Quand les grands esprits se rencontrent... (PV)

« I’m Walking On Sunshine, OUAOU »

Non non, Bergamote et Trelawney ne se sont pas lancés dans une chorale, c’est simplement Solstice qui, au grand damne des passants, s’était mise à pousser la chansonnette. Non sans quelques gestes mimant la présence d’un micro dans ses mains et un froncement de sourcils convainquant. Elle marchait à vive allure souhaitant rejoindre au plus vite les toilettes pour se laver les mains après avoir détruit une toile d’araignée en trébuchant. Déjà culpabilisée par un tel outrage en vers la nature si belle pour qui elle vouait un culte sans limite. Par chance, elle avait réussi à sauver l’araignée en la remettant sur sa toile réparée avec un sortilège qu’un sorcier sur cent mille connaissait car son effet se destinait exclusivement à la réparation de toiles d’araignées. Le contre sort était évidemment connu du grand public…

La jeune fille, malgré le fait d’avoir réparé son erreur, se sentait toujours affreusement coupable d’avoir fait vivre à une araignée un tel traumatisme, ce pourquoi elle chantait, aussi horrible que cela puisse être, pour éviter de sombrer dans la tristesse. Bien sûr, les passants, pauvres élèves qui ne méritaient pas non plus un tel traumatisme, se bouchait les oreilles pour les moins doués, ou lançait un sort de silence pour les plus avantagés. Bien sûr, elle fermait les yeux pour éviter de visualiser son humiliation évidente, à tel point qu’elle trébucha contre une chaise mal placée, ce qui offrit un moment de répit aux oreilles des entendants, et une fois relevée, elle repartit dans sa petite trotte musicale, perdue dans l’enthousiasme de sa course, elle loupa l’entrée des toilettes des dames pour finalement s’arrêtait devant celle des hommes. Elle entrait donc dans la pièce, à première vue, sans que personne n’y soient. Elle se posa devant la glace pour se laver les mains, toujours souriante et fredonnant les lèvres closes et c’est tant mieux, même si le son qui émanait resté toujours strident et désagréable. Une fois les mains lavées, elle trouva par malheur une savonnette sur le rebord du lavabo, ce petit accessoire devint alors son nouveau micro et elle se remit à chanter à tutette en courant à travers les toilettes. Jusqu’à… la chute ! Une bonne glissade dans les règles qui la fit se retrouver sur les fesses. Le savon rougeâtre lui échappa et glissa tout le long de ses vêtements laissant derrière lui une jolie traînée rouge qui la rendrait encore plus ridicule…

« Et merde alors ! »

Elle se mit alors à se dévêtir, bah oui pour lancer le sort de nettoyage fallait bien retirer ses vêtements, se retrouvant ainsi en sous-vêtements, seule dans les toilettes. Elle étala les vêtements sur le sol lui permettant ainsi de bien analyser la tâche, et sortit sa baguette lorsqu’elle entendit la porte s’ouvrir. En faites ça ne la paniqua plus que ça, après tout elle se croyait dans les toilettes dames…

Des toilettes, vite, par pitié, avant qu'il ne se mette à se soulager n'importe quoi ! En faite, pour comprendre la situation, il fallait faire un petit résumé des événements. Disons qu'Axel n'a jamais été une personne très responsable et tout ça, et donc, les bêtises, c'est toujours lui qui les prépare. Tout ça pour dire qu'il avait, une nouvelle fois, fait une bien belle bourde, et ce n'était rien de le dire. Calmement, simplement et tout ça, il avait introduit deux bière moldus à Poudlard. C'était mal oui, et il en avait pleinement conscience mais bon, on les lui avait envoyé par la poste, il n'y pouvait rien quand même ! Ce n'était pas non plus comme si c'était lui qui les avait acheté non ? Oui bon, ce n'était pas pour autant l'excuse du siècle et de cela, il en avait parfaitement conscience, bien sûr. Enfin bref, il s'était donc tranquillement installé dans la salle sur demande, oui, tout seul, parce que deux bières, c'est déjà pas beaucoup, mais si en plus, il faut partager, c'est l'hécatombe ! Bon, il n'était pas totalement seul non plus, ses amis lui avaient chacun écrit un petit mot en plus des bières. Et donc, il avait quand même de la lecture, pour l'occuper. Il s'était posé tranquille, vraiment tranquille, avait installé un canapé, près d'un feu. Une pièce pas franchement grande mais tellement suffisant. Bien assis, et même à la limite du couché, il s'était mis à lire, se déshydratant de temps à autre bien sûr, histoire de ne pas mourir de soif.

Mais alors que sa lecture se poursuivait et se terminait, même, et bien il se rendait compte qu'il avait négligé un tout petit détail, dans tout ça. Et bien oui, le défaut de la bière, c'était le problème qu'il engendrait sur la vessie. La bière, ça donne envie d'aller aux toilettes et non, il n'y avait pas songé en faisant la pièce. Il laissa là les bouteilles, gardant les capsules sur lui bien sûr, histoire de garder un souvenir de sa toute minuscule aventure en solitaire. Enfin bref, maintenant que sa vessie était limite en train d'hurler à la mort pour qu'on n'ait pas la soudaine idée de l'oublier, le jeune garçon n'avait pas la moindre chance de rester encore quelques minutes tranquille. S'il ne se levait pas de suite et ne se précipitait pas un peu, et bien ça serait cuit, il n'aurait certes, plus trop besoin de bouger, mais il serait même conseillé qu'il reste là, tant la honte serait grande. Enfin bref, il s'était donc levé à très grand regret du canapé, se promettant de revenir tout de suite après, et il sortit de la salle sur demande, tentant de n'oublier absolument aucun détail pour quand il reviendrait, parce que de toute manière, il n'avait pas plus prévu de rester dans les toilettes pendant trois siècles hein !

Il se précipita donc hors de la pièce, courant dans les couloirs pour aller plus vite, priant même pour arriver avant que l'accident fatal ne se produise. Il arriva bien sûr à destination, mais lorsqu'il ouvrit la porte du paradis pour y déposer le précieux colis ( pas si précieux que ça, mais ça rendait plus joli que l'histoire de la vidange ), son regard se posa sur la scène qui avait lieu. Il aurait bien fait une remarque, mais son envie était bien trop forte, alors il fila tout d'abord se soulager ( dans un toilette à porte, il n'allait pas se mettre devant un urinoir avec une dame derrière ! ) et quand il eut terminé, il sortit et là, il questionna.  « Ca sent pas assez bon dans les toilettes des filles ? Ce n'est pas une pièce de lessive ici tu sais. Tu te prends pour qui là ? »

Elle se décida finalement à jeter le sort de nettoyage / séchage / repassage / je me tourne les pouces et je regarde / vive les desperate housewives libérées et laissa son linge étendu sur le sol pendant quelques temps histoire d’être bien sûr qu’il soit sec et éviter que des problèmes surviennent lorsqu’elle le porterait. Elle se tourna de nouveau vers la glace, tenta sans grande conviction de se brosser les cheveux avant de poser la main sur le lavabo. À ce moment là, sa main rencontra une substance visqueuse et collante plus couramment appelé chewing-gum et souleva sa main de suite. Bien sûr elle fut atrocement surprise de voir que des « dames » pouvaient laisser un lieu public dans un tel état. Elle jeta un regard vers la droite… des tags sur les murs et des taches un peu partout, les restes de farces et attrapes écrasés sur le sol… Avant de se retourner pour apercevoir les urinoirs elle comprit qu’elle était dans les toilettes des garçons. Cela se confirma lorsque la personne entrée toute à l’heure sortit des toilettes sans tirer la chasse et se posa devant elle alors qu’elle était dénudée.

La nudité n’avait jamais vraiment dérangé la jeune fille seulement d’être mise nue dans un tel endroit… On aurait dit des toilettes de plage moldus, visiblement les elfes de maisons avaient désertés cette partie du château. Avant de répondre à ses question aussi ironique et désobligeante qu’elles étaient, elle ramassa ses vêtements qui périssaient sur un sol poussiéreux et crasseux. Elle ne put s’empêcher de réitérer le sort et finit par répondre au garçon la voix un peu bégayant encore affligée par le manque de propreté de la pièce.

« Il serait difficile de faire pire côté odeur que dans ce … lieux ou plutôt cuvette de troll. Tu pourrais peut-être commencer par tirer la chasse et te laver les mains, le genre de chose qui ne doivent pas t’arriver souvent. »

Bon okay là elle était carrément devenu agressive et ce pauvre jeune homme arrivé au mauvais en droit au mauvais moment… Où plutôt c’était elle qui était au mauvais endroit… En l’occurrence tout était de la faute de ce type, c’était lui le bouc émissaire qui n’avait qu’à laver la pièce avant d’uriner.

« Exactement ! Une pièce de lessive, on y jette ses vêtements, on vous les rend encore plus sales si ce n’est tagués ou déchirés. »

Okay, le sens de la répartie de la jeune fille n’était pas très aiguisé, mais tout le monde n’avait pas pris le temps d’aller pisser pour réfléchir à ce qu’il allait dire … Et puis on va pas la juger la pauvre…

« Et je ne me prend pour personne… à part quelqu’un qui voudrait fuir d’ici au plus vite… »

Elle renifla alors légèrement et d’un air offusqué lâcha :

« Et va tirer cette chasse, on dirait que t’as pas pissé depuis 10 jours tellement ça pue ! »

Elle enfila de nouveaux ses vêtements sans plus rien ajouter.

Pire côté odeur... Elle était bien drôle elle tiens. Elle se pointait, dans les toilettes des gars et elle se mettait à critiquer dans tous les sens. C'était réellement le genre de comportement qui pouvait taper sur les nerfs d'Axel mais à un point que l'on ne pouvait tout simplement même pas deviner. Ce genre de fille, il avait réellement envie de leurs mettre une bonne claque dans les dents. Après, oui, il était aussi un de ces genres assez extrêmes, mais il ne pouvait pas s'en empêcher, il avait toujours été comme ça. Assez énervant, assez prise de tête, et parfois, il n'avait qu'une envie, et c'était de l'envoyer paître. Surtout elle, bordel, cette pauvre fille méritait vraiment qu'on lui remette les idées au claire. Elle n'avait rien à foutre là, alors elle n'avait vraiment rien pour critiquer. Pis en plus, elle était moche, donc elle aurait mieux fait de fermer sa bouche. Et déjà, il avait tiré la chasse d'eau. Il n'était pas un garçon crade et même que là, il était en train de se laver les mains. Ses yeux lançaient des éclairs, et il avait de plus en plus envie de lui mettre un coup ou de la faire dégager d'ici.  « Que l'on soit bien d'accord sur un point, je ne suis pas ton pote, on se connait pas, tu me parles meilleur, sinon, tu vas te prendre ma main dans la gueule ok ? Ensuite, si tu n'es pas contente, on ne t'a certainement pas demandé d'entrer ici, alors t'as qu'à dégager et faire tes délires de gonzesse plus loin. »

Elle continua à lui lancer des piques de plus en plus pathétique et l'envie de la cogner fut de plus en plus forte. Il ne savait pas qui elle était et en faite, il s'en foutait. S'il y avait bien une chose de sûr, c'était qu'il n'était pas le genre de garçon qu'il fallait faire chier et en plus de ça, il se moquait qu'elle soit une fille ou un garçon, si elle était énervante et chiante, il n'aurait certainement pas peur de la frapper. A aucun moment non, jamais. Axel était un peu comme Vincent sur bons nombre de point tout comme il pouvait facilement se montrer pire que lui. Il ne fallait pas le saouler, ni le chercher et encore moins le pousser à bout parce qu'il était capable de partir au quart de tour et de baffer quelqu'un sans la moindre difficulté. Alors oui, il ne fallait vraiment pas le chercher, or, c'était ce que cette fille semblait si facilement réussir à faire.

D'un seul coup, elle le poussa vraiment à bout, il l'attrapa par le bras, et la poussa contre un mur. La jaugeant et grognant doucement, il eut vraiment envie de lui mettre une claque mais au final, il donna un coup de point sur le mur juste à côté de sa tête.  « Ecoute moi bien, si tu ne te calmes pas tout de suite, je te jure que je vais te frapper comme t'as jamais connu ça. Tu ne me connais pas et je te préviens, tu ne sais vraiment pas de quoi est-ce que je peux bine être capable. Alors sois gentil, ressaisis toi ou je vais réellement te tuer. »

Il pouvait faire peur par moment, et il pouvait facilement passer pour quelqu'un de dingue. C'était peut être pour ça qu'il s'était mis à côtoyer Louis ? Mais de ce côté là, c'était une toute autre histoire et en plus de ça, il ne pouvait tout simplement pas parler à quelqu'un d'autre. Oui, voilà.  « Maintenant, casse toi. »

La jeune fille était peut-être allée un peu trop loin ah bon ?, après mures réflexions… il avait peut-être, effectivement déjà tiré la chasse… et l’odeur était présente depuis… bah toujours. Il se lavait effectivement les mains sans s’être fait prié par la demoiselle et il avait l’air plutôt propre sur lui… Elle avait effectivement… beaucoup trop ouvert sa bouche et elle le regrettait déjà amèrement… Dès la première phrase du jeune homme et surtout dès son regard qui laissait penser qu’il allait la tuer *Pff… qui oserait taper une fille ? lui*. Le truc c’est lorsqu’il commença à exprimer à haute voix ce qu’il souhaitait lui faire la jeune fille commençait à s’inquiéter. Effectivement il n’était pas son pote soit mon ami s’il te plaaaaait ! et il avait maintenant de fortes raisons de lui demander de s’adresser mieux à lui. Son regard se ternissait de plus en plus et au même rythme le visage de la jeune fille se décomposait lorsqu’elle comprit qu’il allait vraiment la frapper… Bon allez ferme les yeux et prie…

Elle sentit la main propre <3 x) du jeune homme compresser son bras et ce qu’elle sentit le plus fut l’impact avec le mur, par bonheur elle ne s’était rien cassé mais un joli bleu devrait se former sur sa joue après un tel choc, ainsi que sur son épaule. L’espace d’un instant elle ouvrit ses paupières qui réveillèrent une douleur importante, elle n’allait quand même pas pleurer ou hurler devant lui, puis elle le vit retirer son poing pour la frapper… 1... 2...

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARG ! » Comment ça elle était faible parce qu’elle avait crié juste en entendant le poing frapper le mur et rien qu’en imaginer se le prendre sur la tête… C’était psychologique n’importe qui aurait réagi à sa place devant ça… Il était définitivement malade et elle complètement terrorisée, les larmes coulaient d’elles même sur sa joue et sa tête était définitivement décomposée. Son souffle s’étant coupé, elle reprit sa respiration difficilement lorsqu’il retira la main de son bras. Elle n’était vraiment pas prête pour se genre de choc physique… Mais elle revint vite sur terre en entendant ses propos. Elle se laissa glisser sur le mur… soit il était complètement malade et voulait vraiment la tuer, soit c’était juste un gros connard !

Penchant plutôt pour la seconde proposition, émettant donc qu’il ne la tuera, elle du réfléchir à différentes stratégies… Accroupie sur le carrelage crasseux elle du réfléchir vite… 1ère solution : se mettre à poil et l’attaquer sur ce point… Impossible, il n’avait pas l’air de l’avoir maté ni de la trouver attirante… Seconde Solution : Le coup de la pleurnicheuse ( qui avait déjà fait ses preuves ) … Mais là il l’avait frappé ( Nicolas n’aurait même pas oser la critiquer ) donc c’était à oublier… 3ème solution… SELF-DEFENSEEEE !

La main partit toute seule et émascula le jeune homme avec une précision parfaite et la puissance nécessaire pour l’immobiliser pendant plusieurs round… Un coup dans les couilles, y a rien de plus efficace… Elle prit en suite la fuite à quatre pattes sur le carrelage…

Un Axel vraiment en colère, c'était le genre de chose qui n'arrivait plus aussi souvent que ça depuis un moment. Tant mieux, puisque d'une certaine manière, on ne pouvait pas vraiment dire qu'il était le garçon le plus délicat qui soit quand il était en colère. D'ailleurs, pour tout dire, il était tout à fait capable de faire un peu trop de mal aux gens lorsqu'il n'était pas content. Violent, vulgaire et prise de tête, il était totalement dingue quoi, quand il s'y mettait. Ce n'était pas de sa faute non plus, il ne fallait pas non plus s'imaginer qu'il avait pour habitude de se mettre en colère volontairement et tout ça. Bien sûr que non, puisque déjà, il lui en fallait vraiment beaucoup pour être vraiment en colère. Les petites colères qu'il avait eu depuis qu'il était à Poudlard n'était rien, mais alors vraiment rien, à côté de celle qui le touchait, là, tout de suite. Parce que oui, là, maintenant, tout de suite, il avait atteint un seuil de colère qu'il n'avait jamais atteint. Cette fille avait réussi là où bon nombre de personnes n'y étaient pas arrivés. Vincent Fayr lui même n'y était pas arrivé et pourtant tout le château était capable de savoir que ce n'était pas facile, que ce n'était facile pour personne, vraiment personne.

Et pour être tout à fait honnête, l'envie de la tuer lui avait traversé l'esprit. C'était mal oui, et de cela, il en était parfaitement conscient, et c'était bien ça le problème, un vraiment très gros problème. C'était ça le soucis, le très gros soucis. Enfin bref, tout ça pour dire que s'il ne s'était pas ressaisit un peu plus tôt et bien oui, il lui aurait vraiment fait beaucoup de mal. C'était ça le soucis... Enfin bon, tout ça pour dire que les choses pouvaient aller mal. Très mal. Et qu'il était en train de péter un plomb, c'était pour ça qu'il pensait de la sorte. Enfin bref, il ne l'avait pas tué, et c'était ça qui comptait le plus. C'était ça, le plus important et il ne devait pas penser au reste. Cela ne comptait pas, pas du tout même.

«  Que je sois bien clair. L'envie de te tuer est là, elle est toujours là, et je pourrais très bien le faire à tout moment. Je n'ai pas peur des conséquences. Je suis peut être ton pire cauchemar et pour cette raison, une chose est sûr, ne me cherche pas. »

Au moins, comme ça, elle était fixée, et c'était bel et bien ça qui devait être certain. Ca et rien d'autre. C'était ça le plus important et il était important qu'elle en soit tout aussi consciente que lui. C'était ça qui devait être le plus important, ça et rien que ça. Et que l'on soit bien d'accord, ses larmes ne servaient strictement à rien, ce n'était certainement pas ça qui allait se mettre à lui faire croire qu'il allait trop loin ou un truc comme ça. Oui, il allait trop loin, et ça, par contre, il le savait parfaitement, mais pour le reste, les choses étaient un peu plus compliqué bien sûr. C'était une toute autre histoire quoi.

Par contre, le coup suivant lui assurait un avantage certain. Posant ses mains sur ses parties en tentant vainement de calmer la douleur ( ahah ) et il tomba à genoux, tentant vainement de retrouver son souffle. Après une telle attaque en tout cas, s'il y avait bien une chose qui était certaine, c'était bien le fait que s'il la chopait là, maintenant, il allait certainement la tuer, l'étriper, la massacrer et tout ça. Mais il était un peu trop perturbé pour ça. Là tout de suite, il avait un peu trop mal. Mais il ne perdait pas une miette de sa colère. Et que l'on soit bien d'accord, s'il ne la chopait pas, là, maintenant, il aurait tout le reste de l'année scolaire...