COURS 1

Et voilà, une nouvelle année commençait, une nouvelle occasion pour Julien de se rendre compte que les élèves n'étaient pas vraiment de grands fans de l'étude des moldus. Oh, il ne trouvait pas son corus si nul que ça hein, il faisait tout ce qui était en son pouvoir, d'ailleurs, pour le rendre le plus intéressant possible mais à côté de ça, ça ne voulait pas dire pour autant que c'était vraiment facile. Loin de là même, si on voulait vraiment tout savoir. C'était plus compliqué que ça et Julien ne savait pas comment faire en sorte que ça intéresse les élèves. Bien sûr, quand il n'y avait plus eu de magie, les élèves étaient venus à son cours. Mais la magie était revenue et maintenant, c'était une toute autre histoire bien sûr, une affaire bien plus compliqué. Mais il refusait de se prendre la tête. Il continuerait, encore et encore, à faire cours aux élèves qui viendraient et ça serait déjà bien. On ne pouvait pas, de toute façon, forçait les élèves à venir à son cours. Il ne s'agissait que d'une vulgaire option, déjà, ce qui enlevait les premières et les deuxièmes années. Du coup, ça devenait un peu plus compliqué. Mais bon, bref, il allait arrêter de se miner le moral, surtout qu'il n'avait aucune raison de le faire.

Un soupir s'échappa de ses lèvres alors qu'il s'installait doucement à son bureau et qu'il cherchait à voir ce qui pourrait être bien intéressant de faire, lors de ce cours. Mais là, tout de suite, il avouait volontiers avoir un sérieux doute, un sérieux trou de mémoire aussi. Il était parfaitement ignorant, au milieu de tout ça, il ne savait absolument pas ce qu'il devait faire, au juste, pour que les gens se plaisent à aller à son cours. Aucune idée non, vraiment zéro. Un soupir s'échappa à nouveau de ses lèvres et il avait très nettement l'impression de ne faire que ça, là tout de suite. Ce qui était plutôt débile, parce que ça n'allait pas vraiment l'avancer, en faite. Loin de là même, si on voulait vraiment tout savoir. Mais bon, hors de question pour lui de se prendre trop la tête, même si c'était la chose la plus simple à faire, sans doute. Les élèves étaient trop compliqués, il n'était vraiment jamais facile de les intéresser correctement pour les voir revenir l'année suivante. Du gros délire, en faite, du gros n'importe quoi, quoi que l'on puisse bien en dire, d'ailleurs.

Les premiers élèves finirent par arriver, il les regarda s'installer, les uns après les autres. Et l'idée qu'il puisse être complètement paumé le traversa. Et au final, c'était pareil tous les ans. Au fil du temps, il se demandait à chaque fois s'il avait bel et bien raison de se prendre la tête. Est-ce que professeur était vraiment un boulot fait pour lui ? Aucune idée. En tout cas, il était plutôt bien flipper. Mais bon, il s'accrochait parce que malgré tout, quoiqu'il puisse bien en dire, ça lui plaisait, même si ce n'était pas facile. Dans le fond, ça ne le serait probablement jamais, de toute façon. Mais il fallait bien faire quelque chose no n ? « Bonjour à tous. Bienvenue en étude des moldus. Je vous invite à vous installer. ». Oui, ça serait un bon début. Qu'ils se mettent tous là où ils le voulaient. Il n'était pas exigent. Mais qu'ils ne s'amusent pas à trop parler, sinon, ça allait êter beaucoup moins drôle en faite.

Vous arrivez en classe, vous vous installez.
La participation compte. Et vous obtenez dix points de plus pour 500 mots, 20 pour 1000 mots etc.

~~au-delà du fait qu'il n'a encore trouvé personne~~

« Eh salut vieux ! Tu vas bien ? »

« Bonjour professeur Montgomery. »

~~c'est ce qu'on apprend en stage de tenue de classe du moins~~

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PORRIDGE

Sibelle avait choisie ce cours en option, puisqu’elle était à l’aise de comprendre. Elle avait vécue Toute son enfance dans l’univers de Moldus. Elle trouverait alors le cours facile et qu’elle pourrait obtenir facilement Optimal pour ce cours d’ici là fin de l’année. Puis, de toute façon, les autre cours en option ne l’intéressaient pas réellement. Ce qui a consolidé son choix.

C’était le premier cours de la journée, donc à son réveil, elle alla à la grande salle tout en s’aidant de sa canne, pour rejoindre ses amies de Serdaigle. Elle s’assoyait à un banc de la table de sa maison. Normalement, elle s’assoyait avec Nicolas Jones, son meilleur ami. Mais elle n’en avait pas le goût. Elle le trouvait étrange ces derniers temps et de plus, elle voulait être s’éloigner pour quelque temps. Elle voulait l’oublier et pour ça, elle devait se tenir loin et ne plus parler pour un temps incertain. À force de gratter ses abcès, son cœur devenait plus usé qu’avant. Ce qui était dur pour Sibelle, à force de se faire rejeter son amour pour lui et lui de son côté refusait la place qu’elle lui occupait dans son cœur, ce qui lui faisait encore plus mal. Ce qui n’arrangeait pas à la santé de Sibelle qui buvait de plus en plus. Elle ne le réalisait pas qu’elle devenait alcoolique. Alors, pour le temps passé à la grande salle, elle avait mangé rapidement et partie sans prononcer quoi que ce soit a ses amis de sa maison. C’était mieux comme ça…

Elle remonta chercher ses effets personnels pour se rendre à son premier cours. Elle monta les escaliers pour arriver au couloir d’où le cours se donnait. Elle arriva dans sa classe ou Corey était déjà là avec Félix.

Salut Corey!

Elle se chercha alors une place et se décida de s’asseoir un peu en retrait, c'est-à-dire en arrière. Elle mit ses effets sur le bureau et mis son sac par terre. Elle ne savait pas quel genre de cours sera, mais savait que ce serait intéressant. Ses parents lui ont toujours élevé Moldus alors qu’ils étaient des magiciens. Elle connaissait beaucoup de chose dans le monde des « sans magiciens ». Elle remarqua alors son nouvel professeur qui était assit sur son bureau. Elle ne l’avait pas remarqué à sa rentrée en cours. Elle s’empressa alors de le saluer.

Bonjour Monsieur Montgomery!

Elle attendit alors les autres collègues avec qui elle passera l’année. Elle espérait en son fort intérieur de ne pas voir Nicolas. Si tel est le cas, elle ne sortira pas de là vivante! Mais plus le temps passe, plus son souhait est de plus en plus réalisable. Elle l’a presque sur tout ses cours et elle trouvait ça dur. Imaginez de le voir à vos côtés et que c’est cette personne que vous aimez vraiment mais qui vous refuse toujours ses avances? C’est ce que vis Sibelle et elle trouve difficile. Donc, si elle le voit moins, plus elle va pouvoir oublier rapidement. C’est exactement ce qu’elle fait en ce moment:L’OUBLIER point barre! Elle prendra le temps ce que prendra pour qu’elle se sente confortable à lui parler sans avoir le désir pour lui tout simplement! Avec l’aide de son crayon, elle entendit sagement que le cours commence…

550 mots

Eliot était heureux, il était amoureux de la belle Arya Youngblood. Il ne savait pas que pour sa 6e année à Poudlard, beaucoup de choses auront changés. Il était en amour de la plus belle femme qu’il connaisse… Ils s’étaient rencontrés dans le train de Poudlard express pour rejoindre son château qui au départ lui disait rien. Maintenant, étant donné qu’il avait une fille qui l’aimait, il avait changé de caractère. Il était positif et entamait tout les activités avec une optimiste qui lui était inconnue auparavant. Lui-même était surpris de se changement rapide. Mais il en était heureux. C’est par un matin heureux qu’il s’en aille à ses cours. Il croisa Arya dont il lui donna un doux baisé et lui souhaiter un bon cours et l’a laissa a ses occupations. Il monta les marches et vit son amie qui était dans la maison de Serdaigle. Sibelle, mais il n’a pas pu lui dire bonjour car elle était déjà rentée dans sa classe. Il croisa quelques camarades qu’il lui acquiesça d’un bonjour amical et continua pour se rendre en classe.

Il avait décidé de prendre le cours d’option de l’histoire des Moldus. Il était curieux de savoir eux qui vivaient sans sorcellerie, comment il faisait dans leur quotidien. Il s’imaginait que certaines tâches doivent être parfois super longue quitte à prendre la journée. Eliot préférait de vivre avec la magie. Il aurait viré fou s’il le perdrait comme il s’était passé à Poudlard l’an passé. Sans magie pour lui, il se sentait tout nu. Il était habitué de vivre avec sa baguette et il mourrait avec sa baguette qui lui avait choisie comme propriétaire.

Eliot arriva alors dans sa classe ou son professeur attendait que les jeunes soient présents avant de commencer le cours. Il connaissait en scrutant la salle un autre élève de Poufsouffle : Félix, mais il n’avait jamais pris le temps de converser avec lui. À ses côtés, il vit un élève de Serdaigle, il le connaissait peu, mais il y en avait entendu parler par Arya : Corey. Il vit alors son amie Sibelle qui s’était installé vers le fond de la pièce. Il passa devant le bureau de son professeur qu’il salua en signe de politesse.

Bonjour Monsieur…

Il se dirigea alors vers les deux élèves qui lui adressèrent un salut formel.

Salut les boys!

Bein quoi? Eliot aimait que tout le monde soit à l’égalité, donc pas d’ennemie. Voilà bon… Il se dirigea alors vers le fond de la classe ou il retrouvait sa fidèle amie Sibelle Grown. Un nom qui lui n’était pas inconnue, puisqu’elle avait faite sa scène de crise dans la volière dont il se souvenait encore fraîchement ancrée dans sa mémoire. Il n’avait jamais su de quoi il était question, mais dès le lendemain elle s’était excusée pour sa crise extraordinaire…

Hey, Salut Sib’! Comment tu vas? On ne s’est pas parlé souvent! Je te vois souvent avec heum… Nicolas… Ah! Nicolas Jones! Y a-t-il quelques choses que je ne sais pas?

Il lui acquiesça d’un sourire, on ne sait jamais, peut-être qu’elle était amoureuse de lui ou qu’elle était simplement une grande amie de celui-ci… Il ne s’était pas gêné de lui demander. C’était son amie après tout… Bref, il attendit que le cours commence, il était intrigué de ce que cours optionnel pouvait lui apporté…

558 mots

En faite, Gale avait bien vite fini par se rendre compte que tous les cours étaient chiants. Oui bon, okay, ce n'était pas très objectif et c'était surtout parce qu'il n'aimait pas aller en cours parce qu'il savait déjà tellement de choses que ça lui prenait la tête. Mais à côté de ça, c'était aussi le gros bordel, en fin de compte. Genre le méga bordel hein, la grosse prise de tête aussi. Mais bon. Après, ça ne voulait clairement pas dire que les choses allaient vraiment être simples, en fait. C'était même très loin d'être aussi évident qu'on pouvait bien le vouloir, oui voilà, et c'était genre super chiant. Méga chiant même, si on voulait vraiment y songer. Mais bon, ça ne voulait clairement pas dire que ça allait être si évident que ça, en faite. Même c'était loin d'être évident. Genre super loin d'être évident en faite. Et puis Gale était tellement une personne à part, en plus, qu'il avait cette fâcheuse tendance à croire que tous les professeurs étaient des cons. Trop bizarre hein ? Non mais c'était vrai quoi, quand on y réfléchissait vraiment, on pouvait vite se rendre compte que le problème, dans tout ça, c'était vraiment lui hein, et non pas les professeurs. Il avait surtout du mal avec tout ça, en fin de compte. Genre du mal pour comprendre comment les choses se passaient ou ce genre de chose. Oui voilà, c'était loin d'être évident. Genre très loin de l'être d'ailleurs.

Un soupir s'échappa doucement de ses lèvres, sans qu'elle ne le fasse vraiment exprès. Il n'avait pas envie d'aller en cours. Plus le temps passait et plus il se rendait compte qu'il avait de moins en moins envie d'aller en cours en faite. Il avait surtout envie de se casser de cette école. Vivement qu'il en ait fini avec cette école d'ailleurs parce qu'il commençait vraiment à en avoir ras le bol en faite. Il en avait vraiment trop marre, si on voulait vraiment tout savoir. C'était vraiment loin d'être facile, genre, très loin de l'être, d'ailleurs, si on voulait tout savoir. C'était loin d'être facile. Et il fallait juste apprendre à faire avec, oui voilà. Même si ce n'était vraiment pas simple, pas simple du tout d'ailleurs, si on voulait tout savoir. Et ça ne serait probablement jamais vraiment simple, en fin de compte. Il savait qu'il n'avait pas trop de choix, qu'il allait devoir aller à ce cours bien sûr. Mais après, pour le reste, ça lui tapait vraiment sur les nerfs, et c'était surtout là que se trouvait le gros problème, en faite. Et il fallait vraiment que les gens s'en rendent compte. Il fallait vraiment qu'ils le réalisent quoi. Même s'ils n'y arrivaient pas vraiment, dans le fond. C'était vraiment un gros problème oui, mais bon, ne pas aimer les cours, ça avait un petit quelque chose de plutôt.. Commun, en faite.

« Bonjour professeur, vous allez bien aujourd'hui ? ». Ah cette bonne vieille hypocrisie.. Il espérait juste que le cours ne serait pas trop chiant, pas trop énervant et prise de tête. Mais bon, on ne pouvait absolument rien juré puisque le cours était surtout super chiant, dans le fond, une bien grosse prise de tête, dans le fond. Un truc vraiment super chiant, après tout. Et c'était aussi sur ça qu'il fallait qu'on se concentre, même si ce n'était pas facile, ça n'était jamais facile. Absolument pas, en fin de compte. Et il fallait juste apprendre à faire avec, d'une certaine manière du moins. Mais pour le reste, c'était loin d'être facile. Bref. Il s'installa donc à une table, et soupira de lassitude. Oui oui, déjà. Non mais en faite, il n'y avait probablement absolument rien à tirer de ce pauvre type hein. Super chiant ce mec.

Par un miracle, Blake avait réussi à avoir une bonne note en étude des moldus, aux BUSEs. Du coup, bien sûr, forcément, elle n'avait pas pu se résoudre à ne pas avoir ce mignon petit espoir que les choses allaient pouvoir se passer de la même manière pour les ASPICs quoi ! Non mais c'était vrai quoi, sérieusement, est-ce que c'était vraiment si étonnant que ça, au final, d'imaginer que les choses pourraient bien se passer comme ça ? Blake était une bosseuse, c'était un fait. Mais si elle était contrainte de bosser autant, c'était surtout parce qu'elle ne pouvait pas faire autrement, dans le fond. Elle avait de grosses difficultés pour les cours et le seul et unique moyen de ne pas oublier ça, c'était surtout parce qu'elle galérait quoi. Mais bon, c'était comme ça, et on ne povuait pas vraiment faire grand chose avec ça, il fallait juste faire avec, d'une certaine manière, même si ce n'était psa franchement évident. Ce qui n'avait rien de vraiment étonnant donc.. Donc bon. Bref, hors de question pour elle de trop se prendre la tête avec tou tça. Même si c'était sans doute ce à quoi on devait à tout pris se concentrer, oui voilà.

Du coup bah ouais, elle ne pouvait clairement pas perdre de vu cette option et elle était donc, contrainte pour une année de plus, à y aller. Et ça n'avait vraiment rien d'une corvée, en fin de compte. Parce que Julien Montgomery était vraiment un professeur trop cool. Pas de devoir à faire, juste quelques interros de temps en temps. Il suffisait de connaître son cours pour s'en sortir. Mais être un enfant né moldu ne voulait pas dire du tout que les choses étaient plus simples. Oui voilà. Et tant mieux dans le fond. Le professeur enseignait des choses que même les moldus n'étaient pas forcément obligés de savoir. Enfin bon, au moins, ça rendait le cours plutôt intéressant pour tout le monde. Et ce n'était pas négligeable. Ils avaient même regardé des films l'an dernier ! Que demander de plus franchement hein ? Donc bah ouais, voilà.

Elle s'étira doucement, alors qu'elle arrivait près de la salle de classe. Non pas qu'elle vienne de se lever mais ça faisait du bien, en général, de s'étirer. Bah oui quoi, c'était plutôt logique non, que cela fasse du bien. Enfin bref. Elle passa ensuite une main dans ses cheveux, tentant d'imaginer quel pourrait bien être le sujet de ce cours, et elle finit par arriver sur place, au final. « Bonjour professeur ! ». Puis, elle fila en direction de Gale, qui semblait lui avoir gardé une place, en fin de compte. Heureusement parce qu'elle refusait d'assister à des cours toute seule. Il y avait toujours un moment de flottement ou elle ne savait pas quoi dire. Et une fois assise à côté de lui, elle se contenta d'attendre que le cours commence. En même temps, ce n'était pas vraiment comme si elle avait tant de choses à faire d'autres hein, qu'on se comprenne bien.

De quoi est-ce que son cours allait pouvoir parler, bien sûr, ici, personne ne le savait, et c'était ça qui se trouvait être le plus marrant, en fin de compte. Le fait de voir leurs regards curieux, se demandant de quoi il allait bien pouvoir être question. Pour tout dire, Julien lui-même avait clairement manqué d'idée au début, il n'avait pas su quoi faire, il n'avait pas sû quoi choisir, ni quelle décision prendre pour que le cours puisse sembler au moins un peu intéressant pour ces gent. Mais on avait beau dire ce que l'on voulait, il n'était jamais facile de faire en sorte que les choses aillent. Disons juste qu'à force de vouloir faire bien, il avait cette fâcheuse tendance à empirer les choses et tout ça. Il ne parvenait pas toujours à arranger les choses, même s'il faisait de son mieux. Et ça pouvait très vite devenir un gros bordel, quoique l'on puisse bien en dire, d'ailleurs. Mais bon, que pouvait-on bien faire, au final n'est-ce pas ? Rien bien sûr, il n'y avait rien à y faire. Julien avait beau faire de son mieux, il ne pouvait clairement pas savoir si les choses allaient plaire aux élèves ou non, et ça pouvait bien vite devenir énervant. Il devait juste apprendre à faire tout son possible pour que les choses n'empirent pas, et ce serait déjà pas mal, en fin de compte. Oui, c'était ça le plus important.

Un soupir s'échappa de ses lèvres tandis qu'il se mettait à faire les cent pas en attendant que les élèves finissent par arriver. Ce cours était vraiment très important aux yeux de Julien mais malgré ça, il ne pouvait clairement pas nier le fait que ça ne rendait pas tant les choses si faciles que ça. Il aimait ce cours, il aimait le donner, apprendre aux élèves tout ce qu'il pouvait. Mais à côté de ça, il ne pouvait pas nier le fait que c'était compliqué, et énervant aussi de se dire que le cours n'était probablement pas si bien que ça et tout. Mais que pouvait-on bien faire hein ? Rien bien sûr, et c'était bien souvent ça le problème, en fin de compte..

En général, il avait pu le découvrir, les élèves aimaient à connaître le quotidien des moldus, comment ils faisaient à faire manger, à faire le ménage, ce genre de chose. Et là, de façon stupide, et bête, il s'était dit qu'il allait leurs donner un cours de cuisine moldu. Okay oui, pour le premier cours de l'année, ce n'était probablement pas la meilleure idée du siècle, mais après tout tiens, pourquoi pas hein ? Il sortit donc sa baguette et modifia tous les plans de travail, y mettant tout le matériel de cuisine d'une ménagère moldue. « Pour ce premier cours de l'année, j'ai décidé, de vous montrer comment faire la cuisine, sans magie. Je sais oui, je sais que ce n'est pas ce à quoi vous vous attendez, pour faire un cours. Mais justement, je suis sûr que la plupart d'entre vous ne savent pas comment ils font. Vous voyez vos parents faire la cuisine, un coup de baguette et tout se met à s'animer et à se préparer. ». Un sourire s'afficha sur ses lèvres. Les élèves ne seraient probablement pas motivés, mais si vraiment, le cours venait à ne pas leurs plaire et bien.. Soit hein, ce n'était pas lui qui en ferait toute une histoire. De toute façon, il devait donner un cours. Et depuis la fois où la magie avait disparu, il avait tout simplement décidé que peut être, l'idéal serait de leurs montrer comment se débrouiller. Ce qu'il tentait donc de faire. La magie était un plus, mai sil ne fallait pas toujours trop en abuser. Oui, voilà. « Ouvrez le livre sur vos bureau à la page 35 ». C'était un livre de recette. Et à la page 35 se trouvait une recette de gâteau au chocolat. Tout simple, mais qui demander de suivre la recette, tout de même. « A vous de jouer. Et lorsque vous aurez terminé, je passerais voir le résultat. ». Et à la fin du cours, si des gâteaux étaient réussis, ils pourraient faire une sorte de goûter tiens. Pourquoi pas..

[b]A VOUS DE JOUER.
Vous devez préparer le gâteau dont vous trouverez la recette ICI. Ainsi donc, c'est ce que nous trouverons dans votre Rp, bien sûr. Soyez le plus méticuleux possible. Cela vous rapportera des points, en fonction de votre réussite. Mais vous n'êtes pas obligés de réussir bien sûr hein ! C'est juste là qu'est tout l'intérêt !

Que le cours parle des jeux, voilà qui l'aurait étonné, mais il n'oubliait pas qu'il avait une question à poser au professeur à la fin du cours à ce propos. Même si pour cette année, il ne pensait pas avoir matière à monter un club ou quelque chose de cet ordre, il songeait sérieusement à faire une sorte d'association l'année suivante. Il commençait même à se dire que travailler dans une boutique de jeux après l'école serait sympa, même s'il n'était pas encore sûr, il avait le temps de voir venir, il n'était qu'en cinquième année après tout. Bref, il ne fallait pas jouer ou créer un jeu là, mais faire un gâteau. D'ordinaire, c'était plutôt sa mère ou sa sœur qui s'y collait en pâtisserie, mais Corey ne pensait pas que cela soit trop dur dans la mesure où il n'était pas manchot et que la recette ne paraissait pas trop compliqué non plus.

Il alla chercher les ingrédients et le matériel qui avait été prévu pour cette activité et retourna à sa paillasse pour la préparation du gâteau. Il alluma le feu à la baguette puisque rien d'électrique ne pouvait fonctionner dans l'enceinte de Poudlard, et il posa la casserole par-dessus pour ensuite faire fondre le beurre et le chocolat. Il se rendit rapidement compte que son feu était trop fort, il le baissa donc, tournant délicatement le mélange pour que ça ne brûle pas au fond et que la matière grasse se mélange correctement à l'amertume du chocolat. Ce gâteau tombait très bien, Corey était très gourmand, enfin, en tout cas, il espérait qu'ils pourraient goûter les gâteaux s'ils étaient réussis. Et il avait bien envie de demander aussi (s'il ne se plantait pas, toujours) s'il pouvait en prendre une part pour sa sœur. Enfin, avant ça, il fallait terminer le gâteau.

Il mit ensuite dans le saladier la farine et le sucre dans la quantité indiquée, attrapa un fouet de cuisine et les trois œufs qu'il cassa précautionneusement contre le rebord du saladier. Il fut bien embêté cependant juste après parce qu'il ne savait pas trop quoi faire des coquilles. Il attrapa un sopalin et posa les coquilles dégoulinantes dessus de façon à ne pas tout salir. C'est qu'il faudrait nettoyer après, et sans magie avec ça ! Aux yeux de Corey, c'était le gros désavantages de faire la cuisine comme les moldus : la vaisselle.

Il mélangea la farine, le sucre et les oeufs jusqu'à obtenir une pâte blanchâtre mais encore un peu dure, ensuite il mit le mélange de beurre fondu et de chocolat qui assouplit le tout. Il mélangea le tout un moment, jusqu'à ce qu'il soit satisfait de l'aspect de sa pâte, et il farina son moule avant de verser la pâte. Il réalisa qu'il n'avait pas beurré mais c'était trop tard. Bof, ça collerait un peu au démoulage, mais ça ne changerait pas le goût ! Il s'approcha ensuite du four et après un coup d'oeil au professeur pour avoir son accord, il enfourna son gâteau. Il attendit à côté avec les camarades ayant eux aussi terminé que le gâteau soit cuit. Il était plutôt content de lui, mais le vrai test serait de le goûter, il le savait, car s'il était immonde, hein, bah il se serait donné du mal pour rien. Las d'attendre, il demanda la permission d'aller nettoyer les accessoires pendant la fin de la cuisson (il surveillait sa montre) et cette permission accordée (?) il fit la vaisselle, la partie, nous l'avons déjà dit, la moins agréable du travail.

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Sibelle s’était allongé sur son bureau en attendant que le professeur s'adresse pour le premier cours de l'année. Elle était de plus en plus motivée quand elle devait faire une recette pour un gâteau. Combien de fois, elle avait fait avec sa maman avant qu'elle décède. Quand elle était jeune, elle pouvait passer un samedi entier à faire de la popote pour la semaine. Son moment préféré était de faire les desserts, parce que ça sentait délicieusement bon, et c'était agréable de sentir les arômes particuliers. Surtout le chocolat même si elle était diabétique. Elle pouvait en manger de temps en temps, ce n'était pas interdit...

Elle prit les consignes et les ingrédients pour se donner une idée de la préparation et mit ses casseroles et les ustensiles proches d'elle pour que ça soit plus facile à les prendre... Quand le professeur leur donna le départ de commencer, Sibelle était excité et commença par lire les instructions.

Pour commencer elle mit à cent quatre vingt Celsius le four, question de le préchauffer. Elle prit par la suite une casserole pour faire fondre ses deux ingrédients; qu'elle mit l'équivalent de cent gramme de beurre et de deux cent gramme de chocolat à pâtissier noir à feu très doux. En attendant que tout ceci fonde. Elle prit un saladier pour mélanger le reste des ingrédients. C'est-à-dire, cent gramme de sucre en poudre, elle cassa les trois œufs sur le bord du saladier qu'elle déposa par la suite les coquilles dans la boite d’œuf. Le plus important de tout ingrédient pour faire un gâteau, elle versa cinquante gramme de farine dans le bol qu'elle le mélangea pour en faire un mélange satisfaisante. Elle prit alors le poêlon d’où elle avait fondu le chocolat et le beurre qu'elle mit dans le saladier ou les autres ingrédients étaient mélangés. Elle recommença à brasser encore avec l'aide de son fouet pour en faire ressortir un mélange homogène. Quand cela est faite, elle prit le moule qu'elle beurra et mit un peu de farine. Elle prit le mélange qu'elle le versa dedans. Puis, elle prit son plat et le mit au four qui était déjà chaude et mit le minuteur pour vingt minutes, question de ne pas le rater bien sur!

En attendant, elle ramassa ses affaires et les passa sous l'eau qu'elle le savonna et les essuya par la suite, puis quand tout ceci était faite, elle prit un linge humide qu'elle le passa sur son bureau, question d'enlever toute tâche qu'elle aurait pu faire en faisant sa recette. Quand elle en avait terminé, elle le donna aux autres camarades pour qu'ils puissent faire à leur tour. Quand les vingt minutes sonnèrent, elle prit ses mitaines. Elle ne voulait pas se bruler ses mains après tant d'effort pour faire un gâteau hein! Elle sortie son plat qu'elle le posa sur le four et attendit quelque minutes avant de le démouler. Elle était bien fière de son résultat et de plus, elle avait l'air appétissant. Elle espérait qu'elle puisse le gouter, question de savoir si elle avait bien fait le gâteau dans les règles de l'art!

[521 mots]
BLAGUE

» Cours pour les deuxième annèe et divers (1er cours)
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» Cours pour les premières années (1er cours)
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» [INSCRIPTION ] Cours de musique et cours d'arts.