Bienvenue chez moi, Nina [PV]

« Nina & Estelle, les Imparfaites »

CRÉDIT - FICHE

La maison se trouve quelques peu éloigné du centre de Godric’s hollow. C’était une maison centenaire en pierre avec de joli pommier mature en façade. Il y en avait trois au total. Une vieille dame s’occupait des fleurs qu’ils avaient en façade pendant que sa petite fille s’impatientait dans le salon. La Canadienne tournait en rond devant le foyer du salon. Estelle ne tenait pas en place. Elle avait hâte, très même. Nina, sa meilleure amie allait venir passé quelques jours, au total 3 jours et 2 nuits. (Elle ne pouvait pas resté plus longtemps car son frère et sa sœur venait le quatrième jour et il n’avait pas assez de lit pour tout monde. Bref, se n’est pas cette année que Nina allait rencontrer Thomas et Azélie. Estelle ne savait pas par quel moyen magique ou non magique que Nina utiliserait pour venir chez elle. En gros, le plus sur était de resté près de la cheminé car elle était connecté aux réseaux des cheminés du monde de la magie. Par contre dans sa dernière lettre, elle avait spécifiée le nom de l’endroit : Le havre DesRêves

Le salon avait un aspect vieillot. Le bois des fauteuils étaient en bois massif rien à voir avec les meubles de contre plaqué. Il était marqué par le temps et aux enfants qui y étaient passée. Le reste de la maison avait un aspect champêtre usé par le temps. Il y avait plusieurs photos accroché aux murs à des endroits stratégiques. Certaine bougeait d’autre non. Il y avait de nombreuse plantes et sur un fauteuil, dans le coin droit près de la fenêtre, des broches tricotaient toute seule. Le tricot semblait être un foulard mais pour l’heure la création laissait à désiré.

Une dame entra dans la pièce. C’était nulle autre que la mère d’Estelle. C’était une dame dans le début de la quarantaine. Elle avait de longs cheveux châtains blonds qui tombaient en cascade dans son dos. Estelle ressemblait beaucoup à sa mère, mais les cheveux de l’adolescente étaient plus bruns. Quoiqu’avec le soleil il blondissait facilement.

« Mon cœur, quel est l’heure de l’arrivé de ton amie?» demanda t-elle a sa fille. Estelle s’arrête dans geste d’impatience (elle tourne en rond depuis une bonne heure) Estelle regarda sa montre tout en répondant à sa mère. « Je lui ai demandé d’arrivé pour 11 heure, elle est en retard d’une minute. Grand-maman est dehors?»demanda t-elle à sa mère après avoir répondu à sa question. Sa mère lui répondit positivement par un signe de la tête lorsqu’un bruit se fit entendre de la cheminé. Était-ce Nina qui arrivait ou était-ce la visite pour sa grand-mère?

Nina était excitée comme une puce. Oui, les mauvaises langues au fond, je vous entends dire que ça ne change pas beaucoup de d’habitude, mais ce que je veux bien dire c’est qu’elle était encore plus excitée que d’habitude, et ce pour une bonne raison : elle quittait enfin sa maison, ses parents et ses frères – ainsi que, surtout, la tonne de devoir qui l’emprisonnait à son bureau depuis le 2 juillet pour aller passer quelques jours chez Estelle, sa meilleure amie. Elle ne savait pas le moins du monde quel était le programme de ces trois jours et deux nuits, mais elle ne doutait pas que ce serait de toute façon plus amusant que l’histoire de la confrérie des trolls de 121 à nos jours, le dernier chapitre d’histoire de la magie en date. Même si Jane Higginson avait été un peu plus intéressante que le professeur Binns, ça restait une matière à dormir debout. Qui, franchement, avait besoin de savoir cela ? Qui, de plus, gardait l’histoire de la magie pour les ASPICs ? D’ailleurs, parfois, la demoiselle se demandait même qui était assez fou pousser ses études aussi loin. Elle-même ne pouvait logiquement penser vouloir passer un examen qui comprenait dans son nom même la mention du fait qu’il était « particulièrement intensif et contraignant ». En tout cas, la blondinette, qui ne visait aucune responsabilité au ministère de la magie, passait son tour.

Avant d’en arriver là, cependant, il fallait avoir des BUSEs acceptables afin de pouvoir quand même trouver un boulot, puisque Nina ne voulait pas finir à la rue, ni être la honte de sa famille. En effet, Camille n’allait pas avoir de problème à avoir de bons résultats, travailleur comme il était, et Hugh était déjà parvenu à sauver les meubles. Bref, Nina était la dernière inconnue et il ne fallait donc pas qu’elle se loupe. C’était pour cette raison qu’elle était quasiment enfermée dans sa chambre depuis le début de l’été.

Heureusement, à force de travail et de gentillesse, elle était parvenue à avoir quelques jours de libres pour rendre visite à Estelle et rencontrer une partie de sa famille, celle qui vivait en Angleterre. Bon, ça n’était pas non plus le but principal qui était d’oublier l’espace d’un instant qu’elle passait l’un des pires étés de sa vie avec sa meilleure amie, mais ça allait contribuer. D’ailleurs, Nina comptait bien faire bonne impression à cette occasion, c'est-à-dire en omettant de préciser qu’elle n’était pas une très bonne élève, que l’influence qu’elle pouvait avoir sur Estelle n’était probablement pas la meilleure et en évitant de casser un verre ou un vase. Malheureusement, la blondinette n’étant pas une experte du self-control, elle ne pouvait rien promettre sur ce qu’allait donner cette rencontre.

A l’heure H, elle se trouvait devant la cheminée de sa maison. Enfin, non, pas vraiment puisqu’évidemment, elle était en retard. Un quart d’heure tout au plus, ce qui n’était pas grave ! C’est qu’elle avait eu pas mal d’affaires à préparer pour les trois jours qu’elle allait passer chez sa meilleure amie ! Il fallait en effet pouvoir se présenter dans toutes les occasions. Or, Nina savait bien qu’il pouvait y avoir des dégâts quand deux amies étaient ainsi réunies. Toujours est-il qu’une fois prête, elle lança un peu de poudre dans la cheminée, s’avança et cria :

- Le havre Desrêves !

Et pouf, elle commença à tourner, tourner, jusqu’à ce qu’elle visse la sortie. Tout à coup, elle se retrouvait dans le salon de son amie.

[588 mots]

Il va s’en dire que le dès les premières flammes verts apparu dans l’antre de la cheminé fut l’énervement total dans son corps. Oui, les tremblements et la bousculade avec la table de salon dont Estelle attrapa la lampe à la dernière minute. Mais c’était un faux espoir car l’invité qui arriva ne ressemblait en rien à Nina Moreau qu’elle connaissait. La dame avait les cheveux blancs frisés. Elle les portait assez court, l’habituelle pour le groupe d’âge dont la dame faisait parti. Elle avait le dos courbé, et de très grosses lunettes qui ressemblaient à des fonds de bouteille transparent. Les vêtements étaient couverts de suie. Estelle eu comme pensé en la voyant « Elle ne sait pas utiliser la poudre de cheminé ou elle ne sait pas se laver.» C’était Huguette, la meilleure amie de sa grand-mère. Une dame au caractère grognons et aux pensées complètement démodé. Estelle ne l’aimait pas. Lorsqu’elle l’avait rencontré alors qu’elle venait d’arrivé en Angleterre, cette dame lui avait tout simplement jeté un sort. Elle l’avait transformé en chat. À ses souvenirs, Estelle libéra un soupire d’exaspération. Espérant désespérément que son séjour à la maison ne serait pas un calvaire. Heureusement que Nina venait car elle aurait comme excuse qu’elle doit s’occupé de son hôte. D’ailleurs, elle ignorait que c’était cette vieille peau qui venait rendre visite à sa grand-mère.

La dame se retourna vers Estelle au moment ou elle sortait de l’antre de la cheminé en se secouant sans gêne sur le planché de marbre qu’il y avait devant la cheminé. « TOI ! NETTOYE! Tu devrais aider ta mère dans le ménage! SALE PESTE» Dit-elle clairement avant de poursuive son sermon dans une langue incompréhensible car il était entrecouper de grognement. Heureusement que la lionne ne comprit pas les propos de la vieille dame car elle aurait sorti de son légendaire contrôle d’elle-même. La vieille dame termina finalement de se secoué qu’Estelle n’avait toujours pas bougé pour nettoyer. Elle n’était pas une bonne et d’ailleurs, l’invité de sa grand-mère ne lui avait pas dit s’il-vous-plait. Après tout c’était une leçon important dans notre vie d’enfant, alors pourquoi les vieux l’oubliaient. Estelle allait répliquer lorsque sa grand-mère entra dans le salon comme une abeille attiré par une fleur. Sa mère entra dans le salon et d’un coup de baguette sans qu’Huguette la vois, fait disparaître les traces de cendre qui était sur son planché qu’elle venait de nettoyer une heure plutôt. Après un sort de nettoyage, elle retourna à la cuisine continué le repas du midi. Et déjà Estelle tomba dans l’oublie. Malheureusement cette oublie durant quelques minutes, environ deux pour être précise. Déjà la dame retourna à la charge, en critiquant son apparence.

Estelle c’était habille comme elle le fait pendant ses vacances et bien souvent à la mode moldue. C’était se que préférait la Canadienne. Et puis, dans une ville qui abrite des moldus c’était le meilleur moyen de passé inaperçu. Elle avait opté pour une jupe unis bourgogne avec un petit t-shirt rose pâle avec quelques aspects féminins. Le tout se termina avec des gougounnes dans les tons de beige. Ses cheveux tombaient en cascade sur son dos et pour une fois, elle ne les avait pas attachés. C’était tout à fait moldue et la chipie d’amie de sa grand-mère qui se ventait d’être un sang pure se plaisait de critique tout se qui ne faisait pas ‘’ mode sorcière ‘’ Bien qu’Estelle aille des goûts pratique dans se monde ou les non magiciens ignorait tout de la magie, certain sorcier était du genre a critiqué ceux qui s’intégrait à la société moldu. La vieille sorcière était de ceux là d’où le fait qu’Estelle la traitait souvent de vieille chipie ou de démodé. Bon je vous épargne les autres noms colorés que la jeune fille lui a trouvés dans son dos. Bref, Estelle était la proie préférée de la vieille sorcière. Azélie, la grande sœur d’Estelle, lui aurait cruellement cloué le bec à la vieille grincheuse mais Estelle n’était pas Azélie. Elles ont beau être sœur, elles n’ont pas le même tempérament. Elle était bien différente et était plus du genre à accumulé.

Puis vient les commentaires sur le pourquoi elle était dans le salon, plutôt qu’à étudier la magie ou encore, à jouer dehors avec les autres enfants sorcier de Godric ‘s Hollow. Bien sur sa grand-mère ne prenait rarement sa défense. Voir jamais! À croire que Susanna (la grand-mère d’Estelle) n’était dépourvu de libre pensée en la présence d’Huguette. Peut-être est-ce du aux perdre de mémoire qu’elle avait de temps en temps? Bref, Huguette cria après Estelle- pour faire changement à ses habitude de la critiqué. « En fait, j’attends une de mes amies qui devrait arriver dans quelques minutes. D’où le pourquoi je suis dans le salon. »Alors la dame demanda le nom de son invité. Estelle hésita à lui répondre. Mais ne pas lui répondre était pire que recevoir une beuglante pendant heure du déjeuné à Poudlard. Alors, la jeune fille inspira profondément pour mieux calmé la colère qui montait en elle. D’ailleurs, Estelle cacha sa main dans son dos car elle disparaissait et réapparait comme un clignotant d’une voiture mais en beaucoup moins régulier. Elle ne voulait pas lui donné une raison de plus de lui tombé dessus.

« C’est Nina Moreau » finit-elle par dire. Et voila que la dame se leva sec du fauteuil- dont elle avait toute sali par la suie sur elle, et commença a lui déversé un char de …. de bouse de dragon. Parmi ses mots, Estelle comprit que pour elle, les moreaux étaient une mauvaise famille. «… t’aurais du mieux choisir tes amies Estelle, tu me déçois constamment. Les Moreau sont des épines dans les pieds de tout les sorciers… » Mais au moment ou Estelle allait répliquer, des flammes verts apparu dans le foyer. C’était Nina qui arrivait justement. Bon, la première vision du salon pour la jeune Moreau fut de voir son amie aussi rouge qu’une tomate et surement pas à cause de la gêne et de voir deux vieilles dame, une assit et l’autre pointant du doigt Estelle. En gros, Nina Moreau arriva dans une guéguerre de génération. Alors que le silence s’installa dans le salon et que Nina sortit du foyer – ce n’était pas un endroit sur pour y resté une éternité.

« Nina » s’exclama Estelle dont le visage exprima sa gratitude d’être enfin arrivé avant de retour vers la vieille dame qui allait en rajouté.« Vous » Elle aurait bien envie de la traité de vieille peau mais le reste de son été était en jeu, donc elle se modéra « Vous jugez les gens par leur nom, mais un nom ne fait pas le moine… » Mais Estelle fut interrompu par une action surprenante de sa grand-mère. Effectivement, la grand-mère d’Estelle c’était levé pour s’approché de Nina, le sourire exprima le bonheur et une fois tout près, elle prit Nina dans ses bras, comme elle le faisait avec ses petits enfants en disant « Azélie, ma chère Azélie, je savais que tu étais magique ». Bon, il faut dire que la matriarche était souvent dans un autre monde –et vous avez la preuve en se moment même. Elle regarda sa grand-mère, complètement surprise. La mère d’Estelle entra dans le salon et Huguette était complètement choquée par les propos d’Estelle mais aussi par le comportement de son amie. « Mamie, ce n’est pas Azélie c’est Nina. Ma meilleure amie»

1250 mots

C’est inconsciente de l’ambiance qui régnait dans la maison de son amie que Nina y arriva, par la cheminée, comme toute bonne sorcière non majeure qui se respectait. Si elle avait eu l’âge requis, en effet, et pour peu qu’elle eût réussi à passer le permis, la blondinette aurait en effet utilisé le transplange, bien plus confortable à beaucoup d’égards, quoiqu’il fût aussi plus risqué pour ceux qui avaient la mauvaise habitude de se tromper. Bref, Nina n’en était pas encore là puisqu’elle n’avait que quinze ans et que la majorité était encore loin pour elle (du moins, de son point de vue, elle ne dirait plus la même chose à vingt ans).

La première chose que vit, ou du moins la première personne fut, tant mieux pour elle, Estelle, propriétaire des lieux, ou presque, le visage tout rouge, comme celui des tomates que ses parents (ceux de Nina, pas ceux d’Estelle) faisaient pousser dans le jardin. Ou comme les robes de Quidditch de l’équipe de Gryffondor, cela vaut aussi. Bref, vous aurez compris que la Canadienne était vraiment toute rouge, au moins du point de vue de Nina qui venait de débarquer dans son salon où se trouvaient également deux autres vieilles dames dont une, estimait la blondinette, devait être la grand-mère d’Estelle.

Chose plus étonnante, sitôt qu’Estelle avait salué Nina pour son arrivée, ce à quoi cette dernière répondit avec un grand sourire, elle se mit à invectiver l’une des deux vieilles qui ne devait pas être sa grand-mère. Cela lui fut bientôt confirmé puisque, sans que la blondinette n’y comprît rien, la seconde s’approcha d’elle et l’enlaça en l’appelant Azélie. Bien entendu, Nina savait qui été Azélie, après quatre ans de grande amitié avec Estelle, il valait mieux, mais pourquoi donc cette vieille mami croyait-elle qu’elle était la sœur d’Estelle ? Après tout, il ne lui avait jamais semblé qu’elles se ressemblaient (beaucoup de répétitions, pardonnez-moi, mais il est tard). En tout cas, la Canadienne n’en avait jamais touché un mot.

Encore une fois, cependant, Nina n’eut pas le temps de réagir puisque ce fut Estelle qui prit les devant pour expliquer les choses à sa grand-mère qui avait l’air un peu perturbée. A vrai dire, la blondinette l’était aussi, ce n’était pas tout les jours qu’on la prenait pour quelqu’un d’autre. Néanmoins, il lui semblait qu’elle devait elle aussi dire à la vieille femme qui elle était pour éviter les malentendus futurs.

- Estelle a raison, madame, je ne suis pas Azélie, juste…Nina.

Et ça n’était déjà pas mal ! Sans compter que la blondinette était une anglaise pure et dure, ou du moins une britannique, rien à voir donc avec le Canada, sans offense pour celui-ci. D’ailleurs, Estelle et elle n’avaient déjà pas le même accent, alors qu’est-ce que ça devait être pour Azélie ! En tout cas, une fois qu’elle eut été lâchée, Nina put voir la mine complètement effarée de la seconde vieille (ce qui, dans une autre situation, n’aurait pas manqué de la faire éclater de rire) et une femme qui devait être la mère d’Estelle, qu’elle salua en souriant, faisant tout ce qu’elle pouvait pour apparaître comme une petite fille polie – ou du moins une adolescente, vu l’âge qu’elle avait à présent.

- Bonjour Madame !

[545 mots]

Lorsque Nina arrivait c’était le chaos pour la Canadienne. Entre les propos qu’Estelle avait lancé à l’amie de sa grand-mère, Nina qui venait juste d’arrivé, sa propre grand-mère qui prenait Nina pour Azélie ( On s’entent pour dire que les deux jeunes fille ne se ressemblait pas pour cinq cents et la mère d’Estelle qui venait entré dans le salon attiré par le ton de voix de sa fille et par celui de sa mère, c’était littéralement le chao. Nina tout comme elle tenta de rectifier la situation vis-à-vis la vieille dame qui la prenait pour sa petite fille. La grand-mère d’Estelle complètement déboussolé libéra Nina et se retourna vers le salon à côté de sa propre amie qui était toujours insulté par le comportement général de la famille Knobbs/DesRêves. Avant que Mrs DesRêves ailles le temps de réponde quoique se soit, la vieille Huguette déversa sa rage sur sa victime préféré : en gros sur Estelle. Dans ses propos mal choisit et complément faut, elle insulta la petite canadienne en la traitant d’impur. « Sale peste, manipulatrice et indontable, d’impur et d’irrespectueuse petite peste qui Sali le sang de ta grand-mère … » Mais la canadienne la laissa pas terminé sa phrase qu’elle cria de se taire. Bon devant la présence de sa mère, ce n’était pas la meilleure chose à faire. La mère d’Estelle était à présent fâchée elle se tourna vers sa fille et son amie.

« Bonjour Nina, je suis ravie de te rencontré enfin.» Dit-elle en prenant soin de pas trop laissé sortir sa colère. Après tout Nina n’y était pour rien. Elle se tourna vers sa fille et lui dit« Monte dans ta chambre avec Nina, aide ton amie pour ses bagages. » Estelle toujours aussi en colère contre l’amie de sa grand-mère. Estelle sans répondre à sa mère, prit un des sacs de Nina, fit une grimace à la vieille chipie que sa mère ne remarqua même pas car elle était trop occupé avec sa propre mère qui sanglotait maintenant que se soit pas la visite d’Azélie. Estelle de sa main libre prit celle de Nina pour la guidé jusqu’à l’escalier qui menait à l’étage. Estelle n’avait toujours pas parlé. Elle était trop fâchée contre Huguette et sa main qui tenait celle de Nina disparaissait par moment pour revenir visible par d’autre. Preuve que la jeune fille était loin de contrôlé ses émotion et encore moins son don.

L’étage contenait que deux chambre et une salle de bain. Estelle l’ouvrit la deuxième porte laissant voir parfaitement la chambre bien ranger de la brune. La chambre contenait deux lits jumeaux, deux commodes. En fait, c’était autrefois la chambre de Luna et sa sœur décédé. Elle était dans les tons de jaune, blanc et rose. Le lambris était blanc écaillé par le temps ainsi que les meuble. La tapisserie dans les tons principalement jaune avec des fleurs rose et les tiges vertes (la couleur préféré de Nina XD). Les couvre-lits étaient des courtepointes dans les tons de rose, jaunes, bleus et vert. Bref, la chambre était tout même colorée malgré les tons pastel. Un aspect champêtre comme le reste de la maison. D’ailleurs ou les lit était aligné, le plafond était en pente et chaque lits était sous un puits de lumière. Sur la commode qu’Estelle utilisait, il y avait différent cadre avec des photos donc certain bougeait et d’autre non. C’était des photos d’Estelle avec des amis a elle, dont certaine avec Nina ou avec son frère et sa sœur. Estelle déposa le sac de Nina sur le premier lit. « Voici ma chambre, elle était autrefois à ma mère et sa sœur. Désolé pour tout à l’heure, cette vieille chipie fait tout son possible pour m’énervé et mamie n’a plus toute sa tête. Normal à 92 ans! »

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CLASSES

Alors que Nina se remettait peu à peu de son voyage à travers la cheminée et de l’accueil plutôt déroutant qu’elle avait reçu, la maman d’Estelle l’invita à monter avec cette dernière dans la chambre de la Canadienne. Effectivement, ce serait peut-être mieux que de rester dans le salon en compagnie de deux grands-mères dont l’une avait l’air de ne pas être tout à fait commode – et l’autre n’avait visiblement plus toute sa tête. La blondinette s’exécuta donc et partit à la suite de son amie une fois qu’Estelle eut pris son bagage ; ce qui n’était pas nécessaire : Nina était une sportive, après tout et n’allait pas mourir pour une petite valise. La jeune femme n’avait quand même pas déménagé pour quelques jours, elle n’était pas si folle et en tout cas pas vain à ce point. C’est avec la vue de la grand-mère d’Estelle en larme que Nina passa donc à l’étage, sa main dans celle de la Canadienne. Autant dire que cette visite ne commençait pas sous les meilleurs auspices.

La chambre d’Estelle convenait bien plus à la jeune femme, toute pleine de couleurs qu’elle était. Du pastel plus que du vif, mais on ne pouvait tout avoir et les deux lionnes n’avaient pas toujours les mêmes goûts, il ne faut pas exagérer. Il y avait également quelques photos de la mère d’Estelle, sans doute, peut-être avec une sœur. La Canadienne le confirma d’ailleurs assez rapidement ce qui permit à Nina d’être intérieurement satisfaite de son sens de la déduction. Je répondrais aux mauvaises langues qu’aller chercher l’amour propre là où il se trouve n’est pas pire que de chercher l’amour indéfiniment. Bref, plutôt que de me disperser ~~et d’aller chercher la distraction sur les blogs~~, continuons notre histoire, puisqu’Estelle ne se contentait pas seulement d’expliquer à Nina que sa chambre appartenait auparavant à sa mère et à sa tante mais lui parlait également des deux vieilles qui chignaient ou radotaient toujours en bas, assez loin de la portée d’oreilles de Nina pour que celle-ci ne s’en préoccupe pas.

- C’est pas grave, j’aurais réagi pareil, je crois.

Ca n’était même pas à en douter, en fait, puisque Nina n’aimait vraiment pas se faire archer sur les pieds, que ce fût intentionnel ou non. Les premiers ne méritaient pas sa mansuétude et les seconds avaient qu’à faire un peu plus attention : les couloirs de Poudlard et les rues étaient bien assez grands pour qu’on ne se retrouve pas tous à se marcher les uns sur les autres !

Quant à la grand-mère d’Estelle, il était vrai qu’à quatre-vingt-douze ans, on pouvait comprendre qu’elle ai du mal à se souvenir exactement du tout et qu’elle voit mal, même si Nina ne savait pas qu’elle ressemblait à la grande sœur de sa meilleure amie, celle-ci ne le lui ayant jamais dit. Finalement, peut-être que la vieille dame perdait plus la boule que la blondinette le supposait. Même si elle plaignait Estelle, elle ne perdait cependant pas le Nord.

- Tu vas bien ? Les vacances, ça se passe ? C’est quoi le programme ?

Nina n’oubliait jamais de parler, en effet, ça aurait été un drame, n’est-ce pas ?

Estelle s’était laissé tomber sur son lit après avoir déposé la valise sur l’ancien lit de sa tante et d’avoir grossièrement expliqué la situation à Nina. Il faut dire que la Canadienne savait que se qui venait de se passé dans le salon n’était pas la meilleure accueille pour sa meilleure amie. Elle ne pouvait rien changé sur l’arrivée de la méchante sorcière qui semblait née pour lui pourrir la vie. Au il va de soit que dans l’esprit de la Canadienne, mille et un tour tournait pour lui faire payer ses sales paroles. Et en plus que Nina était, se serait des plus amusant. Enfin, la vengeance sera pour un autre moment. Pour l’heure, il y avait plus important et l’important c’était Nina. Après tout, c’était la tout première fois qu’elle venait à la maison. Ce qui relevait d’un pur miracle pour la Canadienne. Se qui venait de se produire dans le salon était chose coutumes, voilà pourquoi Madame DesRêves ne voulait des invités dans la maison. L’amie de sa mère les aurait aussitôt chassés en les insultant gratuitement. Sans même les connaitre. Mais voila qu’elle avait cédé au caprice de sa fille. En fait, Estelle avait eu d’excellente note et l’avait accepté à cause de sa performance académique. Bref pour en revenir à notre histoire, Estelle répondit aux questions de sa meilleure amie.

« Je vais très bien, malgré ma colère contre la vieille de ma grand-mère! Et toi? » dit-elle pour réponde à la première question. Pour se qui est de la deuxième, il n’était pas difficile de savoir la réponse. La lionne aurait pus passée de meilleure vacance si ce n’était pas question de la vieille qui ne l’aimait pas. Au c’est vacance n’était pas si mal comparé a ceux que Harry Potter avait le droit pendant son enfance et pendant ses étude à Poudlard. « Dans l’ensemble elles sont bien, tant que je suis loin de cette *** dame. Il est très rare que je peux avoir des amies à la maison à cause de cette dame. Elle insulte gratuitement tout monde et ma mère ne peux pas l’interdire de venir à la maison puisque la maison appartiens a mamie. Bref, tu vois un peu le genre. Lorsque Maybel est venu, après notre première année, elle était en froid avec ma grand-mère. Sinon bien, les vacances sont assez tranquilles. À vraie dire, j’ai hâte que l’école recommence, pas pour les cours mais au moins elle ne sera plus la pour me tombé dessus pour le simple plaisir de me tombé dessus.» Pour se qui est de Maybel, elle fut en soit très chanceuse de n’avoir jamais rencontré l’amie de sa grand-mère. Et pour se qui est de la dernière question, ne vous inquiétez pas elle ne l’a pas oublié.« J’ai plein de chose a te rencontré, certain concerne Logan, d’autre non. Maman va nous faire un feu de camps se soir avec guimauve et si tu veux on peut dormir dans la tente non loin du feu. Et toi tes vacances? » elle était curieuse de savoir se qui c’était passé pendant les vacances de son amie.

[521 mots]

« La vieille de ma grand-mère », l’expression fit rire Nina ; ça donnait quelque chose de bizarre, comme si l’aïeule d’Estelle sortait avec son amie ce qui, à leur âge, aurait été non seulement marrant, mais aussi un peu insolite. Toutefois, si c’était le cas, et même si c’était bête pour Estelle étant donné que la vieille était vraiment vieille – c'est-à-dire, pour la blondinette, chiante et complètement sourde, c’était tant mieux pour elles. Nina n’était pas spécialement pressée de vieillir, mais elle espérait savoir encore s’amuser quand elle aurait atteint un âge respectable, fût-ce avec une autre veille femme et au risque de choquer tout le monde. Ca n’aurait de toute façon pas été la première fois quelqu’un la désapprouverait, alors à quatre-vingt-dix balais, elle espérait bien qu’elle s’en ficherait comme de sa première culotte.

- Ca va aussi, répondit donc la demoiselle à la toute simple question d’Estelle une fois qu’elles étaient arrivées dans sa chambre. Le voyage n’a pas été long, ajouta-t-elle avec malice. Pour avoir déjà pris des transports moldus, Nina savait qu’il y avait plus long et désagréable que la Poudre de Cheminette, même si le passage dans l’âtre n’était pas des plus confortables. Il avait au moins le mérite d’être rapide ; après restait à savoir s’il permettait de passer d’un pays à l’autre. Y avait-il un réseau mondial des cheminées ? A moins que seul le transplanage ne puisse être utilisé pour ce genre de voyages.

Nina fut presque choquée d’entendre Estelle dire un gros mot : Merlin, elle en connaissait ! Cela étonnait la demoiselle qui n’était pas sûre d’en avoir jamais entendus sortir de la bouche de sa meilleure amie. La blondinette prit aussitôt un regard indigné et planta ses yeux dans ceux de son amie, comme si elle était particulièrement en colère devant cette sortie de la Canadienne.

- Oh, comment ça vous dîtes des gros mots Miss Desrêves ! Vous devriez arrêter de fréquenter Miss Moreau, elle a un mauvais effet sur vous.

Nina avait tenté d’imiter du mieux qu’elle pouvait la voix de la harpie d’en bas mais elle craignait que cela ne soit pas une grande réussite. Elle ne tint cependant pas longtemps et finit par éclater de rire suite à sa propre blague, ce qui était un peu triste (ou pas, justement), mais tant pis. En revanche, la blondinette fut vraiment indignée, cette fois-ci, quand Estelle lui parla de revenir à l’école.

- Pressée ? Mais t’es malade ! On passe nos BUSEs à la fin de l’année, rien que pour ça faudrait rester en vacances six mois de plus.

Pas facile de les oublier, ces examens particulièrement importants pour lesquels la blondinette bossait même durant les vacances alors que tout ce qu’elle avait envie de faire, c’était justement de ne pas penser à l’école. Heureusement qu’elle avait pu venir ces quelques jours chez Estelle pour se libérer la tête de toutes ces tonnes de connaissances qui commençaient à avoir du mal à s’entasser.

- Ca a l’air cool ! Vas-y, déballe ton sac !

Nina était passionnée par les ragots en tout genre, je l’ai déjà dit, ne serait-ce que parce qu’ils lui permettaient de parler sans complexe des autres ; mais elle aimait aussi écouter la vie de sa meilleure amie et pour cela, il n’y avait pas besoin de justification.

[550 mots]

CAVALIER

« La vieille de ma grand-mère» C’était une tournure assez particulier et volontaire même (Je vous jure que c’était volontaire) Car pour la sorcière des rouge et or, Madame Huguette était toujours collé à sa grand-mère comme un jeune couple qui passe leur temps dans les bras de l’autre. Voila pourquoi elle disait la vieille de sa grand-mère. Une comme l’autre, ne semblait pas être en mesure de vivre une sans l’autre. Nina est sa meilleure amie. C’est un fait que tout monde sait – du moins à Poudlard – et pourtant, elles n’étaient collé une à l’autre par un sortilège de ‘’ glu perpétuelle ‘’. Les deux adolescentes n’étaient pas inséparables. Vous comprenez ou je veux en venir.

Lorsqu’Estelle libéra un gros mot, Nina répliqua sur le champ. Bien que se soit pas l’habituelle de la Canadienne, c’était parfois possible. Mauvais influence de son frère – ~~quoi ce n’est pas Nina?~~ Estelle était très en colère et encore, elle était douce car une fois que vous avez dépassé les limites, ses a vos risque et péril. Madame Huguette c’était retrouvé avec une fermeture éclaire muni d’un canas une fois en plus d’être ligoté à la chaise (pour la chaise c’était volontaire mais pas pour la fermeture éclaire). Il va s’en dire qu’Estelle reçut un avertissement du ministère en plus d’une sévère punition de la part de sa mère. Elle éclata de rire en même temps tant que Nina. Ce qui apaisa sa colère contre la vipère qui se trouvait au salon. « Pour rien au monde, je ne vais arrêter de te fréquenté. Tu es ma meilleure amie et non tu n’as pas une mauvaise influence sur moi !!!!! »

Lorsqu’Estelle lui parla de sa hâte pour revenir à Poudlard, Nina était vraiment indignée. Personnellement, la Canadienne préférait de loin affronter les buses que d’avoir a jeté un autre sort involontaire à l’amie de sa grand-mère. Mais Nina ne savait pas pour se qu’elle avait fait à Huguette et que le ministère la menacé de la renvoyer de Poudlard. Estelle lui raconta la fois ou Huguette c’était retrouvé attaché à une chaise avec une fermeture éclaire en guise de bouche. « Je sais qu’elle va être difficile mais je préfère cent fois être a Poudlard que de perde le contrôle une autre fois et ne plus jamais pouvoir faire de la magie, j’ai perdu le contrôle au début de l’été. »

Estelle enchaina avec quelque chose de plus gaie. Elle connaissait l’amour de Nina pour se qui est des études. Bref, elle commença par les nouvelles de Logan. Enfin, l’aveu du garçon de Serdaigle. « Logan est amoureux de moi! Il m’a écrit cet été pour me dire ça. » dit-elle avec un regard qui disait : C’est bizarre ça! Estelle se leva et se pencha a coté du lit pour y prendre une boîte de chaussure qui était sous son lit. Pas la meilleure cachette mais c’était le dernier soucie de l’adolescente. Elle se réinstalla près de Nina tout en cherchant la déclaration de Logan.

- J’y compte bien, répondit Nina avec un petit sourire, surtout que comme le disait Estelle, et au grand regret de la blondinette, il était plutôt difficile de dévoyer la Canadienne. Certes, à certains égards, Estelle était moins sérieuse qu’elle l’aurait été si des deux Moreau elle avait plutôt fréquenté Camille mais il faut bien avouer que l’influence s’était plutôt portée de la brunette vers Nina qui, de temps en temps, avait des accès de culpabilité qui la poussaient à travailler. Pas assez, malheureusement, comme je l’ai déjà expliqué ; mais une chose est sûre, ça ne serait pas demain qu’Estelle deviendrait une bavardeuse, commère invétérée à la logorrhée inarétable, même si elle avait le bon goût d’écouter les déblatérations de Nina.

- Ca fait plaisir à entendre en tout cas, moi aussi, je t’aime.

Une fois les manifestations d’amour terminées, les deux filles purent enfin passer aux choses sérieuses, soit la rentrée et la perte de contrôle d’Estelle. Effectivement, c’était plutôt problématique que sa meilleure amie eut utilisé la magie en dehors de Poudlard – et donc reçu un avertissement qui risquait de la faire expulser si jamais cela se reproduisait. Bon, normalement ça n’était pas censé être le cas (et c’était bien pour cela qu’il y avait des lettres de menace), mais tout de même, il fallait effectivement qu’Estelle fasse attention. La connaissant, ce serait plus facile que pour Nina – et heureusement !

- La prochaine fois, tu penses à moi et tu sors en courant de la maison, quitte à tout faire pour venir à la maison. T’inquiètes pas, on a de la place, au pire on foutra Hugh dehors.

Ou Camille, d’ailleurs, celui-ci pourrait très bien aller passer quelques jours chez Alix pour libérer de la place pour la Canadienne. Au pire, elles pourraient même partager un lit, ça n’était pas si grave si ça pouvait empêcher Estelle d’être virée de Poudlard parce que tout de même, la pauvre ne le méritait pas.

Comme Estelle le pensait, et bien que Nina ne pût pas lire dans les pensées de son amie, la nouvelle qu’elle avait à apporter était plutôt renversante. Enfin, pas tant que ça, mais sur le moment, Nina ne sut que répondre et elle dut s’asseoir sur le lit de son amie.

- Voilà, répète voire un peu, maintenant ?

Elle voulait être sûre d’avoir bien entendu avant de poser la question qui lui était immédiatement passée par la tête (ça aurait d’ailleurs été le cas pour n’importe qui d’autre, Nina n’en doutait pas une seule seconde ; il n’y avait pas que de la curiosité là-dedans).

- Et qu’est-ce que tu lui as répondu ?

Estelle était en train de chercher la fameuse lettre, ce qui plaisait beaucoup à Nina, même si elle n’avait aucun usage à en faire. Comprenons-nous bien : ce serait évidemment une délectation de la lire, la blondinette adorait cela, mais sinon ça resterait entre les deux jeunes filles. Nina était une commère, sauf pour ce qui la concernait – elle ou ses proches. Rien que de plus normal, en somme.

Tout cela lui rappelait tout à coup un certain Serpentard, et Nina n’était pas sûre d’aimer cela…

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