[Event] Se battre pour la liberté (Partie 2)

Alice, comme tous les autres, fatiguait. Elle restait près de sa grande soeur qui faisait preuve de sa compétence habituelle des années de pratique du kravmaga même si Alice ne rougissait pas de sa propre performance car elle n'était pas réellement une sorcière combattante/combattive au départ. Son truc, normalement, c'était plutôt de se faire oublier pour mieux faire les poches de ses ennemis : compétence vol activée. Toutefois, la situation impliquait forcément le Ministère et Alice ne pouvait pas laisser Poudlard dans cet état : cette école, ça avait été un peu sa véritable maison pendant sept ans, et déjà à son départ, MS faisait des siennes - sauf qu'à l'époque on l'appelait encore La Menace -. Tout en parant un sortilège qui avait été lancé dans sa direction, elle lança de nouveau une offensive, peut-être sa dernière...

{Utilisation de 1 GE}

Le membre 'Alice Orwell' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Attrapeur' :

Résultat : 62

Roy s'était violemment fait éjecter écarté en voyant apparaître Quentin histoire de ne pas finir assassiné dans un violent accès de jalousie, laissant l'accès à l'ancien membre du Ministère et se redressant pour les défendre à la fois Susan et lui - bien que ce fut peut-être plutôt les membres de Magicis Sacra qui eurent besoin de protection, au vu des Bombarba Maxima que lançait férocement le sorcier à tout va : et paf, adieu Susan !
Force était de constater que la situation n'était pas à leur avantage. Des dizaines de membres de MS les encerclaient encore, dont leur leader, Freja, qui ne pliait décidément sous aucun sort c'est une réplique en carton en fait, c'est ça ? Le cœur battant toujours à une vitesse vertigineuse, Roy visa l'ennemi le plus proche avec l'énergie du désespoir.

Le membre 'Roy Bradley' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Attrapeur' :

Résultat : 38

Susan venait tout juste de répondre à Alice quand, alors qu’elle faisait volte-face pour lancer un nouveau sortilège à leurs poursuivants, elle était tombée nez-à-nez avec Quentin. Son cœur manqua un battement et, l’espace d’un instant, elle fut envahie d’une joie si intense qu’elle en oublia la gravité de la situation. Seulement, comme l’impulsivité échevelée des premiers temps de l’amour oui, Emma, c’est de toi que je parle avait, depuis longtemps, cédé le pas à un pragmatisme salvateur (qu’elle croyait), la Poufsouffle ne se jeta pas au cou de son mari pour lui susurrer des mots bleus, des mots qui rendent les gens heureux, des mots qui disaient combien elle l’aimait, combien il lui avait manqué, et combien aussi, accessoirement, elle espérait pour lui qu’il avait trouvé une baby-sitter de confiance avant de se joindre à cette opération de sauvetage, sinon, ça risquait de chauffer pour son matricule. Oui, Susan-la-pratique contint les élans de Susan-la-guimauve (« Allez Marcel, fais chauffer les violons… »). Mais elle saisit la main de Quentin et la serra de toutes ses forces, comme si elle avait peur de le voir se volatiliser sous ses yeux.

C’est alors que la chose se produisit. D’abord, ce fut un choc qui lui coupa le souffle. Puis, aussitôt après, une violente douleur prit naissance au niveau sa nuque, avant de déferler, en vagues successives, le long de sa colonne vertébrale, pour finir par envahir la moindre parcelle de son être. Son corps tout entier était en feu. Alors, sa vision se brouilla, et elle se sentit sombrer. Etonnamment, elle n’en conçut aucune terreur : sa dernière pensée consciente, avant qu’elle ne s’effondre, fut pour l’humour très particulier du destin. Mourir à la seconde même où elle retrouvait Quentin, quel manque de chance ! C’était à croire que les dieux avaient un faible pour la tragédie…
Elle ne mourut pas, toutefois « Ooooh »de déception du public. Même, son évanouissement n’avait pas dû durer plus d’une ou deux minutes, car, quand elle revint à elle, l’emplacement des forces en présence était demeuré, peu ou prou, inchangé (« Et c’est à ce moment-là que je lui ai dit : écoute, mon gars, si c’est pour rester coincés comme ça à ne pas avancer, autant creuser une tranchée et se lancer dans une guerre de position… »). C’était une bonne chose : Susan n’aurait pas aimé apprendre qu’elle avait survécu au maléfice pour mieux finir piétinée sous les bottes crottées des combattants. Groggy, la jeune femme s’efforça de faire le point, tandis qu’elle se relevait maladroitement (« Nombre de jambes : ok. Nombre de bras : ok. Nez en place : ok… Oh Merlin ! J’ai des oreilles à la place des doigts ! »). Par bonheur, elle avait eu le réflexe de serrer sa baguette contre elle, au moment où elle était tombée.

- ça va, ça va… croassa-t-elle, à l’attention de Roy, ignorant avec superbe les deux ou trois organes qui tentaient de se rappeler à son bon souvenir. L’un d’entre eux, notamment, lui donnait l’impression d’avoir été passé plusieurs fois à la moulinette. La Poufsouffle palpa précautionneusement son flanc, comme pour s’assurer que tout était en place (« Oh, un morceau de foie qui dépasse… Quel coquinou ! »), et chercha Quentin du regard. Lorsqu’elle le vit gisant sur l’herbe, les yeux clos et le teint pâle, on les appelle les Roméo et Juliette du champ de bataille. Passion « tu es mort, moi non plus… », elle eut l’impression que le sol se dérobait une seconde fois sous ses pieds.
- Non. Non, non, non, non… Gémit-elle sourdement, en s’accroupissant à ses côtés. D’une main tremblante, elle lui saisit le poignet, cherchant son pouls avec maladresse. Puis, elle leva sa baguette, et, habitée par le désir sauvage de faire mal, visa ses ennemis.


[Utilisation de 4 GE]

Le membre 'Susan Montgomery-Bones' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Attrapeur' :

Résultat : 53, 2, 34, 33

Charisma ne pouvait plus faire appel à son don de prémonition. Elle était trop épuisée. Elle n'entendait même plus les voix, ce qui était assez rare pour être remarqué. Elle se battait donc désormais de façon plus traditionnelle. Heureusement, elle avait été bien formée quand elle avait commencé à être auror et les sorts fusaient de part en part. Nick couvrait ses arrières, la protégeant avec une efficacité qu'elle trouva presque étonnante (car Nick n'avait jamais été à proprement parlé un foudre de guerre...), il faut croire qu'avoir enfin (ré)obtenu le coeur de sa bien-aimée lui avait donné la flamme. Malgré leur situation - qui n'était pas bien glorieuse, les ennemis restaient quasiment aussi nombreux qu'eux, et ce n'étaient que les forces présentes dans le parc, les membres importants de MS étaient à l'évidence à l'intérieur de Poudlard. Ils étaient en sous-nombre et en sous-force. Carry commençait à voir d'un mauvais oeil la fin de cette histoire et n'avait pas besoin de prémonition pour ça...

{Utilisation de 1 GE}

Le membre 'Charisma Kostovak' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Attrapeur' :

Résultat : 14

Nikolaï commençait à réellement fatiguer. Attaquer, mais aussi anticiper l'attaque de l'autre relevait de l'impossible et il manqua à plusieurs reprises de se faire toucher par un sortilège. Par ailleurs leur nombre ne semblait pas désemplir et à ses côtés, bien que relevé, Benoit semblait clairement avoir du mal à récupérer de la projection qu'il avait subi. « Arresto Momentum ! » Un mage noir agita sa baguette non loin du rouquin prêt à envoyer un sortilège mais il fut figé en l'air par Benoit qui tentait de tenir bon. Puis d'un geste il fit reculer son adversaire en le projetant en arrière. « Allez le bleu, dépêches toi de les faire voler toi aussi. » lança le moitié français pour taquiner son partenaire. Nikolaï trouvait impressionnant la capacité de Benoit à garder son sang froid, mais d'un autre côté il n'avait pas tort, se laisser dépasser n'entrainerait que l'échec dans ce genre de situation. Avec un peu de chance, ils auraient bientôt fini.

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Le membre 'Nikolaï Hristov' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Attrapeur' :

Résultat : 24