Ξ Sujet: Re: Post scolarité, début de liberté? ○Jensen○ Dim 20 Juin - 23:13
Post scolarité, début de liberté?Jensen Entre la réalité et ce qu'il se passait, tout avait cette nuance brumeuse d'impossible. Le sang qui coulait, la violence d'un instant plutôt, la rage qui m'avait fait perdre pied et même ce désir qui grondait bruyamment en moi. Je n'avais pas le droit de l'aimer. C'était ainsi que je voulais voir les choses, me refuser de succomber à son charme, mais n'était-il pas déjà trop tard? Son regard m'envoutait, un sifflement désapprobateur se glissait sous mon crâne. Une douche inconnue me lavait de mes émotions, calment mon coeur qui s'emballait pour retrouver cette attitude détachée. En déphasage avec la réalité. Mes doigts repoussèrent le flacon qu'il voulait me rendre. J'en avais d'autre, inutile de le reprendre.
Mes paroles quittèrent ses lèvres qui ne filtraient plus, presque plus, la vérité. Bien sûr que je le trouvais idiot. N'était-ce pas évident? Tout le monde le savait et lui ne le voyait pas. La second réponse n'était guère mieux. Avouer que ma malédiction était, de manière inattendue et illogique, liée à Viska Spingate, l'ex-petite amie de Jensen McGowan. Une autre douche froide, je me sentais à peine présente dans ce compartiment de train. Ma voix, étrangement trop calme avait un côté doux et effacé. Je l'entendais, je le sentais, je ne pouvais lutter contre cette force qui me lessivait, je n'en avais pas envie non plus. Dans cet état second, tout était plus simple à gérer. Aucun mal à parler. Pas même la surprise de ce garçon ne me parvenait. Ma tête se pencha doucement sur le côté gauche, mon regard voyait sans vraiment comprendre. "Sa demande, ses désirs, ses paroles sont des absolus. Tout basilic à un maître. Ce n'est pas forcément celui qui l'a créé, ça peut être un héritier, un étranger dont la voix fait écho à l'âme." D'où savais-je cela? Ce n'était pas moi qui savait, mais cet autre en moi. Le basilic ne me contrôlait pas, c'était autre chose, comme si, nous n'étions qu'un.
Ce qui brulait mes lèvres avant revient. Je me raccrochais à la raison de ma présence près de lui. Pourquoi avais-je ouvert la porte? Son air triste et solitaire, ce regard abattu et perdu avait capté mon attention. La question première fit éveillée la colère, mais la demande de la raison à son acte, le rendit triste. Le visage que j'avais approché avait quelque chose de fragile, de faible qui ne me plaisait pas. Avait-il compris la menace de l'immortel écailleux? Sa réponse, cette vérité si importante pour lui, me fit m'écarter un peu. Ma bouche s'ouvrit, j'allais dire que c'était ridicule, mais je m'abstiens. J'étais la plus mal placée pour donner un tel jugement! Bien que nos vécus respectif étaient différent, je le fuyais pour son propre bien. Hors, un petit rien était faux. "Te sentiras-tu bien, même en apprenant que quelque chose lui est arrivé durant ton absence?" Le ton froid, clairement sinique, ne laissait place à aucun doute. La seule réponse à ma question était un non. Je le savais, il le savait, mais je ne pouvais pas nier, qu'une part de moi lui en voulait. La raison de sa rupture me semblait être trop idiote pour exister. Pourtant, je savais qu'il ne mentait pas, ce qui me blessait. Presque Mesquinement, un sourire glissa sur mes lèvres tandis que je m'approchais à nouveau, beaucoup trop. Mes yeux sombres dans les siens claires, j'observais cette douleur qu'il ne voulait pas montrer, semblable à la mienne dont je ne me souvenais pas.
"Ne te prends pas la tête. Si ce que tu fais est ce que tu penses le meilleur, alors ne te ronge pas les sangs. Tu pourras toujours lui demander pardon si tu regrettes encore." Etais-je vraiment entrain de le rassurer? Au fond, que pouvais-je faire? Le gronder ne servait à rien, d'autre, plus proche de lui, avait déjà du le faire. Je n'étais pas non plus la mieux placée pour une telle chose. Toutefois, je ne résistais pas à faire un geste un peu idiot. Sur mes genoux, j'ouvris mes bras pour lui faire un câlin, oubliant complétement la blessure aussi. "Ca va aller." Murmurais-je pour lui, mais aussi le serpent dans mon corps pour moi. Les vacances arrivaient à point nommées.
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Ξ Sujet: Re: Post scolarité, début de liberté? ○Jensen○ Jeu 24 Juin - 10:50
Ses doigts se refermèrent sur le flacon que la brune refusait, la douleur dans son épaule se dissipant peu à peu, pour ne laisser plus qu’une gêne qui finirait sûrement par s’estomper d’ici dimanche. La situation était étrange et compliquée. Il savait qu’il risquait gros en énervant le basilic, et pourtant… Il n’arrivait pas a s’en empêcher. Quelque chose le forçait à se dresser contre le reptile, à prendre la défense de la jeune femme.
Tout ce qui suivit était compliqué pour le brun. Il avait du mal à comprendre tout ce qu’il entendait. Comment Viska pouvait être liée au basilic enfermé dans le corps de la serdaigle en face de lui ? Les deux filles ne se connaissaient pas depuis longtemps, elles n’étaient pas dans la même maison et en plus de cela la blonde avait une sainte horreur des reptiles -le comble pour une élève de Serpentard-, phobie qui s’était démultipliée suite à l’enlèvement et au comportement de son père. Alors comment, par Salazar, se pouvait-il que le basilic en Ivalyana résonne ainsi avec l’âme de Viska ? Étant un sang-pur, Jensen avait toujours vécu entouré de magie, il avait grandit avec les histoires et les contes sorciers et s’y connaissait assez bien. La malédiction de Viska ne l’avait pas surpris, pas plus que la première transformation d’Ivalyana l’avait effrayé. Tout cela, il en avait l’habitude, mais là… Ça dépensait l’entendement et les connaissances qu’il avait de son propre monde. « Mais c’est toi son maître… Tu… Tu ne peux pas le laisser gagner, Iva… » Il ne comprenait pas, c’était clair. Il ne voyait pas ce que Viska venait faire dans l’équation, seulement que la brune ne devait pas se laisser faire.
Les raisons qui l’avait poussé à rompre avec Viska étaient complexes et difficiles. Il le savait, il semblait être le seul à comprendre ce qui lui passait par la tête, encore que, même à lui cela lui paraissait obscur parfois. Mais la brune méritait le peu d’honnêteté dont il était capable à l’heure actuelle, puisqu’il n’avait pas été fichu de s’expliquer à Viska. Il l’avait prise à part, lui avait dit que tout était fini et était parti. Sans une explication, sans un cri, sans une larme. Jusqu’à ce Peony vienne le trouver et lui hurler dessus. « Ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit. » Il savait parfaitement que si la moindre chose arrivait à Viska, présent ou non, il s’en tiendrait responsable, il finirait en colère, assoiffé de vengeance, et pour quoi ? Pour rien du tout, car il n’avait que seize ans et qu’il n’était pas capable de se battre contre le père biologique de la blonde. « Je ne peux aider personne de toute façon. Je ne t’ai même pas aidé toi, et du coup tu m’évites. » Elle ou le basilic, l’un dans l’autre, le résultat était le même. Il n’était pas capable d’aider ses amis, qu’il s’agisse de Viska ou d’Ivalyana. Même Peony, qui était pourtant sa meilleure amie, il n’avait pas été capable de l’aider et avait finit par aller vers Dahlia à la place.
Finalement, Jensen glissa de la banquette, se retrouvant sur le sol du wagon, passant ses bras autour de la brune, se serrant contre elle, embrassant ses bras ouverts. Il était faible, il était vulnérable, il était… Il était tout ce qu’il détestait. Il enfoui son visage dans le creux de son cou et dans ses cheveux bruns, l’envie, encore, de l’embrasser refaisant surface. Pourquoi ? Pour se consoler d’être un idiot, comme elle l’avait si bien dit plus tôt ? Parce qu’elle lui faisait de l’effet et qu’il ne s’en rendait pas compte ? Parce qu’il se sentait seul et qu’elle semblait être la seule à ne pas le repousser ? Un mélange de tout cela ? Il ne savait plus rien, juste qu’il voulait rester là, tant qu’il le pouvait. L’idée même d’aller au bal le lendemain soir lui donnait la nausée. Il allait devoir supporter la vision de Viska aux bras de Flynn, qu’il ne supportait pas, et allait devoir rester loin de la blonde. Il savait qu’il n’avait pas le droit de râler, Peony le lui avait dit et redit, et surtout, par rapport à Dahlia, tout cela serait bien mal venu. Il ne pouvait pas faire honte à sa cavalière. « Reste encore un peu, Iva, s’il te plaît. » finit-il par murmurer au creux de l’oreille de la bleue et bronze, la serrant un peu plus contre lui, une main se perdant dans ses longs cheveux bruns, espérant que le basilic n’allait pas se réveiller une nouvelle fois.
acidbrain
Ivalyana Van Cress
Parchemins : 398Âge : 18 ans ◄ 30 Avril 2000 ► Actuellement : Hospitalisée à Cygnet Hospital Sheffield Points : 11
Ξ Sujet: Re: Post scolarité, début de liberté? ○Jensen○ Ven 25 Juin - 14:21
Post scolarité, début de liberté?Jensen N'était-ce qu'un flacon contenant un onguent que je refusais de reprendre, ou ma raison et mes sentiments? Ses doigts qui enlacèrent la fiole me donnèrent envie d'être à sa place. Une idée trop agréable après ce qui avait eu lieu. Encore plus alors que je me sentais délivrée de mes émotions.
Mes paroles, étonnantes, voir même choquante, ne devait pas trouver grâce aux yeux de cet homme qui ne savait pas grand chose. Même les sorciers les plus chevronnés cherchaient encore des réponses, mon oncle n'avait cessé d'essayer d'en trouver. Lui qui m'avait élevée, était encore partit au bout du monde sans donner de nouvelles depuis des semaines. Etais-je triste de ce silence? Outre fois habituée, je n'y trouvais plus ma place. Le bruit, le signe de la vie, de l'agitation, il était devenu indispensable à mon quotidien. Tout comme son regard, même observé de loin. Cette voix qui au plus profond de moi faisait siffler le prédateur, non pas de peur ni de désir, mais d'une méfiance logique. Au même écho, dans son parfait opposé, les mots et le ton du jeune sorcier furent emplis d'inquietude. "Je ne suis pas... C'est comme la faim, ça ne dépend pas de moi." Il n'était pas question de gagner ou de perdre. Pouvait-il le comprendre? Peut-être était-ce pour Viska qu'il avait peur? La blonde craignait les serpents plus que tout, à raison ou à tord. Elle savait déjà ce que j'étais et elle ne m'avait pas fui, mais de là à voir mon autre visage? Je pouvais comprendre qu'il soit ainsi effrayé pour elle. "Je ne lui ferai jamais de mal." Une promesse qui avait été faite à l'instant où j'avais croisé son regard, peut-être même bien avant de la rencontrer. Avant même mon existence
Les réponses que j'attendais n'étaient pas celle que j'espérais. Égoïstement, j'aurai aimé entendre que c'était pour moi, mais une part plus importante ne pouvait l'accepter, pas même comme un petit fantasme. D'où le sombre cynisme qu'il n'avait pas besoin de subir. Etait-ce pour me soulager que je le blessais avec de telles paroles? En partie, mais aussi parce que cette vérité était évidente, il l'aimait qu'elle soit proche ou loin n'y changerait rien. Seul la sécurité de Viska comptait, étonnement, le reptile en moi approuvait sur ce point. Hors, le point qu'il mit en évidence me concernant me surpris. "M'aider?" M'étonnais-je en fronçant les sourcils. En quoi avait le capitaine de Quidditch ne m'avait-il pas aidé? "Si j'arrive à monter sur un balai, c'est en partie grâce à toi." La limite de ce qu'il pouvait faire ne dépendait que de lui et de ce que l'autre partit, à l'occurrence moi, pouvait accepter. En aucun cas, je n'avais désiré la liée à mes problèmes, c'était pour les lui éviter que je l'avais fui. "Ne me reproche pas ce que tu fais aussi." Un peu refrognée comme un enfant qui venait de prendre un biscuit et qui se faisait disputer par celui qui en avait déjà un en main.
Bras ouvert, l'espace d'un instant, le monde se résumait simplement à un instant de réconfort. La douce chaleur sous mes doigts rendait le monde réel, me permettant de me raccrocher à ce qui m'échappait. Son parfum doux et forestier me fit revoir cette image de lac dans les bois, de brume mystérieuse qui cachait des vérités que je voulais découvrir. Après tout, que savait-il de Jensen? Si peu, si peu de chose, même pas si il s'entendait bien avec les membres de sa famille, ni sa couleur préférée. Qui étais-je pour lui? Une amie qui avait besoin d'aide, une étrangère qui cherchait à être sauvée? Tant de question, de doute et d'incertitude, mais rien n'avait d'importance, car pour l'instant, il était dans mes bras. Sa voix m'appela à rester un peu plus longtemps, mais je n'étais pas sûr que c'était une bonne idée. Pas alors que je soupirais en frottant à mon tour mon visage dans son cou. "Je dois y aller... Avant qu'il reface surface." Ce n'était pas un doute, ni une hésitation, mais une peur légère qui résonnait dans ma voix avec la certitude que la prochaine fois, l'animal ne se contentera pas d'une fugace morsure comme menace.
Alors, a contre cœur, je m'écartais de ses bras apaisant. Mes yeux sombres fixèrent la clarté troublée de siens. Rester, encore un peu... si seulement cela pouvait durer plus qu'un instant. J'approchais mon visage pour poser sur sa joue un baiser avant de me décider à fuir. "Respire." Murmurais-je en dernier conseil, pour lui, pour moi, pour tous ceux qui oubliaient que le monde était vaste. L'envie de rester se dilua, cette douche froide qui taisait mes émotions, je savais que c'était le basilic en moi qui la faisait couler.
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Ξ Sujet: Re: Post scolarité, début de liberté? ○Jensen○ Lun 5 Juil - 0:01
Jensen ne comprenait absolument pas la situation dans laquelle se trouvait Ivalyana. Ce n’était pas nouveau, il n’avait déjà rien compris la fois précédente, alors que la brune avait semblé faire une crise et qu’à côté de cela, sa simple présence semblait la mettre hors d’elle. Ou plutôt, mettait le basilic hors d’elle. Il fronça les sourcils, ne sachant pas trop quoi répondre, aussi resta-t-il muet, ce qui n’était sûrement pas mieux, mais au moins ne risquait-il pas de dire une bêtise bien plus grosse que lui. Il savait qu’elle n’avait pas, en elle, l’envie de blesser qui que ce soit. La morsure du reptile l’avait mise dans un état de panique et de peur, qui transpirait de tout son corps. Etait-ce le côté reptile du capitaine qui faisait qu’il la ressentait si fort ? Peut-être, peut-être pas. Il n’avait pas envie qu’elle se fasse ronger et dévorer par le serpent qui sommeillait en elle, mais qui était-il pour l’en empêcher, au final ? Nul doute qu’il ne serait pas capable de grand chose si le basilic se décidait à prendre le dessus, même s’il n’hésiterait sûrement pas à s’interposer s’il le fallait.
L’échec, qu’il haïssait tant, était bien trop présent dernièrement dans sa vie. S’il savait qu’il avait réussi ses BUSEs sans pour autant avoir déjà les résultats, il ne pouvait nier que tout le reste de sa vie allait d’échec en échec. Sa relation avec Viska -par sa faute, il en était totalement conscient-, sa relation avec Ivalyana qui prenait un mauvais tournant également -il admettait volontiers que pour le coup, c’était de la faute du basilic et pas la sienne, mais le serpent pensait sûrement l’inverse-, même le Quidditch, quand bien même Serpentard avait gagné la coupe, n’arrivait plus à lui procurer le même entrain ni le même plaisir qu’à l’accoutumée. Ne manquait plus qu’il se rate complètement au stage venir et il voyait déjà l’horizon, sombre, d’un futur manqué se profiler devant ses yeux. La colère grondait donc sous sa peau, mais il ne pouvait pas se permettre de la laisser exploser dans la figure de la brune. Elle n’avait rien demandé. Et elle ne manqua pas de lui faire remarquer qu’il déviait un peu trop. Il grogna, laissant son regard se perdre sur le paysage qui défilait dehors. Il ne disait pas qu’Ivalyana était responsable de sa rupture, loin de là. Il ne comprenait juste pas pourquoi elle le fuyait, si ce n’est pour le préserver du reptile en elle. Mais son amitié ne valait-elle pas plus que cela à ses yeux ?
A dire vrai, Jensen se fichait pas mal que le basilic refasse surface. Qu’il le fasse, s’il en avait envie. Le mordre, sous l’apparence de la brune ne ferait pas grand chose. Au pire, cela l’empêcherait d’aller au stage de Quidditch, ce qui, l’un dans l’autre, n’était peut-être pas une si mauvaise chose. Vu tout ce que cela avait apporté au jeune homme, il ne savait pas vraiment quoi en penser. Il savait que Samuel ne faisait pas dans l’affect, donc même si sa soeur et ses parents avaient tenté de le faire plier et qu’il avait décrété que Jensen n’était pas capable, pas assez bon, ou n’importe quoi d’autre, Jensen n’aurait pas été sélectionné. Il le savait, mais pourtant, il n’arrivait pas à s’en réjouir. « On s’en fout. » souffla-t-il, alors que la brune s’écartait déjà de lui. Sentant son visage dans son cou, Jensen serra un peu plus son étreinte, malgré le fait que la jeune femme se séparait bel et bien de lui. Ses yeux bleu-gris croisèrent les prunelles brunes de la bleue et bronze, alors que son visage se rapprochait du sien. Jensen sentit son souffle sur sa joue, et, instinctivement, prit le visage de son amie en coupe, ses lèvres se rapprochant, bien trop, de celles d’Ivalyana. Il ferma les yeux avant de la laisser s’en aller. Il s’en voulait d’être aussi faible, et entendait déjà d’ici les railleries de Karen et de Mike s’ils le trouvaient ainsi. Alors que la brune avait quitté le wagon, il se releva, reprenant place sur sa banquette. L’été promettait d’être long et douloureux, et il savait qu’il était le seul responsable dans toute cette histoire.
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Ξ Sujet: Re: Post scolarité, début de liberté? ○Jensen○