Bienvenue chez moi, Nina [PV]

Après une adorable marque d’affection. Estelle passa à un sujet plus sérieux. La Canadienne savait qu’il était interdit d’utilisé la magie en dehors de l’école. Ce qu’elle trouvait ridicule car, pendant l’été elle en perdait toujours un peu. Le ministère lui avait bien sur envoyé une menace qui avait faire rire la jeune fille. Ben quoi, ce n’était qu’un avertissement. C’était la première fois, qu’elle utilisait la magie et il n’allait surement pas la renvoyer pour avoir cloué bec à une dame qui faisait tout pour lui pourrir la vie. D’ailleurs une fois n’était pas coutume. Malgré tout, elle avait tout même une crainte d’être renvoyer de Poudlard. Pour rien au monde, elle ne voulait pas que sa se produise. La colère de sa mère fut plus terrible que celle du ministère. Elle entendait encore les cris de sa mère –une mère qui jusqu’à maintenant c’était toujours montré adorable, amicale sans la moindre onze de méchanceté et surtout sans réelle discipline, heureusement que la Canadienne était sage de nature. Bref, elle l’avait payé chèrement cette utilisation de la magie. Puis Nina lui proposa une alternative. C’était une bonne idée après tout.

« Oui, je vais faire ça!!! » dit-elle avec un sourire sur les lèves. La brune était beaucoup plus calme que lorsqu’elles étaient montées dans la chambre. Ensuite, Estelle lui parla de Logan. La première réaction de la blonde fut dans la normal. Enfin ce que la Canadienne s’attendait. Elle était étonnée, sur le coup bien sur. Elle lui demanda de répété. Ce qu’elle fit bien sur. La suite était prévisible. Enfin, c’était se que la lionne c’était imaginé. Qu’est-ce qu’elle lui avait répondu. En fait, elle ne savait pas quoi répondre. Quand elle pensait à Camille alors qu’elle était en troisième, elle devenait rouge juste à la pensé du garçon. Bon, elle doit avouer qu’ils s’étaient tout même embrassés pour ensuite de fuir un et l’autre. Mais pour Logan, c’était le néant.

« En fait, je ne sais pas trop quoi pensée. Je lui ai demandé de me laissé réfléchir. C’était ce que j’ai trouvé le plus logique a lui réponde en fait. Lorsque je pense en lui, je me sens perdus. Quand je suis avec, c’est simple. On discute, on s’amuse. Je me sens pas maladroite ni gêné.» Elle ouvrit la lettre pour la montré à Nina. La déclaration était fort simple. Il y décrivait ses sentiments avec une touche de passé – un petit résumé de leur amitié, de sa jalousie qu’il avait lorsqu’Estelle passait trop de temps avec Nina. Bref, Logan était peut-être doué à l’école, mais pour décrire ses sentiments c’était banal. Évidement, ce n’est jamais facile de décrire se que l’on ressent.

« Lorsque j’avais le béguin pour ton frère, ce n’était pas pareil… » dit-elle sans se censuré. Estelle qui n’avait jamais dit a Nina qu’elle avait eu le béguin pour son frère réalisa se qu’elle venait de dire. Bien sur, il était trop tard pour rectifié mais avec ce qu’elle venait de dire, Estelle comprit que la vague histoire de Camille Moreau était définitivement finit.

Lorsque Nina lui donnait des conseille sur ce qu'elle devait faire avec Logan. Elle sourit. Logan lui avait dit la même chose. « Essaie Estelle! Faisons un essais.» Ce qui fit sourire la Canadienne. L'autre conseille était plus ce qu'elle pensait faire. Pourquoi sortir avec alors qu'elle n'était même pas sur de savoir ce qu'elle ressentait pour le garçon. Elle répondit à ce qu'il lui avait dit : « Il veut que je sorte tout même avec simplement pour essayer. » Puis, la Canadienne avait enchaîné avec la comparaison de ce qu'elle avait ressenti avec Camille.

Estelle avait embrassé un garçon pour la première en troisième année à Poudlard un peu de temps avant sa fête. C'était passé si vite que la jeune fille se demandait encore si l'histoire du chocolat et de l'étrange demande fait par Camille Moreau avait été réelle. La réaction du garçon lui démontrait que ce baiser n'était pas qu'une imagination. On oublie les petites amourettes de l'enfance et les bisous baveux qu'on faisait à l'époque. Bon, c'était le passé et sa ne comptait pas vu qu'on se souvient rarement de cette époque. Comme à cette période de l'enfance, il était fréquent d'avoir un petit amoureux d'un même âge que soit. Il faut dire que c'était le seul amour permis par nos parents vu qu'il n'était pas dangereux pour les enfants. Bref, la Canadienne avait embrassé le frère de sa meilleure amie. D'ailleurs, elle ne lui avait jamais dit avant aujourd'hui. C'était son secret avec Camille. Pourquoi en parlé aujourd'hui? C'était devenu un souvenir banal et que la brune n'avait plus aucun sentiment pour le mystérieux préfet de Gryffondor. La réaction de Nina fut des plus étonnantes. Pourquoi suis-je encore en vie? Pensa la jeune fille. Au bien sûr l'eau avait coulé sous les ponts depuis ce baiser. Et les deux amies avaient grandi. Tant qu'à être dans les révélations autant allez jusqu'au bout.

« Oui, en troisième j'avais le béguin pour ton frère. On s'est même embrassé. Ça m'a paru bizarre. Pour tout dire, lorsque je suis entré dans la salle commune après un cours, il n'y avait que ton frère qui était assis sur un fauteuil mangeant du chocolat. Il m'a invité à le rejoindre. Je ne me suis pas fait prier. J'ai toujours eu un certain malaise avec et il m'a demandé s'il pouvait m'embrasser. Pourquoi j'ai dit oui, je ne sais pas trop, mais c'est arrivé » dit-elle simplement. Bien sûr c'était un résumé de toute l'histoire. Estelle préférait avoir la réaction de Nina avant de tout raconter en long et en large. En parlant de secret, elle devait lui dire pour la vipère qui fort heureusement avait quitté l'école l'année dernière.

Malgré l’expression du visage de Nina qui lui indiquait clairement : Tu n’as pas comprit se que je voulais dire. Estelle ne s’en choqua pas. Il faut dire qu’elle ne comprenait pas ce qu’elle avait comprit de travers. Estelle voulait comprendre se qu’elle n’avait pas saisi mais l’expression du visage de la Canadienne a suffit à se que Nina comprenne son incompréhension. Nina expliqua la suite de sa vision. Il faut dire que la Canadienne n’était pas le genre à sortir avec un garçon simplement par plaisir du prétendant. Même lorsque le garçon était son meilleur ami. Elle était particulièrement naïve avec l’amour et avait le don de s’en mêlé les jambes lorsqu’il s’agissait de l’œuvre de cupidon. Sauf sur un point. Si elle n’était pas amoureuse, par respect pour le garçon, elle n’allait pas jouer avec ses émotions. La question est de savoir jusqu’au elle serait en mesure de gardé cette idée de pensée. C’était une fille timide et réservé qui ne se confiait pas facilement. La preuve c’est qu’il a fallu trois pour que la brune avoue à Nina qu’elle avait embrassé son frère. Et en se qui concerne l’amour, elle était le vilain petit canard de la famille DesRêves.

Bref, la Canadienne écouta les propos sage et réfléchi de sa meilleure amie. Estelle compara la maigre relation qu’elle a eux avec Camille (qui se résume à un baiser savoureux à cause du chocolat) et ce qu’elle ressentait vis-à-vis Logan. Nina marqua un point : Chaque relation était différente. C’était un fait à prendre en compte. Elle qui avait toujours pensée que d’une relation à une autre, qu’il y avait des similitudes. Sinon comment reconnaître l’amour quand elle se présente.

Son secret entre Camille et Estelle était à présent révélé. Pas trop tôt! En fait, elle avait trahis la promesse à Camille qu’elle avait fait il y a trois ans. Malgré tout, Estelle ne se sentait pas coupable. Vraiment pas. Leur promesse n’était pas réellement une, mais plus une gêne qu’il ne voulait pas qu’elle s’ébruite dans tout Poudlard. Et surtout pour éviter Nina la furie. Les deux étaient conscients de l’amour que Nina portait à son frère à cette époque. Il faut dire aussi que la Canadienne se sentait coupable à l’époque d’avoir accepter la demande de Camille. Bref… c’était fait! « Oui, j’ai embrassé ton frère, une seule fois d’ailleurs…» Pourquoi juste maintenant? Pour les raisons évoqué plus haut et aussi que le beau Camille sortait avec Alix en se moment. Un bon point! « J’ai pris de la maturité tout comme toi… et puis, j’avoue avoir eu peur à l’époque de ta réaction en plus d’être blessé du comportement de ton frère car, sa n’a pas continué. Et tout se qui me blesse, ben je l’enferme au plus profond de moi. »

Au moment ou Estelle termina sa phrase, sa mère entra dans la chambre avec un plateau de petit sandwich sans croute avec quelques crudités et une petite trempette. Deux grands verres d’eau étaient en suspension à côté de la mère d’Estelle. Madame DesRêves salua les enfants avec un sourire. « Il est préférable pour vous deux de manger ici, l’amie de grand-maman est encore très énervé, bon appétiez les enfants » dit-elle avant de retourné à ses occupation. « Merci maman » dit-elle avant que sa mère quitte la chambre.