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| [Strasbourg] Qui l'eût cru ? [PV] | |
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Invité
Ξ Sujet: [Strasbourg] Qui l'eût cru ? [PV] Sam 26 Mai - 21:28 | |
| Eva-Rose & Tomas Tomas sortit ses lunettes de soleil, qu'il posa sur son nez alors qu'il quittait le parking. Décidément, les moldus étaient bien plus ingénieux qu'il ne l'aurait imaginé. Il l'avait peu à peu découvert au fil des voyages d'affaires auxquels il avait accompagné ses parents étant plus jeune, mais cette réalisation ne s'était vraiment imprimée en lui que lorsque la magie avait disparu. Originaire d'une famille de Sang Pur, il était très dépendant de celle-ci, et avait alors dû apprendre à vivre autrement. Et si ça n'avait pas forcément été facile au début, il s'y était fait. C'est à peu près à cette époque là qu'il s'était découvert une vraie passion pour l'automobile. Si avant il accordait déjà beaucoup d'intérêt à ce moyen de transport moldu, il s'était alors rendu compte que c'était quelque chose qui pouvait vraiment l'intéresser. Suffisamment pour qu'il en fasse un métier.
Il sortait de plusieurs jours de rallyes dans l'Est de la France, région où il n'était jamais venu auparavant. Il avait déjà participé à plusieurs autres courses, notamment en Irelande ou au Portugal, et était venu à de nombreuses reprises dans le sud de la France avec ses parents, mais c'était bien la première fois qu'il se rendait en Alsace. S'il lui était un peu plus facile de communiquer avec les Français (sa mère avait insisté pour qu'un professeur particulier lui apprenne les rudiments de la langue lorsqu'il plus jeune. Il avait alors été convaincu que ces longues heures perdues lui seraient à jamais inutiles... Comme quoi il lui arrivait de se tromper. Parfois. Mais très rarement.) qu'il ne l'était avec les Italiens lorsqu'il accompagnait occasionnellement Maïlys et ses frères à Milan, il n'en restait pas moins qu'il n'était pas plus à l'aise que ça dans ce pays où l'on ne parlait pas sa langue. Qui plus est, Helena lui manquait sérieusement. Si bien qu'il n'avait qu'une seule hâte: retrouver l'Angleterre dès qu'on lui en offrirait la possibilité. Cela étant, l'Allemand avait encore plusieurs personnes à rencontrer concernant les rallyes à venir tant qu'il était sur le sol français, et prenait donc son mal en patience. Il faisait beau, et il avait loué une voiture pour la durée de son séjour en France, il tâchait donc d'en profiter.
Le temps était agréable, aussi l'ancien Serdaigle s'installa sans attendre à la terrasse d'un café, ses yeux parcourant la carte d'un œil absent. Il avait cru apercevoir... Mais c'était impossible, bien sûr. Son esprit lui jouait forcément des tours. Le dernier contre la montre de la matinée l'avait fatigué et il n'avait plus les yeux bien en face des trous. Il risqua un nouveau regard à sa gauche... Et ne put qu'arriver à une seule conclusion: c'était bien elle. C'était la chose la plus improbable qui lui était arrivée de tout son séjour. Tomas afficha un sourire amusé suite à cette constatation, avant de se lever, au moment même où le serveur se dirigeait vers lui, pour rejoindre en quelques enjambées la jeune femme. « Tu es Eva-Rose, je ne me trompe pas n'est-ce pas ? » lança-t-il en arrivant à sa hauteur, retirant ses lunettes de soleil pour s'assurer qu'elle le reconnaitrait (après tout, lui l'avait reconnue et il avait pourtant une très mauvaise mémoire des visages). Et il espérait sincèrement qu'il ne se trompait effectivement pas, sinon cette fille allait le prendre pour un grand cinglé. Était-ce au moins le bon prénom ? Il l'avait prononcé spontanément, mais lui et les prénoms... Mouais, il ne voyait pas quoi d'autre ça aurait pu être, de toute façon.
Il passa la main dans ses cheveux par réflexe, avant de lui offrir un sourire en coin (le grand sourire Freedent ultra white était réservé pour les grandes occasions uniquement: mariages, bar mitzvah, etc). « Je peux t'offrir un café ? Ou ce que tu veux d'ailleurs. Je dois t'avouer que je ne m'attendais absolument pas à tomber sur quelqu'un de Poudlard ici... Je peux te demander ce que tu fais là ? » interrogea-t-il non sans un certain intérêt. Il avait toujours apprécié l'ancienne Poufsouffle. Ils n'avaient jamais été amis à proprement parler, mais il avait toujours été à l'aise lorsqu'il s'agissait de lui parler, ce qui était étrange parce que ce n'était pas le cas avec tout le monde. C'était une drôle de fille et il la trouvait vraiment sympathique. Il ne pensait pas la revoir après qu'ils aient tous deux quitté Poudlard, mais apparemment le destin vous jouait parfois d'étranges tours.
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Ξ Sujet: Re: [Strasbourg] Qui l'eût cru ? [PV] Mer 6 Juin - 13:46 | |
| Strasbourg, un pont entre la France et l’Allemagne – et ce n’est pas là qu’une métaphore puisque seul un pont joliment appelé pont de l’Europe sépare les deux pays, ou plutôt les rejoint en étendant ses barres d’aciers au-dessus du Rhin. Eva-Rose avait révisé sa géographie avant de débarquer dans la capitale alsacienne mais il fallait tout de même avouer qu’elle était un peu perdue. Trouver Strasbourg était déjà une bonne chose de fait mais il lui fallait à présent dénicher la bibliothèque de la ville ; et pas n’importe quelle bibliothèque, c’eût été trop facile. C’était évidemment un établissement bien précis et plutôt bien caché que cherchait la demoiselle afin, encore une fois, d’y trouver un ouvrage unique ou peu s’en fallait. Les guerres contre les Gobelins avaient intéressé beaucoup d’auteurs et de chroniqueurs de l’époque et son maître insistait pour qu’ils parcourent toutes les sources existantes, dussent-elles se trouver à l’autre bout du monde.
Plantée dans une rue du centre-ville et brûlant sous le soleil de juin, Eva-Rose observait sa carte et les indications qu’on lui avait données, perplexe. Elle ne devait pas se trouver très loin du quartier sorcier et pourtant, rien de ce qui devait en laisser deviner l’entrée ne lui apparaissait. En se mordant la lèvre, la rouquine fit encore un tour sur elle-même mais non, elle ne voyait pas. Se serait-elle donc trompée de quartier ? Il lui semblait avoir fait tout ce qu’on lui disait de faire, le tramway étant loin derrière elle alors que la cathédrale laissait apparaître son clocher au-dessus des maisons typiques de cette région. Non, décidément, l’ancienne Poufsouffle ne comprenait pas.
C’est alors que son sauveur quelqu’un vint à elle, lunettes de soleil sur les yeux (un instrument que la demoiselle aurait été bien inspirée d’emporter elle aussi). Ce quelqu’un semblait bel et bien la connaître puisqu’il l’appela par son nom mais il fallut attendre qu’il enlève ses lunettes pour qu’Eva-Rose reconnaisse Tomas Habsbourg, compagnon occasionnel de prise de tête et autres évanouissements intempestifs.
- Oh, bonjour Tomas, oui, c’est bien ça.
Le garçon lui proposa un café – ou ce qu’elle voulait, ce qui n’était pas de refus vue la chaleur qu’il faisait. Même si elle ne vivait plus en Ecosse où, pour le coup, il faisait froid, Eva-Rose n’était pas vraiment habituée à des étés aussi chauds.
- Avec plaisir.
Ils rejoignirent donc la table où Tomas était précédemment assis, ce qu’Eva-Rose ne pouvait pas savoir. L’ancien Serdaigle ouvrit en tout cas rapidement les débats en lui demandant ce qu’elle faisait à Strasbourg. Il pouvait en effet être étonné, il était sans doute rare de rencontrer des anciens élèves de Poudlard dans un coin de France qui n’était certainement pas le plus connu.
- Je cherche, elle sortit son papier, la bibliothèque des Songes Nocturnes. Et toi ?
Oui parce que la présence d’Eva-Rose à Strasbourg pouvait être étonnante mais elle ne l’était pas plus que celle de Tomas. La rouquine ne savait pas ce qu’était devenu le jeune homme à la sortie de Poudlard. Cela faisait presque un an qu’ils ne s’étaient plus vus.
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Ξ Sujet: Re: [Strasbourg] Qui l'eût cru ? [PV] Mar 12 Juin - 23:25 | |
| Il ne connaissait pas les statistiques exactes, mais Tomas restait convaincu que le pourcentage de chances de tomber sur quelqu'un avec qui il avait fait sa scolarité, et ce qui plus est en France, était infiniment petit. Il faut admettre qu'il avait fait ses études dans une école bien particulière, et qu'il s'avérait que celle-ci se trouvait au Royaume-Uni, qui n'était certes pas si loin que ça, mais pas non plus la porte à côté. Par conséquent, il ne s'attendait pas à croiser une seule tête connue lors de son séjour à Strasbourg. Oh bien entendu, il y avait des sorciers en France, tout comme il y en avait aux Etats-Unis ou encore en Bulgarie notamment, mais Tomas n'était pas particulièrement du genre à chercher à se faire de nouveaux amis, -c'est toujours bon de le souligner-, alors il n'avait que faire des sorciers français. Néanmoins, il était depuis longtemps intrigué par la localisation précise de Beauxbâtons, la célèbre école de sorcellerie française, mais sa situation géographique était un secret bien gardé, qu'on cherchait visiblement à tenir hors de portée des Anglais. Cela dit, il doutait qu'elle ne se trouve en Alsace, d'après les bouquins qu'il avait lu sur le sujet, on estimait plutôt son emplacement dans le Sud de la France. Mais après tout, les livres pouvaient se tromper.
Ainsi, malgré ses habitudes qui consistaient à se mêler de ses propres affaires et ne jamais interpeller d'anciennes connaissances au beau milieu de la rue, l'Allemand alla directement à la rencontre d'Eva-Rose. C'était un hasard trop intrigant pour qu'il l'ignore. Et puis, contrairement à la grande majorité de ses camarades de classe à Poudlard, il n'avait rien contre l'ancienne préfète de Poufsouffle. Certes, il considérait bon nombre des élèves comme au moins à moitié décérébrés, mais elle n'en faisait pas partie. Elle était étrange, de son point de vue, mais pas stupide, ce qui était tout à son honneur pour une Poufsouffle. Il fut soulagé de voir qu'il ne s'était planté ni sur l'identité, ni sur le prénom de la jeune femme, puisque ça lui évitait au moins de se ridiculiser devant elle. « Après toutes ces années ça a fini par rentrer ! » lui fit-il remarquer avec amusement. Mieux vaut tard que jamais, n'est-ce pas ?
Ils s'installèrent ensuite à la table du café où le brun se trouvait précédemment, Tomas notant que le serveur lui avait jeté un regard suspicieux au passage. Comme s'il s'attendait à ce qu'il décampe à nouveau au moment où il viendrait prendre sa commande. Eh bien apparemment, il était fiché. Et le serveur était parano. Décidant de l'ignorer, l'ancien Serdaigle reporta son attention sur Eva-Rose, et ne perdit pas de temps pour lui demander l'origine de sa présence. Il ne savait absolument pas ce qu'elle était devenue après Poudlard, et il écouta donc sa réponse avec attention. La bibliothèque des Songes Nocturnes ? Le brun fronça les sourcils. « Le nom me dit vaguement quelque chose... J'imagine que c'est pas le genre de bibliothèque que l'on trouve dans le quartier moldu ? » Pour la première fois depuis qu'il avait accosté la jeune femme, il remarqua qu'elle était en possession d'une carte. « Et tes recherches ne sont pas très fructueuses, visiblement ? Je peux peut-être t'aider ? » proposa-t-il bien que ne s'étant pas rendu dans le quartier sorcier pour sa part. Il n'était là que pour quelques jours, et n'avait par ailleurs pas de raison particulière pour s'y rendre, hormis peut-être par curiosité. Mais il avait été jusque là trop occupé pour pouvoir se le permettre.
« Cela dit, le nom de ta destination ne m'informe pas plus que ça sur ce que tu deviens ! Pour ma part, je me suis lancé dans le sport automobile, à vrai dire. Je suis là pour un rallye. » expliqua-t-il finalement, après avoir repositionné ses lunettes de soleil confortablement sur son nez. Il faisait étonnamment chaud, et il avait réussi à s'installer droit dans le champ d'action des rayons du soleil. Manque d'habitude. Il faut avouer que lorsqu'il avait quitté l'Angleterre, il ne faisait vraiment pas aussi beau qu'ici. Peut-être qu'il devrait proposer à Helena de s'installer en France ?
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Ξ Sujet: Re: [Strasbourg] Qui l'eût cru ? [PV] Jeu 21 Juin - 14:00 | |
| Eva-Rose sourit de plus belle à la réplique bien sentie de Tomas, même si elle savait qu’en effet, accorder les noms et les visages avait auparavant été un problème pour le Serdaigle. Rien ne disait, d’ailleurs, que cela pouvait avoir changé mais Eva-Rose partait du principe que tant qu’il l’avait reconnue elle, elle se fichait bien du reste. La demoiselle ne savait par ailleurs pas grand-chose des autres relations que Tomas pouvait entretenir ; elle n’était même pas sûre de savoir qui était sa chère et tendre à l’époque où ils étaient encore à Poudlard. D’ailleurs, encore une fois, elle s’en fichait pas mal : que chacun vive sa vie et les sorts seraient bien lancés.
Le nom de la bibliothèque qu’Eva-Rose cherchait, en revanche, ne sembla pas évoquer grand-chose à Tomas. Oh, bien sûr, il avait l’impression de l’avoir déjà entendu, mais ça ne voulait rien dire : Eva-Rose aurait eu une vague d’optimisme si, lorsqu’elle avait parlé, le jeune homme avait eu une illumination et s’était écrié « je sais parfaitement où c’est ! ». Malheureusement, ça n’était pas le cas ce qui signifierait que, même si par chance l’Allemand pouvait l’orienter, elle devrait se débrouiller toute seule. Ou alors, elle pourrait éventuellement demander son chemin à un Alsacien pur jus. Problème : elle ne parlait ni français, ni allemand. Qui avait besoin d’apprendre les langues en étant né en Angleterre ?
- Je ne sais pas, à vrai dire. Pour ce que j’en sais, ça pourrait tout aussi bien. Ou alors être une mixte, avec une partie sorcière et une moldue.
Eva-Rose n’avait pas encore voyagé tant que ça à la recherche de sources diverses mais elle savait qu’avec le nombre en augmentation de sorciers issus de familles moldues, la coupure entre les deux mondes était toujours plus ténues et certains jeunes ou moins jeunes diplômés n’hésitaient plus à verser dans les deux mondes lorsque leur activité le leur permettait. Dans tous les cas, Eva-Rose était heureuse que Tomas lui propose son aide. Elle déplia la carte sur la table, tout en faisant bien attention de ne rien renverser.
- Bon, commença-t-elle, [/b][i]j’ai repéré que la cathédrale est là. Elle n’est pas dure à voir non plus en vrai, mais après, je n'y arrive plus. Le Rhin, il est par où ?[/b][i]
Bon, clairement, Eva-Rose n’était pas douée mais qu’y pouvait-elle ? Ce n’était pas de sa faute si on l’envoyait aux quatre coins de l’Europe, coins qu’elle ne connaissait évidemment pas puisqu’elle n’avait jamais vraiment pu voyager avant.
- Je suis chercheuse. Elle marqua un temps d’arrêt, puis sourit de nouveau. Enfin, apprentie chercheuse serait plus exacte.
Et Eva-Rose rêvait du moment (lointain) où elle serait libre de choisir elle-même le sujet de ses recherches. En attendant, elle devait travailler. La demoiselle ne put en tout cas éviter de montrer son étonnement à Tomas quand celui-ci lui dit sa propre activité.
- Vraiment ? Elle finit par éclater de rire : d’où les lunettes et le look de star ! Je comprends mieux, finalement.
Oui, elle le charriait, ce qui n’était pas spécialement dans son caractère mais un peu, ça n’a jamais fait de mal, non ? D’ailleurs, Tomas avait toujours été l’une des personnes avec qui, étrangement quand on connait les débuts de leur relation, elle avait eu le plus de facilités.
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Ξ Sujet: Re: [Strasbourg] Qui l'eût cru ? [PV] Mar 7 Aoû - 23:03 | |
| N'ayant absolument rien de prévu pour l'après-midi, Tomas accueillait volontiers l'apparition d'Eva-Rose, et ne rechignait nullement à se lancer à la recherche de la fameuse bibliothèque qu'elle venait d'évoquer. Après tout, tant qu'il était là, il pouvait bien essayer de se rendre utile. Malheureusement, même si le nom lui semblait vaguement familier, il ne se sentait point capable de la guider sans plus d'informations concernant la destination. Il n'était, effectivement, pas un grand habitué de la ville, bien qu'y ayant déjà brièvement séjourné par le passé. « Je vois. Malheureusement, ça ne nous avance pas beaucoup. Je pense connaître des gens qui seraient plus renseignés que moi, mais il me semble bien contraignant de les joindre, il doit y avoir moyen de se débrouiller tout seul, non ? » Son père, entre autres, qui était bien habitué de l'Alsace que lui, mais il ne se voyait vraiment pas contacter ses parents maintenant. Et puis, honnêtement, deux sorciers diplômés devaient bien être capables de trouver une fichue bibiliothèque par eux-mêmes !
Tomas, pour sa part, maîtrisait l'Allemand, et même quelques mots de Français, mais comme à son habitude, son égo l'empêchait de ne serait-ce qu'imaginer demander l'aide à qui que ce soit. En dernier recours, à la limite... Mais pour l'instant, l'ancienne préfète et Poufsouffle venait de lui mettre sa carte sous le nez, et il était bien décidé à tenter de localiser la bibliothèque par ses propres moyens, avant d'avoir à s'adresser à un passant comme un vulgaire touriste. La cathédrale de Strasbourg n'était en effet pas bien difficile à apercevoir, même depuis le petit café où ils étaient assis, et offrait un point de repère salutaire. « Le Rhin est par là. » indiqua-t-il en désignant un point sur sa droite, derrière lequel le fameux fleuve était censé passé. Il n'était peut-être pas un enfant du pays, il n'empêchait que l'Allemagne n'était pas si loin et que sa famille entière y résidait. Et de son propre point de vue, son sens de l'orientation n'était pas trop mal non plus. « La bibliothèque est située où exactement, sur la carte ? » interrogea-t-il en fronçant les sourcils, ne voyant effectivement pas de point ou de croix, destiné à repérer son emplacement. Difficile de la trouver sans ça, hein !
Chercheuse ! Il sourit, impressionné. Il connaissait peu de gens qui se lançaient dans cette voie, mais trouvait que le métier semblait bien correspondre à son ancienne camarade même si elle avait réussi à se perdre, la pauvre. « Au moins tu as la chance de travailler directement sur le terrain, ça doit être passionnant, non ? Je peux te demander sur quoi portent vos recherches, ou c'est top secret ? » demanda-t-il avec amusement. Qui sait ! Il ne voyait pas bien à qui il irait rapporter de telles informations, mais il pouvait néanmoins comprendre qu'elles ne soient pas destinées à être partagées. De toute façon, ce n'était pas vraiment ses oignons. Il demandait parce qu'il était curieux, mais il n'insisterait pas si elle ne pouvait pas le lui dire.
Devant la réaction de la rousse à l'annonce de son choix de carrière, le brun fit mine de prendre la pose, attitude destinée à coller à son 'look de stars', comme l'avait décrit Eva-Rose. « Tout à fait. C'est pour la gloire ! » Honnêtement, il ne se voyait pas continuer dans cette voie bien longtemps. C'était plus un loisir qu'autre chose, la vérité étant qu'il était trop flemmard pour travailler sérieusement. Il savait qu'il pouvait se reposer sur son héritage, et pour l'instant, ça lui suffisait. « C'est une question de sensations. La vitesse, l'adrénaline... Sans compter les voyages. Je ne ferai pas ça éternellement, mais ça aura été amusant le temps que ça aura duré, au moins. » admit-il franchement et avec bonne humeur.
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Ξ Sujet: Re: [Strasbourg] Qui l'eût cru ? [PV] | |
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