit se fis entendre venant de la Salle Commune, je fis semblant de dormir tandis que Johan traversait la pièce pour rejoindre le bruit. Une fois qu'il fut bien partit, je sortis ma baguette et d'un "Lumos" éclaira ma table de nuit. Elle était là où je l'avais laissé hier, la lettre. Je la pris et l'ouvrit discrètement. Il y étais écrit le nom d'une personne, deux moyens de meurtre et un motif. J'étais complètement affolé! Je me levais furibond en direction de la Salle Commune!
Là, sous mes yeux, le spectacle était désolant. Cette salle commune habituellement si désordonnée était bien trop rangée pour paraître normale et au milieu était allongé sur le sol, un filet de sang jaillissant de sa bouche, ce bon vieux Professeur Flitwick. En une seconde tout mes moments passés avec lui passèrent dans mon esprit. Je m'approchai de lui, ignorant la présence de Johan, et posai une main dans son cou pour vérifier son pouls, il était mort! Je levai les yeux aux ciels et m'aperçus que le plafond était recouvert de chauve-souris et je n'avais même pas la force de les faire partir. Une larme s'écoula sur ma joue... puis une deuxième et enfin j'osai me tourner vers Johan. D'une voix tremblante, je m'efforçai de lui poser la première question qui me vint à l'esprit:
- Que s'est il passé?
Un bruit surgit alors des dortoirs. |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! Mer 26 Aoû - 22:50 | |
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Les ténèbres avaient pris possession des lieux depuis maintenant une heure, le couvre-feu était quant à lui passé depuis environs une bonne demi-heure. Le silence régnait sur la tour de Serdaigle par cette horrible nuit noir. Horrible bah oui quoi !! Pourquoi j’emplois ce mot ?? Hum vous allez vite comprendre, enfin vous verrez quoi. Comme je le disais le calme trônait en maître sur les dortoirs, enfin pas vraiment dans les dortoirs des cinquièmes années –côté fille je précise – des bruits assez horrible se faisaient entendre. Et pour cause de quoi Madyson ne dormait pas, encore une de ses camarades de chambre qui ronfle la nuit, pas très agréable quand on a une envie folle de dormir et de passer une bonne nuit. Se retournant une nouvelle fois dans son lit, Mady laissa s’échapper son unième soupir de la soirée. Se relevant légèrement et sans faire de bruit, la blonde attrapa Sigmund qui reposait sur sa table de chevet, se recouvrant de la couverture en laine jusqu’à sa tête, la cinquième année rapprocha la douce peluche près de son visage.
La petite aigle ferma les yeux pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’un nouveau ronflement envahisse la chambre des filles de cinquième année. Se dégageant de sa couette, Madyson fronça des sourcils, ouvrant le petit tiroir de sa table de chevet, la jeune adolescente contempla les quelques peluches en forme de pingouins présentes au fond du meuble de bois. Pendant un instant la demoiselle hésita mais au final elle haussa les épaules, attrapant l’une des peluches à pleine main, la jeune Saintclerc balança le pingouin en direction de celle qui émettait les ronflements. Et buuuuuuuuut …. En plein dans le visage de la bleue et bronze, 10 points pour Serdaigle !! *paf* Ah euh comment ça on est pas sur un terrain de quidditch. Oups désolée … Ca a quand même des avantages de jouer au quidditch. Bref passons …
Se glissant à nouveau sous sa couette, la blondinette s’endormit en à peine quelques minutes. Mais alors que Madyson se tenait dans les bras de Morphée, trois tintements bien distincts réveillèrent à nouveau la petite aigle. Hum … la nuit allait être courte ça c’était une chose dont Mady était quasiment sûre. Attrapant une nouvelle peluche au fond du tiroir, la jeune adolescente lança un nouveau projectile en direction de sa camarade de chambre, mais alors que le pingouin volait encore le bruit s’estompa mais celui-ci reprit quelques secondes après l’atterrissage du petit pingouin. Ne cherchant plus, la jeune Saintclerc attrapa son oreiller et le cala sur sa tête qui servait de barrière entre le visage de la bleue et son matelas. Soupirant bruyamment, la jeune bronze se releva et de là elle dégagea son oreiller de son visage, arpentant d’un léger regard les alentours, le regard de Madyson se stoppa sur la vitre. Un hibou à cette heure-là ?? Ce n’était pas un abusé quand même ?? Je signale qu’il y en a qui essaye de dormir d’abord …
Bon d’accord, tout avait été prévue pour que Mady ne dorme pas, se levant la blonde se faufila entre les différents lits, mais BAM …. La jeune adolescente se mangea la malle de l’une des autres élèves. Ravalant un juron, la Serdaigle donna un coup de pied à la boîte en bois, mauvaise nuit quand tu nous tiens. Arrivant enfin à la fenêtre, la petite aigle ouvrit le petit loquet et de là le hibou entra dans la chambre à coup d’ailes, se posant, Madyson décrocha la lettre attachée à la patte de l’oiseau, et de là elle le laissa s’envoler. Tiens bizarre, le nom de la bleue et bronze figurait en rouge sur le dos de la lettre. Sans chercher la cinquième année l’ouvrit. C’était une blague ou quoi ?? Sans vraiment comprendre à quoi avait servie la lettre, Mady la glissa dans sa poche avant sans quitter Sigmund des bras.
Alors que la demoiselle retournait vers son lit, un cri aigu s’éleva au dehors des dortoirs. C’était quoi ça encore ?? Une blague des premières années ?? Au fond ça n’étonnerait pas vraiment la blonde. Attrapant sa robe de sorcier, Madyson l’enfila rapidement et attrapa sa baguette qu’elle glissa dans l’une de ses poches, et pour précisez oui la Serdaigle a bien garder Sigmund avec elle. Détalant les escaliers sur la pointe des pieds, Mady loupa une marche. « Fichue marche … » On avait sûrement du l’entendre, bon maintenant qu’elle était grillée autant se montrer, se dégageant de l’ombre des escaliers la jeune Saintclerc se montra enfin. Tiens qu’est-ce que Johan et euh Wade fichait ici ?? « Qu’est-ce que …. » Levant le regard la bleue et bronze porta son attention sur les … euh oui … chauve-souris. « Ah non pas ça !! » Eurk Mady tombait mal, elle qui détestait les chauve-souris elle était arriver au mauvais moment. Reculant d’un pas la blonde heurta la marche de l’escalier et se retrouva assise sur celle-ci. Dans le genre maladroite, il n’y avait pas pire que Madyson …
Dernière édition par Madyson Saintclerc le Mer 26 Aoû - 23:09, édité 1 fois |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! Mer 26 Aoû - 23:03 | |
| Johan resta quelques secondes , comme figé , à regarder le cadavre du petit professeur . Il n'en croyait pas ses yeux . Flitwick était ... mort ? Bon c'est pas comme s'il était encore tout jeune et qu'il avait encore toute sa vie devant lui mais là c'était inattendu , et le bleu & bronze avait un peu de mal à le croire . Le pire dans tout ça , c'était encore qu'il le savait , il n'était pas mort comme ça sans s'en rendre compte , il s'attendait à ce qu'on le tue , et ils connaissait l'identité du meurtrier . Ça devait faire bizarre de savoir qu'on allait mourir , que quelqu'un allait nous tuer , comme ça , pour un motif quelconque , et visiblement malgré qu'il le sache , son directeur de maison n'avait rien pu faire d'autre que de donner des indices à ses élèves pour que la vérité éclate au grand jour . Il n'avait pu empêcher l'inévitable , on ne peut pas aller à l'encontre de son destin et changer ce qui est écrit . Il faut croire que personne ne le pouvait , pas même ce cher Flitwick .
Le Serdaigle ne s'approcha pas du cadavre , il n'y tenait vraiment pas , et puis c'était juste évident que le professeur n'avait pas été stupéfixé . Jo' essaya quand même un « Enervatum » au cas où , mais rien ne se passa . Il alla s'asseoir sur l'un des fauteuils installés en cercle en soupirant . A cet instant , l'aigle pensait que la situation ne pouvait pas être pire , il avait tord . Quelques secondes , après , ce crétin de Wade pénétrait dans la salle commune et ... se précipitait sur le corps . Vous en connaissez beaucoup vous , des gens qui voyent un cadavre et qui se précipitent pour le toucher ? En tout cas faisait de Wade un des principaux suspect . Johan ne fit aucun commentaire lorsqu'il se mit à pleurer , mais leva les yeux au ciel -enfin plafond et reposa son regard à contrecoeur sur Wade en voyant les chauves souris- lorsque ce dernier lui demanda d'un voix tremblante ce qu'il s'était passé .
« Quelqu'un l'a tué » dit Johan . Ça pouvait sembler évident mais c'était à Wade qu'il parlait alors valait mieux le préciser , on ne sait jamais =p «et si je savais qui c'est je resterai pas assis là » termina t'il . L'aigle ne jugea pas utile de lui dire qu'il le suspectait , pour le moment en tout cas , parce que si c'était vraiment lui valait mieux pas qu'il se méfie et qu'il se sauve , ça serait assez génant , surtout que Jo' n'avait aucune preuve ni rien , et puis d'un autre coté il pensait aussi que Wade était trop bête pour tuer quelqu'un , et même si son comportement était suspect il n'était pas le suspect principal c'était certain .
D'ailleurs les principaux suspects étaient tout d'abord les proches du défunt , c'est à dire dans le cas qui nous intéresse les professeurs ainsi que les autres membres de l'administration de Poudlard -concierge etc ..- , à part sa soeur Sydney bien entendu , on pouvait tout de suite la retirer de la liste des suspects c'est évident , et aussi l'autre personne qui était inscrite sur le parchemin -mais je vous dirait pas qui c'est Mwahahaha xD- étant donné que Jo' venait de comprendre en quoi consistait ces morceaux de parchemins qu'on lui avait apporté par chouette durant la nuit . Il était évident -maintenant qu'il avait compris c'était évident oui- que le professeur ne s'était pas contenté d'écrire le nom du coupable , comment il le tuerai et pourquoi , c'aurait été trop simple , indigne de la maison Serdaigle , un peu comme si on remplaçait l'énigme de la salle commune des aigles par un simple mot de passe qui serait à la portée de tous du jour au lendemain .
Ça serait horrible n'est-ce pas ? Eh bien revenons donc à notre liste des suspects . Il y avait donc aussi en plus des professeurs et des membres du personnels , les dernières personnes à avoir été en contact avec la victime -mais ça , allez savoir qui elles étaient =3 Johan n'avait pas passé sa journée à filer ce cher Professeur , il l'aimait bien mais quand même xD- ainsi que toutes les personnes qui viendraient sur les lieux du crime , Wade inclus . Enfin pour le moment , il n'y avait pas beaucoup d'éléments permettant de dire ce qui s'était passé . Flitwick n'ayant visiblement pas de trace de luttes ou de blessures corporel et comme il n'y avait pas l'arme du crime sur les lieux -en même temps faudrait être bête pour la laisser mais bon xD- on pouvait supposer une mort par empoisonnement -et dans ce cas il pouvait s'agir de n'importe qui , Slughorn en tête mais bon , n'importe qui à Poudlard était en mesure de lui subtiliser une fiole contenant un poison très puissant- ou une mort magique par Avadakedravrisation et les suspects étaient nombreux -des adultes principalement pour cette hypothèse .
Et puis bien sur il fallait un mobile pour tuer Flitwick , et tout le monde n'avait pas des raisons pour le détester , quand même pas , et la personne à qui sa mort profiterait le plus était sans doute son assistante , Susan Bones . C'est vrai qu'elle avait l'air sympathique , comme ça , mais elle n'avait pas l'air très douée , et la mort du professeur était une occasion inespéré pour elle de récupérer son poste de professeur de sortilèges . Cela faisait donc de Susan Bones le suspect n°1 , qui a dit que les Poufsouffle étaient gentils et innocent ? La preuve que non , quoique non en fait justement il n'y avait aucune preuve xD Il faudra attendre la suite des événements pour savoir si oui ou non cette chère Susan est notre coupable . D'ailleurs , la suite des événements ne tarda pas à arriver sous la forme de « Euh Mady j'crois que tu devrais pas venir par ici ...» ^^'' Pas qu'il voulait pas qu'elle vienne mais bon avec le cadavre du prof c'était pas très conseillé xD |
| | | | Invité
Ξ Sujet: Re: [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! Mer 26 Aoû - 23:36 | |
| . . . . .Mais qu'est ce qu'il fait cet abruti ! Jeter un sort sur un cadavre faut être malade. J'avais une envie folle de lui exploser la tête voir juste de l'assommer mais quand une jeune fille, Madyson si j'ai bien compris vu le regard qu'elle posait sur le guignol qui me tenais compagnie, trébuchait. Ah les filles! Il lui conseillait d'ailleurs de s'écarter après de mûre réflexion. Je sortais hâtivement ma baguette pour nettoyer le Professeur, je ne pense pas qu'il aurait voulu mourir comme ça, j'essuyai les quelques larmes qui avait coulé sur mes joues et me retourner furieux vers Johan.
Apparemment tu es aussi inutile que tu en as l'air
Je levais les yeux aux ciel. Je savais bien que ce bouffon avait des indices ce qui ne me faciliterait pas la tache. Surtout si tout les serdaigles en avaient! Je repensai au nom inscrit sur ma fiche et me mit à penser que son entourage y était pour quelques choses. Il y avait tellement de gens qui aurait pu être inculpés dans cette affaire, il m'était impossible de juger par quels stupides moyens il put mourir. Je commençai à me demander si toute ces choses étaient vraiment utiles sans véritable indice. Je savais que ce n'était pas une personne deux méthodes et un mobile. En même temps je me doutai que ce n'était pas ça mais quand on s'est pas on se pose tout genre de question idiote. Mais en faites je m'égare. Le coupable n'était sûrement rien d'autre que ce Johan? Je ne pouvais en avoir le cœur net et ce bon vieux Flitwick ne voudrait sûrement pas que l'on réagisse avec si peu de réflexions. Peut être que la nuit porterait conseil et je ferai mieux de filer! Non, je passerai pour un défilé devant ces deux aigles de pacotilles surtout que d'autres n'allaient sûrement pas tarder! Je devais réfléchir... Qui cela pourrait bien être hors cette personne...
Sûrement plein de professeur en avait contre Flitwick pour sa popularité, ou même des élèves ou même des gens pour son poste à Poudlard, ou même peut être des mobiles secrets et familiaux... Comment était il mort? Une étourderie? Une attaque minutieusement préparée à l'avance? Tout ça était bien compliqué et il m'est impossible d'en juger. Je regardai le plafond attentivement en voyant toute ces chauves-souris qui avait foutu la frousse à la fille. Je sortais ma baguette la pointai vers la fenêtre pour l'ouvrir d'un léger "Aperto" et puis je visai les chauves souris et les enchainait avec des "Lashlabask" et finit la dernière par un jolie "Waddiwasi" qui l'expulsa dehors et sous la vitesse fit fermer la fenêtre. Nous en voilà débarrassés. Je scrutai encore la salle voir si je n'avais rien oublié... A plusieurs coup de baguette je réussi à allumer toute les lumières pour que l'ambiance ne parut pas plus effrayante qu'elle ne l'était déjà. J'allai m'écroulai sur un fauteuil à l'opposé de celui de Johan tout en le fixant voir s'il n'avait rien de suspect sur lui. Je ressortis mon bout de papier pour le regarder encore et bien vérifier les possibilités qui s'éloignait de moi. J'attendais maintenant un signe... un indice, que bien sûr je prendrai avant ce Johan pour avoir un avantage! . . . . . |
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Ξ Sujet: Re: [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! Jeu 27 Aoû - 0:01 | |
| [Ne relit demain, là dodo] "Bon sang de bon soir. Tu vas me lâcher oui? Y va pas tarder à revenir."Grogna Ethele en dégageant son pied de derrière une armure. Elle venait de s'y faufiler à la va vite en entendant un des enseignants -très surement Mordeus, il trainait toujours la nuit- s'approcher dangereusement d'elle. Elle tira un coup sec, l'armure vacilla, menaçant de s'écrouler dans un grand fracas mais par chance il n'en fut rien. La demoiselle reprit sa marche silencieuse dans les couloirs revenant dont ne sait où pour faire on ne sait quoi. Bah oui après tout je suis suspecte moi aussi et j'vais pas trop vous aider non plus . Elle se dirigeait à pas feutré vers le dortoir des Serdaigles, les oreilles en éveilles, à la recherche du moindre bruit suspect. D'ailleurs pas facile d'être discret avec une chaussure qui grince "couic couic couic" qu'elle fait la chaussure. Pas facil de se concentrer sur les bruits alentours non plus quand on fait "couic couic couic". Bruit agaçant, entêtant, qui donne l'impression d'être le seul au monde. Elle bifurqua "couic couic couic" pour se retrouver face au tableau d'entrée. Bien sur le portrait dormait du sommeil du juste... au moins le son changeait un peu comme ça, ce n'était plus "couic couic couic" mais plutôt "zzz zzz zzz". C'est avec toute la classe du cambrioleur professionnel s'adressant à son complice qu'Ethele lança un:"Hééé, psss."des plus raffinés au portrait histoire qu'il ouvre un œil. Échec total de l'opération... Ethele donna donc quelques coups dans le tableau...marmonna ensuite quelque chose comme "j't'en foutrai moi des Serdaigles..." pour finir par secouer violemment le cadre en regardant par dessus son épaule. Enfin la voix bien connue de tous les petits Serdichou s'éleva dans l'air.[i]
"Hé ho ça va hein, on peut plus dormir tranquille?" "Bah non, faut croire. Balance ta question qu'on retourne au lit... Je suis pressée là, j'ai un truc à faire." "Et si je sonnais plutôt l'alarme? Après tout tu es dehors à une heure plus que tardive..." "Hohoho, et tu fais quoi de la..."
[i]Bruit de pas, cape qui bruisse. Mauvais, très mauvais comme bruit. La panique peut se lire sur les traits de la jeune fille qui se presse dans ses paroles."de la... de la loyauté des Serdaigles envers les autres Serdaigles.""Tu confonds avec les Poufsouffles."Haha trop drôle."Bon... Je suis le milieu de la pègre?""Le G"Pivotation (sisi) du tableau, la demoiselle s'engouffre dans l'interstice au dernier moment. Quelques "couic couic couic" plus tard la demoiselle faisait son apparition dans la salle commune. C'est alors que...
BON DIEU MAIS VOUS AVEZ VU CETTE ENORME MOUCHE! MAIS SI JUSTE LA!!! A GAUCHE!!!
Haha bande de couillons ma subtil diversion à parfaitement marché. Du coup vous avez rien vu du tout de ce qui venait de se passer! Par merlin quel superbe narrateur je fais, je devrais travailler au FBI tien... Bref. Retrouvons Ethele planquée derrière un fauteuil de la salle commune. Et bien décidée à ne pas en bouger. A en juger par le cri que le directeur venait de pousser il ne s'était pas passé quelque chose de chouette dans cette pièce. D'ailleurs des pas se faisaient déjà entendre dans les escaliers et il ne fallait pas être sorcier pour deviner ce qu'ils allaient penser s'ils la trouvaient là... Elle se blottit un peu plus dans son coin de mur. "couic" Ha, non chut toi! C'est pas le moment de couiner! Là faut que je me la joue discrétos ok? Des voix, d'autres pas, des exclamations. Aux dire de ses camarades Flitwick était mort. Ethele porta un main à sa bouche. "Non non non, il peut pas être mort, ça peut pas être aussi grave...", essayant de retenir un sanglot elle se mit à fixer le mur. Incapable d'accepter la situation actuelle. [color=green]"Non non non... Je, j'étais pourtant sure de..."[:color]. Nouveau éclats de voix. Ethele retient sa respiration pour se calmer. Mais tout ce qu'elle réussit à faire c'est à relâcher tout l'air d'un une plainte sinistre...
Bravo la discrétion. |
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Ξ Sujet: Re: [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! Jeu 27 Aoû - 10:15 | |
| Il détestait les banquets d'Halloween. La joie qui se lisait clairement sur le visage de ses camarades de table le rendaient nerveux : Halloween était une fête qui avait pour but de faire peur, pourtant, les enfants devaient aller chercher des bonbons, ou les enfants faisaient la fête. C'était d'une logique... Admettez que certains mort-vivants se baladent réellement dans les rues ou dans les couloirs du château [nous ne parlons pas ici des fantômes habituels qui ratissent l'école : mais des zombies], et que vous en croisez un sans vraiment vous en rendre compte ? Hein ~ Et que seulement après, vous recevez une lettre d'information annonçant qu'un monstre dévoreur d'âme se trimballe dans l'école... Avec la description complète de la chose en question. Votre visage changerait instantanément de couleur, et vous aurez beau chercher dans votre misérable esprit où est aller la chose, vous ne saurez plus : parce que vous l'aurez pris pour un professeur ou un élève déguisé. Au même moment où il avait pensé à la lettre, son hibou fonça droit vers lui pour lui envoyer une lettre en pleine face. L'aigle pesta contre l'hibou [qui n'avait d'ailleurs, toujours pas de nom...] avant de regarder qui était l'expéditeur de la lettre. oO C'était le professeur Flitwick... Depuis quand le professeur envoyait des lettres individuels aux élèves ? Pour encourager pour les examens ? Pas possible, l'aigle n'était quand quatrième année, il avait ses buses l'année prochaine, et il doutait que le professeur envoie ses encouragements à l'avance. Alors c'était quoi le sujet de la lettre ? Enry resta silencieux, lorsqu'il sentit plusieurs regards se posaient sur lui, le regard des petits curieux. Sans un mot, il rangea la lettre dans sa robe de sorcier. Après avoir rapidement terminer le succulent repas, il emprunta les escaliers jusqu'à la salle commune de serdaigle, il avait horreur de monter tous ses escaliers... Pourquoi Poudlard ne construisait pas d'immenses ascenseurs ? Comme chez les moldus. Sauf que les ascenseurs seraient tout simplement magique... Ce serait tellement plus facile pour ses petits jambes [quoique, l'aigle n'est pas si petit que ça. c'était juste qu'il n'était pas sportif]...
Très vite, après une bonne douche chaude, il se retrouva dans son lit. Il avait complètement oublié de regarder le contenu de l'enveloppe. De toute manière, il saurait bien assez tôt son contenu, il farfouillait toujours dans ses poches sans s'en rendre compte. L'aigle finirait bien par frôler l'enveloppe et se souvenir instantanément qu'il aurait dû la regarder la veille. Son sommeil était profond, et il n'entendit pas les cris du professeur dans la salle commune. Par contre, alors que l'un des élèves allaient voir ce qui se passait en bas, il tira légèrement sur la couverture du jeune Stanley qui grogna dans son rêve. Ses paupières papillotèrent, puis il ouvrit les yeux. Il faisait encore nuit, comme cela se faisait que certains se lever déjà à cette heure ? L'aigle se redressa lentement, prenant tout son temps, puis enfila sa robe de sorcier. C'est à cet instant, il sentit quelque chose dans sa poche. Il en sortit l'enveloppe, attrapa sa baguette pour jeter le sortilège Lumos pour y voir plus clair. Puis décacheter l'enveloppe pour découvrir le contenu...
C'était quoi ces conneries... ?
Une carte personnage... Deux cartes armes du crime et deux cartes mobiles du crime... ? Il avait un problème de vu, ou quelqu'un venait de lui lancer un sortilège d'illusion... Après avoir bien regarder les cartes, il les fourra de nouveau dans sa robe de sorcier puis descendit rapidement pour voir ce qui se passait. Et le spectacle fut plus qu'affreux. Le professeur était allongé raide mort sur le sol, du sang coulant de sa bouche. C'est pas possible... Tout devait être calme, comment un tel meurtre aurait pu être causé ? Pourtant... Pourtant, le professeur Flitwick n'avait rien fait de mal, l'aigle en était persuadé. Le seul qui ne l'appréciait pas du tout, à la limite, c'était Rusard... Mais ce dernier était loin d'être un meurtrier, peut être un tortionnaire, mais pas un tueur...
Enry s'approcha du spectacle, mais ne put que rester à quelques mètres. Il détourna finalement les yeux, lorsqu'il entendit des bruits derrière un fauteuil... Il s'en approcha et...
" Ethele ? Pourquoi tu te caches... ? " |
| | | | Emma Carter
Parchemins : 1871 Âge : 30 ans {02/05/1987} Actuellement : Médicomage Points : 0
Ξ Sujet: Re: [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! Jeu 27 Aoû - 12:32 | |
| Emma était dans son dortoir, se préparant à aller se coucher. Ces temps-ci, le château commençait à prendre des allures de manoir hanté et c'était loin d'être rassurant. Citrouilles géantes dans la Grande Salle, armures qui chantent des chansons lugubres, Peeves qui balance de la bouse de dragon sur les premières années innocents ... Ah non, le dernier n'était pas un évènement spécial Halloween. Le matin même, alors qu'elle se rendait paisiblement à la Grande Salle pour prendre son petit-déjeuner sans rien demander à personne, la fillette s'était faite attaquée par un vol de chauve-souris en plein milieu des escaliers. Inutile de dire qu'elle était arrivée en bas sur le derrière, et que ça n'avait pas participé à la mettre de bonne humeur. Ce fut donc avec joie qu'elle rentra dans le dortoir des filles, mit son pyjama et se laissa tomber dans son lit suite au grand banquet. Ce soir toutes ces idioties d'Halloween allaient prendre fin, c'était la dernière soirée de cauchemar, dernier matin où elle se prenait d'horribles chauve-souris en pleine face à peine sortie du lit, dernier après-midi où elle glissait sur un morceau de citrouille qu'un imbécile avait jetée par terre. Lorsqu'elle se glissa sous ses couvertures, un léger sourire s'installa sur ses lèvres, demain plus d'Halloween, ne restera plus que Noël !
Au milieu de la nuit, la Bleu et Bronze se réveilla brusquement, sans comprendre pourquoi. Elle n'avait pas fait de cauchemar, n'avait pas faim ... Les yeux ouverts dans le noir, elle resta aux aguets, mais le dortoir était silencieux. A part ... A part ce bruit de grattement là, c'était quoi ? Se levant doucement, Emma regarda autour d'elle et aperçut une petite chouette occupée à taper consciencieusement contre le carreau de la fenêtre. Qu'est-ce que ce volatil faisait là ? Et pourquoi lui jetait-il des regards meurtriers ? Non c'était sûrement une hallucination, elle allait fermer les yeux, se rendormir, et la bestiole aurait disparu, comme par magie. Sauf que lorsqu'elle ferma les yeux et les rouvrit, le piaf était toujours là, l'air toujours aussi énervé. Pestant et grognant, Emma parvint à s'extraire de son lit, alluma sa lampe de chevet et s'approcha de la fenêtre, dont son lit était le plus proche. Avec appréhension -bah oui manquerait plus qu'elle se fasse crever un oeil par un piaf qui a la rage- elle ouvrit la fenêtre, permettant au hibou de pénétrer dans le dortoir. Emma ne put empêcher un certain agacement de l'emparer, c'était quoi ça, une blague pour Halloween ? Parce qu'elle ne trouvait ça absolument pas drôle. Elle dormait tranquillement, toutes ces histoires devaient prendre fin, fin ! Tandis qu'elle maudissait tout Poudlard intérieurement, elle avait complètement oublié le piaf, qui en avait profité pour s'attaquer joyeusement à sa main avant de balancer quelque chose sur le lit de la fillette et de se barrer l'air de dire "Non mais je refuse de travailler encore une fois de telles conditions, c'est inadmissible ! Faut faire grève". Jetant un coup d'oeil à sa main endolorie, Emma poussa un soupir et retourna près de son lit, sans prendre la peine de fermer cette foutue fenêtre. Elle comptait balancer le papier sur sa table de chevet et le regarder le lendemain, lorsque les mots "A ne pas jeter !" soulignés trois fois attirèrent son attention. C'était l'écriture du professeur Flitwick, elle l'aurait jurée. Elle s'aperçut alors que le volatil avait aussi laissé trois bouts de parchemin. La jeune Serdaigle prit les papiers dans ses mains, les contempla quelques instants puis poussa un soupir d'énervement et balança tous les papiers sur sa table de chevet avant d'éteindre la lampe. Marre d'Halloween, marre des énigmes, marre des piafs. Elle se laissa tomber sur son oreiller, décidée à se rendormir.
Mais elle ne pouvait s'empêcher de penser que son professeur de Sortilèges ne lui aurait jamais envoyé cette missive sans raison. Tournant et se retournant dans son lit, Emma ne parvenait pas à s'endormir. Finalement, alors qu'elle sentait enfin le sommeil s'emparer d'elle, un cri suraigu se fit entendre provenant d'en bas, et la fillette sursauta, rouvrant les yeux aussitôt. C'était quoi ça ? Encore une animation spécial Halloween ? Ce cri était vraiment terrifiant, et visiblement la personne qui l'avait poussé était terrifiée. Elle attrapa sa baguette, mettant les bouts de parchemin dans sa poche au passage, et se releva, angoissée. C'était sûrement une autre blague, rien qu'une blague. Mais le cri ... Elle prit son courage à deux mains, s'avança vers la porte du dortoir ... Et glissa sur un morceau de citrouille. Nom d'un hippogriffe ! C'était décidé, Halloween était définitivement la fête qu'elle détestait le plus. Massant son coude endolori, elle se remit debout en s'époussetant, remarquant au passage que le hibou avait laissé de grandes marques rouges sur sa main. A tous les coups il avait la rage, c'était sur. Sortant enfin de son dortoir, elle descendit les escaliers qui menaient aux différents dortoirs des filles, et s'aperçut qu'il y avait quelqu'un assis sur la dernière marche.
- Qu'est-ce qui se passe ? ne put s'empêcher de demander Emma à la fille de Serdaigle qu'elle avait déjà rencontrée auparavant.
Elle ne comprenait absolument rien à ce qui se passait, que faisait cette fille assise là ? Qui avait poussé ce cri ? Et nom de nom, que se passait-il enfin ?! |
| | | | Elyna Artanis
Parchemins : 949 Âge : 25 ans [10 mai] Actuellement : Adulte Points : 0
Ξ Sujet: Re: [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! Ven 28 Aoû - 13:36 | |
| La fête d’halloween était une des soirées que préférée la jeune fille, en effet, les élèves avaient le droit de se déguiser, et ils pouvaient manger autant de bonbons qu’ils voulaient. Que demander de plus ? Les élèves pouvaient rester plus longtemps dehors, le couvre feu avait été repoussé pour le plus grand plaisir de Rusard, le concierge de l’école. Quoi qu’il en soit, tout le monde s’amusaient, entre bonbons, musique et autres activités créés pour l’occasion…
La jeune fille finit par convaincre ses amies d’aller se coucher, et avec la tonne de sucrerie que les filles avaient absorbée, elles s’endormirent très rapidement. Quoi qu’il en soit, ce soir, la nuit semblaient douce, la fenêtre était encore un peu entrouverte, et un courant d’air tira la jeune fille de son sommeil. Elyna se leva et referma l’ouverture avant de retourner ce coucher, c’est alors qu’une drôle de sensation empêcha la fillette de se rendormir. C’était étrange à décrire, mais quoi qu’il en soit, elle n’arrivait pas à replonger dans les bras de Morphée.
C’est alors qu’un cri fit sursauter la jeune fille, se levant à toute vitesse, elle enfila sa robe de chambre et découvrit qu’un oiseau tapait sur la vitre fermée quelques heures plus tôt. La chouette semblait un peu énervée d’avoir attendu comme ça sur le bord de la fenêtre, et lorsqu’Ely lui ouvrit enfin, elle entra dans la pièce en poussant quelques cris. Avec un bout de pain posé sur sa table de chevet, la serdaigle attira l’animal et découvrit qu’elle avait une lettre à son nom accrochée à sa patte. En l’ouvrant, elle vit écrit en grand : A ne pas jeter. Au moins, c’était clair, et la fillette lu ce qui était écrit dessus… Dans un premier temps, elle ne comprenant pas vraiment ce qu’il se passait, mais comme un autre cri fut poussé, elle se rappela la première raison de son réveil soudain.
Elyna descendit donc deux à deux les marches qui séparaient le dortoir du salon commun aux bleu et argent. Lorsqu’elle arriva enfin, elle vit Madyson juste devant elle, et en regardant par-dessus son épaule, elle vit le corps sans vie du professeur Flitwick. Sans voix, elle se laissa tomber en arrière, de manière à être assise sur les marches, puis elle demanda à Mady :
« Qu’est ce qui s’est passé ici ? Qui a fait ça ? »
La jeune fille vit un peu plus loin son cousin, et elle dépassa la jeune fille pour aller dans ses bras. Un peu perturbé, elle se demander bien qui avait pu faire une chose aussi horrible au petit professeur.
« Wade ! Tu as vu qui a fait ça ? » |
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Ξ Sujet: Re: [EVENEMENT] Le Cluédo de Serdaigle =D ! | |
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